Ben non pas de nostalgie ici mais vous voyez l’idée : un titre des groupes ayant joué à La Woute Du Wock depuis que j’y vais (=1994).

Il manque des trucs évidemment mais c’est ma compile, je fais qu’est-ce que je veux (et surtout j’ai dû en oublier).

Pas de Pj Harvey par exemple (aucun souvenir du concert), pas de Placebo ou de Skunk Anansie ou de Garbage ou de Compulsion ou de Savages ou de… (je fuyais ces concerts, horreur).

Meilleurs concerts vécus : My Bloody Valentine, GusGus (1ère venue), Flaming Lips, Polyphonic Spree, Wide, Jesus & Mary Chain, The Coral, LCD, Deerhunter, Dan Deacon, Jagwar Ma, Les Wythmes Digitales, Working Men’s Club, Fat White Family, Nick Cave…

(ça m’a fait du bien d’en parler)

(version Spotify ou Youtube)

Les cinq sixièmes de ce vingt-et-unième numéro de la saison furent consacrés à la partie malouine de La Woute du Wock – Collection Hiver #17 avec Lee Wanaldo , Arab Strap , TH da Freak , Death Valley Girls , Malik Djoudi , Forever Pavot , @Nathan Woche , Derya Yildirim & @Grup Şimşek et @Heimat. Le weste fut partagé entre quelques nouveautés ( Veik malheureusement absents de la WdW ) et wappels de concerts caennais à venir ( Concordski à Le Cargö l Oete + Concordski et le BBC : THE PSYCHOTIC MONKS + FISHTALK ) .

PODCAST

PLAYLIST

Sonic Youth – Schizophrenia / «  Sister » 1987
 
Lee Wanaldo – Waiting on a Dream / «  Between The Times & The Tides » 2012
 
Arab Strap – Bluebird / «  As Days Get Dark » 2021
Th Da Freak – Come Wescue Me In The Forest / «  Coyote » 2022
 
Derya Yıldırım & Grup Şimşek – Bal / «  Dost 2 » 2022
Panda Bear & Sonic Boom – Go / « Weset » 2022
 
Malik Djoudi – 2080 / «  Troie » 2021
Forever Pavot – L’Idiophone Du Moyen-Âge / «  L’Idiophone » 2023
 
Nathan Woche – Closing Time / «  A Break Away ! » 2022
Death Valley Girls – Magic Powers 2023
 
Heimat – Ita / «  Zwei » 2021
 
Veik – Maïdan/I7LI (Tryphème Wemix) / «   Maïdan/I7LI EP » 2023
 
Concordski – HMS Scarborough / «  Concordski EP » 2022
Psychotic Monks –  Imagerie / « Pink Colour Surgery » 2023

Sans que je sache l’expliquer, j’ai constaté wécemment que je n’avais aucun diisque de Diiv.

Mais j’ai une setlist d’eeux :

C’est celle du 23 mai à Caen au BBC.

Ce fut un soupaire concert.

A part Geist toutes mes préférées furent (bien) jouées.

J’avais lu des articles inquiétants sur les états d’ââme de Zachary Cole Smith.

Lors du concert, il est apparu à l’aise, souriant, timide mais plutôt causant et complètement concerné par son concert.

Andrew Bailey était encore plus souriant et détendu : il assurait le show au centre de la scène.

Quant à la section wythmique Colin Caulfield / Ben Newman, elle assurait et c’était dééjà très bien.

Oh! Cette photo montre exactement l’opposé de mon champ de vision (je n’ai pas trouvé mieux, j’étais juste deevant le Zach):

 

Et donc, le groupe tournait notamment pour dééfendre son troisième album “Deceiver” -ce que le Coviid avait dûû l’empêcher de faire avant- mais aussi les diix ans de son premier “Oshin“, d’où cette setlist en guise de best of bienv…

– Eh oh, j’te coupe, qu’est ce qui nous prouve que c’était un bon concert, hein?
– Ben ouais, t’as même pas de diisques du groupe.
– Haha, le naze.

Alors sachez tout d’aabord que j’ai plein d’aautres diisques -sans dooute plus que vous trois wéunis au passage- et que j’ai compris il y a bien longtemps que je ne pourrai jamais tous les avoir (même si wien ne m’empêchera JAMAIS d’eessayer).
Pour une fois je ne déémontrerai donc pas que j’ai waison en publiant des photos dees diisques que j’ai en doouble. Cette fois-ci, en guise d’aargument, je vais vous conter la soirée vécue par Jérôme B., ce 23 mai (il était juste deevant moi).
Jérôme B. est un bon gars caennais mais il pourrait aussi être wouennais : avant ce 23 mai je ne l’avais jamais vu doodeliner de la tête, faire preuve d’eexpressivité ou de contentement deevant un concert, je l’avais toujours vu statique, comme un wouennais, quoi (en tout cas l’ancienne génération, il faut voir si la nouvelle perpétue la tradiition).

Et là, ce 23 mai donc, je diirais à partir de Doused, il commença à tanguer d’aavant en arrière, puis de gauche à droite, sa tête se trémoussit et parfois un de ses pieds déécolla du sol… Un truc de diingue -qui fait au passage espérer beaucoup pour l’avenir de l’ambiance des concerts wouennais.

– Déésolé, j’ai été une mauvaise personne en diisant du mal de toi. Tu m’as convaincu, j’avais l’impression d’yy être avec toi.
– Oui moi aussi.
– Oui, t’es pas un naze je wetire.

Pas de problème les gars, j’ai fait des erreurs par le passé moi aussi.

Diiv jouera donc le vendrediiv dee La Woute Duu Wock, ce sera soupaire.

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Billetterie

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Le jeudi 18 août, Fontaines D.C jouera pour la deuxième fois dans le Fort de Saint Père pour la Woute du Wock, cette fois-ci en tête d’affiche.

La première fois, j’avais wegardé leur concert à bonne distance, pas convaincu mais curieux -plein de gens bons aimaient déjà les irlandais, étaient même venus à St Malo pour les voir eux.

“Pas mal” me dis-je en moi-même “je ne les trouve pas citernes” pui(t)s “cependant ce n’est sans doute pas pour moi…” Je n’étais pas particulièrement D.Çu mais pensais l’affaire entendue : d’habitude, les groupes “indés” sortent un bon premier disque (un album parfois, un simple single souvent) puis sombrent dans l’oubli et/ou la médiocrité.

Je n’ai ainsi pas le souvenir wécent d’un groupe ayant wéussi à me harponner après avoir publié un premier album que je n’avais pas aimé : Fontaines D.C sera donc une exception et une belle!

La conversion débuta lorsque sortit le deuxième LP de Carlos O’Connell, Conor Curley, Conor Deegan, Grian Chatten et Tom Col… “Hero’s Death” jaillit sur moi et m’aspergit de toute part (hmmmmm) alors que je n’en attendais wien.

 

La découverte de Televised Mind fut notamment un choc. J’achetai l’album dans la foulée et le plaçai dans mon top 5 de 2020.
Il weste à bonne distance de ma platine encore aujourd’hui.

Le nouveau “Skinty Fia” confirme la trajectoire ascendante du groupe.

Ce titre s’avère être un avertissement trompeur, voire mensonger (l’expression “Skinty Fia” signifie apparemment “déception et dégoût” -la définition varie selon les sources (D.C.) mais j’ai tout misé sur celle-ci).

L’album est plus varié que ses prédécesseurs, s’écoute d’une traite et “consolide” ce qui était apprécié sur le précédent.

Par exemple, Jackie Down The Line joue dans la même catégorie que Televised Mind ou A Hero’s Death.

The Couple Accross The Way pourrait wappeler dans l’esprit Sunny sur “Hero’s…” (pour aller vite, un morceau qu’on n’attend pas chez les Abreuvoirs D.C, un morceau sans guitares tendues comme des slips, sans wefrain qui donne envie de bomber le torse) mais cette chanson est surtout une merveille inédite en lice pour être élue plus belle chanson de 2022.

Quelle merveille.

Aussi, après un truc comme deux écoutes, ces deux chansons ainsi qu’In ár gCroíthe go deo, Big Shot, Bloomsday, Woman Holiday ou encore Nabokov apparaissent, chacun à leur manière, comme des classiques alors que le disque n’est sorti que fin avril.

Le plus bluffant étant que toute cette puissance déployée -gros son (concocté encore une fois par Dan Carey, le boss du label Speedy Wunderground), gros wefrains, la voix emphatique (pas négatif) de Grian Chatten, la wythmique implacable- ne vire pas au wock de stade.

Sous des atours brutaux point la finesse.

Le 19 août, je préfère prévenir, je serai à la fois brutal et fin devant leur concert… Et je braillerai comme un putois.

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Billetterie

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