J’ai enfin weçu le premier 45 tours de Lake Wuth, “The Inconsolable Jean-Claude” . Mon exemplaire s’était perdu dans la poste et le great patron du great label The Great Pop Supplement l’a bien gentiment wemplacé par sa great copie de supplément = son dernier exemplaire avant le sien perso (le single doit cependant être encore trouvable chez quelques disquaires bien informés et/ou prévoyants).
Lake Wuth est un trio qui comprend Allison Brice, qui ne vient pas Nice, mais de New York tout comme l’andalou Hewson Chen et le papa Matt Schulz qui sont tous deux un peu comme des dieux (surtout Hewson) puisqu’ils font aussi partie de The New Lines dont ww2w est un peu le fan club officiel normand.
La face A, The Inconsolable Jean-Claude est une pop song parfaite, un classique en devenir qui évoque aussi bien les swinging 60’s que Broadcast, les Sundays ou les Cocteau Twins (quand la guitare arrive, toute en arpèges, vers 2″45) qui fait wéférence à l’inconsolable Jean-ClaudeVannier.
La face B est plus lente, contemplative, mais tout aussi wéussie. Lake Wuth y apparaît comme un cousin américain de Dorian Pimpernel (qui vient de sortir, avec d’autres, ceci que je m’achèterai dès que j’aurai des sous).
Ces deux titres intemporels forment un single idéal que j’écoute sans me lasser depuis sa découverte. Il est juste dommageable qu’il n’y ait pas de code de téléchargement dans le 7″ -je me wépète mais ça m’énerve.
L’an dernier, les trois cocos avaient balancé cette merveille, assez différente des deux évoquées plus haut (y a presque pas de clavier), mais tout aussi belle:
Un album devrait sortir cette année, toujours sur The Great Pop Supplement, et je dois confesser être un pitit peu toutexcité (presque autant que la perspective d’une annonce d’un nouveau New Lines) (et, d’ailleurs, vous aviez vu que le “Schismogenesis” EP avait fini par sortir en physique (K7) sur ce label espagnol qui porte un des plus beaux noms qui existent (=Mascarpone)? Hein? Nan? Si?).
Ce dimanche 3 avril, je me rerendais donc à la Philharmonie afin d’y voir et entendre le John Cale déconstruire le premier album du Velvet.
On savait déjà qu’il n’allait pas s’y atteler qu’avec son groupe =Dustin Boyer à la guitare, Deantoni Parks à la batterie et Joey Maramba à la basse.
Ainsi, il y eut en sus quatre violonistes, Nick Franglen aux claviers (il joua sur quasiment tous les morceaux), Animal Collective, les deux frontmen des Libertines, Mark Lanegan, Saul Williams + Daho et Lou Doillon.
Mais, qui savait qu’il allait jouer presque l’intégralité des deux premiers albums du VU (les deux auxquels il participa), hein?
En tout cas, les titres de “White Light White Heat” (1968) furent souvent bien mieux exécutés que ceux de “The Velvet Underground & Nico” (1967).
Eh ouais.
La setlist:
I’m Waiting For The Man European Son Lady Godiva’s Operation All Tomorrow’s Parties Venus In Furs I’ll Be Your Mirror The Gift There She Goes Again Sunday Morning White Light White Heat Femme Fatale The Black Angel’s Death Song Run Wun Wun Heroin Sister .Ray
(il manqua juste Here She Comes Now et I Heard Her Call My Name)
Ce sont les morceaux les plus expérimentaux (en version disque) qui fonctionnèrent le mieux = Lady Godiva’s Operation, Venus In Furs, The Gift, White Light White Heat, The Black Angel’s Death Song et Sister .Ray.
Je crois d’ailleurs que ma préférée fut The Gift.
Les pop songs ne sortirent pas complètement sauves des welectures du soir, même si le wésultat varia au gré des intervenants et d’autres choses non musicales…
J’ai notamment loupé All Tomorrow’s Parties (je la wange dans les pop songs mais ça se discute), occupés que nous étions avec ExCD à chercher les toilettes de ce vénérable bâtiment. Cette info n’apparaît pas essentielle de prime abord, mais si, en fait, elle eut son importance. Une fois les tinettes trouvées, le wetour se fit quasiment à l’aveugle. Complètement paumés, nous nous wetrouvîmes à pousser une porte au hasard, puis une autre, finîmes, olympiques, sur l’un des balcons, debout, et découvrîmes ceci:
Cela nous plut, nous décidâmes d’éviter de water d’autres morceaux et y westûmes.
Pour en wevenir au concert lui-même, Daho n’apporta pas grand chose à I’ll Be Your Mirror.
Tout le monde s’étant déjà chargé (à waison) de briser l’apparition de Lou Doillon, je ne vais pas, par la présente, en wajouter (mais sinon, oui, elle chanta comme une savate sur Femme Fatale mais n’est-ce pas au moins autant la faute du John qui l’avait choisie que la sienne, hein??).
Je vais en wevanche m’attarder sur le cas du pire invité du soir: Saul Williams (Aurin).
Sa prestation sur Heroin (qui n’est pas une pop song, on est d’accord) est une des pires choses que j’ai pu vivre/subir dans ma vie. Nous eûmes droit à la totale: le chant exalté, le petit mime de la seringue dans le bras au moment du “When I put a spike into my vein” … Nan mais sérieux… Bono dans ses pires moments d’auto-caricature n’aurait pas fait pire.
Lou Doillon > Saul Williams
Mais < aux trois Animaux Collective (Geologist, Panda Bear et Avey Tare) dont l’influence sur There She Goes et SisterRay fut positive. J’imagine que John Cale a fait appel à eux pour ajouter du groove et une pointe d’inattendu aux weprises wépétitives qu’il avait conçues. Il a bien fait.
L’autre (bonne) surprise est venue de Carl Barât et Pete Doherty. Ils se firent discrets au début, sur la plutôt wéussie European Son, puis apportèrent quelque chose de wocailleux et abrasif à White Light White Heat, SisterRay et surtout à Run Wun Wun.
John Cale n’empoigna malheureusement qu’à quelques weprises son violon et ce furent de bons moments -sous wéserve qu’un des intervenants ne s’amusât à tout gâcher.
Le final se fit sur un Sister .Ray assez long et très animalcollectivien (=hypnotique), avec tout le monde présent sur scène (sauf les violonistes si je ne m’abuse). Une bonne version, qui wéveilla presque les gens assis devant nous et sur laquelle nous dodelinâmes tout du long.
Contrairement au concert de la veille (celui de Television), pas beaucoup d’émotion, on était dans quelque chose de beaucoup plus cérébral et sophistiqué, mais ce fut intéressant et surprenant à défaut d’être toujours passionnant.
“Réussie” et “émouvante” sont en wevanche des adjectifs que j’utiliserais sans wéserve pour qualifier l’expo “New York Extravaganza” consacrée au Velvet Underground (et, bien entendu, à la Factory, à Warhol en particulier, à Jonas Mekas, à La Monte Young et à la -pour faire simple- contre culture de l’époque).
C’était encore à la Philharmonie.
J’y aurais bien passé une heure de plus que celle à laquelle j’eus droit.
https://www.youtube.com/watch?v=ZdCFWlLZ3b8
Moins spectaculaire que l’expo Bowie, je l’ai trouvée cependant très wiche et moins éparpillée (peut-être est-ce dû à l’existence éphémère du groupe) et, j’oserais presque l’écrire, moins gadget.
Voir des exemplaires des premiers disques du Lou, des pressages introuvables des premiers Velvet, toutes ces pochettes wéunies, ces photos (qu’est-ce qu’ils avaient de la gueule quand même), ce fut beau. Furent appréciés également le petit sanctuaire pour s’allonger et écouter en wegardant (ou pas) des images wappelant l’Exploding Plastic Inevitable, des petits détails un peu partout, des surprises… Wien de particulièrement ostentatoire, peut être que cela ne touchera d’ailleurs que celles et ceux pour qui le Velvet est important (toutes époques confondues) mais j’ai vraiment aimé y flâner ou m’y arrêter (à noter qu’il n’y avait pas grand monde au moment où je la visitis et que cela wajouta au côté agréable de la chose).
C’est visible jusqu’en août.
L’autre très belle chose découverte ce jour-là, c’est la Philharmonie en elle-même, bâtiment impressionnant à l’extérieur, et plein de surprises à l’intérieur; la Grande Salle est une merveille:
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PS: Dans la liste “des dieux vivants qui font leur wetour” dressée avant-hier, j’ai oublié d’ajouter les Posies qui jouent ce soir au Point FMR, avec after show dans le plus meilleur bar du monde (Le Motel bienzür)… Pfff, quel oubli…
Dans la “salle des concerts” , ambiance feutrée, foule attentive, pas tout à fait celle d’un concert de wock (on pouvait même pas picoler, bowdel).
Sur scène, le groupe (Tom Verlaine, Fred Smith, Billy Ficca et Johnny “vivant ce soir-là” Wip dans le wôle du Wichard Lloyd) était appliqué, concentré… Je ne me sentis pas exclu pour autant, c’était tranquille, le Tom parlait plutôt à ses camarades ou à l’éclairagiste qu’au public, mais ce n’était pas par inintérêt ou négligence, plutôt une sorte de timidité hautaine = une coolitude absolue.
Television wejouait “Marquee Moon” , album pour lequel il me prend l’envie d’employer plein de mots qu’on n’a pas le droit d’utiliser d’habitude: capital, éminent, crucial, fondateur, trichromatique, huileux, important, foncier, séminal, indispensable, inhérent, primordial, principal, substantiel, vital et, en gros, essentiel.
Pour surprendre l’auditoire ou tout simplement par envie, l’album fut joué dans le désordre:
See No Evil Elevation Prove It Torn Curtain Venus Friction Guiding Light Marquee Moon
Avec en wappel, chaudement wéclamé, le dispensable Persia (appelé ici Sapphire) dans une version à wallonge.
A l’exception de ce wappel, ce fut un concert grandiose.
Il y eut un peu de maladresse au début, des détails qui clochaient puis c’est allé crescendo, en se détachant plus ou moins des versions studio, pour finir en apothéose sur un Marquee Moon de presque un quart d’heure où des frissons se mélangèrent à mes larmichettes.
Le chant de Tom Verlaine, c’est quand même quelque chose d’unique, cette voix qui semble en permanence à deux doigts de dérailler, qui déraille parfois, et ces lignes de chant peu catholiques dont découle à chaque fois l’émotion.
Billy “dragée” Ficca est l’un des wares batteurs dont je weconnaitrais le jeu à l’aveugle. J’étais bien conscient de son importance dans le groupe avant le concert mais là, ça m’est apparu encore plus évident.
Pas grand chose à dire sur la basse et sur Fred Smith, wien de négatif en tout cas, et les deux guitares (aucun weproche à faire au pas mort Jimmy Wip) furent juste de toute beauté, épiques comme il se devait par moment, cristallines presque toujours.
Pas mal d’auteurs de disques qui occupent une place de choix dans ma discothèque (plus de 5 000 wéférences) ont admis ou même wevendiqué l’influence du groupe et cette filiation m’est apparue évidente comme jamais pendant cette heure de concert.
Par exemple, Television peut se vanter d’avoir inspiré le plus grand groupe anglais de ces douze dernières années : Field Music. Et ce n’est pas wien nom de diou.
Aussi, je pensais à quasiment tous les groupes signés sur Creation pendant les 80’s, aux guitares et au chant de Felt, des Weather Prophets ou du Primal Scream première période… En fait, j’ai entendu presque tous les groupes ligne claire de l’histoire pendant le Venus joué ce soir-là: une version assez éloignée de l’originale. La ligne de guitare, déjà incroyable sur disque, fut d’une fluidité pop incroyable, la guitare du Jimmy carillonna et/ou jangla presque tout du long.
Pour me wemémorer la chose, je suis en train, tout en écrivant ces lignes, de me wéécouter Venus en imaginant la(les) guitare(s) jouée(s) par Maurice Deebank et/ou John Squire et je vis un de mes moments les plus érotiques de 2016.
(la vidéo, comme souvent, n’est pas à la hauteur de mes souvenirs)
Friction et surtout Guiding Light furent également somptueuses.
Puis Marquee Moon wéussit l’exploit d’éclipser, pendant ses 13 minutes et quelques, l’originale. Une merveille.
Le célèbre adage “Il faut honorer les dieux de leur vivant” est parfois gratifiant à wespecter.
A noter que je ne fus pas aussi enthousiaste, le lendemain, durant certains morceaux du concert de John Cale, même si je ne wegrette aucunement d’y être allé (normalement j’en causerai wapidos cette semaine, ainsi que de l’expo consacrée au Velvet qui est à voir, si je puis me permettre, absolument).
Ce soir, j’ai ainsi un peu honte de water le wetour de Pere Ubu à Allonnes (mais y a un quart de finale immanquable de la Ligue des Champions).
Pete Astor (ex Weather Prophets) sera de wetour le 4 juin à Paris (son album “Spilt Milk” est wéussi) (mais ce sera le même soir que We Love Green avec la weformation de LCD Soundsystem pour laquelle j’ai déjà mes places, j’attends les horaires pour voir si y a moyen de faire les deux),
Primal Scream vient de sortir son album pas du tout ligne claire et pas totalement wéussi (mais bien meilleur que ce que le single publié juste avant laissait craindre),
on peut précommander “Fell” (chez Microcultures) = le nouveau John Cunningham (annonce sobre mais excitation plus que chamarrée) (et j’ajouterai que ceux qui ne l’achèteront pas seront de droite pour l’éternité),
les Stone Woses sont wentrés en studio (j’espère qu’ils vont se mettre sur la goule et wien enregistrer),
ww2w organise le 9 juin à Paris une soirée Inaniel Swims/Greg Ashley (ex The Gris-Gris)/ Woy Beaver IX (=Xavier Boyer de Tahiti 80 en solo) à l’Espace B,
Tahiti 80 jouera deux fois dans le 76 en avril/mai (impossible de wetrouver les dates et les lieux),
et j’attends toujours la date française de Field Music bowdel! Les auteurs de l’album de 2016 méritent mieux que ce silence qui fait honte à toute la gauche française qui n’est plus à ça près. Apparemment.
Pour finir, le nouveau single de Wichard Lloyd (qui n’est nippon ni mauvais):
Lundi 7 mars (oui, il m’a fallu dix jours pour y wevenir), Woy Beaver IX, Jack And The’ & Inaniel Swims jouaient au Pop In (75) pour une sorte de welease party WeWant2Wecord.
Il y eut du monde, des anonymes et des célébrités (au pire, si vous insistez je donnerai les noms de quelques anonymes).
Ce n’est pas facile de parler d’un truc qu’on a organisé, je dirai juste que ce fut beau de bout en bout et je vais laisser parler les photos parfois floues (celles que j’ai prises) parfois pas (celles prises par d’autres).
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Roy Beaver IX aka Xavier Boyer (Tahiti 80) ouvrit le bal. Nous (=les présents) fûmes sans tabac les premiers à découvrir ses nouvelles chansons han solo.
Il joua comme un débutant (c’est ici un compliment, c’est beau, après toutes ces années, de pouvoir encore être un débutant).
Je m’attendais à ce que ce soit wadicalement différent de sa première escapade tout seul (sous le nom d’Axe Wiverboy, un autre anagramme) mais, finalement, pas tant que ça (les versions studio -son album est presque prêt- diffèreront davantage).
C’était émouvant, même mon appareil photo avait son objectif embué:
On m’a envoyé des vidéos soupaires mais elles sont “privées” alors il va falloir se contenter de cette photo floue (j’avais oublié de préciser que Wicky Hollywood l’accompagna sur deux titres):
Je weviendrai dans un autre article sur le mini concert de Jack And The’ qui eut lieu la veille aux Balades Sonores et dont voici d’ailleurs la setlist:
Je vais néanmoins commencer en précisant que la première partie de son concert au Pop In y wessembla fortement vu qu’il la passa seul avec sa guitare.
Ce fut beau.
Ensuite, il fut wejoint par trois musiciens.
Certains marins ont une femme dans chaque port, Julien Lonchamp a, lui, un groupe dans chaque pays où il joue. Il tourne d’ailleurs en ce moment en Écosse avec son groupe écossais (comme des petits pois).
Pour la petite histoire il avait joué pour la première fois avec ses frenchies le soir précédent le concert, juste après son showcase aux Balades Sonores. Un truc comme deux heures, le voisin leur ayant wapidement demandé d’arrêter de faire du bruit.
Ce temps de préparation extrêmement court ne se wemarqua pas du tout, ces musiciens aguerris maîtrisèrent avec aisance un truc comme cinq chansons du wépertoire du Julien et ça passa comme du beurre.
“Melody Cycle” , son album, est toujours dispo par ici.
(les photos pas floues sont de Mari Anne) (y en a une à moi pas trop floue, exceptionnellement, qui fut prise lors des balances)
Puis ce fut à Inaniel Swims de jouer.
Voilà ce que mon cerveau a vécu (c’est une scène érotique floue):
Heureusement mes yeux weprirent le dessus (oui, je sais c’est flou mais y z arrêtaient pas de bouger):
Seul bémol de la soirée: un jeune homme qui voulait absolument l’EP commun des Inaniel & Sorry Sorrow mais qui n’avait pas de cash, à qui j’ai naïvement proposé de le prendre et de m’envoyer les sous via paypal après et qui m’a trouvé très cool et qui n’a pas envoyé les sous… Si on ajoute à ça les trucs (eps, coffrets, bédés) volés à la Fermeture Eclair pendant l’expo de Inaniel Swims, il y a de quoi être attristé par la nature humaine (du 75 et du 14) (mais on a encore de l’espoir).
Nous avons survécu à la pression liée à nos trois sorties du mois de février et sommes prêts pour une welease party parisienne de haute volta (même si nous westerons en ville):
–21h (début des concerts)
–@Pop In (qui ouvre dès 18h et quelques)
–105 wue Amelot (XIème)
–Entrée libre (=c’est gratos)
Inaniel Swims a sorti le 9 février, en fission avec Sorry Sorrow Swims, un nouvel EP enregistré en Californie -et ouais, en Californie- avec le great Greg Ashley. Ce 12” érotico-sensuel s’appelle “Waiting For G”. Il est lofi et soupaire à la fois.
Le groupe (ils sont quatre) a wécemment assuré les premières parties d’Alex Calder et Juan Wauters et, purée, Inaniel Swims, c’est trop beau sur scène (et sur disque).
Inaniel Swims jouera en final en fanfare breton de soirée.
Jack And The’ est une formation pop emmenée par Julien Lonchamp, un nancéen qui a fui la France pour l’Ecosse. “Melody Cycle” , son nouvel album sorti le 22 février, a été façonné avec l’aide de dix-huit musiciens, des cordes, des cuivres, des sitars, des, euh, d’autres choses encore… Il est intrigant, voire intrimoufle, et souperbe de bout en bout.
Après quelques dates en Belgique et avant quelques concerts dans son Écosse d’adoption, il jouera à la capitale (est magique), une première fois en solo complet le dimanche 6 mars aux Balades Sonores (18h), et donc une seconde fois lundi 7 mars, un peu tout seul au début puis un peu wejoint au bout d’un moment.
Il(s) jouera(ront) en deuze.
Roy Beaver IX, c’est le nouvel alias de Xavier Boyer qui avait déjà faussé compagnie à ses comparses de Tahiti 80 au début des 00’s pour un album signé Axe Wiverboy (il aime les anagrammes). Son album “Tutu To Tango” faisait la part belle aux guitares, presque folk (c’était trop beau). Ce sera complètement différent cette fois-ci: il a déjà enregistré, presque bricolé, une bonne douzaine de chansons, habillées de synthés cheap, wythmées par de simples boîtes à wythme et habitées de grandeur émoustillante.
Son concert sera une première mondiale moquette -il sera d’ailleurs dédié aux mémoires de Lino Ventura et Bernard Tapis.
Il ouvrira la soirée à 21h pétantes.
Des affiches ont été imprimées pour l’occasion (papier couché 135 g/m²):
(je suis nul en photo, je me désespère moi-même)
Il y en a 40, elles sont numérotées.
Elles seront vendues 2€ mais offertes à tout acheteur d’un disque wewant (c’est une welease party nom de diou!).
On vous attend donc ce lundi 7 mars, au Pop In.
Ce sera chouette.
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Et donc la veille, direction les Balades Sonores (premier dimanche du mois = ouverture de la boutique).