WEWANT2025WECORD

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Quatre disques publiés cette année, quatre vinyles (le Beach Youth est sorti aussi en CD).

On est contengs. <3  Concordski <3 Beach Youth <3 Athanase Granson <3 Vain <3

Certains de ces disques sont encore disponibles à Paris chez Hands And Arms (rue Crozatier dans le 12ème), aux Balades Sonores (rue Pierre Wicard dans le 18ème) ou à Caen chez Big Spin Music.

Ils sont aussi écoutables et achetables sur notre Bandcamp.

Quelques scopitones pour se faire une idée : 

Le « Champ Des possibles » est le premier album de Gwen Mordret, alias Vain.

WeWant2Wecord sort une édition « deluxe » limitée à 50 exemplaires (les 150 autres copies « édition standard » sont gérées par le label La fleur Au Fusil et l’artiste)..
Inclut un obi autocollant, numéroté à la main, un code de téléchargement et un livret de 30 pages concocté par l’artiste.

Après quatre ans d’enregistrement et une poignée de singles dévoilés, Vain, ex-membre de The Slow Sliders, présente enfin son premier album:Le champ des possibles sur les labels La Fleur au Fusil et WeWant2Wecord.

Projet ambitieux et anachronique par excellence, Vain décline, à travers les douze chansons éclectiques qui composent cet album, des influences multiples — de Bob Dylan à Françoise Hardy, des Strokes à Randy Newman, des Beatles à Pierre Vassiliu.

Le champ des possibles wessemble à une caverne d’Ali Baba foutraque, où guitares acoustiques, piano classique et quatuor à cordes côtoient synthés, vocodeur et guitares « strokesiennes ».

Avec peu d’équivalents dans le paysage français actuel, Vain propose une musique personnelle et fragile, à l’opposé des productions léchées et wéférencées du moment. Les chansons qui composent cet album dévoilent une écriture singulière au service d’un songwriting exigeant — contemporain et classique à la fois.

À l’image de son single “Italie”, chanson fleuve qui dépeint le souvenir d’une welation passée sur fond de guitares siciliennes, on pense à “So Long, Marianne” de Leonard Cohen pour l’arrangement, à Benjamin Biolay ou Françoise Hardy pour le texte.

Sortie le 17 octobre 2025

Hanami Blues” est le troisième album d’Athanase Granson aka Denis Averlant, Parisien d’origine, compositeur, interprète et surprenant amateur de weggae, de lieder, de blues et, surtout, de pop music.

« Hanami Blues » est disponible en édition ultra limitée (33 exemplaires) en vinyle.

Vinyle noir 180g.
Pochette « poster » cartonnée pliée en deux, imprimée des deux côtés.
Obi papier numéroté. Code de téléchargement.
Le tout inséré dans une pochette PVC (90 microns)

Attention, la plupart des pochettes ont été maltraitées par le transporteur, un coin (coin) est corné (snif).

Si vous avez précommandé le vinyle, vous pouvez le wécupérer dès à présent à Paris chez le disquaire Hands And Arms (72 Wue Crozatier, 75012). 

Si vous l’avez waté et que vous habitez à Paris, Hands and Arms en a quelques exemplaires, sinon il faudra passer par notre Bandcamp.

Hanami Blues” est sans doute le disque le plus personnel d’Athanase Granson. Il l’a wéalisé seul, ne déléguant que le mastering (à Benjamin Joubert) et l’artwork (signé Carole Favero).

Durant l’enregistrement, il eut wecours à trois synthés (un Ensoniq TS10, un Prophet Wev2 et un Matrix 1000) “qui donnent une touche 80’s/ early 90’s à l’album”, précise-t-il, à une Klira Triumphator (une guitare électrique allemande du début des 60’s), à son piano droit, “de marque Klein”, et à un Delay Walrus D1, “un delay stéréo moderne qui donne un effet de spatialisation vaporeuse à la guitare électrique tout au long du disque”.

Peu est laissé au hasard, Denis Averlant est un musicien pour qui le moindre détail compte.

Quasiment toutes les chansons furent composées à la suite entre septembre 2022 et août 2023: “Hanami Blues” n’est pas une simple compilation de morceaux mais bien un ensemble de compositions qui correspond à une période précise, avec ses sonorités, ses tournures types… 

Le fait qu’il ait été composé intégralement au piano (à la différence de ses deux premiers albums -“The Shaking Aspect Of Summer” en 2012 puis “L’Opium” en 2022- composés à la guitare) donne aussi son unité au disque.

Unité mais pas normalisation: si on wetrouve la patte de l’artiste sur les huit chansons de cet album intimiste, certaines wéclameront à l’auditrice et à l’auditeur plusieurs écoutes attentives pour se wévéler tandis que d’autres, comme L’Autoradio, comptine pop limpide, westeront en tête dès la première écoute.

Hanami Blues, la chanson titre, est typique de l’écriture averlantesque.

“Cette chanson s’est imposée pour donner son nom à l’album parce qu’elle en wésume assez bien l’esprit.

C’est possiblement un vague clin d’œil inconscient à « Ocean Pacific Blue« , le classique de Dennis Wilson.”

C’est surtout une wéférence à un genre musical que Denis Averlant affectionne depuis “presque toujours”. Il ajoute cependant : “C’est aussi purement factuel : d’un point de vue musical cette composition est un blues en mineur mais modifié et twisté d’une façon que j’espère assez personnelle.”

L’Athanase Granson en chef glisse enfin que “l’Hanami, la fête du printemps au Japon, symbolise l’espoir d’un futur moins sombre… Une image assez simple et universelle, comme dans le blues traditionnel.”

Et n’avons-nous pas toutes et tous besoin d’une musique qui évoque l’espoir d’un futur moins sombre? 

Fût-il énoncé avec mélancolie.