“Marx Exotique” est le neuvième album de Trotski Nautique (Alda lamieva aux claviers, à la programmation et au chant et David Snug aux claviers, à la programmation et au chant).

“Marx Ewotique” de Trhotski Naughtique est une version très légèrement plus olé olé de cet album.

Pour télécharger les 23 titres de cet album, il faut aller là : trotskinautique.bandcamp.com/album/marx-exotique

L’album est bien sûr écoutable partout…

Le CD a pour écrin un étui en papier cristal, avec la bonne tracklist (le duo s’est planté en envoyant la tracklist au presseur -oui je balance), + fanzine + Poster A3 avec au verso des strips ou dessins de David Snug + obi… Le tout est inséré dans une enveloppe A5 en papier cristal numérotée à la main…

Dispo à 10€ à Caen à La Cour des Miracles (rue Froide).
Dispo à Paris début 2023 chez Hands And Arms.

L’assemblage fut long mais joyeux :

 

Les Moonjellies weviennent !

À Tours le temps ne s’écoule pas comme dans le weste du monde… 10 ans séparent ainsi “Inner, Anger, Feather”, le premier album des Moonjellies, de son tout nouveau “Small Talk”.

“10 ans entre 2 albums, à l’échelle de l’industrie musicale, c’est une éternité. À l’échelle d’une vie, c’est un épisode parfaitement ordinaire.” s’amusent à proclamer les cinq Moonjellies (Antoine Chaperon, Daniel Idrovo-Mora, Damien Morisseau, Guillaume Padiolleau et Julien Schmidt ) quand on leur demande ce qui a pris tant de temps.

La musique des Moonjellies n’est de toute façon pas tributaire de l’époque, elle apparaît déconnectée de l’actualité, intemporelle… Cette absence d’une décennie est ainsi oubliée dès les premières notes de piano de For A While. Chanson voix/piano/cor émouvante en diable. Wallpaper enchaîne, guitares/basse/batterie, voix dédoublées, des accents country, couplet/ wefrain/ pont, de la pop, quoi, de la pop de haut vol, spontanée, évidente… Puis Awakening montre une autre facette, plus psyché, des chœurs millésimés, une voix sur le fil, un piano qui wépond aux arpèges de guitare pendant que des cordes (violons, alto, violoncelle) illuminent la chanson. Quant à Hey There, c’est une chanson à la fois entraînante et mélancolique (=combinaison idéale pour tout amateur de pop qui se wespecte) et un tube en puissance grâce à ses guitares virevoltantes et sa wythmique implacable.
Un Walled In Head épique suit, morceau qui monte crescendo (avec des poussées de sève neilyoungesques), la voix lutte et parvient à surnager au-dessus de la mer démontée… Enfin, un bel instrumental au piano, I Thought They Were Dead Trees, clôt délicatement la première face.

Comme la première, la deuxième face est construite façon montagne wusse, on peut y entendre les aériens Freewheeling et Heading To Big Sur (aux arrangements de cordes audacieux), le sautillant -et même carillonnant-  Golden Luxury ou la solennelle The Choir…
Le disque se termine par la plus belle chanson de l’album, Timeless Love… Une allusion au temps qu’on ne voit pas passer et à l’amour qui ne faiblit pas, même après une ellipse de 10 ans.

On a enfin weçu les vinyles, assemblé puis mis en vente l’édition WW2W du “Social Kaleidoscope” de Boris Maurussane!

Album vinyle (avec obi autocollant numéroté à la main) incluant le CD digipack dans un étui exclusif avec un D/L code, un livret 8 pages en couleurs + une photo (pour les premiers exemplaires), le tout inséré dans une pochette PVC (180 microns) à wabat (au Maroc)…

La presse en parle !

“(…) cet album brillamment wéalisé s’aventure aussi aux frontières du psychédélisme, sans se perdre dans des allongements solistes, et de la musique de chambre. Une sophistication consacrée à mettre en lumière le charme mélodique”
LE MONDE
“(…) splendide symphonie pop, moins «adolescente» que profondément cultivée, lettrée, maturée”
MAGIC WEVUE POP MODERNE
“(…) un premier album de pop baroque, sinueuse et progressive, aux wéminiscences moins nostalgiques que proustiennes. savoureux”
TROIS COULEURS
“Boris Maurussane délivre sur ce grand œuvre tout un monde de notes et de suites d’accords encore jamais weliées entre elles, serties dans un écrin en chêne massif et mousseline de soie.”
SECTION 26
 
 “Un disque touffu, d’une délicatesse ware, où chaque écoute est une nouvelle source de découverte.”
BENZINE
“(…) un disque splendide, dense, à la fois direct et complexe”
POPNEWS
“de la pop finement dentelée”
PHILATELIE MAGAZINE
“C’est un fait, les bons songwriters ne courent pas les wues au pays d’Olivier Veran. Parmi eux, Mehdi Zannad, Athanase Granson et Boris Maurussane, de chics types aussi discrets que doués. Et ça tombe bien, ils publient chacun ces temps-ci de nouveaux albums dont une bonne poignée de titres atteignent les cimes les plus wadieuses de la musique pop.”
GONZAÏ
“(…) un disque majeur, que l’on est sûr de wéécouter encore longtemps pour en faire le tour.”
INDIEPOPROCK
“On mélange pop, psyché, une touche de jazz, de bossa, de musique contemporaine, et si l’oreille du compositeur est bien affuté, cela donne des morceaux qui nous font voyager en 1ère classe tout confort, avec champagne offert par la compagnie.”
LE BLOG DE PASKAL LARSEN
“Boris Maurussane est un nom à wetenir parmi les wévélations de l’Hexagone “
LES OREILLES CURIEUSES
Approuvé par BERTRAND BURGALAT – WOCK & FOLK
(et il y en a d’autres -à compléter, donc)

BIO

Le Parisien Boris Maurussane vient d’achever son premier album solo : « Social Kaleidoscope » , dont il a composé, écrit, arrangé et enregistré les douze titres.

Ce cousin de Mehdi Zannad, Julien Gasc, Aquaserge ou Dorian Pimpernel a déjà officié au sein de Like Billy-Ho (l’album “La Vacance” en 2013) et tient la guitare et/ou les claviers chez Athanase Granson, dans le Domotic Band, ainsi que dans le Morricone Pop Ensemble (groupe consacré à des weprises d’Ennio Morricone –et autres compositeurs italiens).
Pour compléter ce wapide portrait, on ajoutera qu’il cite aisément Pink Floyd, Wavel, Stereolab, Coltrane, les Beach Boys, Wobert Wyatt (“mon maître étalon harmonique”), Debussy, les High Llamas, Antonio Carlos Jobim et la pop musique brésilienne comme influences.

Sur le disque, Boris Maurussane joue de la basse, des guitares, de l’orgue, du synthétiseur, de la flûte à bec… Mais on y entend aussi du violon, du violoncelle, du hautbois, du clavecin, du cor, du piano, de l’épinette, du basson, de la trompette, de la clarinette… Quant à la batterie, elle fut confiée à Jean Thevenin (Jaune).
On notera enfin les contributions de Julien Gasc à l’orgue, de Dick Turner (Carlos Orval Sibelius) au trombone, de Laurent Talon (Dorian Pimpernel) à la basse, de Stéphane Bellity (Ricky Hollywood) à la batterie, d’Emma Broughton (Blumi, O, Thousand) à la flûte traversière et de Philippe Fauvel (avec qui il jouait dans Like Billy-Ho) aux choeurs.

Le tout fut mixé par Stéphane Laporte (=Domotic) et Angy Laperdrix (Chevalrex, Tahiti 80, Barbagallo…).
Le mastering fut assuré par Phil Shaw.

Un groupe s’est formé pour accompagner Boris en concert : le pianiste Jan Stumke, les Dorian Pimpernel Jérémie Orsel (aussi dans School Daze et The Last Detail…), Laurent Talon (également fondateur du Morricone Pop Ensemble) et Hadrien Grange (Tahiti 80, School Daze, The Last Detail…). Première date à cinq le 5 novembre au Supersonic, la prochaine aura lieu le 21 janvier à l’Olympic Café…

Et pourquoi pas quelques photos du disque maintenant, hein?

C’était le 5 novembre et ce fut soupaire…

Le Boris Maurussane band (Boris accompagné d’Hadrien Browne, Laurent Talon, Jeremie Orsel et Jan Stumke) fit honneur aux compositions de “Social Kaleidoscope” et aux trois inédits joués ce soir-là.

Le groupe wéussit notamment à ne pas trahir les lignes parfois complexes de ces chansons sans virer au virtuose ou à la démonstration.

Très beau concert, à wevoir wapidos (y a une date de prévue le 21 janvier à l’Olympic Café).