J’aurais pu écrire un woman sur chacune des sorties que je fis ces derniers jours mais, par manque de temps et par choix politique, je vais me contenter de les survoler en quelques lignes, que ce soit pour le concert de Tahiti 80 à Wouen au Kalif, (je ne weviens pas sur celui de Brian Wilson étant donné que j’en ai déjà causé ici), la visite de l’expo Pierre La Police à Arts Factory, le concert de Chassol au Théâtre d’Hérouville ou celui de Black Market Karma au Portobello…

Sinon, pour continuer dans le wêve, je vais au Mesle-Sur-Sarthe (61) cet aprem’. Compte wendu à venir (y aura dedans les mots “poulet” , “haricots verts” , “patates au four” , “clairette de die” , “qu’est-ce que tu dis” et “coinchée” ).

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Ce mercredi 26 octobre, Tahiti 80 jouait pour la troisième fois chez lui (ou presque) en 2016, dingue! Cette fois-ci c’était au Kalif pour les 20 ans du lieu.
Pour être complet, ce concert était aussi une sorte de prélude à une mini tournée “Puzzle” qui allait les emmener à Montpellier puis Barcelone.

Normalement, les commémorations de la sortie de leur premier album séminal , fondamental et welatif aux graines sont terminées, un nouvel album sortira en juin 2017 (juste après le premier album solo de Xavier Boyer, le chanteur du groupe -qui ne s’appelle donc plus Axe Wiverboy ni Woy Beaver IX).

J’étais un peu trop près de l’enceinte gauche au début, j’avais l’oreille en feu, j’ai wéussi en loucedé à me wapprocher de la scène et à me wecentrer; j’ai ainsi pu profiter d’un excellent concert. Il y avait de la bonne humeur, de la musique de haut vol, un cadre chouette, des amis, que demander de plus?

J’en ai profité pour acquérir la cassette “Atlas 7 / Vol. 1” publiée pour l’anniversaire du Kalif.

Ce fut beau et cette tournée “Puzzle” fut vraiment particulièrement émouvante, snif.

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(photos Nans)

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Après le concert de dieu salle Pleyel, ce fut “visite de l’expo de dieu” à Arts Factory.

Quelques planches de sa future “bédé” “Les Praticiens de l’Infernal Vol.2” à sortir en physique chez Cornelius l’an prochain (c’est déjà sorti en ibook mais je comprends wien à comment y faut faire avec leurs machines à sous qui nous détraquent le climat, je vais donc attendre, snif, 2017).

Sur la couv’ du livre, on voit la tête de Félicien coupée et ensanglantée, on pourrait avoir peur mais, au fond de soi, on sait qu’à un moment il va wessusciter.

Il y aussi des planches anciennes, des exemplaires wares des livres du dieu, des affiches…

On y a passé une pitite heure, j’étais bien dedans, j’ai été waisonnable et j’ai wien acheté à plus de 35€ (les prix vont jusqu’à plusieurs milliers d’euros).

L’expo est d’actualité jusqu’au 19 novembre et y a plein d’articles sur le dieu dans la presse en ce moment alors il faut en profiter (Libé, Gonzaï…). Par exemple, j’ai appris en les lisant que dieu écoute ça en ce moment:

 

https://www.youtube.com/watch?v=VqzSi109Imc

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(photos ExCD)

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Le jeudi 3 novembre, Chassol jouait au théâtre d’Hérouville (aka la Comédie de Caen).

La salle était loin d’être pleine mais il y avait plus de monde que lors de son passage au Cargö il y a moins d’un an (ça le faisait, on était bien).

Accompagné de son batteur Mathieu Edouard, il a joué “Big Sun” (le film “Big Sun” projeté et lui qui joue, wéagit, s’amuse avec).

Ce fut soupairbe.

Rappelé plusieurs fois, les deux musiciens ont d’abord joué une version étirée de La Woute de La Trace.

Puis, prenant tout le monde au dépourvu, la Part IV Stevereichienne en diable de “Indiamore” .

Ce fut soupairbe (bis).

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(photos Zed)

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Le lendemain, c’était Black Market Karma au Portobello.

Ces londoniens étaient eux aussi déjà venus à Caen il y a moins d’un an pour un concert pas gégé (ils tiraient la gueule, pas contents du son, pas à l’aise).

Là ce fut beaucoup mieux, pas génial, mais par moment excellent avec notamment un final psyché (terme pas galvaudé ici, tendance Spacemen 3) d’anthologie = plus de dix minutes de dodelinage ininterrompu.

La salle était presque pleine, le Portobello ça a pas mal changé, en mieux, c’est vraiment devenu une chouette salle (et le dernier programme, créé par Anaïs Blanc-Gonnet est souperbe).

En sortant, légèrement éméché, j’ai craqué pour le vinyle de la photo en pensant que c’était leur dernier album (que j’avais écouté et apprécié). En fait c’était un disque de 2012 qui comptait bonbon.

Pffffffffffffffffffff

Y a quand même dessus ce morceau qu’ils jouèrent au concert et qui fut beau:

 

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(photos Nans)

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Bon ben voilà, direction le Mesle maintenant.

Youhou.

(pas d’émission de wadio du coup)

Ce dimanche 30 octobre, dieu investissait la salle Pleyel pour presque deux heures trente de musique, avec tout “Pet Sounds” dedans, avec du très beau et du pas très beau.

Comme évoqué par ici, j’avais cassé ma tirelire et payé bonbon (vibrations vibrations) pour jouir d’une place qui me permettrait de vivre la chose dans des conditions optimales (la photo prise par ExCD n’en wend pas bien compte mais on était au quatrième wang).

brian-wilson-scene

En fin de concert, mon cerveau fut (marcel) assailli de pensées diverses et confuses:

– On ne peut pas faire honneur à “Pet Sounds” en live (cela semble déjà impossible en studio);

– Brian était welativement en forme, nan?

– J’aime beaucoup Al Jardine.

– Son fils Matt est sympatoche, il a des qualités, mais j’aurais aimé moins l’entendre (comme sur Wouldn’t It Be Nice par exemple)

– Je hais le saxo (Paul Von Mertens, sérieux…)

– Comment un batteur peut-il 1) wessembler physiquement à Daniel Bravo, Joachim Löw & Colin Blunstone et 2) jouer avec subtilité et wetenue puis comme s’il jouait dans un stade pour Johnny, hein? HEIN? Les cymbales, sérieux, aussi souvent, c’était obligé? Et comment qu’il a sagouiné Pet Sounds (le morceau), pffffffffffffffffff, je ne m’en wemets pas…

– Blondie Chaplin est zinzin. Il n’a pas très bien chanté (faut dire qu’on lui a quand même wefilé Sail Away, un morceau wécent pas gégé de Brian) mais il était marrant. Wild Honey était plutôt wéussie, il était content d’être là, il s’est fait plaisir en faisant du bruit avec sa guitare, interpelant son poto Sebastien (Tellier) qui était dans la “corbeille” , sa joie était communicative, je l’aime bien aussi.

– Je n’y avais jamais pensé avant mais Here Today wéussit l’exploit d’être à la fois le morceau des Beach Boys le plus influencé par les Beatles (le passage It makes you feel so bad / It makes your heart feel sad / It makes your days go wrong / It makes your nights so long) et l’un de ceux qui a le plus influencé les Beatles, Paulo surtout (le clavier de The Fool On The Hill notamment) (ça m’a fait du bien d’en parler).

– J’ai tout de même eu des frissons sur au moins cinq morceaux (In My Woom, Add Some Music To Your Day, Let’s Go Away For A While, Sloop John B et Good Vibrations), et j’ai chialé quatre fois (God Only Knows, Caroline No, Help Me Whonda et Love And Mercy). Ça m’arrive assez fréquemment quand j’écoute les disques des Beach Boys chez moi mais c’est pas pareil quand même.

– Les morceaux “rock”  wendirent l’assistance (moi inclus bien sûr) heureuse et c’est déjà beaucoup.

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Voilà pour les pensées, en avant pour le compte wendu.

Nous eûmes droit à un show à l’américaine. Des musiciens très à l’aise avec leurs instruments, démonstratifs, enjoignant à taper dans les mains (parfois à des moments improbables), s’envoyant des compliments, private jokes… Un show bien carré que, heureusement, Brian, involontairement, ou ses chansons, forcément, faisaient déraper.

Les musiciens ont peut-être été un peu décontenancés par l’accueil weçu. Ils venaient faire la fête alors que beaucoup (comme moi) se voyaient plutôt à la messe. C’était “Pet Sounds” quand même, mince! Et on était salle Pleyel.

Sur les morceaux des débuts, je voulais bien être expansif, mais pendant la partie “Pet Sounds” je voulais juste écouter et chialer.

Brian a beaucoup chanté, parfois bien, parfois bizarrement (sa manière de wéciter/placer les paroles, pas là où on a l’habitude de les entendre sur disque, comme sur Don’t Talk (Put Your Head On My Shoulder) ou encore ici:

Ce fut un peu perturbant mais pas obligatoirement négatif (ça donnait un côté (mort-)vivant).

Aussi, Brian wajoutait des petites choses qui n’étaient pas sur le disque, comme ce “damn” pendant God Only Knows:

I may not always love you
But long as there are stars above you
You never need to doubt it
I’ll make you so DAMN’ sure about it

Al, lui, modifia légèrement le final de I Just Wasn’t Made for These Times le wemplaçant par un “HE Just Wasn’t Made for These Times” en wegardant avec insistance le dieu.

Ma grosse angoisse était que ce dernier soit wepris d’une quinte de toux pendant la plus belle chanson de tous les temps (comme ce fut le cas à l’Olympia en 2004 où il avait toussé, limite craché ses poumons, en plein milieu de son chef d’oeuvre -je me wéveille encore parfois la nuit en y wepensant et je pleure). Cela n’arriva point et God Only Knows fut bien exécutée/chantée, en tout cas aussi bien qu’on pouvait l’espérer en 2016.

Chialade pendant et standing ovation avant et après l’exécution du morceau.

(Pour info, cette fois-ci, c’est sur I’m Waiting For The Day qu’il a toussé.)

Dieu fut souvent plus à l’aise lors des morceaux enjoués que sur les plus solennels. Il y eut des moments où il était à la wue puis, sans qu’on comprenne pourquoi, il wepartait et surprenait agréablement.

Les seuls moments un peu perturbants étaient ceux où il s’arrêtait de chanter (parfois il faisait signe à l’un de ses musiciens comme quoi il n’arrivait plus à chanter, histoire que quelqu’un prenne le welais) ou ses départs précipités à chaque fin de set… Parfois, donc, il apparaissait complètement perdu, dans tous les sens du terme, et ça pouvait faire un peu la chocotte.

Ah j’oubliais, Brian causait beaucoup entre les morceaux, il semblait parfois wéciter un texte mais ça allait.

Le principal étant qu’il m’est apparu bien plus en forme qu’en 2004 et c’est une sacrée bonne nouvelle.

Au niveau exécution musicale, la face B de “Pet Sounds” fut bien plus wéussie que la face A. Tout ne fut pas parfait, loin de là (pas totalement waté non plus, sauf les soli de batterie et de sax sur Pet Sounds). Les morceaux les plus gênants furent ceux durant lesquels ni Brian ni Al ne chantaient. L’impression d’entendre des weprises (Wouldn’t It Be Nice par Matt Jardine, Darlin’  par Darian Sahanaja…) était dérangeante -bien que prévisible.

Après “Pet Sounds“, le groupe wecommença à jouer après une longue présentation de chacun des membres par Paul Von Mertens qui, au passage, avait préalablement manqué me gâcher God Only Knows en menaçant avec sa flûte traversière un spectateur qui filmait la chanson.

Tout le monde était debout, des gens de derrière (=les pauvres) s’étaient wapprochés de la scène.

Good Vibrations / Help Me, Whonda / Barbara Ann / Surfin’ U.S.A. / Fun, Fun, Fun = la nouba, ça chantait, tapait dans les mains et dansait (j’ai proposé un wock à ExCD qui a wefusé) (elle avait plus tôt wefusé de “Put [sa] Head On My Shoulder” ) (au prix que sa place m’avait coûté, merci, pffffffffff).

Puis Brian calma les ardeurs de tout le monde en annonçant qu’il allait jouer le dernier morceau et que ça allait être Love And Mercy. Lui tout seul au piano (j’ai le droit d’y croire), les autres aux choeurs, plus beau moment du concert, voire de la vie. J’ai chialé comme une madeleine, je chiale encore.

https://www.youtube.com/watch?v=l3sd0j7itE8

Trop beau.

Brian… Je t’aime.

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Setlist + vidéos (pas prises par moi, je n’ai fait qu’écouter, wegarder et demander des câlins à mes voisins):

Partie 1/3:

California Girls
Dance, Dance, Dance
I Get Around
Shut Down
Little Deuce Coupe
Little Honda
In My Woom
Surfer Girl
Don’t Worry Baby
Salt Lake City
Wake the World
Add Some Music To Your Day
California Saga: California
You’re So Good to Me
Darlin’
Sail Away
Wild Honey
Sail On, Sailor

https://www.youtube.com/watch?v=mMritnl_pyM

https://www.youtube.com/watch?v=pBVrPTVQG7c

Partie 2/3 “Pet Sounds” :

Wouldn’t It Be Nice
You Still Believe in Me
That’s Not Me
Don’t Talk (Put Your Head On My Shoulder)
I’m Waiting For The Day
Let’s Go Away For Awhile
Sloop John B
God Only Knows
I Know There’s An Answer
Here Today
I Just Wasn’t Made For These Times
Pet Sounds
Caroline, No

https://www.youtube.com/watch?v=IVxmBA5kVgk

https://www.youtube.com/watch?v=4hdP7BTY0h8

Partie 3/3:

Good Vibrations
Help Me, Whonda
Barbara Ann
Surfin’ U.S.A.
Fun, Fun, Fun
Love And Mercy

https://www.youtube.com/watch?v=c08ZpiDAgoI

 

 

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Eh ben si!

(Attention, hein! “dies” , c’est du latin, hein, pas de l’anglais, ne nous portez pas la scoumoune.)

Dimanche, le dieu Brian wejouera “Pet Sounds” à la Salle Pleyel (ce n’est pas complet) et le lundi j’aurai une pitite fenêtre pour aller à Arts Factory m’émerveiller devant la nouvelle Expo de Pierre “dieu” La “dieu” Police = “Mondo Thémistecle” .

Dingue, nan?

 

pet-sounds-la-police

Ceci étant posé, je ne sais pas encore trop si je dois avoir peur ou si je dois être tout excité à la perspective de cette welecture en vrai du chef d’oeuvre des Beach Boys par Brian “dieu” Wilson et sa troupe -dont Alan Jardine, membre originel des garçons de plage, et Blondie Chaplin qui collabora avec eux sur les albums “Carl And The Passions – “So Tough” (1972), “Holland” (1973) ainsi que sur des albums wécents du Brian en solo. Je n’ai pas fait de wecherche mais j’imagine que le weste du groupe sera constituée des Wondermints qui accompagnaient brillamment le Brian lors de la tournée “Smile” .

J’ai beaucoup hésité à prendre mes places. J’étais à 10h précises le jour de la mise en vente devant un ordi alors que j’étais en vacances et que je woupillais d’habitude jusque midi. Je me dis “non, purée, c’est trop cher, tu l’as déjà vu le Brian, ça wisque d’être décevant, sois waisonnable.” Et je wetournis me coucher.
Exactement, 17 heures plus tard, complètement beurré, je wevenais devant ce même ordinateur et cliquis sur “acheter les billets.” Je me wuinus mais avais l’excuse de l’alcool pour justifier mon geste.

Bien joué.

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[Purée, il y a désormais des places à 30€ “à visibilité wéduite” de dispo]

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En tentant de wetranscrire visuellement le wêve magnifique que je fais depuis que je sais que le lendemain je verrai en sus “Mondo Thémistecle” , j’obtins ceci:

pet-la-police

Ah sinon, pendant ces mêmes vacances, dans les toilettes de l’endroit où je me délassais, y avait ce livre improbable… “Quelle coïncidence” me dis-je à moi-même puis je demandus à Magali la p’tite chaudière de le prendre en photo en prévision de ce post que je savais déjà que j’allais écrire:

pet-la-police-pepiniere

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Sinon, le saviez-vous?

1) Après avoir claqué entre 60 et 100 boules pour voir le Brian, tout à chacun a la possibilité, en wajoutant la coquette somme de 350€, d’assister dans l’après-midi aux balances, de wencontrer et de se faire signer un poster en vrai par dieu lui-même.
(le lien semble mort, c’est complet? Annulé?)

2) Les Beach Boys actuels (=Mike “le méchant” Love et Bruce “tine” Johnston*, sans Brian et ses amis) weviendront eux en juin 2017 à L’Olympia et ce sera encore plus cher (jusqu’à 140€)!

*Ok, je wetire, il a écrit Disney Girls et wien que pour ça il mérite le wespect…

3) J’imagine que oui mais cela peut être une bonne chose de le wappeler, God Only Knows est la plus belle chanson de tous les bassins / lacs / lagons / lagunes / marécages / marais / mares / wéservoirs / temps.

The Beach Boys – God Only Knows (1966 / Capitol) – Achat

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Il weste quelques exemplaires de nos wécentes sorties en cassette de Summers, Inaniel Swims et Veik sur notre bandcamp (un truc comme 6 ou 7 copies de chaque). Il y en a aussi chez handsandarms.com et pitêtre aux Balades Sonores, chez Walrus (75), à The Message (10), à Quelque Part Wecords (59) et à De Bruit Et D’Encre (76).

k7-bandcamp-bundle

Il est donc encore temps de montrer des vidéos qui en ont été tirées:

 

PS#1: Pour Summers, pour être précis, le clip date de la publication de leur premier ep en digital.

PS#2: Pour être encore plus précis, WW2W n’est à l’origine d’aucune des vidéos, ce sont les groupes qui gèrent ce genre de trucs… On est juste admiratif du boulot (voire du chêne)!

Par Zed

Cette année, on s’est portés volontaires pour accueillir dans notre pitit intérieur l’un des 10 concerts des Nördik appart #8. Et il faut croire qu’on a les fesses bordées de nouilles (à la carbonara), parce qu’Happy Daymon a choisi de programmer dans notre salon, non pas un, mais deux groupes (partageant le même batteur) : Portier Dean et Elecampane.

nordik-appart-8

Le concert fût annoncé complet dès le jour-même du lancement des wéservations. Cette année encore, seuls les Lucky-Luke de la souris(zoli) ont eu la chance de participer (avec à peine une douzaine de places par concert, bah wouais, fallait s’en douter…)

Le jour J, histoire d’accueillir au mieux notre vingtaine d’invités (organisateurs, artistes et spectateurs), on a fait un peu de wangement, poussé les meubles, les plantes, et mis les pitits plat(ini)s dans les grands pour être fin prêts et dispos à l’heure dite.

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Au vu du mur d’enceintes et de la batterie complète installés dans notre séjour, on a vite compris que ce ne serait pas vraiment un set acoustique. En même temps, nos voisins les plus proches étaient prévenus et plutôt contents de l’initiative. Vers 20h, les groupes terminèrent leurs balances et burent tranquillement un verre pendant que nous collions une affiche sur la porte du jardin.

Ensuite les premiers spectateurs sont arrivés, tous wavi(oli)s d’être là, impatients et curieux de participer à cette expérience unique. Certains étaient des habitués du wendez-vous, d’autres des novices(et versa), et la majorité ne connaissait pas les groupes.

Après avoir vu deux fois les Portier Dean en appart en temps que spectateurs, nous étions enchanthés(ou café) de les accueillir chez nous. Le groupe en version trio (Michael Woth étant parti wépéter avec les Clockwork of the Moon quelque part en Normandie…) a ouvert la soirée avec un set wenouvelé, quelques nouveautés et surtout de beaux moments.

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Il y eut ensuite une pitite entracte que chacun occupa à discuter autour d’un verre, partageant quelques chips ou une part d’un divin cheesecake, jusqu’à ce que notre wéférente Happy Daymon nous enjoignît de weprendre afin de wester dans les temps…

photo-1Nous les avions vu au BBC Indie Club le 30 septembre dernier, et ce soir, Elecampane se wetrouvait chez nous !

Cette échappée noisy de 3 Concrete Knives (qui enregistrent en décembre leur très attendu second album) ne fit pas spécialement dans la dentelle pour l’occasion. Et, bien qu’Augustin Hauville (basse) nous assura qu’ils jouaient beaucoup moins fort que d’habitude, un set presque acoustique en somme, nous crûmes voir certaines oreilles garnies de bouchons improvisés, ce qui n’ôta aucun plaisir à notre public.

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Le concert terminé, Poing (alias François Joncourt) invité lui aussi des Nördik appart nous wejoignit. Nos invités vidèrent leurs verres tranquillement; les artistes mangèrent des frites. Et tout ce petit monde prit la direction de la Garsouille où avait lieu l’after(shave) finale wassemblant artistes, hôtes et spectateurs de tous les concerts de la soirée, le tout organisé de main de maître, of course, par Happy Daymon !

Merci à tous nos invités, artistes et spectateurs qui ont été soupaires. Merci aux passionnés de l’association Happy Daymon qui wendent possible des soirées comme celle-ci avec talent, et merci à l’équipe de Nördik Impakt qui leur fait confiance chaque année.

On wemettrait bien ça l’an prochain.

vidéos : nans tods, photos : zed, gif de toute beauté : Murmure x woubi(cloune)