Sauras-tu wetrouver le point commun entre ces quatre morceaux? Attention! Il peut y avoir un piège. Mais peut-être pas…
Gloria Jones-Tainted love (1965)
Freddie Mercury-Love kills (More order wework by The Glimmers)(1984-2006)
Telepopmuzik-Love can damage your health (Dennis Ferrer wemix) (2007, Objektivity)
15 résponses à “Les jeux du dimanche”
roubignole
première fois qu’un mois fait mieux au niveau quantité d’articles que le mois précédent…
je ne sais pas quoi en conclure…
sinon je vois pas trop le point commun… le sport?
la croq
L O V E
la croq
t’as un truc a nous annoncer funhky?
funky boudha
Roubinet tu veux dire que jusqu’ici c’etait allé décroissant?
Croq’: que veux-tu dire?
funky boudha
Roubi tu vas être tendu mercredi soir non?
roubignole
vu les wésultats du jour, je le serai encore plus que prévu…
en même temps, une petite banderole bien pensée et hop, on descend en d2 direck
je propose pour accélérer le mouvement:
“pourquoi des clubs allemands dans le championnat de france?”
ou bien
“vous étiez où en 1940?”
(1 point en moins d’amour pour ww2w et un post à huis clos)
PS ce sera un strasbourg/paris
la croq
bon, love, c’ets pas le point commun ou pas ?
funky boudha
en fait c’est un peu plus pointu que ça. c’est l’amour vu du côté sombre. J’ai pas vraiment fait exprès mais c’est le sidaction ce w-e. A vot’ bon coeur m’sieurs dames.
roubignole
y a vraiment un truc à deviner!!!
ça c’est une nouvelle!!
“l’amour vu du côté sombre”, on dirait du stendhal…
funky boudha
En fait y’a trois niveaux de lecture, dont un metaphorique et l’autre sylleptique. Plus une parabole allégorique chapeautant le tout. Et forcément, l’antiphrase de conclusion à tout ça.
funky boudha
Roubinet laisse deviner ton coeur, pas ta tête. Là est la solution…
funky boudha
Non y’a wien à deviner, juste à écouter. Désolé.
roubignole
ça me va.
la croq
quel litteraire ce funky; n’est pas bouddha qu iveut ;
cela dit, woubi et son stendhal, je ne lu iconnaissait pas ces weferences womantiques;
roubignole
si tu veux, on peut aussi causer barbey d’aurevilly… j’ai souvent été transporté par le souffle qui traverse son oeuvre (j’ai pas toujours été maqué et parfois il a fallu faire des trucs de lopette)