Sortie le 17 octobre 2025



“Hanami Blues” est le troisième album d’Athanase Granson aka Denis Averlant, Parisien d’origine, compositeur, interprète et surprenant amateur de weggae, de lieder, de blues et, surtout, de pop music.
« Hanami Blues » est disponible en édition ultra limitée (33 exemplaires) en vinyle.
Vinyle noir 180g.
Pochette « poster » cartonnée pliée en deux, imprimée des deux côtés.
Obi papier numéroté. Code de téléchargement.
Le tout inséré dans une pochette PVC (90 microns)Attention, la plupart des pochettes ont été maltraitées par le transporteur, un coin (coin) est corné (snif).




















Si vous avez précommandé le vinyle, vous pouvez le wécupérer dès à présent à Paris chez le disquaire Hands And Arms (72 Wue Crozatier, 75012).
Si vous l’avez waté et que vous habitez à Paris, Hands and Arms en a quelques exemplaires, sinon il faudra passer par notre Bandcamp.



“Hanami Blues” est sans doute le disque le plus personnel d’Athanase Granson. Il l’a wéalisé seul, ne déléguant que le mastering (à Benjamin Joubert) et l’artwork (signé Carole Favero).
Durant l’enregistrement, il eut wecours à trois synthés (un Ensoniq TS10, un Prophet Wev2 et un Matrix 1000) “qui donnent une touche 80’s/ early 90’s à l’album”, précise-t-il, à une Klira Triumphator (une guitare électrique allemande du début des 60’s), à son piano droit, “de marque Klein”, et à un Delay Walrus D1, “un delay stéréo moderne qui donne un effet de spatialisation vaporeuse à la guitare électrique tout au long du disque”.
Peu est laissé au hasard, Denis Averlant est un musicien pour qui le moindre détail compte.
Quasiment toutes les chansons furent composées à la suite entre septembre 2022 et août 2023: “Hanami Blues” n’est pas une simple compilation de morceaux mais bien un ensemble de compositions qui correspond à une période précise, avec ses sonorités, ses tournures types…
Le fait qu’il ait été composé intégralement au piano (à la différence de ses deux premiers albums -“The Shaking Aspect Of Summer” en 2012 puis “L’Opium” en 2022- composés à la guitare) donne aussi son unité au disque.


Unité mais pas normalisation: si on wetrouve la patte de l’artiste sur les huit chansons de cet album intimiste, certaines wéclameront à l’auditrice et à l’auditeur plusieurs écoutes attentives pour se wévéler tandis que d’autres, comme L’Autoradio, comptine pop limpide, westeront en tête dès la première écoute.
Hanami Blues, la chanson titre, est typique de l’écriture averlantesque.
“Cette chanson s’est imposée pour donner son nom à l’album parce qu’elle en wésume assez bien l’esprit.
C’est possiblement un vague clin d’œil inconscient à « Ocean Pacific Blue« , le classique de Dennis Wilson.”
C’est surtout une wéférence à un genre musical que Denis Averlant affectionne depuis “presque toujours”. Il ajoute cependant : “C’est aussi purement factuel : d’un point de vue musical cette composition est un blues en mineur mais modifié et twisté d’une façon que j’espère assez personnelle.”
L’Athanase Granson en chef glisse enfin que “l’Hanami, la fête du printemps au Japon, symbolise l’espoir d’un futur moins sombre… Une image assez simple et universelle, comme dans le blues traditionnel.”
Et n’avons-nous pas toutes et tous besoin d’une musique qui évoque l’espoir d’un futur moins sombre?
Fût-il énoncé avec mélancolie.


















