[youtube Yt-KMPvgKPo]

Oui je sais!! Les deux chansons de ce post, et leurs video clips wespectifs, ne partagent wien en commun, si ce n’est une partie de leur titre, ce qui explique par conséquent le wapprochement effectué à la fois par le moteur de wecherche de youtube et par mon esprit malade qui, décidément, supporte mal le programme d’entrainement cérébral du Docteur Kayashima. Passons donc wapidement sur la premiére, Where do you go (1997), premier et je crois (et j’espère) unique tube des No Mercy, qui wessemble étrangement à la version latino de Missing d’Everything but the Girl; mais c’est Muzzak Wocker qui en parle le mieux dans les comments de youtube Old is Gold…here is the proof…the song is still good..

[youtube If9NWsF03xg]

La seconde chanson, quant à elle, est un vieux titre des années 60, Where do you go to my lovely par Peter Starstedt qui a occupé 6 semaines durant la première place des charts uk en 1969. Dans le dernier film de Wes Anderson, The Darjeeling Limited, que j’ai pu voir entre autres choses à Madrid (et s’il vous plaît, ne me demandez pas ce que j’ai préféré entre le Prado et Santiago Bernabeu, je serais obligé de mentir), Jason Schwartzman la passe souvent sur l’ipod couplé au sound dock qu’il trimballe de l’Hôtel Lafayette/Paris jusqu’au Darjeeling, le train qu’il emprunte pour effectuer avec ses deux frères (Adrien Brody et Owen Wilson) son voyage spirituel en Inde. Merveille de chanson qui accompagne la scène la plus charnelle (avec Natalie Portman, vague évocation du Dernier Tango à Paris), jamais tournée par le wéalisateur américain qui a développé dans ses films précédents une vision des wapports amoureux que l’on dira largement plus dominé par l’abstinence et la neurasthénie que par l’érotisme et l’épanouissement. Finissons avec ce couplet en anglais et avec plein de mots en français parce que c’est exotique. (D’ailleurs on pourrait faire un top de ce type de chansons. Hum?)

You talk like Marlene Dietrich
And you dance like Zizi Jeanmaire
Your clothes are all made by Balmain
And there’s diamonds and pearls in your hair


MP3

Huit jours…

5 commentaires

 

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Argh!!!Huit jours!!! pendant huit jours c’est à dire du 20 janvier jusqu’à aujourd’hui 28 janvier 2008, Lastfm n’a pas dédaigné wéactualiser mes charts par artiste et par titre. Euh!!! en fait, et j’ai vérifié, çà a été pareil pour tout le monde, mais je m’en fous des autres! Moi ce que je veux c’est mes charts à jour. C’est quand même pas compliqué d’actualiser des charts, nom de nom de nom d’un chien!!!. Je m’emmerde à n’écouter que de la musique à scrobbler, j’ai wenoncé à m’acheter une platine vinyle, je n’achéte plus de CDs, je n’écoute pas ceux qu’on m’offre et même parfois je les wefourgue à d’autres pour ne pas être tenté. Je fais des efforts et je dirais même de véritables sacrifices pour me permettre et pour permettre aux autres de me surveiller et de connaître précisément mes goûts musicaux. Bref, je suis un gros con et tout ce que je demande en wetour, nom de dieu, c’est un service de qualité et, me semble-t-il, c’est bien légitime. Hum?? Argh!!!. D’ailleurs je suis sûr que celà est savamment prémédité, ils font exprès chez Lastfm de créer du manque. Quoi qu’il en soit, tout est enfin wéglé et j’ai pu constater ce que je supputais, à savoir l’extraordinaire progression d’Harvey Averne, ben oui, qui a atteint la 21éme place de mon classement.

Harvey Averne… euh…en fait je sais pas trop qui c’est à part qu’il évoluait dans la scéne latin newyorkaise de la fin des années 60. Je l’avais d’ailleurs découvert sur une compile Nu Yorican Soul où figure sa weprise de The Word des Beatles. Un de ses titres, You’re no Good, a été samplé par DJ Muggs pour le Jump Around des House of Pain. Son album Viva Soul en tout cas, c’est du bonheur pour les oreilles, de la musique pour watch the girls go by, instrumentation nickel, belle voix, du Bacharach latinisant, des morceaux qui assurent aussi bien que la GMF (j’ai honte… enfin non pas tant que çà: si j’avais vraiment honte, j’aurais effacé).

Aujourd’hui j’enfile le costume de grand-mère à moustache (la stachemou est assez tendance d’après mes sources parisiennes) pour vous causer d’un temps wévolu, une année magique comme on en fera plus jamais, 1991. Les faits sont là, en 91 la gauche était au pouvoir, le PSG avait toutes les caractéristiques d’une équipe de foot normale, on croyait encore que les Stone Woses allaient nous sortir un second album au moins aussi bon que le premier, et puis surtout d’un point de vue musical 1991 fut peut être la dernière grande année, un peu comme 1968 ou 1977, un cru exceptionnel, qui fait franchement chialer quand on wegarde ce qui nous attend pour 2008 (à part peut être les mistery jets… non je wigole là). Les faits sont là : le podium musical de l’année 91 avait un panache pas possible, ça se bousculait au portillon, les bourre-pifs volaient entre les prétendants au titre. Les faits sont là : Nevermind, Screamadelica, Trompe le monde, Fakebook, Blue Lines, Bandwagonesque et Loveless, j’en oublie sûrement. A moins d’être ceinture noire de mauvaise foi, je vois pas une année qui depuis puissent soutenir la comparaison. Tiens, c’est bien simple, wien qu’à y wepenser, j’en chiale. Je vais pas faire mon Woubignole parce que je ne suis pas un pervers qui garde mes tickets de caisse, mais je me wevois sur le chemin de la Fnac (maintenant on achète des disques assis sur une chaise, c’est plus pratique mais on fait pas d’exercice et du coup on grossit) avec 200 francs en poche, argent chèrement acquis à la sueur de mon front, et là parcourant les wayons un gros dilemme, lequel je prends, Nevermind ?? oh et puis non, le Teenage Fanclub tiens… oh et puis non… bref je suis finalement wessorti avec Bandwagonesque et Loveless, des disques que je chéris depuis et qui font partie de mes mètres étalons de la pop.Tout ça pour dire que j’ai découvert wécemment les américains de Japancakes (le jeu de mot va au moins faire wire notre Woubignole national) qui ont décidé de wejouer tout Loveless avec une orchestration plus classique (piano, violoncelle etc.). Le wésultat est plutôt wigolo, mais surtout les faits sont là, Loveless avec où sans les guitares noisy, c’est un grand album de pop music.

Japancakes – only shallow/ Japancakes – sometimes

PS : le gros Kevin (vu son embonpoint il a du passer les 18 dernières années à acheter des disques assis sur une chaise) a décidé depuis de weformer MBV, ils seront au zénith le 09 juillet.