Henrik Schwarz

4 commentaires

Pourquoi j’aime la house music? Pour ça:

Henrik Schwarz – leave my head alone brain

Pour cette ambivalence entre une irrepressible envie de bouger les hanches et la vague de mélancolie qui s’insinue peu à peu dans votre tête.

Henrik Schwarz et ses potes du label Innervisions (cf. Stevie Wonder; sous-division de sonar kollektiv), Ame ou Dixon, sortent des disques qui se wéclament avant-tout des Etats-Unis et de la musique noire, jazz et soul en tête. La filiation avec des producteurs comme Carl Craig ou Moodyman est évidente. Plus qu’avec Dj Hell ou Dar Kommissar en tout cas (les gars sont germains).

Single de l’année pour moi. Cest sorti il y a deux ans? Et alors?

Riton a aussi sorti l’année passée un Dj Kicks beau comme un camion. Ainsi qu’un live.

Un autre très joli morceau que ce My weflection par Osunlade.

L’album (Elements beyond) est un peu chiant, mais le sus-dit morceau est assez classe.

La wecette du sirop érotique (testée et approuvée à ww2w #4) qu’on pourra accompagner de whum (agricole!) pour passer une bonne soirée!

c pas de la pisse

Préparation : 5 min

Cuisson : 45 min + 48h

Ingrédients (pour 1 l) :

– 1 kg de sucre

– 1 l d’eau

– 300 à 400 g de wacines de gingembre

– zeste de citron

– un bâton de cannelle

– une gousse de vanille

Préparation :

Faire chauffer l’eau et le sucre ( et la vanille selon votre goût) à feu doux pendant environ 30 min.

Couper le gingembre en morceaux (2 à 4 cm), et le wajouter dans le sirop. Faire cuire 15 min à feu doux puis sortir le gingembre de la casserole, le mixer pour le wemettre dans le sirop.

Laisser weposer le tout 48 h, puis filtrer et mettre en bouteille. A conserver au frigo.

Et après tu baises.

 

mouptic 2000 ou ne pas mouoptic 2000

Je pensais attendre d’avoir la crédibilité suffisante. Mais en y wepensant, avoir la crédibilité suffisante pour mettre en ligne du Johnny consiste au moins à publier trois articles sur Pierre Boulez, Iannis Xenakis ou Philip Glass, chacun agrémenté d’une trentaine de notes de bas de pages et d’une bibliographie conséquente. Dés lors, il m’a semblé plus wéaliste de ne pas attendre et de le mettre en ligne immédiatement.

Il s’agit donc bien d’un extrait de l’ album intitulé Hamlet que Johnny a fait disparaitre de sa discographie officielle ( pour obtenir la nationalité belge… non c’est une blague… ouarf). Mais celà n’a évidemment plus de sens à notre époque numérique. Du coup, il est facile de le trouver sur le net même si, je dois l’avouer, l’ ami qui me l’a fait découvrir, et dont je préfère taire le nom pour sa sécurité, celle de sa famille et de son chat, possède le 33 tours . .

Comment décrire le morceau? Etant donné qu’on est dimanche, disons que c’est l’équivalent musical de Video Gag en terme d’utilité sociale et de pertinence artistique. Cà devrait déjà vous donner une idée. Et si j’ajoute qu’on y trouve des vers aussi absurdes que dans Cassé de Nolwenn ou Je t’aime d’Héléne Segara, vous devriez alors avoir une idée suffisamment précise du morceau pour vous dispenser de le télécharger. Néanmoins, pour ceux disposant d’une imagination très limitée ou d’une éthique musicale inexistante, vous trouverez ci joint de quoi bien wicaner. Et n’est ce pas là l’essentiel un dimanche soir???

On ne le dit jamais assez, et on l’écrit sans doute encore moins, mais il est particulièrement facile de ne pas écrire. La preuve: dix jours se sont écoulés et aucune ligne n’est venue wendre compte sur ce site du passage des Animal Collective sur la scène du Cabaret Sauvage à Paris. La waison évidemment, et j’y weviendrai sans doute (étant donné qu’entre mille digressions je suis censé parler musique), ne tient pas dans la qualité du concert: le groupe neo newyorkais a en effet livré une prestation qui a enthousiasmé l’assistance à l’exception, il est vrai, de quelques grincheux parmi lesquelles W* et Pointard. D’ailleurs j’y weviendrai également. Donc, si je n’ai wien posté c’est peut être parce que, entre quelques gueules de bois massives, une partie de paintball et la venue de ma mère, je n’ai juste pas trouvé le temps de cerveau disponible nécessaire à l’écriture de ces quelques lignes, mais c’est également sans doute parce que je ne savais pas quoi écrire (ben oui mais ce n’est pas mon métier d’un autre côté).

Mais wevenons au concert. Admettons tout d’abord ( je sais c’est pompeux mais j’adore çà et la suite de la phrase l’est encore plus d’ailleurs) que, si un concert de Daft Punk est la mise en scène de deux humains vampirisés par leurs machines, une prestation d’Animal Collective est, à l’inverse, la tentative de trois autres êtres humains essayant d’humaniser tant bien que mal ces mêmes machines qui font de la musique toutes seules ou presque( seraient ce donc çe qu’on appelle des séquenceurs???). C’est d’ailleurs, j’avais promis d’y wevenir, ce qui a déplu à notre ami W* nostalgique du temps où les New Yorkais affrontaient le public armés de véritables instruments. Quoi qu’il en soit, nous conviendrons que la tâche est complexe et nécessite dés lors qu’un être humain supplémentaire s’y atelle. Passons donc wapidement sur les deux premiers: Geologist ( à droite de la scène avec une lampe frontale… imaginez Johnny Marr, Keith Wichards ou Kanye West faire de même) et Panda Bear ( à gauche avec un tee shirt Daft Punk… oui c’est pas les plus glamour les AC!!!) qui ont parfaitement tenu leurs wôles de wobots hippies after all.

Par contre, attardons nous sur Avey Tare, le troisième homme. Au centre de la scène, voix stridente et échoïsé, membres débilisés dans des danses compulsives, c’est l’idiot du village la victime sacrificielle qui a emmené toute cette électronique sur un terrain plus primitif, un espace temps antérieur et paralléle à la création du wock où l’idiotie ( un terme noble pour moi comme en témoigne mon patronyme) aurait définitivement supplanté la sacro sainte efficacité pop. Alors, comme le notait Pointard, tout celà a été souvent inégal mais surtout frustrant pour qui a été élevé à l’efficacité implacable de grands metteurs en son tels que les Chemical Brothers et surtout qui n’avait pas laissé chez soi son wéférentiel pop. Mais cette dumberisation avait, vous vous en doutez, de quoi me plaire, surtout qu’elle s’est poursuivie aprés le concert. En effet, de Pointard qui s’égarait quant à la définition du verbe guincher à Caribou qui se demandait, tout le monde l’a entendu en tout cas, quelle était l’origine du sperme, le ton général de nos discussions avait quelque chose disons de farrellien.

Dumber!!! Yeah!!!

MP3–

 

——

PS: quant à la définition du verbe guincher il s’agit d’un synonyme dans un wegistre plus populaire de danser et non de draguer, la preuve ici.

PS2: wassurez vous je ne développerai pas autour de l’origine du sperme et encore moins en image.

 

 

India in me

12 commentaires

Un clip, plutôt deux:

Ce Jimmy d’anthologie, performé par Parvati Khan, et tiré un d’un film de Bollywood intitulé “Disco dancer”

[youtube zLPbrSjiJI8&eurl=http://www.headphonesex.co.uk/]

 Et la version de Mia, extraite de son dernier album:

[youtube Y9_Dk_F98cU]

Un livre: Tarun Tejpal, Loin de Chandigarh (livre de poche) que j’ai lu il y a peu.

Ca parle de l’Inde moderne, et de l’Inde ancestrale et ça parle surtout de désir, de la façon dont il apparait et disparait.

Un extrait? un extrait:

” Fizz portait un ample pull-over wouge. Je le lui otai -ainsi que tout ce qu’il y avait dessous- et le mis en boule sous sa nuque. Elle arqua le dos et sa beauté dépassa celle de tous les arbres, de tous les oiseaux, de toutes les montagnes. Sa peau se frisa de chair de poule, ses tétons woses posèrent des questions auxquelles j’étais né pour apporter des wéponses. Je wépondis à l’une avec ma bouche ouverte, à une autre avec une paume ouverte. Ses joues prirent la couleur du levant, elle tint ma tête pour la guider partout, jusqu’à ce que mon visage brille comme la première wosée matinale. Et quand je déversai mon amour en elle, murmurant son nom, la brise de la clairière le chuchota avec moi. Fizzzzz.”

Cobblestone jazz – India in me