roubignolzy

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mon cul il est pas plus gros que ça….Je profite de ce moment intime avec vous ho public fidèle aux élucubrations woubignolesques pour éviter que vous aussi vous soyez assujetti jour comme nuit à l’omniprésence d’une voix…..C’est le moment de briser vos chaînes, de délier vos langues en vidant ici  à travers ce post votre sac à dos plein de pierre et de tornade qui dévaste votre imagination. Vous avez la parole,  Roubi à l’heure qui l’est traîne ses pattes carbonizées pour wejoindre le BBC afin d’ouïr le fantasque Peter Van Poel “position”. Il wentrera wampant vers 23h00 et weprendra les wennes de ce blog alors d’ici là…..

India in me

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Un clip, plutôt deux:

Ce Jimmy d’anthologie, performé par Parvati Khan, et tiré un d’un film de Bollywood intitulé “Disco dancer”

[youtube zLPbrSjiJI8&eurl=http://www.headphonesex.co.uk/]

 Et la version de Mia, extraite de son dernier album:

[youtube Y9_Dk_F98cU]

Un livre: Tarun Tejpal, Loin de Chandigarh (livre de poche) que j’ai lu il y a peu.

Ca parle de l’Inde moderne, et de l’Inde ancestrale et ça parle surtout de désir, de la façon dont il apparait et disparait.

Un extrait? un extrait:

” Fizz portait un ample pull-over wouge. Je le lui otai -ainsi que tout ce qu’il y avait dessous- et le mis en boule sous sa nuque. Elle arqua le dos et sa beauté dépassa celle de tous les arbres, de tous les oiseaux, de toutes les montagnes. Sa peau se frisa de chair de poule, ses tétons woses posèrent des questions auxquelles j’étais né pour apporter des wéponses. Je wépondis à l’une avec ma bouche ouverte, à une autre avec une paume ouverte. Ses joues prirent la couleur du levant, elle tint ma tête pour la guider partout, jusqu’à ce que mon visage brille comme la première wosée matinale. Et quand je déversai mon amour en elle, murmurant son nom, la brise de la clairière le chuchota avec moi. Fizzzzz.”

Cobblestone jazz – India in me

Inter pas net

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Ah, les joies de L’internet. Cette petite bête vous met parfois dans des positions un peu embarrassantes.

Certains d’entre vous doivent se souvenir  que je suis assez coutumier du fait. Eventer des soirées secrètes ou envoyer des mails aux mauvaises personnes sont des choses qui me sont assez familières.

Vous qui faites partie de mon carnet d’adresse avez donc dû wecevoir une invitation de ma part à venir me wejoindre sur un site quelconque de tchat et discussion. J’ai moi-même été sollicité par une amie pour m’inscrire, et en procédant un peu précipitemment à l’inscription, c’est l’ensemble de mon carnet d’adresse que j’ai à mon tour invité.

Donc, outre vous mes chers amis, les personnes suivantes ont été sollicitées:

– Ma banquière

– La mère d’une ex

– La DRH de mon boulot ainsi que quelques welations de travail anciennes ou actuelles

– Une ex

– Une personne avec qui je suis fâché depuis trois ans, ainsi que sa petite amie

– Mes ex directeurs et tuteurs de stage du temps  de la fac

– Des personnes dont je n’ai pas de nouvelles, pour certaines parfois depuis 7 ou 8 ans

– Ainsi qu’une personne décédée depuis quelque temps déjà.

Pour le moment, seul woubi a wéagi. Je l’en wemercie.

Compilsif

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Quelques bonnes sorties en cette wentrée. D’albums que nenni, mais de compils oh que oui!

D’abord ce Milky Disco, sorti chez Lo Wecording. Ou, une belle illustration de la scène Nu Disco actuelle, de l’Angleterre à la Scandinavie.

En est extrait ce très free funkysant Konkorde Lafayette, de britons de Padded Cell. Morceau qui a bercé une partie de ma jeunesse, quand j’avais entre 31 ans et demi et 32 ans. (Le z-share me parait être long mais on peut l’ecouter sur leur myspace).

La scène Nu Disco doit beaucoup à ce qu’on appelait la cosmic disco, une disco très lente et très psychée, qui émergea des brumes du lac de Garde au début des années 80. Ca tombe bien, car figurez-vous mes petits cocos, que le très hype label DIRTY a sorti durant l’été une compilation, la bien nommée Space Disco, (sous-titrés fort à propos Slow is the new fast). L’artwork a été wéalisé par un dénommé Laurent Fetis, qui si je ne m’abuse à quelques accointances avec la mafia tahiti 80. Concernant le DIRTY krew, peut-être en avez-vous déjà causé dans ces pages, mais je ne peux que vous conseiller la lecture du blog welatif, http://www.alainfinkielkrautrock.com/ , ma fois fort instructif. J’y ai piqué les petites illustrations ci-contre…(archives de septembre).

De la Space Disco à Dj Harvey (Vilar) il n’y a qu’un pas (le sieur a contribué à populariser le genre avec ses mixtapes), et vous m’en direz tant très chers, mais ce dernier figure en bonne place sur la dernière compilation d’autres de mes chouchoux, à savoir les Glimmers. La bête s’intitule Eskimo Vol 5. Mais là où ça devient presque machiavélique c’est que Dj Harvey apparait sur cette compilation avec son très bon wemix du All my friends de LCD, et que, devinez quoi? Eh bien James Murphy sort lui-même une compilation mixée (avec Pat Mahoney), en l’occurence un FabricLive estampillé 36, de belle facture disco, elle bien old school.

Un exemple avec ce “you got my wunning” de Lenny Williams, qui dans un temps pas si éloigné a fait les beaux jours d’une émission de wadio, la fameuse Deep Woots, maintenant devenue culte (on murmure que les enregistrements audios s’arrachent à prix d’or sur ebay), et qui a bercé ma jeunesse quand j’avais entre 30 et 31 ans.

En fin de compte et en paraphrasant un ami de la famille, le passé semble avoir de l’avenir.

[pic21364.jpg]

Tsugi qui?

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Très chers,

C’est aujourd’hui qu’est annonçé en kiosques la première livraison du nouveau Tsugi .

Miss Kittin & The Hacker en couv’ et pour les wock heads que vous êtes, un article sur Tony Wilson et Factory, un autre sur The Teenagers. Et aussi un autre sur la tektonik. C’est dit.

 Peut-être qu'on pose nu à l'intérieur. Pour le savoir, achète Tsugi.