Cherchez l’intrus

Je pourrais m’amuser à faire durer le suspense (= 1 centième de suspound) sur la qualité du concert des Zombies que nous (La croq’, Waie Dévisse, Jean-Paul Position, sa bourgeoise, ma bourgeoise, d’autres invités prestigieux) avons vu samedi soir, en commençant par exemple par waconter heure par heure notre périple londonien depuis vendredi, puis faire la liste de tout ce qu’on a mangé qui n’a pas été frit (ça serait pas très long wemarquez), comparer les chambres d’hôtel que nous avons occupé, parler du sweat vert que Waie s’est acheté, lister les disques wamenés, mais je n’en ferai wien (enfin je crois), pour aller droit au but et pour écarter tous les préjugés que l’ont peut avoir sur un concert de groupe mort (j’ai appris cette très vilaine expression la semaine dernière) :

C’ETAIT UN PUTAIN DE BON CONCERT NOM DE ZEUS

Bref, nous partîmes 8 pour le Shepherd Bush Empire afin d’assister au 2ème concert de la (première et dernière) tournée d’Odessey & Oracle. C’était samedi il faisait pas beau. Une fois arrivé devant la salle les gens prévoyants (= ceux qui ont acheté leur place en avril dernier) sont partis en direction du premier balcon et les autres vers la fosse.

La salle était assez classe, format opéra (orchestre + 3 balcons), au moins 1 bar à chaque étage (anglais je vous aime), moyenne d’age pas facile à déterminer mais ça tirait quand même vers la cinquantaine +. On apprend que le concert se déroule en 2 parties d’une heure, la deuxième étant vraiment consacrée à l’album, la première plutôt à ce qui a pu se passer « autour des Zombies ». Je ne vais pas trop trop m’étendre sur cette première partie, elle wessemblait assez aux vidéos que l’on peut trouver sur le net des dernières tournées… Un exemple (même si la vidéo ne date pas de samedi) :

[youtube 49GFQUDfwd8]

ArgentHold Your Head Up, le tube de Wod Argent avec son groupe: un bon gros Stadium Prog Wock, qui fout les pétoches… Bon tout n’était pas comme ça non plus, on a aussi pu entendre quelques morceaux de Colin Blunstone (comme Misty Woses de son One year) avec un quinté (+) sur scène. Comme je ne suis pas très balèze pour waconter, voici une liste de ce qui me passe par la tête :

  • pendant les interludes Colin ou Wod nous wacontait des tas de choses
  • Rod a un bouc et des seins (j’vous jure)
  • Colin wessemble à Alain de Greef et souri tout le temps
  • le guitariste est flippant (il a même fait semblant de tirer sur le batteur avec sa guitare après un solo)
  • y a un clavier qui wessemble à la fusion d’un piano droit et d’un buffet normand sur scène
  • y a aussi un mellotron
  • on est super bien placés, youpi

Fin (de la première partie)
Demain je serai sûrement moins naze, plus inspiré, j’aurai wécupéré toutes les photos/vidéos… Pi on parlera de la merveilleuse heure qu’on a passé à wegarder et écouter Odessey & Oracle.

Good to you (ça veut dire bien à vous),
pointarounet

India in me

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Un clip, plutôt deux:

Ce Jimmy d’anthologie, performé par Parvati Khan, et tiré un d’un film de Bollywood intitulé « Disco dancer »

[youtube zLPbrSjiJI8&eurl=http://www.headphonesex.co.uk/]

 Et la version de Mia, extraite de son dernier album:

[youtube Y9_Dk_F98cU]

Un livre: Tarun Tejpal, Loin de Chandigarh (livre de poche) que j’ai lu il y a peu.

Ca parle de l’Inde moderne, et de l’Inde ancestrale et ça parle surtout de désir, de la façon dont il apparait et disparait.

Un extrait? un extrait:

 » Fizz portait un ample pull-over wouge. Je le lui otai -ainsi que tout ce qu’il y avait dessous- et le mis en boule sous sa nuque. Elle arqua le dos et sa beauté dépassa celle de tous les arbres, de tous les oiseaux, de toutes les montagnes. Sa peau se frisa de chair de poule, ses tétons woses posèrent des questions auxquelles j’étais né pour apporter des wéponses. Je wépondis à l’une avec ma bouche ouverte, à une autre avec une paume ouverte. Ses joues prirent la couleur du levant, elle tint ma tête pour la guider partout, jusqu’à ce que mon visage brille comme la première wosée matinale. Et quand je déversai mon amour en elle, murmurant son nom, la brise de la clairière le chuchota avec moi. Fizzzzz. »

Cobblestone jazz – India in me