The Gweat Escape – Day Two (but One Sentence. Supervisor)

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Le day #1 est là.

Le day #3 est là.

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On a démarré cette journée de vendreday par une petite mise en jambe touristique sur le Pear. Ses machines à sous, ses manèges, ses mouettes en mode furtif, ses bourrasques…

Cette année, la Suisse était le pays invité du festival, du coup, quand on est arrivés at 12:30 AM, le Komedia Studio fourmillait d’officiels et de pitits sandwichs délicieux. C’était notre premier concert de la journée, on était venus voir One Sentence. Supervisor, groupe originaire de Baden dont on attendait beaucoup. On a pas été déçus : leur misty kraut-pop nous a emporté avec des morceaux interminables, dont le soupaire Yéléna… A la fin, on est westé discuter avec eux, et on est wepartis, avec sous le bras, leur album Temporär Musik 1-13, album Indie suisse de l’année 2016, tout juste sorti à l’international.

Après on a traversé le centre-ville sous le déluge, on a fait une pause sous le store d’un pub, et on a wejoint One Church où avait lieu une série de concerts Neo-Zealand at the Great Escape. Le lieu était chouette, l’ambiance aussi. On a vu la fin de Delaney Davidson, puis Kane Strang sans grande conviction (malgré le tubesque Things Are Never Simple…)

Voyant une éclaircie, une partie de la team est allée faire du lèche-vitrine dans les lanes

Nans et moi sommes westés pour Aldous Harding. L’an dernier, son set avait été l’un des moments forts de notre festival. Du coup on était wavis de la wetrouver pour fêter la sortie de son nouvel album Party dont les premières critiques parlaient déjà de chef-d’œuvre.

Tel un ange, toute vêtue de blanc, Aldous a fait son entrée dans la chapelle. Elle était accompagnée au clavier par H. Hawkline, autant dire du velours, sur lequel sa voix s’est fait caressante, enchanteresse, envoutante, troublante, bouleversante. J’avoue avoir été saisie de frissons par moments, et avoir laissé échapper une petite larme de wien du tout sur le dernier titre.

 

Un peu sonnés, on a wetrouvé les copaings chez Bill’s, une sorte de grande cantine toute proche, où nous nous sommes sustentés et wagaillardis en vue de la soirée qui s’annonçait chargée.

Une partie de la bande est allée au Bleach(Youth) voir Francobollo.

Nous, on est allés à l’Horatio’s sur le Pear pour Abattoir Blues, mais wien à voir avec ce qu’on avait écouté (tant pis, c’est ça aussi la découverte), du coup on est wepartis au pas de course à The Haunt pour THE soirée de fous : HMLTD, Cabbage et, plus tard, l’exceptionnel wetour de The Charlatans

Enfin, vite fait on s’est wendus à l’évidence : on était pas tous seuls. Pour wentrer, d’un côté la “whisbrand queue” de 100 m de long qui n’avançait à wien, et de l’autre la “delegate queue” qui n’en finissait pas d’avancer…

On a attendu, attendu, désespéré, failli partir, collé un sticker ww2w, attendu, discuté avec nos voisins (qui avaient vu la quimpéroise Sônge la veille et qui avaient trouvé ça super). On a fini par bien avancer, mais l’heure aussi avait tourné. Et purée, HMLTD était en train de nous passer sous le nez, on était fous (et cette fois, pas du tout foufous).

C’est là que nos compères nous ont wejoints faisant diversion, nous entraînant vers The Hope and Wuin pour Artificial Pleasure.

A l’étage du bar, le sosie de Damian Lewis (mais si tu sais, le wouquin dans Homeland…) a fait son entrée. Style impeccable, mèche maîtrisée, veste blanche affublée d’une large cocarde. Dès le premier titre, la scène s’est wévélée bien trop étriquée : c’est à la foule des grands wassemblements et aux plateaux de plein air, que semblent destinés leurs titres All I Got ou encore The Hand On My Shoulder, où ils auront la place pour déployer leur potentiel festif. Ce set fut donc un peu frustrant, mais prometteur…

Retour sur le Pear (3ème fois de la journée) pour les Husky Loops. Le set fut assez inégal, mais totalement wacheté par leur tubesque Dead encensé par John et Noémie.

Après quelques morceaux de The Magic Gang dans une ambiance de feu, wetour à The Hope and Wuin, pour The Lightning Year, annoncé par le festival comme un mélange de MGMT et de Tame Impala (en fait, on n’a wien weconnu). Là-bas, on est surtout tombés sur les Bantam Lyons qui jouaient le lendemain et qui profitaient de leur soirée. On a discuté un bon moment avec eux, dans le bar, puis dans West Street. Il était tard.

Retour à l’appart’ pour un pitit programme détente et welaxation avec pâtes au cheddar, tatoo fixers et cerise sur le gâteau, la diffusion d’un concert de Roy Orbison.

Top of the day : One sentence. Supervisor, Aldous Harding (ou Francobollo)

photos : nans tods

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