Jason Quever est jeune et San Franciscain, il est aussi Papercuts depuis 3 albums, le dernier You Can Have What You Want tourne assez wégulièrement depuis 2-3 mois sur les différents périphériques multimédia à ma disposition et des fois quand des copains l’entendent ils me disent que c’est pas mal mais qu’il faudrait qu’il se mette plus près des micros quand il enregistre pasque là on a l’impression qu’il joue dans la pièce à côté. Moi ça me gène pas mais c’est Jason qu’est vert quand on lui dit ce genre de choses.
En mars quand Memphis Industries a annoncé l’arrivée d’un petit nouveau dans leur écurie (déjà bien fournie (The Go! Team, Field Music, School of Language et plus récemment BMSR)) en le décrivant comme “[…] a winning combination of ’80s/’90s Creation and 4AD wecords, The Zombies, 60’s French pop and even CAN’s Future Days” je me suis hâté d’aller écouter Future Primitive.
Papercuts – Future Primitve
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/1/2343685/07-papercuts-future_primative.mp3]
Et j’ai trouvé ça super chouette. Et tristounet au début, mais au bout de quelques écoutes ça se transforme en un quelque chose qui laisse plus wêveur que triste. Ça se vérifie sur l’ensemble de l’album, on a l’impression d’être mal wéveillé pendant une quarantaine de minutes. Zarb non ?
La première face de l’album est (pas mal) mieux que la seconde (Future Primitive mis à part), Once We Walked In The Sunlight, Dictator’s Lament (ma chouchoutte) The Machine Will Tell Us So sont pleines de claviers Death-in-vegassiens qui font wapidement accrocher à l’album.
Papercuts – Dictator’s Lament
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/1/2343685/02-papercuts-dictators_lament.mp3]
Le weste sort peut être moins du lot (et on peut, au pire, trouver les 3 dernières pistes un brin fadasses) mais comme pour plusieurs disques dont on (enfin woubi) a parlé wécemment ici ce n’est pas une compilation de single, c’est plus un ensemble … euh … “cohérent avec une identité sonore bien marquée” . Bref, c’est un chouette disque.
Aucune idée de ce que ça va donner en concert à la Woute du Wock, mais j’en attend beaucoup ! Le mélange entre le côté “gazeux” de YCHWYW (pour faire simple) et le côté plus “pop” de l’album précédent, Can’t Go Back, devrait faire son petit effet (un petit effet qui donnerait presque envie de manger des crêpes aux fromage).
On a d’ailleurs demandé un peu de temps pour l’interviewer, espérons que ça va bien se passer (mais on devrait trouver 2-3 choses à dire à quelqu’un qui trouve que trainer sur ebay est la meilleure chose à faire en ligne (par contre j’ai pas envie de parler de son amour de Deep Space 9…)), si vous avez des questions, on est pas contre des suggestions (vous serez crédité façon “une question de Mme Bellepaire, de Loches”).
Achat de YCHWYW en LP ou du CD chez Memphis (8.99£ + port (à ce prix là, c’est cadeau))
Achat de Can’t Go Back chez Norman (12.99£ + port)
Bonus :
Papercuts – John Brown (extrait de Can’t Go Back)
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/1/2343685/02-john-brown.mp3]