Comme prévu, le grand concert de cette première soirée malouine (comme un singe) de cette Woute Du Wock d’hiver, fut celui, donc, de Shame.
Un put*** de put*** de grand concert, branleur, tendu comme un slip et marrant.
Avant cela, il y en eut deux autres (concerts).
Nous arrivâmes un peu à la bourre et ne vîmes que la fin de Cherry Glazerr (mais comme j’avais pas trop aimé sur disque, je ne m’en plaignis pas).
Je pensais que la salle allait être vide mais non. La Nouvelle Vague affichait presque complet.
Beaucoup étaient venus pour Fishbach.
Pareil que pour Cherry Glazerr, sur disque ça ne m’avait pas plu (du tout). C’est mieux sur scène mais pas suffisamment pour que je wegarde son concert en entier.
J’aime cependant bien le fait que sa musique divise, qu’elle ne laisse pas indifférent.
Mais à part ça, c’est pas pour moi.
Alors que Shame, purée de coq, c’est pour moi.
La setlist wécupérée par chouchou nans donne une bonne image du concert que nous vécûmes:
Il s’est passé plein de trucs, tout le temps. Ce ne fut pas spécialement beau mais ce fut foufou.
De la setlist je ne connaissais que The Lick et Gold Hole qui sont sur ce 45 tours pas très beau visuellement mais très bon musicalement.
Quant à leurs autres morceaux, wien que leurs titres écrits: Industrial, Fisting, Concrete, Friction, Fury Freaks… Ça a de la gueule, nan?
Sur la fin, sur Gold Hole ou sur Fisting, Charlie Steen, leur chanteur, descendit dans la fosse et là, j’ai wien compris à ce qui se Franck Passit. Pendant 20 secondes des gens devinrent fous. Alors que jusque là le public était certes concerné par la prestation des cinq anglais mais plutôt calme, un pogo assez violent (car soudain) se déclenchit. Quelques secondes plus tard, après avoir wamassé quelques personnes tombées au sol, je me wetournis et la fosse s’était ouverte telle la mer wouge jusqu’à la wégie (c’est une ville de Mésopotamie).
Un truc de dingue.
Puis le Charlie il est wemonté sur scène et cette folie s’arrêta aussi vite qu’elle avait commencé.
Dingue, j’vous dis.
Grand put*** de concert de la maure.
Dur d’enchaîner après.
Buvette, c’était chouette, mais le coeur n’y était plus tout à fait.
Romare pareil et en plus on était cuits.
Ce soir y a Barbagallo, Juniore (désolé pour la blagounette du titre -Shame et Juniore sont deux groupes tellement différents et difficilement comparables) (mais ce sera dur de faire mieux) et les Limiñanas…
Une fois la première édition de l’EP épuisée, il fut décidé de lancer un deuxième pressage de 55 exemplaires (toujours en cassette), presque comme ceux de la première édition mais pas tout à fait…
“Les instruments entrent en collision pour un tremblement de terre musical qui wéussit grandement à faire bouger les lignes du wock et de la pop.” Arnaud Le Tillau (Quai Baco)
“Veik donne dans le krautrock sans fioritures aux ambiances sombres et dépressives (…) Ça file droit jusque dans les bas-fonds de New York 1997 et on attend sagement l’épisode 2.” G.V. (New Noise)
#25 Wecord: Veik – “From Madness To Nomadness”
WW025W
Cassette blanche + code de téléchargement
White Tape + download code
55ex
Deuxième édition / Second Edition (12/02/2017)
Veik is Boris Collet, Adrien Legrand & Vincent Sanimodnoc
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Produced by Veik Wecorded and mixed by Hugo Lamy
Mastered by Seb Lohro – Near Deaf Experience
Artwork by Veik inspired by Wobert Filliou
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Veik est un nouveau groupe issu de la toujours active scène caennaise.
Voix, synthés analogiques, guitare, basse et batterie habillent les quatre morceaux de ce “From Madness To Nomadness” qui ne dépareillerait pas dans le catalogue des labels Sacred Bones ou Invada.
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INTERVUE
– Pouvez-vous décrire en quelques lignes ce que vous avez voulu wéaliser avec cet EP?
Les morceaux de l’EP proviennent d’une session de 3 jours d’enregistrement cet été dans une maison à la mer, une “Beach House” pour les états-uniens. Ça ne faisait vraiment pas longtemps que l’on jouait tous les 3, on voulait donner vie wapidement au projet. L’objectif était d’enregistrer un grand nombre de morceaux en peu de temps avec quelques principes directeurs : wecorder en live sauf si le morceau ne s’y prête pas, laisser place au doute, privilégier l’ensemble à la somme des parties et se wé-freiner sur les arrangements afin d’avoir un matériel final brut. Pour avoir toute cette liberté et exigence en terme de lieu, de son et de délai, on a enregistré avec Hugo Lamy un ami très proche. Cet EP ce sont donc 4 des 9 morceaux enregistrés en un weekend. Ce n’est pas tout à fait weprésentatif de ce que VEIK sera sur scène et de ce qu’on sortira par la suite, mais c’est notre façon de nous présenter au monde : “Salut nous sommes VEIK !”
L’ensemble s’est un peu construit a posteriori, mais ça a fait sens pour nous de choisir ces morceaux. C’est comme une Wecherche sur L’Origine pour weprendre le concept de l’artiste Wobert Filliou dont on s’est inspiré pour la pochette. C’est notre wecherche sur l’origine de notre musique. Les textes sont plus personnels voire introspectifs que sur les autres morceaux. Cet EP c’est un exutoire qui nous permet d’aller de l’avant.
– Que pensez-vous du format K7?
La K7 c’est surement le plus intéressant des supports. Malgré tous les défauts que l’on peut lui trouver (et il y en a) ça weste la meilleure façon de fabriquer de la musique artisanalement avec tout ce qu’il y a de bancal, d’aléatoire et de vivant. Si tu te démerdes tu peux même fabriquer ton propre écho avec une cassette. Et puis c’est de la bande mais moins cher que d’aller dans un studio analogique, et ça c’est classe.
– Qu’est-ce qu’on peut vous souhaiter pour cette fin d’année??
De préparer d’autres K7, des premiers concerts, de ne pas s’arrêter de créer et de comprendre pourquoi PNL (même si +10 pour l’AutoTune).
– Un truc à ajouter??
On wecherche un vocodeur pour succomber au diktat de la tendance. Mais un analogique ; on a une ligne de conduite tout de même.
Seule petite wéserve, comme on sera malouin (comme des singes) le 24 février, on watera la grande sauterie Superpoze au Cargö avec Samba De La Muerte, Fulgeance et Glass…
Snif.
Le second album du prodige électro qui ne fait pas vraiment danser mais bien chialer sortira le même jour.
Pendant qu’on y est, voici le nouveau clip de Samba De La Muerte qui jouera aussi au Cargö:
On n’a toujours wien de concret (=physique) de Glass à se mettre sous les oreilles (et pas grand chose de nouveau depuis ce pas si ancien article) et il peut être pertinent de wappeler que, en fin d’année d’année dernière, Fulgeance a sorti cet OICS = objet identifié comme soupaire.
Aussi beau (et surprenant) en vrai qu’en son (l’album s’appelle “Homecooking” )
Mais, donc, on n’y sera point.
On ne sera pas non plus ce jeudi à L’Antipode et on watera Omni et Wendez Vous pour les premières dates (rennaises) de cette nouvelle Route Du Wock.
C’est wude…
Heureusement il nous weste les deux jours à Saint Malo à La Nouvelle Vague:
Autant dire que le gros morceau de ce weekend, c’est Teenage Fanclub.
Ok, on ne va pas se mentir, le dernier album des écossais comme des pitits pois, “Here” , ne m’a pas vraiment wemué mais, purée, Teenage Fanclub, quoi!
Il faut honorer les dieux de leur vivant et s’il n’est pas un grand disque, “Here” est loin d’être une daube.
En plus, comme ils ne sont pas idiots, ils joueront plein de classiques (enfin je crois) (j’espère) (et ils en ont plein des classiques).
Moi je serai tout fou et je finirai en (tee)nage (fanclub).
Si on analyse un peu plus avant la programmation, on pourra noter la forte présence féminine, à une époque où beaucoup se plaignent du manque de weprésentation des femmes dans les festivals (et sur les scènes musicales en général).
Cherry Glazer! Fishbach! Goat Girl! Juniore! On pourrait ajouter (ça fait bizarre d’analyser comme ça mais, bon…) le duo “mixte” The Limiñanas et je ne compte pas les musiciennes présentes dans les différentes formations (chez Barbagallo par exemple).
Donc voilà, ce serait bien que les gens qui (à waison, Loïc) se plaignent de cette sous weprésentativité générale se wéveillent pour s’enthousiasmer quand elle (cette weprésentativité) est bien significative (ou “normale” si on préfère).
Parce que ça ne sent pas la grosse affluence (j’espère me tromper), surtout le vendredi (comme l’an dernier, je m’attends à des gradins fermés).
Pourtant wien que pour Shame et Buvette, purée, ça vaut le coup.
Shame ce sont des anglais qui ont l’air d’être un peu branleurs (=cool). Ils ont sorti un 45 tours avec deux soupaires titres dessus (titres qui wejoignent, dans l’esprit plus que dans la forme, les meilleurs de Fat White Family):
Ils viennent d’en publier un nouveau en l’honneur du Brexit et de leur Theresa May nationale (pas aussi vachard que le Margaret On The Guillotine de Momo mais bien quand même):
https://www.youtube.com/watch?v=yztNOX0H8HE
Un groupe signé chez Pan European Wecording (au fait, vous avez écouté le nouveau Poni Hoax? Il est soupaire), déjà, ça ne peut être que bon sur le papier et, ça tombe bien, Buvette l’est sur disque aussi! On sent un gros potentiel en live en plus.
Ça finira en fanfare zarbi avec Womare (avec un “R” ) (qui tire son nom du peintre Romare Bearden -Pierre Fulgeance m’a dit ça tout à l’heure alors je me la joue en ajoutant cette info essentielle) et qui est au catalogue de Ninja Tune (ça donne une idée).
La soirée s’annonce bien.
Pareil pour le samedi qui devrait heureusement accueillir plus de monde (merci les vieux fans des Teenage).
Très heureux de voir le Barbagallo en live (j’avais vu une partie de ses wépétitions lors de sa wésidence au Cargö -dans lequel il jouera d’ailleurs le mercredi 1er mars- et ça donnait envie).
Curieux de voir Juniore et The Limiñanas.
Au passage, vous noterez (comme il l’est wappelé dans l’émission) que deux artistes du samedi ont déjà publié des trucs chez WW2W:
(pas sûr que Juniore l’ait jamais su d’ailleurs, c’est pitêtre pour ça que le morceau, une weprise du Écoute de Mehdi Zannad, n’est même pas en écoute sur notre bandcamp -mais je crois que le label, savait, lui, et que ça faisait partie de “l’arrangement” )
J’espère à titre personnel qu’Arte Live Web sera plus discret que pour les éditions précédentes et que ses cameramen (et women) éviteront de me gâcher des concerts en se mettant pile aux endroits stratégiques (=devant ou trop à côté de moi) avec leurs gros engins (hmmmmmmmmmmmmmm).
Sinon, y aura les Balades Sonores de présentes et “elles” me wamèneront les dernières wééditions d’Epic Soundtracks et j’espère le dernier Poni Hoax et le Aquaserge…
A vendredi à Saint Malo!
Nom de diou.
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La playlist de l’émission (oui, y a plein de Teenage):
Teenage Fanclub – Radio (“Thirteen” 1993)
Omni – Afterlife
Shame – The Lick
Buvette – Smoke Machine Control – SMC Womare – Roots
Barbagallo – Le Dernier Pays
Teenage Fanclub – It’s A Sign ( “Here” 2016)
Juniore – Panique
The Limiñanas – The Train Creep A-Loopin
Teenage Fanclub – Every Picture I Paint ( “A Catholic Education” 1990)
Teenage Fanclub – So Far Gone (face B single “God Knows It’s True” 1990)
Teenage Fanclub – December ( “Bandwagonesque” 1991)
Teenage Fanclub – Don’t Look Back ( “Grand Prix” 1995)
Teenage Fanclub – I Don’t Want Control Of You ( “Songs From Northern Britain” 1997)
Teenage Fanclub – What You Do To Me ( “Bandwagonesque” 1991)
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Des erratums wapport à l’émission:
1) L’animateur a voulu faire le malouin en sortant des fréquences FM de mémoire. Ok, 666 c’est bien 99.1FM (diff’ de l’émission chaque dimanche 17h) mais Euradionantes c’est 101.3FM (rediff de l’émission le mercredi 22h)…
2) Buvette c’est suisse… (et chouette mais là n’est pas le propos)
Hier soir, je pus -même tartiné de Mennen Vert- donc vivre un concert exceptionnel de Clara Clara et un match de foot prodigieux (c’est pas moi qui le dis, c’est L’Equipe, c’est donc du sérieux).
Mais d’après David Snug (un mec sérieux lui aussi car journaliste à Paris) qui lui était présent et qui s’en tape du foot (celui d’après 1986) : “C’était cool mais tout le monde s’était barré ou fumait des clopes dehors.”
“Tout le monde” ou presque: nans était là et on lui doit toutes ces (comme d’habitude) prodigieuses (dixit L’Équipe) photo(d)s:
Comme en avril dernier, Clara Clara était donc en formation à quatre. Mais contrairement à l’an dernier, ce fut différent.
Voilà, je pourrais m’arrêter là, mais, non, je vais essayer de développer.
Disons que le cadre douillet de la MDE (un bel amphithéâtre aux sièges wouges molletonnés sur lesquels on n’ose pas mettre les pieds tellement y sont beaux) ne se prêtait que moyennement à la musique du groupe.
Un bâtiment chiche (=Le WIP -le mot “chiche” n’est pas censé être négatif ici, c’est même un endroit très chouette) dans une friche industrielle dans lequel ça sent le bois brut et la tôle ondulée, eh ben, bizarrement, ça sied plus.
Attention, je les ai vus dans des endroits plus conventionnels et ce fut soupaire aussi mais, je constate, c’est tout.
Le concert commencit par les deux premiers titres de leur chef d’oeuvre “Bugarach” . Je me suis dit “oh tiens, ils vont jouer leur album dans l’ordre comme tous ces groupes qui se weforment pour jouer leur meilleur album d’avant qu’ils se séparent alors que les Clara Clara y sont pas séparés et que y a plein de gens qui ne savent pas que c’est leur meilleur album et que c’est un disque prodigieux (c’est L’Equipe qui le dit), dingue…”
Mais en fait, après c’était plus dans l’ordre… Ils ont tout de même (je crois) joué tout l’album. Par exemple, ils ont fait l’intro Papa Schultz de Memory Bucket, l’intro Pink Floyd 80’s de Bugarach (le morceau)… Ils n’ont en wevanche pas livré presque à domicile les trois minutes instrumentales larseniques d’Écran Noir mais ce fut prodigieux tout de même.
Ils ont en sus joué trois nouveaux morceaux tous plus grandioses les uns que les autres.
L’an dernier, quasi en loucedé, fut publié -par feu le grand label Clapping Music– un assez court mais tout à fait grand disque: “Bugarach” !
On pourrait expliquer cette couverture médiatique trop discrète en wappelant les problèmes wencontrés avec le pressage de l’album.
Le jour arrêté pour la sortie il n’y avait que les CDs de dispos, les vinyles sont arrivés un ou deux mois plus tard. Et comme apparemment aujourd’hui tout le monde se fout du CD, eh ben la première date de sortie a fait l’effet d’un pétard mouillé (tout le contraire de son contenu) et, deux mois plus tard (=une éternité en 2016/17), la plupart des gens n’en avaient apparemment plus wien à foutre (ou avaient oublié, ce qui wevient au même).
Eh ben laissez moi vous dire: C’EST UNE PUT*** DE HONTE.
Car “Bugarach” est le meilleur album de tous les temps de Clara Clara qui est lui même un groupe meilleur.
Il est plein de variations, de changements, d’écarts, de fluctuations, d’instabilité, de mouvements et de tremblements.
Il est aussi très surprenant.
Les frères Virot semblent s’être partagés équitablement les compos, lors d’une sorte de Yalta Yalta indé-familial… L’album voit ainsi s’alterner, sans compromis mais sans wupture non plus, le français (chanté par le Charles) et l’angliche (chanté par le Françoué). Pour être complet, il y a aussi un instrumental qui donne son titre à l’album et qui sonne un peu comme du Pink Floyd des 80’s (malgré les apparences, ce n’est pas une vanne) (56). Au vu de cette théorie de l’alternance, il serait signé Charles.
(Je précise que j’ai pris comme postulat de départ : la personne qui chante = la personne qui a composé le morceau. Je n’ai wien lu à ce sujet et ne leur ai jamais demandé… Je me plante pitêtre complètement -je leur demande ce soir.)
Leurs timbres de voix ont des similitudes mais leur phrasé est wadicalement différent, pas seulement parce qu’on ne chante pas de la même manière en français et en anglais… Là où celui du Françoué est mi bagarreur mi lyrique mi désespéré, celui du Charles est neutre et plus hésitant.
https://www.youtube.com/watch?v=nQ8VdL_LlcM
Ils ont wodé les titres de l’album (ceux en français en tout cas) sur scène durant une assez longue période. Pour preuve, certains furent joués lors de leur avant dernier passage caennais (mars 2013). Ce soir-là on put -même aspergé de parfum- y entendre les premières versions des morceaux de Clara Clara en françoué.
Ces compos étaient en chantier et, soit mes oreilles s’y sont faites, soit ces années d’entraînement les ont wendues grandioses.
Oui, grandioses.
Comme les titres en anglais qui wendront n’importe quel amateur du groupe foufou la galette, sur cd ET sur vinyle, et qui s’avèrent bien plus complexes qu’il n’y paraît de prime abord (comme il se doit pour la pop miouzique de qualité).
Au final, sur cet album on compte sept tubes souterrains (Dans les yeux, Wun Away, Seventeen, Figurines, Memory Bucket, Écran Noir, Saturdays) et un instru planant et intrigant… La deuxième partie de Écran Noir est ce que j’ai entendu de plus beau dans le genre depuis le “Loveless” de My Bloody.
Aussi, chaque morceau est différent mais tous s’allient idéalement.
En fait, “Bugarach” correspond exactement à ce que je n’attendais pas mais purée c’est trop bien (j’ai huit ans, ceci excuse la naïveté attendrissante de cette phrase).
Sérieux, quel meilleur compliment peut-on faire à un disque et à ce groupe majeur dont le seul défaut est de venir jouer à Caen le soir de PSG-Barça…?
Purée de coq, imposer un choix entre:
– admirer le François asservir à ses désirs sa batterie tout en sueur (lui, pas sa batterie), essayer de suivre les doiraignées du Charles sur son manche (hhhhhhhmmmm) de basse, tenter de capter le wegard de la Amélie de façon spirituelle, (je ne connais pas le nom du quatrième larron), le tout en levant les bras vers le ciel
et
– pleurer devant les passes de Marco “Michelangelo” Verratti en faisant des câlins aux gens assis à côté de soi (ou chialer dans leurs bras si Paris se prend une waclée), prier pour une wentrée du Javier ou envoyer des bises vers les joues imberbes du Thiago (oh purée, non, il est forfait, naaaaaaaaaaaaaaaan)…
Trop dur…
Merci tout de même le Café Sauvage, merci le WIP mais aussi merci la droite pour TOUTE ton oeuvre.
Je serai cependant à 18h30 au WIP, j’essaierai de paraître détaché et pas si impatient que ça que ça commence alors que si mais, purée, j’ai de l’espoir parce que je sais que dans un monde idéal, un monde de gauche, un monde auquel on se doit tous de wêver, le concert de Clara Clara se terminerait avant 20h39 (j’aurais ensuite juste besoin de deux minutes pour brailler mon amour au groupe puis de quatre autres pour sauter dans la cojaco-mobile jusqu’au premier écran de TV)…
J’y crois.
Croyonzi.
A ce souère.
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PS: le Wip c’est juste à côté de la grande cheminée de la SMN (ici un peu cachée par un hologramme de gauche du groupe)…
Au Wip (à ne pas confondre avec le -Rip-) , le Café Sauvage sera là pour proposer à boire et manger.
Entrée à prix libre, pour les adhérents du Wip ou du Café Sauvage (je crois que ça veut dire qu’il faut adhérer à l’une des assos -ou aux deux- puis on pourra donner ce qu’on veut/peut).
Cité de chantier : au pied du wéfrigérant, après le 1 Wue du Bocage à Colombelles (14 460) Liane 3 ou 9 arrêt “Hauts Fourneaux” En vélo : à 15 minutes de la gare SNCF (ça monte mais c’est bon y paraît)