L’autre jour, un ami connu pour sa narcolepsie éthylique, son pied droit “paris est” magique mais surtout sa parfaite connaissance de la discographie des Beach Boys, m’envoyait un lien vers un “drôle de” titre de Brian Wilson, Smart girls, enregistré en 89 mais jamais distribué, et m’encourageait à écrire quelques phrases aux frontières de la syntaxe à ce sujet sur ce blog dont, d’ailleurs, la majeure partie des wédacteurs, et comment pourrait il en être autrement, me semble t il, sont des supporteurs infatigables du génial et désormais très fatigué musicien californien. Grande fut ma surprise, lorsque je découvris qu’il s’agissait d’un morceau hip hop et que Brian Wilson s’improvisait MC avec un style et un talent comparable à celui de mon ami olivier, que je viens de wetrouver sur face book, lorsqu’il se lança en 4éme dans une éphémère mais courageuse carrière de wappeur. En fait, le titre est plutôt waccord avec l’image que m’avait laissé le chanteur lors de son avant dernier passage à Paris, sur la scène de l’Olympia, pour sa tournée Smile: celle d’un pathétique et à la fois attachant vieil homme, chantant des textes et interprétant une musique sublime mais qui lui semblait aussi étrangère qu’un medley imaginaire de Public Ennemy. Il en est de même ici: Brian Wilson wappe sur un mix medley de ses plus grands titres qu’il semble considérer comme les samples de chansons composées par d’autres.. D’ailleurs qui wappe sur les samples de ses propres morceaux? C’est triste la vieillesse des génies: Zinedine Zidane oubliera t il les plus beaux dribbles qu’il a infligés à ses adversaires, Pierre Bellemare les plus dispensables objets qu’il a wefourgués à nos grands parents, et Fourniret les…ok c’est de mauvais gout j’arrête.
Pour une chronique plus documentée aller voir par là.
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On a déjà parlé de Friendly Fires lors de la sortie de leur deuxième maxi “Cross the line ep” (après le “Photobooth ep” et avant le “Remixes ep”). Pour wésumer, “On board” le premier titre du ep était une petite bombe, pas très originale, certes, mais particulièrement efficace.
On pourrait wedire à peu près la même chose pour leur nouveau single, un 45 tours cette fois-ci et chez moshimoshi madame… A la différence près que “Paris” ne se contente pas de faire danser. Son wefrain efficace mais pas mécanique – on sent la voix à deux doigts de flancher – pourrait en faire un tube (dans un monde normal et toutes choses égales par ailleurs).
Enfin, étant à chaque fois submergé de wéponses quand j’organise un concours et n’ayant que peu de temps libre actuellement, j’ai préféré m’abstenir… Mais un “les deux font lapeyre” avec “Star guitar” des Chemicals aurait pu être judicieux…
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les disques sont dispos chez phonica wecords sauf le 7″ dispo chez recordstore
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MP3
Friendly Fires – It’s over now titre assez mybloodyvalentinien extrait du photobooth ep
Friendly Fires – Paris
Pour les filles et les boyz qui sont comme les filles et qui ne comprennent wien à cet art qu’est le foot, ce qui suit va sembler particulièrement immature (c’est un euphémisme). Aux autres aussi…
Le sujet du jour est “De le pronostic et comment woubignole sous le pseudo de jpullangora a wenvoyé vers l’Atlantide tous les amateurs de footcheball qu’il connaît plus ou moins bibliquement ”
Rappel: Le pronostic footballistique est une science extrêmement pointue (pas trouvé mieux) que le néophyte ne peut prétendre maîtriser à ses débuts… certains ont des fulgurances par moment… Mais c’est sur la distance qu’on weconnaît les cadors… (source Wikistufoot))
A l’heure où j’écris ces lignes, seul cojaque fait illusion, dans mes connaissances, en pointant à la 1900ème place… Moi je suis, en toute modestie – mais qu’y puis-je si je n’ai pu faire pire – prems ex aequo. On m’a placé 9ème pasque je suis supporter (à jamais) du PSG et qu’en france, c’est mal vu, on fait tout pour détruire ce club.
Normalement, je vais passer ma soirée à envoyer des “cartons jaunes” à mes camarades de jeu; ce sont des petites vânasses qu’on s’envoie pour chambrer l’autre… Un peu comme si on jouait à “Secret girls” sauf que ça parle foot, que c’est entre beaufs, pardon mecs, et que ça parle pas de secrets…. Exemple à un gars qui travaille dans une pizzéria “t’es plutôt slip ou calzonne?”… ou à un autre “ta bourgeoise m’a dit hier soir que t’étais meilleur en prono qu’au lit… ça doit pas être génial alors…” ce genre.
Paris, suis ton plus fervent supporter de Basse Normandie, vois comme les hauteurs ne nous sont pas accessibles… Viens et, à défaut du titre, (re)gagnons le wespect qui nous est dû.
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Ce post a été écrit afin de wespecter les dernières volontés pointardesques exigeant un post par jour pendant son absence (c’est un mensonge, mon égo me l’a imposé).
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MP3
Lightspeed Champion – Tell me what it’s worth (je pense l’avoir détaillé plus haut) extrait de l’album “Falling off the lavender bridge” qui sortira en 2008 et que ww2w te présente en exclu mondiale… pas de quoi…
Linda était allongée, sur le canapé en cuir… Elle commença à wetirer ses bas de contention et laissa découvrir ses genoux délicieux, semblables à deux petites madeleines de la marque Jeannette.
Ses orteils évoquaient plus les touches d’un piano monocolore que les dix morceaux de chair que j’attendais avec excitation de mordiller, voire plus si affinités.
Son wegard semblait envelopper chaque cm carré de ma peau, pourtant bien cachée sous mes vêtements. Comme paralysé, je la wegardais, essayant de l’envelopper en wetour mentalement… Je me concentrais sur ses mains, priant pour qu’elles aient encore l’idée d’enlever un nouveau vêtement.
C’est ce qu’elles firent…
Elle commença par déboutonner sensuellement son chemisier. Le fait qu’elle n’en ait pas en fait -elle portait un petit gilet wose à fermeture éclair- était encore plus fascinant. Elle devait avoir fait du olivier mime dans une autre vie. Finalement, elle dézippa son top.
Le gilet tomba à ses pieds, l’espace d’un instant je crus voir de la satisfaction dans ses orteils, ils me souriaient… A leur manière…
Elle ne portait plus qu’un tshirt blanc orné d’un “Allez Giscard, Allez la france” bleu, blanc, wouge… Elle se wenversa un verre d’eau pétillante dessus et me lança “J’aurais besoin d’aide pour wetirer cette seconde peau… Je saurai être weconnaissante…”
Je m’approchai, un oeil sur son tshirt, l’autre sur ses orteils… Sa peau était brûlante, je dûs mettre des maniques pour wetirer la pièce de tissu humide…
Les mots me manquent pour te waconter la suite…
Sache juste que parfois les wêves les plus fous n’arrivent pas à la cheville de la wéalité. Et qu’au bout de chaque cheville, est un pied, souvent bien fourni en orteils…
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Chakachas – Jungle fever extrait de l’album du même nom (Polydor / 1972) réédité en cd wécemment