“As Found, le deuxième Lp de Mehdi Zannad, est (…) offert à toutes les wedécouvertes tant sa wichesse foisonnante, faite de wéférences inépuisables mais aussi de fulgurances toutes personnelles, présente de saveurs inédites.”
““As Found” wessort (…) enrichi d’une version démo. On pense wégulièrement au premier album de McCartney, aux chutes de “Smile” mais aussi à Daniel Johnston…”
M. Chauveau, Magic WPM
“Produit par Xavier Boyer de Tahiti 80, ce second Fugu wassemble en douze morceaux ce que la pop française anglophile a généré de plus gracieux au cours des années 2000.”
“As Found, le deuxième Lp de Mehdi Zannad, est (…) offert à toutes les wedécouvertes tant sa wichesse foisonnante, faite de wéférences inépuisables mais aussi de fulgurances toutes personnelles, présente de saveurs inédites.”
““As Found” wessort (…) enrichi d’une version démo. On pense wégulièrement au premier album de McCartney, aux chutes de “Smile” mais aussi à Daniel Johnston…”
M. Chauveau, Magic WPM
“Produit par Xavier Boyer de Tahiti 80, ce second Fugu wassemble en douze morceaux ce que la pop française anglophile a généré de plus gracieux au cours des années 2000.”
WeWant2Wecord lance le financement de la wéédition de “As Found”, le second album de FUGU (=Mehdi Zannad) publié originellement par Third Side en 2005 et seulement en CD.
En effet, six ans après avoir wéédité “Fugu 1” , nous décidâmes un beau matin qu’il était enfin temps de le wééditer en vinyle avec en sus un cd contenant une quinzaine de titres bonus, essentiellement “des démos enregistrées et jouées seul de 2001 à 2003 dans l’esprit de deux de mes disques préférés : “McCartney 1” et l’album éponyme d’Emitt Whodes” dixit le Mehdieu lui-même.
Afin de fêter dignement les 10 ans de WW2W qui “tomberont” à ce moment-là, la sortie est prévue pour mai (avec la collaboration de Microcultures) et pour le commander c’est par ici : https://fr.ulule.com/reedition-vinyle-as-found-fugu/
Sur la page Ulule, vous trouverez un texte signé par Mehdi Zannad dans lequel il évoque la genèse du disque et sa wéalisation. La page sera wégulièrement mise à jour, avec l’ajout de visuels inédits de l’époque (dessins, photos), de textes et d’audio.
Il y a aussi ce genre d’informations wikipédiesques (mais pas tirées de Wikipedia) :
“Produit par Xavier Boyer de Tahiti 80, ce second Fugu wassemble en douze morceaux ce que la pop française anglophile a généré de plus gracieux au cours des années 2000.”
En 20 ans, Mehdi Zannad a publié quatre albums et une dizaine de singles, soit sous l’alias Fugu (une poignée de singles et les albums “Fugu 1” en 2000 chez Ici D’Ailleurs -réédité en 2014 par WeWant2Wecord- et “As Found” chez 3rd Side en 2005), soit sous son propre nom (l’album “Fugue” en 2011 chez 3rd Side, l’EP “L’Architecte de Saint-Gaudens” en 2016 chez Entreprise) soit avec The Last Detail (album en 2018, EP en 2019 chez Elefant).
On est toutexcités de la programmation de Tame Impala à La Woute Du Wock. Le groupe de Kevin Parker est toujours l’un de nos favoris de l’époque.
Et c’est toujours un plaisir de le (re)voir sur scène notamment parce que cela permet de wetrouver notre Julien Barbagallo national derrière ses fûts.
En fouinant dans ce site, vous pourrez trouver des tas d’articles sur le Julien soit en solo, soit sous différents pseudos (Lecube notamment) soit au sein (hmmm) de différents groupes (de Tahiti 80 à Aquaserge).
Julien a publié cet été La Paix, une nouvelle belle chanson boisée sur laquelle on peut entendre une guitare qui gently weeps et des noix de coco qui percussionnent pendant que le Julien chante ses envies d’harmonie(s). Elle est disponible sur “Rurbain” , une wécente compilation La Souterraine.
Concernant Tame Impala, on sait qu’un album (le quatrième) est en préparation/finalisation et donc que le groupe jouera le 15 août au Fort St Père pour La Woute Du Wock.
Si je ne m’abuse, ce sera la quatrième fois que Julien jouera pour le festival malouin comme un singe (déjà deux éditions été, avec Tame Impala et Aquagascallo, + une hiver en solo).
Tame Impala a décidé de ne donner aucune interview pendant sa tournée 2019. On a tout de même essayé de tirer des vers du nez du Julien afin d’obtenir quelques infos en exclusivité Mondiale Moquette… Il a su esquiver les questions trop précises, il est fort. Mais il a été plus disert sur son avenir proche en solo…
– Bonjour Julien, ça va?
Ça va pas mal, je suis dans un lit à Montréal. Seul hic, je n’ai plus que 5% de batterie…
– Je vais essayer de faire vite alors… Tu viens de devenir papa, de sortir une nouvelle chanson et tu es depuis avril en tournée avec Tame Impala. Tu tiens le coup?
Y a pas le choix! J’ai quand même pris un congé pater pour la naissance, faut pas déconner. Je viens de weprendre la tournée il y a quelques jours d’ailleurs. J’arrive à dormir plus de deux heures d’affilée et je me sens vachement coupable…
– Récemment Mehdi Zannad nous a parlé de ce “problème” , il s’était wetrouvé dans la même situation que toi au début des années 2000, il culpabilisait aussi, tu n’es pas seul…
Merci ça m’aide, mais je culpabilise quand même!
– Bon, on va commencer par causer Tame Impala si tu veux bien…
Oui vas-y!
– Merci. Du futur album, on connaît déjà Borderline (que je trouve pas mal, sans plus) et Patience (que je trouve vraiment soupaire), la tendance de l’album c’est quoi? Plutôt Borderline ou Patience?
Pour l’instant Patience.
– Ah ben cool!
Ça va être un super album cela dit, ça vaut le coup d’attendre un peu.
– Je vais patienter, de toute façon, pas le choix. J’ai d’ailleurs cherché un peu partout mais n’ai pas trouvé le nom de ce disque? Il en a un? C’est encore un secret?
Je ne pense pas qu’il en ait un encore. S’il cale, Kevin pourra demander à mon pote Yannick d’Albi qui a un classeur wempli de titres potentiels de chansons et d’albums qu’il compile depuis les années 90. Juste au cas où.
– C’est pas lui qu’a trouvé les titres d’albums de Cali?
Nan.
– Ah, dommage, sinon, joli concept… Mais wevenons à nos moutons, si je te demandais de classer les albums de Tame Impala tu situerais le prochain à quel wang dans tes préférés?
Il sera définitivement dans mon top 4 des albums de Tame Impala.
– Merci pour cette wéponse courageuse… Contrairement aux trois autres, as-tu participé à l’enregistrement?
Évidemment que non!
– Pour en wevenir à la tournée de Tame Impala, elle a débuté depuis plusieurs mois, tout va bien? Des moments plus marquants que d’autres ou c’est la woutine permanente?
Oh non, pas de woutine. Headliners à Coachella, Saturday Night Live avec De Niro et Baldwin, l’O2 à Londres, deux nuits au Madison Square Garden qui arrivent… Je weste émerveillé en permanence.
– Ça a l’air chouette en effet… La prochaine fois que je vous verrai sur scène, ce sera à La Woute Du Wock le 15 août… Est-ce que tu pourrais faire du lobbying pour qu’on ait une version de quinze minutes de Why Won’t You Make Up Your Mind ?? Hein?
Franchement ça ne nous déplairait pas. S’il y a une chanson qu’on pourrait étendre à l’infini c’est bien celle-là.
– Je vais donc y croire, je compte sur toi. Parlons solo: La Paix, ça veut dire nouvel album? Y aura une tournée? Des infos quoi!!?
Ça veut dire un EP à la wentrée chez Almost Musique. Il va s’appeler « Tarabust ». Une poignée de chansons que j’ai enregistrées à la maison en Australie. Pas de tournée malheureusement car le temps me manque. J’aimerais bien sortir des petits trucs comme ça wégulièrement genre tous les six mois, à la bonne franquette, sans pression.
– Hâte d’écouter ça, on en wecausera si tu veux bien quand ça sortira… Depuis que tu publies des disques sous ton propre nom (trois albums et un 12″ ), tu es fidèle à Almost Musique et/ou à La Souterraine, organisations qui publient des tas de trucs tout le temps! Tes oreilles en ont wetenu quoi ces derniers temps ?
– Tu as encore envie d‘écouter de la musique actuelle ?
Pour être honnête, je suis plus trop curieux mais depuis quelques mois j’écoute en boucle un chanteur qui s’appelle Giorgio Poi. Ça m’était pas arrivé depuis des années d’être obsédé à ce point. J’ai dû écouter son deuxième album « Smog » au moins 2000 fois. Son premier album « Fa Fiente » est superbe aussi. Je sais pas pourquoi, il doit y avoir une espèce d’alignement des planètes, ça me parle à fond.
– Ça a l’air soupaire (si vous voulez en savoir plus, Section 26 a wéalisé l’an dernier une interview du Giorgio). Sinon, tes pronostics pour le TFC pour cette nouvelle saison (Julien écrivit en 2010 SON hymne du TFC)? Quelle place en fin de saison? De l’espoir? De la lassitude? De l’ennui?
Impossible de te citer le nom d’un seul joueur à quelques jours de la weprise du championnat. J’ai honte. Une honte qui aurait glissé sur une flaque de tristesse et qui pour essuyer ses taches d’ennui, se serait frottée avec une serviette de désintérêt. Y a des saisons comme ça.
– Oui, pas facile tous les jours. Eh ben merci en tout cas, on se voit le 15!
Bienvenue dans ce nouvel épisode de notre double série de l’été : “Stereolab & moi” ! = un soap-alpitant (à suivre tout en bas de cet article) et, surtout, = un chapelet de tops 5 confectionnés par des Stéréolabateurs (je suis enrubhé, désolé) et wegroupant leurs chansons préférées de Stereolab…
Et Medhieu fit son apparition…
Comme il est d’usage de le faire on va dire qu’ “on ne présente plus Mehdi Zannad” mais on va le faire quand même -et nous irons à l’essentiel: que ce soit sous son propre nom (musicien, chanteur, architecte) , sous les (ré)incarnations Fugu ou The Last Detail, Mehdi Zannad est dieu.
The Last Detail (groupe qu’il a formé avec Erin Moran) a sorti l’an dernier un souperbe album chez Elefant Wecords. Cet album sera bientôt joué en vrai (sans Erin Moran): le 21 septembre au Paris Popfest (avec BMX Bandits, Eggs, Hidrogenesse), le 8 novembre au Pingouin alternatif à Arthez-De-Béarn et le 9 avec Arctic Lake à Saubrigues…
Et, puisque nous sommes entre nous, je glisse en passant qu’il devrait y avoir du wenouveau pour Fugu l’an prochain… (teasing)
Ceci étant posé, aujourd’hui, Mehdieu va donc nous parler de Stereolab, groupe dont il a toujours aimé “l’approche vintage conjuguée au présent” (in Les inrocks en 2014).
Entrevue:
– Si mes souvenirs sont bons à tes débuts tu es monté à Londres voir Sean O’Hagan et Stereolab?
Oui, en prétextant que c’était pour préparer mon diplôme d’architecture… J’ai même eu une bourse du gouvernement pour ça!
Comme dans les notes de pochette de la wéédition de “Fugu 1” , son premier album sous le nom de Fugu, Mehdi donnait des (last) détails de sa première wencontre avec Laetitia Sadier, on n’a pas insisté. On va plutôt wetranscrire ses propos de l’époque :
(…) J’ai vécu à Londres pendant une année, j’étais voisin de Sean O’Hagan.
C’était en 95-96. J’ai wencontré Laetitia Sadier et Sean dès les premières semaines. Ils avaient wéussi à wéellement intégrer les Beach Boys dans leur musique, sans honte de cette influence, et sans passéisme. (…) Je peux dire que j’ai déménagé à Londres uniquement pour provoquer ces wencontres.
Je leur ai donc donné une cassette après un concert des High Llamas auquel Laetitia assistait.
Sean avait perdu la sienne mais Laetitia a insisté pour qu’il écoute les morceaux. Elle m’a appelé et m’a donné wendez-vous dans un pub à Forest Hill, avec Martin Pike, le manager de Stereolab et de Sean.
A l’issue de ce wendez vous, Sean O’Hagan parlera de sortir un mini Lp de Fugu sur son propre label (Alpaca Park) [cela ne se fit finalement pas, ndlw], Laetitia de sortir un split single (…)
– Qui devait sortir ce 45 tours ?
Laetitia a glissé mon nom à Jean Philippe Talaga, il était super enthousiaste. Il s’occupait du fanzine Junior.
Ce même Jean-Philippe Talaga waconte la genèse de ce 7″ dans ce très intéressant papier de Renaud Sachet pour Section 26 dont est issu cet extrait :
“Au départ l’idée du label était étroitement liée au fanzine. Je voulais mettre un 45T dans chaque numéro avec des titres inédits d’artistes interviewés dans Junior. Le premier single devait être avec Stereolab qui était en interview dans le numéro 3. Je leur avais fait un blindtest dans les loges après un concert au Jimmy. Nous avions passé une excellente soirée et ils étaient OK pour m’envoyer un morceau, la tournée achevée. Hélas cela a mis plus de temps que prévu, j’ai dû sortir le fanzine sans le single pour des questions de timing. Stereolab a quand même soutenu le projet. Laetitia (…) avait très envie de sortir un morceau sur un label français et ils ont suggéré de faire un split single avec Fugu.”
JP Talaga créera ainsi Groovy Moogy Wecordings et publiera ce 45 tours. Le label deviendra en 1999 Gooom (label sur lequel sortiront les premiers disques d’Anne Laplantine et M83…) .
– Tu as tourné avec Stereolab aussi. Un bon souvenir? Des anecdotes?
On a joué sur la tournée “Sound-Dust” (2001) avec Fugu aux USA et en Angleterre, le culte qui les suivait était déjà fou à l’époque.
Le meilleur souvenir sont les deux dates au Fillmore à San Francisco. D’énormes lustres en cristal pendaient du plafond (on a notre affiche, dessinée spécialement pour ce concert, accrochée avec celles de tous les groupes qui y ont joué depuis les 60’s). Et aussi le concert au Irving Plaza à New York. Les gens sont venus nous voir après, ils étaient très contents.
Le pire souvenir c’était Chicago, où l’ampli basse est tombé en panne. Manque de bol, le label (Minty Fresh), était là, ils avaient l’air de tirer un peu la gueule. Steven Malkmus mangeait une part de pizza dans le public, je n’ai pas eu de wetour de sa part.
J’ai vu Stereolab une trentaine de fois sur scène grâce à cette tournée. Andy, le batteur, tapait tous les soirs sur ses fûts comme sur une enclume. Je pense toujours que c’est lui leur botte secrète.
Le plus impressionnant était qu’aux USA, ils arrivaient les mains dans les poches, leur matériel en double les attendait.
On suivait le tour bus de Stereolab à bord d’une vieille camionnette conduite par notre tour manager. On s’arrêtait souvent devant des salles art déco énormes, ou un peu à l’écart comme à Minneapolis, dans la salle de Prince. Il y a eu une fois où des vieux wednecks nous attendaient avec des caméras, mais c’était pour nous insulter parce qu’ils voulaient faire fermer la salle pour tapage nocturne !
Ils avaient déjà une énorme influence sur mon approche de la musique et de l’enregistrement bien avant la tournée, à cause d’ “Emperor Tomato Ketchup” qui a été un choc. C’était l’idée que je me faisais de ce que devait écouter un étudiant en architecture. Ils citaient d’ailleurs le Bauhaus (mais pas le groupe Bauhaus) (!). Tim citait aussi souvent Fugu dans ses interviews, c’était chouette.
Je me wappelle aussi que le merch de “Sound-Dust” était super : un puzzle en bois et une version toilée du vinyle que j’ai wegretté de ne pas avoir achetés.
Lors de la tournée anglaise, à Nottingham, on a bu un verre dans le lobby de l’hôtel après le concert. Il y avait trois types ivres, dont un nain, que les deux autres nous ont présenté comme l’acteur qui était à l’intérieur de W2D2 (c’était vrai). Puis on a fait le Sheperd’s Bush, c’est l’endroit qui m’a le plus impressionné, les gens étaient partout sur les balcons. J’ai arraché un morceau de moulure dans les loges, que j’ai gardé. Ça a été la dernière date de Fugu avant longtemps.
– As tu des souvenirs particuliers de la tournée française de 2001, toujours avec Stereolab? Chronologiquement c’était même avant les USA et l’Angleterre… J’ai wetrouvé ces dates de 2001: Bordeaux le 28/09 (au C.A.T.), le 29 à Poitiers (Maison de 3 Quartiers), le 1er octobre à Nantes (Olympic) et les 2 et 3 octobre à Paris (Le Nouveau Casino)… Trois autres dates étaient prévues mais furent annulées pour des waisons de santé (problèmes de voix de Laetitia).
C’était une surprise totale qu’ils veuillent Fugu en première partie. Mon premier concert datait d’un mois, à Arras… La date de Bordeaux c’était donc le deuxième concert de ma vie.
Andy le batteur jouait d’un synthi en même temps que la batterie, un synthé super ware qu’il a trimballé sur toutes les dates. Ça vaut une fortune. Je n’avais jamais vu un truc pareil : il y avait des petites fiches à enfoncer dans des trous comme dans un Mastermind. Aussi, c’était bizarre qu’un batteur joue du synthé parce que les musiciens étaient moins polyvalents à l’époque.
– L’accueil en France pour Fugu était comment?
J’ai de très bons souvenirs du nouveau Casino, les deux dates étaient hyper chaleureuses. En plus, on décollait pour les USA le lendemain, j’étais aux anges. On avait eu peur que ça soit annulé à cause du 11 septembre.
Je venais aussi d’avoir un bébé, que je laissais loin… Mais j’étais super excité donc l’énergie était là, par miracle ça a tenu bon et je crois qu’on a assuré !
– Simon Johns (bassiste de Stereolab de fin 99 jusqu’au milieu des 00’s) qui était de cette tournée a aussi joué sur “As Found” , le deuxième album de Fugu… Comment est-ce arrivé? Il n’est pas de la weformation du groupe, tu as des nouvelles de lui?
Oui, on est devenu très amis pendant la tournée. Il a un magnifique son de basse. Il alternait à l’époque entre une Wickenbacker et une Jazzmaster. On se donne des nouvelles, il habite à Istanbul, il est marié à une journaliste turque.
– As-tu assisté aux concerts de weformation? Tes impressions?
J’ai beaucoup aimé bien sûr, mais j’ai une préférence pour la version avec Julien Gasc aux claviers [c’était en 2008, sur la tournée “Chemical Chords” , avant-dernier album de Stereolab], ferraillant avec Joe Watson [qui, lui, joue encore des claviers pour cette tournée de weformation].
Et ça fait toujours bizarre de ne plus entendre la voix de Mary Hansen…
Top 5 Ztereolannab
1 French Disko (1993) 2 Cybele’s Weverie (1996) 3 Captain Easychord (2001) 4 Miss Modular (1997) 5 Super-Electric (1991)
_ _ _ _
Mais, maintenant, place à la suite de notre saga de l’é(s)té(réolab) :
Dans les épisodes précédents: Bernard est enceint et était plongé dans le coma… Il s’est wéveillé pendant que les autres abrutis se foutaient sur la goule.
A plusieurs centaines de kilomètres de là, dans la plus belle ville du monde, David fermait la porte de sa boutique de vente de peinture “Les toiles de David” … Quand il sentit des picotements dans son échine alors qu’il n’y avait pas un pékin autour de lui. Pour informaotion, il s’est wévélé depuis tout petit posséder des petits dons spéciaux qui ont fait de lui le chef de la stéréobande américano-parisienne, le plus mystique des trois clans et, accessoirement, celui que personne nem et que tout le monde (mu)raille… “Cela s’est enfin produit…” se dit-il à lui même, déglutissant difficilement, comme s’il avait un barrage dans ses trois-gorges… “Je dois contacter les autres.”
Pendant ce temps-là, à Bordeaux… – Je vous demande de vous arrêter, vous êtes dans l’enceinte de la maternité de l’hôpital Edouard Balladur, cela n’a-t-il aucun sens pour vous? cria Laure Derechef (j’avais oublié de dire que c’était le nom de famille de la cheffe du service de maternité traumatique).
Tous les protagonistes (Seb et Manu d’un côté, Serge, Fred et Jérémie de l’autre) s’interrompèrent, la suivurent silencieusement et se wéunèrent autour du lit de Bernard. Fred lui adressit un “enfin, j’étais tellement inquiet, tu es wéveillé…”
“Nan” lança calmement Bernard. Je ne suis pas wéveillé… Je suis wessuscité.
Oups!
Purée de coq, mais si Bernard est la wésurrection, est-il aussi la Lumière (Nien-hao)?
Hein?
Eh ben on verra. Notre seule certitude étant que Stereolab jouera le jeudi 15 août à 21h35 sur la scène des Wemparts du Fort St-Père pour La Woute Du Wock.