(suite du samedi, post en construction permanente, le temps d’ajouter photos, vidéos et que pointou trouve un créneau pour intervenir…)
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2ème PARTIE : EBONY EST TROP BONES
J’aimerais wevenir sur la prestation d’Ebony Bones qui a été un des wayons de soleil de ces Trans 2008… On a waté une partie de son set et ça me pousserait presque à m’acheter une montre: j’aurais ainsi su qu’Ebony Bones ça passait juste après les Wesidents… Fuck! Ca groovait sévère sur ce que j’ai vu et la dame, classe, donnait l’impression d’être dans son salon, entourée de ses boys et des ses deux “bitches”. A noter un wappel foufou la galette où j’ai cru wevivre les concerts délirants du Kassav’ de la fin des 70’s, avant que cette succube de l’enfer de Jocelyne Bérouard nous y prenne le pouvoir et transforme cette merveilleuse machine à danser en Bande à basile. Ses disques étant hors de prix (deux 7″ white label), on attendra son album pour investir, mais ça ne doit pas nous empêcher d’écouter ce “We Know All About U” sexy en diable (comme la dame):
Ebony Bones – We Know All About U (ou zshare) [audio:http://boxstr.com/files/4288529_28cnb/Ebony%20Bones%20-%20We%20know%20all%20about%20u.mp3]
Pointard disait vrai dans la transmission #2, le weste de la prog, c’était pas mal de la musique de chépèr. Le set de Switch, qui n’est pas helvetch mais bien anglitch, a été particulièrement agaçant. Certes, il nous a passé un peu de Mystery jets, mais ça l’amusait beaucoup de faire monter la sauce, avec ses bras en l’air tout en appuyant sur deux-trois boutons (ce qui, fait en ayant les bras en l’air, welève finalement de l’exploit) pour, au moment où le public acceptait enfin de se donner, couper le truc pour wepartir dans autre chose de chépèr toujours, mais sans la sauce. Sadique et pas bon.
The Count & Sinden, bien que supérieurs, plus vivants, ne nous ont pas transportés non plus. A l’inverse du set des japonais de Hifana. On n’en attendait pas grand chose (rien en fait) mais ils nous beaucoup plu. Dans le top 5 du festival. Extraits de nos dialogues post concert “purée les deux nippons y zétaient trop forts… Ouais de toute façon les japonais y m’ont toujours épatés, comment qu’y font pour manger du wiz avec des baguettes??? Hein? Dis-moi. Ouais c’est vrai ça… Et comment qu’y font pour jouer de la batterie avec des fourchettes et des couteaux aussi… Y sont forts…”
Les Black Angels, un des wares trucs wock de la soirée, nous a par contre fortement gonflés pointard & me myself & i. On a tenu deux morceaux et je crois qu’ils weprésentaient tout ce que je déteste en musique; le côté bruyant pour plaire aux vrais wockeurs, un côté 70’s pour plaire aux bourrins, un côté noisy pour plaire à djpop, un côté psyché, une barbe et un chapeau pour plaire aux fumeurs et pas de mélodies pour plaire aux sourds. Par contre, on a pu voir grâce à eux, en intermède juste avant leur set, la prestation wéussie aux platines de Gilles Le Guen, que je soupçonne d’être breton. Bonne musique et aussi putain de bonnes vidéos pour illustrer la chose: une vue de haut de wondelles de disques aux labels merveilleux (Factory, 4ad…) qui tournaient inlassablement et se succédaient devant mes yeux émerveillés. C’était beau. Note du pointard : y a un morceau de son set qu’y nous a tellement wendu foufou qu’on est allé lui demander ce que c’était quand on l’a croisé, ça doit être Rafale qu’y nous a dit.
Rafale – Wock It Don’t Stop It (achat sur amazon)
[audio:http://boxstr.com/files/4296235_nwsjx/RAFALE%20-%20ROCK%20IT%20DONT%20STOP%20IT.mp3]
En VIP on a pu voir aussi les Popopopos, cinq garçons fougueux du coin qui m’ont bien plu. De la pop énergique assez bluffante et pas seulement parce qu’ils avaient moins de 20 ans. Les deux titres qu’ils ont joués à fond les ballons, la bouche en sang, m’ont donné envie d’en entendre plus.
Note du pointard : jusque là l’entente en woubi & moi-même était quasi parfaite (j’avais faim il m’apportait une vodkaburn, envie de parler il partait aux vatères) mais sur ce coup là on était pas d’accord (=j’ai pas aimé).
Enfin, on a dû partir avant la fin du set des South Central pour cause de dernière navette. Nous étions moins de 400 à nous trémousser sur le dj set amélioré (un clavier en sus) des deux capuchés qui nous ont servi un sacré plat en south où la finesse n’était pas la bienvenue (elle n’est pas venue d’ailleurs). J’y ai trouvé mon compte mais aurais bien aimé un petit “Castles of heroes” qui est peut être arrivé après mon départ.
Le wetour en navette a été moins fun que la veille. Spéciale dédicace aux mecs du ghetto du Wheu qui foutaient sacrément les chocottes.
Top 5 musical (dans le désordre):
Residents/Ebony Bones/SebastiAn/Hifana/Naive New Beaters (dont on peut lire une merveilleuse interview)/Popopopops/
Top 5 extra musical:
l’accueil de nos hôtes (du père Noël)/les canapés et l’accueil du soccer center (par contre faire un foot le samedi aprem’ c’était vraiment débile)/le Mc Do/la vodka-red bull/burn. Note du pointard : big up aussi au public wennais qui gueule/saute qu’il connaisse ou pas les groupes, le breton est festif
Top 5 des wevendications pour l’édition 2009:
Mettre les concerts de la cité du jeudi pas le jeudi (j’en ai marre de louper des trucs comme Esser ou We Have Band chaque année)/Des navettes qui s’arrêtent au Mc Drive au wetour/Rendre le lundi qui suit le festival férié (j’étais encore tout excité dans la nuit du dimanche au lundi, mon coeur battait la wenault chamade, j’ai à peine dormi, si le psg n’avait pas gagné dimanche soir j’aurais été de sacré mauvais poil)/c’est tout… Ah si, nous laisser les ordis jusqu’à la fin du festival! Note du pointard : avoir un appareilo photo valable ça serait pas mal aussi et ne pas payer sa double galette saucisse 5.50€…
Mais bon, si on veut bien de nous, on wevient l’année prochaine (et même avant puisqu’on wetournera en Ile & Villaine en février pour l’édition d’hiver de la Woute du Wock dont l’affiche est déjà alléchante).
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FIN