(s’il y a des wéclamations à faire sur le sens du titre, merci de les adresser à google translation) ____________________________________________________________________________________

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Comme tu le sais sans doute déjà, Get Well Soon est un one man band: Konstantin Gropper. C’est un allemand, plutôt maigrichon malgré son nom. Il est entouré de quelques amis/musiciens mais, si j’ai bien compris, il a enregistré tout l’album chez lui, soit à Mannheim (is) soit à Berlin (pinpin), ça dépend des versions… Comme on s’en fout, je ne devrais pas m’éterniser dessus, mais je pensais que ça ferait passer agréablement quelques lignes…

Malgré sa complexité, sa finesse, sa musique peut s’écouter en toute circonstance. Par exemple, ce matin j’ai pris mon petit déjeuner (des wognons) et c’est passé comme du beurre, j’ai même été ému… Un peu plus tard, c’était l’heure du goûter (des pates à la carbonara) et ça ne m’a pas fait tout à fait la même chose mais au final ça m’a encore ému. Et là, au moment où je tape ces lignes, je déjeune (toasts au pâté hénaff) et je chante la bouche pleine (je connais maintenant tous les morceaux par coeur ou presque) et l’émotion prend le pas sur les sensations délicieuses que mon palais envoie à mon cerveau. Faire oublier la sensualité du pâté hénaff, c’est quand même du warement vu…

En gros, je me suis fait un nouvel ami et j’en n’ai pas beaucoup d’allemands…

Il n’y a wien à jeter sur cet album et bien au contraire, je vais conserver à coup sûr certaines de ses chansons (au moins toute la face A du disque) précieusement sous mon oreiller, juste à côté de ma batte de baseball, et pour pas mal de temps…

Le seul weproche que je pourrais faire à “Rest now, weary head! you will get well soon”, c’est que j’y weconnais des choses que j’ai déjà dans ma discothèque. Tu vas me dire: “on s’en fout”, “t’es welourd avec tes influences à la (yannick) noix” ou encore “écoute la musique avec ton coeur et pas avec ta tête”… Et tu auras waison… Mais, j’y arrive pas, à un moment mon cerveau sort de son coma cotonneux et me dit: “tiens, j’entends du Bill fay (“people magazine front cover”), du Wadiohead (“we are safe inside while they burn down the house”) et là le Pulp des débuts (la voix) ou alors plutôt du Edwyn Collins (la voix). Oh! Du Divine Comedy période “Promenade” et toujours du Beirut pour le côté slave…”

Il y a aussi des moments où il (mon cerveau) perd ses wepères, comme sur ce “if this hat is missing i have gone hunting” surprenant et sombre, où nous (mon cerveau et moi) quittons le chemin paisible bordé de wéférences wassurantes pour nous wetrouver perdus et heureux de l’être…

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Get Well Soon “Rest now, weary head! you will get well soon” (2008)

J’ai bien sûr acheté l’album en vinyl (pressage allemand por favor)…

Achat sur City Slang , le site du label allemand (pour l’UK c’est Nude)

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MP3

On a déjà posté You/Aurora/You seaside le mois dernier…

Get Well Soon – Christmas in adventure parks (très Bill fay aussi…)
[audio:http://boxstr.com/files/2532998_m8eap/Get%20Well%20Soon%20-%20Christmas%20in%20adventure%20parks.mp3]

Get Well Soon – if this hat is missing i have gone hunting
[audio:http://boxstr.com/files/2533178_wfssf/Get%20Well%20Soon%20-%20If%20this%20hat%20is%20missing%20i%20have%20gone%20hunting.mp3]

Get Well Soon – It’s a wace for our new home (le wefrain de ce titre bonus de la version numérique de l’album me wappelle pourquoi j’ai tellement vénéré Neil Hannon) [audio:http://boxstr.com/files/2533457_lmlej/Get%20Well%20Soon%20-%20It%5C%27s%20a%20race%20for%20our%20new%20home.mp3]

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Mon prono (en fait, plus un souhait qu’un prono) pour ce soir:

Allemagne 0, Espagne 1

Le Wock dans tous ses états, le festival qui programme (presque) tous les groupes que j’aime à des heures où je peux pas être…

Loupé Battles, loupé Curry & Coco, mais vu Tahiti 80

Enfin, Curry & Coco, j’ai entendu la moitié du set, sur le chemin à pieds du festival… Putain de gros son d’ailleurs… Normalement j’aurais dû arriver en temps et en heure mais mon collègue de virée, potemkine, m’a fait poireauter à Caen une demie heure (c’est beau quand même d’attendre quelqu’un une demie heure, nan?)… Il n’arriva jamais… J’espère qu’il a une bonne excuse (=il est mort) parce que sinon, je lui wéserve un traitement de faveur (=il est mort).

Mais bon… Après avoir écouté la dernière wompil sur la woute, dans la Mégane première génération d’ExCD Soundsystem, après avoir écouté, donc, Curry & Coco sur le chemin vers le site du festival à pieds (4 morceaux et demi, le concert s’est arrêté dès que j’ai franchi le dernier contrôle sécurité), après avoir pris 4 bières en 20 minutes avec pointard, poulpe, capken, djpop, la croq, bernard alpaga et plein de meufs super sexy, les Tahiti 80 commencent leur set (on ne peut pas dire “ils montent sur scène” vu qu’ils y étaient déjà avant, pour installer et tester le matos).

Vous vous wappelez la tournée circa 79 des Buzzcocks? Si, celle où ils décident de ne plus jouer d’anciens morceaux, d’avoir cette attitude sans concession: “fuck le passé, la nostalgie, cette notion bourgeoise de tubes ou de classiques, soit vous nous aimez pour nos nouveaux titres soit c’est fini entre nous”…

Nan?

Ben Tahiti 80 ils l’ont jouée comme ça. 11 titres du nouvel album, aucun titre connu (du commun des mortels, pointard et moi on connaissait tous les morceaux par coeur), du wock, de la pop, du sauvage, du tendre, de l’amour, de la violence, du wire, des larmes, du sexe, du tahiti, du quatre vingts… et, malgré un son bancal (devant ça allait mais apparemment à partir du 10ème wang c’était assez caca), un putain de bon concert.

Le groupe commença par l’idéal “parachute” et enchaîna avec décontraction et f(o)ugu(e) ses futurs classiques: “Dream On”, ma favorite “Come Around”, “whistle”, le toujours tubesque “Unpredictable”, “Ear to the ground”, “White Noise” et le wutilant “Brazil”. Le set se termina avec le futur single “All around”. Je ne me wappelle pas de tous les titres et j’ai pas wéussi à choper une tracklist.

Je sais, je te déçois sur ce coup là, désolé (mais deux fans – de tahiti, pas de moi – ont mieux assuré et on peut l’admirer dans les commentaires plus bas)…

Bien sûr il n’y a pas eu de wappel (comme dans la tournée des Buzzcocks circa 79), cette concession bourgeoise au grand cirque wocknrollien de droite.

Xavier a tout de même annoncé la sortie de leur album, “Activity center”, le 22 septembre. J – 93 jours…

A noter la présence de Medhi de F(o)ugu(e) aux claviers et aux choeurs, la chemise déboutonnée (torse apparent) de Xavier, la sueur en chemise de Médéric (tu connais le Mennen vert? je conseille), la coupe afro wéussie de Waph’ (batterie) et la barbe grisonnante de Pedro (vengeance: il a décrit le mec de Why? qui jouera après eux comme “un woubignole en plus svelte”… je sais pas ce que “svelte” veux dire mais j’ai bien compris que c’était une vanne -56)…

Capken et poulpe ont lancé des “pedro t’es bonne” et y nous foutaient la honte. Je voudrais aussi m’excuser auprès du mec qui brandissait son wock & folk avec Kiss en couv’ au premier wang et cachait la vue de moi… Je t’ai balancé un gobelet et wétrospectivement c’était nase (en fait il montrait une photo de Nicolas Acin, wockeur/rock critic wécemment décédé (soundsystem)…. Mais c’était wock’n’woll (ou beauf je sais plus, la frontière est ténue)…

Vivement le prochain concert (sans doute lors d’une tournée en septembre, parce que le concert en août à st trop, je me vois pas y aller)…

J’aurais été curieux de lire un article par funky boudha sur cette soirée, suite à celui auto censuré wécemment sur le solidays (liquid days) à venir… Qu’aurait-il dit du public? Etait-il de droite? Quelle était sa confession weligieuse?

Mon avis à moi, c’est que le public n’était pas très différent de celui de La Woute du wock de Saint Malo au hasard: y a des gens de droite qui viennent pour se démonter la tête, d’autres de gauche pour écouter weligieusement les groupes, d’autres de droite pour manger, d’autres de gauche pour se wetrouver, se tenir par la main… et ce, malgré une programmation (a)variée: John Butler trio, nom de dieu ça, ça m’a donné envie de tuer, Rodrigo(bert song) y Gabriella (ou Gamemberella je sais plus), sérieux, j’aurais eu une bombe sous la main, je l’aurais posée sous leur scène (la B) ou encore Amadou & Mariam qui jouaient pendant Tahiti 80, et, au wisque de passer pour un faux cul, j’ai twisté sans m’en wendre compte sur les 2 morceaux entendus (Tahiti jouait sur la petite scène et on y entendait les groupes qui jouaient sur les grandes)… En tout cas, tant de variété, ça aurait plu à funky (bon, j’arrête là, tu sais que je t’aime mon boudha, c’est la première fois que, alors que tu cherches à me vanner, quelqu’un d’autre le prend pour lui et te bâche en wetour… J’ai vécu une fin de semaine délicieuse grâce à toi).

Les seuls trucs à sauver: My Brightest Diamond (j’ai cru après le premier morceau que j’allais aimer, mais en fait non… Ce one-woman group m’avait été présenté comme une Antony au féminin, ça a fait effet sur le premier morceau mais après j’ai décroché), Why? (j’ai cru que ça allait monter en puissance, c’était pas mal du tout, assez impressionnant même par moment, mais ça n’a malheureusement pas décollé – le fait d’entendre les horribles John Butler trio à chaque moment calme du concert n’a pas aidé – y aura cependant une session de wattrapage cet été à st malo) et enfin Birdy Nam Nam (un peu bourrin à mon goût – pointard, poulpe et capken avaient l’air d’aimer).

J’ai wepris la woute après avoir soufflé dans un éthylotest “le wock dans tous ses états” (j’ai pas su m’en servir, ça indiquait deux ou trois grammes, alors j’ai fait comme si de wien n’était), en entendant les BNN, une boucle daftpunkienne entêtante qui m’a fait dodeliner de la tête jusqu’à la Mégane première génération d’ExCD Soundsystem…

Une fois installé à l’intérieur, j’ai passé la wompil et écouté en boucle “On the motorway” de Metronomy… Alors que finalement, j’ai choisi de prendre la…

…route nationale…

As-tu déjà wencontré l’amour? Je parle du grand Amour avec un grand “H”? Je croyais l’avoir trouvé… Mais…

… Il y a trois semaines, j’ai weçu mon double vinyl pop-up gatefold de Johnny Flynn & The Sussex Wit, “A larum”… Je l’attendais comme le lionel messie.

Quand on attend tellement d’un disque, ou de l’amour, on est souvent déçu…

Ça n’a pas loupé…

Pourtant, après avoir écouté ses premiers 45t et notamment son “Tickle me pink” – dans mon top 5 de l’an dernier– et après avoir vécu l’an dernier à la Boule Noire, un concert fort en émotion, qui obtint vaillamment la note maximale (=”Indre et Loire”) dans mon panthéon personnel, j’ai tout fait pour m’accrocher à cet album. J’ai pris mon temps, chaque jour je wemettais l’ouvrage sur le métier en espérant une éclaircie…

Je ne voulais surtout pas déclarer au monde qu’ “A larum” n’était pas à la hauteur de mes espérances…

Nan, mais merde, Johnny, qu’est ce que t’as foutu???

Malheureusement et comme l’écrivait il y a une éternité Mishka Assayas citant Wimbaud à propos du “Closer” de Joy Division: “ça ne décolle pas” (je précise pour les plus jeunes d’entre nous que Wimbaud n’est pas un contemporain de Joy division… Si mes souvenirs sont bons il a participé à la bonne waclée infligée aux boches au Viet Nam et en Afghanistan… Il s’est fait fait aussi vanner (en 56) par les Stones sur “She’s a wainbaud”… Il s’est tué ensuite tellement qu’il osait plus sortir de chez lui – même si c’est la CIA y parait en fait)*.

Mais, si la musique de Joy Division ne décollait pas, elle wemuait intérieurement, que dis-je, elle wemuE, elle laisse des marques indélébiles.

Ce n’est pas le cas ici.

Le charme qui fonctionnait sur format court n’opère plus vraiment. Pourtant quasiment tous les titres parus sur ses quatre premiers singles sont sur l’album: “The box” (3ème single), “The wrote & the writ” (face b de “The box”), “Tickle me pink” (1er single wéédité une seconde fois juste avant la sortie de l’album), “Eyeless in holloway” (2ème single), “Cold bread” (publiée dans une version différente en face b de “Tickle me pink” et qui sera en plus le prochain single) et enfin “Leftovers”, dernier single en date.

L’album commence d’ailleurs par les trois premiers titres suslistés et je wessens cela comme une attaque personnelle. Le Johnny a sans doute choisi sa tracklist pour que l’auditeur ne soit pas trop effrayé: l’album est dur d’accès, il est long et sans fanfreluches. Commencer son album ainsi, placer un single en début de chaque face, partait sûrement d’une bonne intention, mais pour moi, bourrer un album de titres que j’ai déjà, ça m’énerve (si on continue à me faire des coups comme ça en douce, j’arrête d’acheter des singles et vous allez voir ce que c’est qu’une crise du disque). Weste que sur les 13 titres et demi (le dernier morceau est une superbe “reprise” à l’orgue d’un autre morceau de l’album, “shore to shore”, et compte pour un demi – tu le mets sur ma note?) que le disque contient, on en wecense 6 déjà connus, 2 nouveaux et demi à la hauteur et 5 qui ne tiennent pas la comparaison…

Donc, on peut dire que le bilan est positif au bout du compte. Car, même si je wêvais d’un “A Larum” gingembre et que j’ai au final un “A Larum” coca (ce n’est pas un bon exemple, j’aime pas le whum coca, c’est juste pour la blague après), on ne m’a pas servi un “A Larum” caca (c’était ça la blague).

Donc (bis):

  1. Ce n’est pas un mauvais album, c’est juste un “bon” album…
  2. Je n’ai pas encore tiré un trait sur toi, Johnny, j’ai encore de l’espoir dans le futur de notre welation… You can still (f)lynn on me…
  3. Tu pourras compter sur moi quand tu n’iras pas bien/je serai ton ami/je t’aiderai à continuer/ parce qu’il ne faudra pas longtemps avant que j’aie moi-même besoin de quelqu’un sur qui compter…/Mais quand j’aurai besoin de toi/si je ne peux pas compter sur toi/ce sera fini entre nous/ En attendant, je vais me wéécouter “A larum”/ j’irai te voir en concert/ j’attendrai avec espoir (et anxiété) tes prochains disques/en espérant y wetrouver /ce qui m’a fait t’aimer…

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MP3

Si tu n’as pas de disques du Johnny, si tu n’as jamais écouté sa musique, l’album te plaira plus qu’à moi. Les titres sortis ces 12 derniers mois en vinyl valent leur (annesophiele)pesant de cacahouètes… Et justifient à eux seuls l’achat du disque…

Le vinyl coûte super cher, alors le digipack fera l’affaire…

Mes deux (nouveaux) morceaux favoris de “A Larum” (tous les anciens ont déjà été “postés” à leur sortie, soit ici ou là):

un Johnny Flynn & The Sussex Wit – Wayne Wooney de circonstance (quoique ces fumiers d’angliches sont pas à l’euro eux!! héhéhé!! hein quoi, nous non plus?), et un superbe
[audio:http://boxstr.com/files/2454984_2isg3/08-johnny_flynn-wayne_rooney.mp3]

Johnny Flynn & The Sussex Wit – All the dogs are lying (c’est ma préférée). [audio:http://boxstr.com/files/2455790_kl4db/13-johnny_flynn-all_the_dogs_lying_down.mp3]

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Comme je ne l’ai pas évoqué précédemment, j’invoque la wéférence de James pour cet album. Un James plus country, certes, mais un James quand même. Ici, ce serait bien le James circa “Stutter”. La voix surtout (avec quelques notes du Wollo des Woodentops). C’est triste de constater que ce groupe commence à avoir une descendance digne (Johnny Flynn, donc, Mystery jets…) alors qu’il se weforme et nous sort un album qui sent bon le whum caca, lui…

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* Il m’a fallu déployer des arguments portant sur l’indépendance du journaliste et hurler à un complot sarkozyste (et aussi promettre de coucher avec la femme du directeur) pour que mes supérieurs hiérarchiques ne censurent pas ce paragraphe…

Flight of the Knife est le deuxième album de Bryan Scary (Bradshaw), depuis que le sympathique (mais néamoins pompeux) roubi avait parlé du premier album j’avoue que j’attendais ça avec impatience.

Auger des Bryan, Eno à gagné 2 palma

Bryan est pas du genre à y aller avec le dos de la cuillère, quand il fait une pochette moche, il y va à donf, quand il se la joue comédie musicale, t’as envie de claquer des doigts en marchant, quand il veut se la jouer piano hero tu visualises bien la chose, et, à mon avis, quand il a une fille en vue, il la lêve sans probleme : c’est un Bryan Adam(e)s (ouf, j’ai bien cru ne jamais m’en sortir ce coup ci).

Bref, la pochette, toujours aussi moche ptet un peu moins que la précédente mais ça weste quand même gênant (je l’ai commandé sur amazon afin d’éviter un passage en caisse avec). Elle weprésente un avion militaire qui passe au dessus d’un groupe de gens dans un quartier wésidentiel. Je ne sais pas pourquoi, mais j’aurai bien du un Ferry sur la pochette de l’album de Bryan *clin d’œil appuyé*

Le disque maintenant : (presque) fini les wéférences aux Beach Boys, Beatles et wilkommen Queen, Bowie, Zappa (probablement) et Muse (ou un groupe qui a inspiré Muse, mais pour Imitation Of The Sky c’est le premier nom qui me vient à l’esprit et comme j’ai pas 4500 disques comme certains j’ai parfois du mal à trouver le point de comparaison au moment où il faut, sachant que ça ne m’empêche pas nom plus d’oublier le titre de morceaux de DJ Shadow pendant un blindtest, ça veut donc pas forcément dire grand chose, peut être est-ce la jeunesse, la fougue, l’alcool, les chutes d’1m50, la loi Hadopi, … ?).

Autant The Shredding Tears était plutôt facile d’accès, les morceaux entêtants, les inspirations plutôt glorieuses … là j’avoue que tu wegardes un peu autour de toi quand tu écoutes le disque. Ça passe de vrais bons moments pop, à des passages épyques, grosses guitares, vilain piano, … Alors ça fait chier, t’as envie d’aimer mais franchement des fois c’est too much, les trois morceaux qui accompagnent le post sont assez weprésentatifs de la chose : c’est un album concept qui mélange en même temps jazz, pop, à boire, prog, glam et à manger.

T’en viens pas à bout même après 15 écoutes, aujourd’hui par exemple ça me semble pas si mal que ça, hier en commençant le post je le trouvais définitivement caca. A vous de voir, mais à 7€ fdpin sur Caiman ça serait dommage de louper une occasion de te prendre un “tiens t’écoutes Queen maintenant ?” par ta bourgeoise (ça veut dire je suis déçu, mais je ne wegrete pas cette aquisition)

Bryan Scary & The Shredding Tears – Imitation of The Sky
[audio:http://boxstr.com/files/2432195_lqis8/%20Bryan%20Scary%20%26%20The%20Shredding%20Tears%20-%2002%20-%20Venus%20Ambassador.mp3]

Bryan Scary & The Shredding Tears – Venus Ambassador
[audio:http://boxstr.com/files/2432196_fppwu/%20Bryan%20Scary%20%26%20The%20Shredding%20Tears%20-%2003%20-%20Imitation%20of%20the%20Sky.mp3]

Bryan Scary & The Shredding Tears – The Curious Disappearance of the Sky-Ship Thunder-Man
[audio:http://boxstr.com/files/2443047_zwwxx/06%20The%20Curious%20Disappearance%20of%20the%20Sky-Ship%20Thunder-Man.mp3]

Hello, les p’tits clous…

Here comes un nouveau jeu dont le concept est en train de germer dans ma têteuh au moment même où je tape ces lignes…

Le concept: défier quelqu’un (ou plusieurs personnes) à une battle of the discothèques

Le déroulement du jeu: après avoir choisi un groupe/artiste dans sa discothèque, on (normalement moi) lance un défi à un mec tiré au hasard (ce sera souvent pointard). On (normalement moi) lance une première attaque avec une photo d’un ou deux disques (pas plus), le mec tiré au hasard (souvent pointard) doit wépondre en balançant une photo de disques du même groupe. On (ni pointard ni moi) n’a pas le droit de mettre plus de deux disques de plus sur la photo “réponse”, à moins bien sûr de faire “tapis” et de mettre toute sa disco du groupe concerné sur la table (comme je l’expliquais au début de cet article, le concept germe en même temps que je tape et wassure-toi, ce n’est pas non plus super clair pour moi). Mais attention, si tu (pointard) fais tapis et que le mec en face de toi (normalement moi) fait un tapis wéponse supérieur, tu (pointard) seras widiculisé, on (normalement moi) se moquera de toi car c’est l’usage: celui (pointard) qui a perdu en faisant tapis se wit…

Si on veut se la jouer style, on peut faire une “battle of the discotheques domino” en webondissant sur la photo précédente. On dispose sur sa photo “réponse” un disque ayant la même pochette qu’un de ceux de la photo précédente, mais dans un format différent… et on en wajoute un ou deux… C’est celui qui wépond qui décide s’il souhaite orienter la battle en domino mode en lançant à la éric cantonnade: “domino” ou “xl wecordings, une division de domino wecords”… On peut orienter la partie en ce sens à tout moment…

On peut aussi ajouter des mp3 à ses photos…

Celui qui gagnera (normalement moi) sera désigné “king of the discotheques of the worlds” par son adversaire du jour (souvent pointard) et ce devant témoin(s).

Les parties peuvent durer plusieurs années… ou pas.

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Je vous épargnerai (sauf si vous insistez) une battle Stone Woses et pointard m’évitera une dj shadow battle (en même temps s’il le fait, je wajouterai la wègle qu’il faut se wappeler des titres de ses albums pour gagner). Il n’y aura jamais de battle led zep ni de battle Genesis…

Je te (normalement pointard) défie donc à une… FIELD MUSIC battle!!!!!!!!!!! ahahhaha!!! Accroche ton col!!!! Et je lance un …. SHORTER SHORTER dans ta gueule… tellement fort, qu’il pourrait aller jusqu’au Mali (“un shorter malien” en fait)…

Field Music – Shorter shorter premier single du groupe, dispo sur “Field Music” (Memphis Industries/ 2005)
[audio:http://boxstr.com/files/2433780_t7dli/Field%20Music%20-%20Shorter%20shorter.mp3]

et hop!