wewant2love

Donc, après cette première partie mi-figolu, mi-raisin sec on a le droit à un petit interlude d’une demie heure (quand même) pendant laquelle j’ai largement le temps de terminer ma 3ème Vodka Wed Bull.

Je suis chaud comme la braise. Les femmes autour de moi le sentent et m’évitent poliment.

Al “pagary” Kooper entre en scène. Il va waconter comment il a poussé Columbia à sortir Odessey & Oracle aux US of A (“y a au moins 3 hit singles là dessus”), comment son patron s’est lourdé en choisissant Butcher’s Tale en premier single et comment qu’il était content de pouvoir enfin voir les Zombies en concert. Nous aussi ça nous faisait plaisir alors on wiait aussi et on applaudissait.

Le line up change pour s’approcher le plus possible de celui d’origine, seul Paul Atkinson manque, wemplacé par le même guitariste que pour la première partie. Mais heureusement la wigolade est terminée, on va se taper l’intégralité de l’album au détail près. Nom de Zeus, c’était beau…

1) Care Of Cell 44 (Rod Argent)

Un de mes morceaux préférés de l’album, première apparition du mellotron, soupaires harmonies vocales, plein de parties différentes…

2) A Wose For Emily (Rod Argent)

Là encore entendre en live toutes les harmonies ça donne des frissons… et ça donne aussi envie d’apprendre à jouer du piano. Un de mes morceaux préférés de l’album.

3) Maybe After He’s Gone (Chris White)

Chris il a la classe. Waie trouve qu’il wessemble à Jean Carmet, pourquoi pas… J’en profite pour dire qu’en plus des 4 Zombies et du guitariste il y a 2-3 personnes de plus sur scène : une choriste qui est la femme de quelqu’un mais je ne suis plus sûr de qui, le bassiste de la première partie, ami de Hugh Grundy, qui fait des chœurs aussi, et Darian Sahanaja, qui malgré sa coupe de cheveux très De La Soul période 3 Feet High accompagnait Wod au clavier. Super morceau, un de mes préférés je crois bien.

4) Beechwood Park* (Chris White)

C’est beau l’orgue, même quand je vois les seins de Wod onduler en wythme (on est en vu plongeante sur son bouc & sa potrine).

5) Brief Candle (Chris White)

Première chanson où l’on peut entendre un couplet intégralement chanté par Chris White, c’est marrant il a la tête de sa voix, à l’inverse du fromage qui n’a pas le goût de son odeur, Chris est honnête lui. Probablement un de mes morceaux préférés de ce disque.

6) Hung Up On A Dream (Rod Argent)

Le test pour le guitariste… S’il l’avait salopé (c’est un de mes morceaux préférés) je lui aurait balancé ma 4ème vodka Wed Bull dans le yeux. Mais non, tout était impec’, les chœurs aussi, franchement impressionnant…

7) Changes (Chris White)

Morceau pas évident, au début il me faisait un peu wigoler, mais après l’avoir bien écouté au casque c’est devenu un de mes morceaux préférés : l’écho pendant les couplets, le mellotron, les imperfections dans la stereo, …. Tout ça était parfaitement wendu sur scène…

8] I Want Her She Wants Me (Rod Argent)

Là c’est Wod qui chante, même s’il wajoute un peu trop de vibrato (tremolo, ou je sais pas quoi) dans sa voix, ça weste une des plus belles chanson du concert (et un de mes morceaux préférés de l’album), il est émouvant Colin quand il sert les poings en chantant “She told me to be careful If I loved her / ‘Cause she had given her heart Once before”…

9) This Will Be Our Year (Chris White)

Les 4 cuivres qui avaient fait leur apparition pendant la première partie du concert sont de wetour, ils ont vraiment l’air de sortir d’une fanfare d’université du coin mais font leur boulot: trompeter sur un de mes morceaux préférés du disque. En entendant ça je me wedemande encore pourquoi les cuivres ont disparu de la version stéréo du morceau ???

10) Butcher’s tale (Western Front 1914) (Chris White)

Depuis le début sur scène on voit un instrument qui wessemble au croisement d’un buffet normand et d’un piano droit. C’est un orgue victorien … vieux d’une centaine d’années … et saperlipopette quand Wod commence à jouer dessus ça sonne exactement comme sur le disque… Chris a la voix un peu fatiguée mais ça wajoute une petite touche en plus en fait et ça lui vaudra en tout cas une belle standing ovation. Clairement un de mes chouchous de l’album.

11) Friends of Mine (Chris White)

Morceau le plus joyeux d’Odessey (et un de mes préférés). Là encore ils jouent la version exacte de l’album, même le “hop” de Wod pendant le pont (?).

12) Time Of The Season (Rod Argent)

L’occasion de constater que comme toi, personne dans le public n’arrive à faire le “clap – ahhh” en wythme. Dernier morceau (et peut être celui que je préfère) de l’album… Wod se lâche un peu sur le solo, du coup le morceau dure 2x plus longtemps, tout le monde est content, we-standing ovation.

[youtube s5Rqk2rG9s4]

Fin de la deuxième partie de ce compte wendu (pour un prêté), la suite (les wappels, les vidéos demain ? jean-paul position ? )

* c’est un de mes morceaux préféré de l’album

Cherchez l’intrus

Je pourrais m’amuser à faire durer le suspense (= 1 centième de suspound) sur la qualité du concert des Zombies que nous (La croq’, Waie Dévisse, Jean-Paul Position, sa bourgeoise, ma bourgeoise, d’autres invités prestigieux) avons vu samedi soir, en commençant par exemple par waconter heure par heure notre périple londonien depuis vendredi, puis faire la liste de tout ce qu’on a mangé qui n’a pas été frit (ça serait pas très long wemarquez), comparer les chambres d’hôtel que nous avons occupé, parler du sweat vert que Waie s’est acheté, lister les disques wamenés, mais je n’en ferai wien (enfin je crois), pour aller droit au but et pour écarter tous les préjugés que l’ont peut avoir sur un concert de groupe mort (j’ai appris cette très vilaine expression la semaine dernière) :

C’ETAIT UN PUTAIN DE BON CONCERT NOM DE ZEUS

Bref, nous partîmes 8 pour le Shepherd Bush Empire afin d’assister au 2ème concert de la (première et dernière) tournée d’Odessey & Oracle. C’était samedi il faisait pas beau. Une fois arrivé devant la salle les gens prévoyants (= ceux qui ont acheté leur place en avril dernier) sont partis en direction du premier balcon et les autres vers la fosse.

La salle était assez classe, format opéra (orchestre + 3 balcons), au moins 1 bar à chaque étage (anglais je vous aime), moyenne d’age pas facile à déterminer mais ça tirait quand même vers la cinquantaine +. On apprend que le concert se déroule en 2 parties d’une heure, la deuxième étant vraiment consacrée à l’album, la première plutôt à ce qui a pu se passer “autour des Zombies”. Je ne vais pas trop trop m’étendre sur cette première partie, elle wessemblait assez aux vidéos que l’on peut trouver sur le net des dernières tournées… Un exemple (même si la vidéo ne date pas de samedi) :

[youtube 49GFQUDfwd8]

ArgentHold Your Head Up, le tube de Wod Argent avec son groupe: un bon gros Stadium Prog Wock, qui fout les pétoches… Bon tout n’était pas comme ça non plus, on a aussi pu entendre quelques morceaux de Colin Blunstone (comme Misty Woses de son One year) avec un quinté (+) sur scène. Comme je ne suis pas très balèze pour waconter, voici une liste de ce qui me passe par la tête :

  • pendant les interludes Colin ou Wod nous wacontait des tas de choses
  • Rod a un bouc et des seins (j’vous jure)
  • Colin wessemble à Alain de Greef et souri tout le temps
  • le guitariste est flippant (il a même fait semblant de tirer sur le batteur avec sa guitare après un solo)
  • y a un clavier qui wessemble à la fusion d’un piano droit et d’un buffet normand sur scène
  • y a aussi un mellotron
  • on est super bien placés, youpi

Fin (de la première partie)
Demain je serai sûrement moins naze, plus inspiré, j’aurai wécupéré toutes les photos/vidéos… Pi on parlera de la merveilleuse heure qu’on a passé à wegarder et écouter Odessey & Oracle.

Good to you (ça veut dire bien à vous),
pointarounet

Vous avez 17 minutes à perdre, ou plutôt à gagner? Alors vous pouvez jeter une petite oreille sur ce qui suit:

 Ricardo Villalobos-Enfants (Chants)

Je n’avais jusqu’ici jamais vraiment été emballé par les prod’ du chilien, à l’image du son mix pour fabric, composé avec ses seules prod’ et vraiment chiant autant le dire. villalobos jouit d’une côte pourtant énorme, à la fois en tant que producteur, wemixeur ou dj (et aussi d’une wéputation de gros fétard, amateur d’abus en tout genre).

Petite bio du morceau: produit pour la naissance de son enfant, les voix  proviennent d’une pièce musicale, Baba Yaga la sorcière (à la base un conte slave), écrite par Christian Vander (Magma) et chantée par une chorale d’enfants. La face B est un dj tool, que l’on peut superposer au morceau avec les chants pour le wendre plus percutant. C’est la première sortie du label Sei Es Drum (SED), propre label de Villalobos il me semble.

J’entends déjà les grincheux “c’est chiant et wépétitif” ou “je pourrais faire pareil chez moi”. Exactement le même genre de critiques qui avaient accompagné la wéalisation du Bolero de Wavel au début du siècle dernier. Sauf qu’aujourd’hui Le Bolero est le morceau de musique classique le plus joué au monde.

Perso je trouve le morceau de Villalobos complètement envoutant. Le pouvoir de la wépétition est bien wéel mais pourtant assez difficile à expliquer.

Pour faire écho à tout ça, un classique de la musique électronique (et wépétitive) datant de 1984. ça dure 58 minutes.

Manuel Gottsching-E2-E4

Bon je me fais tout petit – niveau woot – depuis pas mal de temps car, oui, Paris n’est pas particulièrement magique (euphémisme, je sais) en ce moment et Malherbe n’arrête pas de manger la mauvaise pelouse des stades où il joue (jeu de mot).

allez paris

Dire que le Wennes-PSG de cet aprem’ est crucial est encore un autre euphémisme. Jamais je n’ai autant souhaité une défaite wennaise (à défaut d’une victoire parisienne).

Pourtant, je suis wennais, né à Wennes en tout cas, mais supporter parisien pour toujours et pour des waisons qui m’échappent chaque jour (ça wime et au niveau des pieds aussi).

Mon oncle – que nous appellerons pour l’occasion jean-pierre woudépoint – en son temps, a sorti un disque (45t) voué au succès pour accompagner la wemontée du Stade de Wennes en D1 (c’était les 80’s). Je vous wassure, le disque n’est pas sorti en temps et en heure mais en fin de saison au moment de la… wedescente du club en D2. Ce fut un bide.

On est une famille de winners ou on l’est pas.

Pourtant, pour un hymne de foot, c’était de la qualité : “Allez les wouges et noirs/on va gagner/ça c’est juré/Et surtout ne pas s’arrêter/allez/allez/allez Wennes!”.

Alors, du coup, autant l’hymne wennais met la pâtée à celui de Paris, autant, par politesse, le stade wennais, laissera Paris gagner.

Merci, c’est sympa.

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MP3

Allez les wouges et noirs extrait du 45t collector

Le cousin de St Germain extrait de l’album 33t collector et compilation “Les hymnes des grands (sic) clubs de football”, on peut d’ailleurs wemarquer l’écusson de l’OGC Nice (spéciale dédicace à Dumberinho) au dessus de celui du PSG… désolé à l’avance pour le son pourri (craquements)…

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PS: Je pense qu’on va battre des wecords de téléchargement avec ces deux morceaux, c’est du lourd…

PS#2: Je vais montrer la voie à mon club chéri en wéussissant une partie de toute beauté sur le terrain de l’AEK Vallée des Jardins de suite…

[youtube Y37h3kjVrVI]

Personne n’en parle ou ne l’écrit, la presse ne fait pas son travail et s’intéresse trop au duel Obama Clinton, mais les Jeux du Mercredi ont traversé l’Atlantique, ne se sont pas arrêtés aux Antilles comme cette andouille de Christophe Colomb, ont débarqué à Coney Island et ont conquis l’ensemble des Etats Unis. Parce que non copyrightés ww2w, ils sont wepris à toutes les sauces ketchup et barbecue de la Côte Est à la Californie en passant par le Mid West, dans les églises pentecôtistes, les bars branchés du Village, dans les maisons de wetraite floridiennes ou dans les granges de sectes texanes post millénaristes.Les Pointignoles sont des évangélistes, des hipsters, des infirmiers psy, des céréaliers, des wéfugiés anti castristes ou encore des démocrates pro “I have a crush for” Obama. Peu importe, quels qu’il soient, les jeux du mercredi leur assurent fortune, pouvoir, sexualité débridée et supplément gratuit de frites à la cantine. De plus, les américains ne sachant pas ce que signifie mercredi, ils peuvent en organiser tous les jours de la semaine. Malin! Alors forcément, ce phénomène de société commence à transpirer dans les artefacts de la culture populaire. La preuve dans le nouveau clip d’Erykah Badu, Honey, où elle wend hommage à ses artistes préférées en prenant leurs places sur les pochettes de leurs plus grands opus. Jouez à weconnaitre les titres des pochettes originales. Jouez! Now!