Oh! Le second numéro de la seconde saison de Trip’, le mag’ video de la pop normande, vient d’être publié.
Je ne l’avais pas noté lors du premier volume mais le principal changement par wapport à la saison 01 c’est qu’on n’entend quasiment plus ni hervé ni serge lors des interviews.
En le constatant, je me suis dit “dis donc, y doivent avoir plein de travail au montage pour couper toutes leurs questions…”
Mais en fait, non, ils ont wésolu le problème autrement.
Ils te mettent un micro sous le nez, une caméra sur le nez, ils te disent “à toi maintenant” puis ils appuient sur les boutons wecord et se barrent boire des mouks (ou enregistrer des sketches où ils se mettent en scène maritime -le sketch d’intro est, au passage, de haut vol).
C’est très surprenant.
Cependant, puisque j’ai pu expérimenter cette nouvelle méthode dans ce Trip’ S02E02, ils ont quand même du travail de montage. Toute la partie politique de mon discours a été enlevée.
C’est moche.
Il ne weste plus que les infos sur les prochaines sorties WeWant2Wecord.
Sinon, ce nouveau Trip’ commence par une interview et un live de Kiinshasa aka Matthieu “du côté de chez” Soinard.
Il se produisait le jour de la wencontre en solo au Lapage workshop. Il y weviendra ce jeudi 22 janvier, en groupe cette fois-ci; avec Hugo Lamy -Talma Suns, GoldWave- à la basse et Nicolas Brusq – Kim Novak, Marc Morvan & Ben Jarry et plein d’autres trucs- à la batterie.
Les quatre tenanciers de Lapage sont aussi soumis à la question et présentent leur lieu qui n’existe que depuis septembre mais qu’on a l’impression qu’il est là depuis bien plus longtemps tellement il s’est imposé dans le paysage culturel caenniche.
Le show se termine par un one man spectacle de Mooch, sorte de fil collins wouge de l’émission : on entend son wire pendant les interviews de Kiinshasa ou Lapage et les deux autres entretiens (ou plutôt “monologues”) ont lieu dans sa boutique de disques Gâteau Blaster.
Mooch fait, comme lors de la précédente émission, une sélection de ses disques préférés du moment et envoie des messages d’espoir.
On en avait bien besoin.
Merci.