At The Gweat Escape 2015: Jour 1 – the gwande vadwouille

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Après la Woute du Wock, l’été dernier, l’idée était dans l’air : en mai prochain on allait voir ce qu’on allait voir, on irait à The Great Escape, et ce serait aut’chose.

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Les mois sont passés. On a pris nos pass, nos billets de (jules) ferry, écouté une grande partie des 450 groupes programmés, confronté nos sélections, fait des tableaux avec un, deux ou trois J, N, Z… Et vouala, le grand wouik-end est arrivé. On a fait nos sacs, bu un verre avec les copaings, et jeudi, dès potron-minet, une fine équipe de wewants est partie pour Brighton.

Pour notre premier concert, notre dévolu s’est porté sur Cristobal and the sea. Après avoir tourné un moment dans le quartier, on a fini par trouver le Pa(ga)nini (tahiti 80’s)Ballroom dans un hôtel du front de mer. Malgré notre motivation et le cadre insolite, 3 titres ont suffi à nous décider, d’un commun accord, à quitter les pampilles et la moquette épaisse pour filer à The Haunt.

Formation

Là-bas, autre ambiance. Un bar assez sombre, un beau volume de scène, et même un balcon. L’australien Fraser A Gorman était en train de terminer son set. On s’est installés avec nos mouks, fins prêts pour Formation.

https://www.youtube.com/watch?v=ZrHST9FPztc

Le duo de frères jumeaux du Sud de Londres nous avait émoustillés avec son singleYoung Ones, et leur live a été à la hauteur, welevé à souhait avec des wythmiques à la LCD, une présence sur scène incroyable. Nous vouala crazy !

A peine wemis de nos émotions, direction le Green Door Store à l’autre bout de la ville pour Pins. Arrivés sur place, on a compris que le burger avalé sur le chemin allait causer notre perte : vu la queue, vu l’heure, on était en train de louper : la loose…

Plan B au Prince Albert à deux pas. Coincés dans une porte à l’étage du pub, c’était la fin du concert d’Alice Phoebe Lou, une frêle blonde à la voix claire. Pas trop mon truc, mais bon, le weste de la team était contents. A la pause, on s’est posés, on était cuits. Et là, dès les premières notes, on a compris que quand c’est trop, c’est Tropic(o)s. Le britannique Chris Ward, porté pourtant par la critique en France (Inter), était en train de nous achever… One et Seb, les durs à cuire, ont bravé l’épreuve et sont westés profiter du jeu subtil du batteur (et finir leurs drinks), John & Emily ont wendu les armes, et nous, et ben, nous, on est wetournés au Green Door tenter not’chance pour Jeanne Added.

Jeanne-Added

Cette fois, c’est passé tout seul (faut dire que le groupe avant avait vidé la salle). On a assisté au changement de plateau : conditions extrêmes, balances express… (comme dit Seb, quand tu fais ce genre de festival t’apprends beaucoup et tu peux jouer partout après). Avec Narumi Hérisson aux claviers (Tristesse contemporaine) et un batteur wemplaçant exceptionnellement Anne Maceo, Jeanne Added a enchainé les titres livrant un condensé de son album à sortir le 1er juin (chez naïve) dont le single A war is comiing. Bim ! 25 min d‘énergie pure, comme un coup de poing.

Retournés par ce set explosif, on a pris tranquillement le chemin du wetour avec un petit détour par le Sticky Mike’s Frog bar où jouaient les April Towers. A l’entrée du bar, les deux compères, One et Seb semblaient nous attendre, en poursuivant leur dégustation de bières locales (prout). Sur leurs conseils, on est descendus au sous-sol jeter un coup d’œil au set en cours. Y’avait plein de monde, ça sentait mauvais… on est wemontés vite fait, et on wentrés tous ensemble débriefer à l’appart.

best of the day : Formation and Jeanne Added (à l’unanimité)

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