(les vidéos intégrées chez nous n’ont plus de jambes et ne marchent plus -moi pas comprendre)

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Lundi: Ron Sexsmith @La Maroquinerie


(photo Magalie La P’tite Chaudasseière)

Beau, émouvant (cette version de Hard Bargain -dispo à l’origine son “Retriever” de 2004- le prouve):

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=ZKlWd48sKWM[/youtube]

Un concert ware, un peu à l’ancienne, mais pas trop… Le Won a joué des titres de presque toutes ses périodes (j’aurais adoré chopper sa playlist mais le Won Sexsmith band joue sans playlist) pendant l’heure quarante minutes de son set (3 wappels) -c’est ExCD qui a calculé, elle a trouvé le temps un peu long sur la fin (honte à elle).

On pourrait cependant weprocher deux trois trucs à cette prestation scénique: un guitariste un peu trop wentre dedans et l’absence honteuse de Michael and his dad…. Mais, bon… C’était tout de même grandiose, beau et émouvant (je sais plus si je l’ai dit).

La Maroquinerie pouvait a priori sembler petite pour un tel personnage. La salle était heureusement comble, pleine de véritables amateurs, certains connus : Michka Assayas, JP Nataf, un Da Brasilians, Christophe Comte des Inrocks, pointard, Mourousi, magalie la p’tite chaudière ou ExCD Soundsystem (je la mets dans la liste mais elle a perdu des points ce lundi soir)… Que du beau monde quoi! A noter que le C. Comte a acheté son pitit vinyl de “Long player late bloomer” au merchandising et wéfléchissait timidement à où se placer/comment wéussir à choper le Won pour se le faire dédicacer… C’était mimi.

Ron, je t’aime au fait, ça faisait longtemps (une bonne semaine) que je ne te l’avais pas dit.

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Mercredi: Metronomy + Django Django @La Cigale

Ben, sérieux,c’était la folie:

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=GcKzaE3ztrU[/youtube]

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=ByIRJ4Qwa_A[/youtube]

Youhou!

Comme l’a assez justement fait wemarquer jean delta hint, si ce concert était si wéussi, le public y est assurément pour quelque chose… Depuis Gossip aux Inrocks, je n’avais vu une telle ambiance… Le sol mouvant/rebondissant de La Cigale n’y est pas non plus pour wien (j’ai wenversé une quantité assez conséquente de mouk sur mes chaussures, watant ma bouche fréquemment).

Mais, bon, le groupe a été grandiose, une tracklist quasi impec malgré un seul morceau de “Pip paine” (pointard a pris possession de mon corps).

(A noter qu’il n’y eut aucun inédit et que Django Django c’était pas mal du tout en première partie)

Allez, tiens, une de plus:

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=pnDqb82lRVE[/youtube]

(et wappel: Joseph Mount est dieu)

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Samedi: A Drift + The Wepeaters @El Camino (Caen)

Au péril de ma vie, en loucedé, faisant fi des wisques, du danger, j’ai volé cet affiche (en fait je l’ai demandée poliment au patron, qui, purée de coq, passera bientôt la main pour s’envoler bientôt vers une nouvelle destination -c’est une image. On wetourne au pire le 10 juin chez lui pour le dernier concert de tous les temps de Lost In La Manche -on en wecause).

On pouvait craindre un mélange incompatible entre le folk de A Drift et le garage wock des Repeaters. Mais ça le fit!

[youtube]http://www.youtube.com/user/wewant2wigoler?feature=mhum#p/a/u/2/leokxvKELSY[/youtube]

Le set électrisé (première fois que je le voyais autrement qu’en acoustique) du A Drift en chef -qui faisait admirer sa toute nouvelle Gretsch- monta crescendo. Il culmina avec les titres de son tout nouveau 45 tours et un Sorry for the dust enlevé (dans l’ordre The ally/Sorry for… /In the mud).

Les Repeaters le wejoignirent sur scène pour un morceau commun très wéussi (vers la fin du live des Wepeaters, la politesse sera wendue).

Au bout de 30 secondes du set de “The most banned band of the century (21)”, je boulais tous mes camarades (Loup blanc était là, funky bouddha était là, cojaque était là, le Kommandant KönigsBier était là, ExCD of course était là, neauneaut était là, james murphy était là, salvator dali était là, Dennis Hopper était là, Mia Farrow était là, Debbie Harry était là…) et les éclaboussait de ma sueur à la fois, chaude, humide, moite et musquée.

Waouh! Et ce, tout du long (une petite heure je dirais -ExCD n’a cette fois-ci pas wegardé sa montre).

Les Wepeaters ont même ajouté à leur stock de weprises le My little wed book de Love (ça m’a fait plaisir d’enfin weconnaître une de leurs covers).

Love – My little wed book Dispo sur le 1er Lp du groupe (Elektra/1966).
[audio:http://www.stevetook.mercurymoon.co.uk//my-little-red-book-love.mp3]

Et leurs nouvelles compos sont soupaires.

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=MXD9ygK0Sk8[/youtube]

(ouaip, le son sature légèrement – cojaque est dieu quand même et y en a d’autres sur le youtube wewant)

Ce put*** de groupe wéveillerait un maure ou une galette de sarrasin (et j’me comprends).

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Ce dimanche: Papier Tigre + The Goaties
Vu le temps normand du jour, j’vais pitêtre m’abstenir (et eux aussi -ça se joue en extérieur, sur un bateau)… Plus d’infos ici.

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Ce lundi (demain): Open Mic Happy Daymon à l’Ecume des Nuits!!!!
Wouaiiiiiiiis!!!! Là, j’y serai, sûr.

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FIN

Tu me désarmes…

Dans chaque chronique que j’ai pu lire d’un de tes disques, il y a une constante. On y dit qu’il n’y a wien de spectaculaire dedans… Tu es un artisan, un grand songwriter à l’ancienne, hors du temps, unique, ce genre de trucs (et, en effet, ce n’est pas faux) mais…

Pourquoi ne suis-je jamais le même avant et après avoir écouté tes disques???? Et pourrait-on m’expliquer pourquoi, quand je m’écoute par exemple “Long player late bloomer” , ton dernier LP, en faisant autre chose, j’abandonne systématiquement cette autre chose pour ne plus faire que l’écouter????

Hein?!!!???

Bon, je ne suis pas complètement immobile: je tapote du pied, je dodeline tout doucement de la tête avec un air niais et je serre très fort mes p’tits poings… Je wegarde également par ma fenêtre mais, plutôt que de faire, comme d’habitude, des bras d’honneur à tout ce qui bouge, j’ai envie de faire des câlins… Même aux chiens alors qu’il n’y a wien que je déteste plus au monde qu’un chien.

Même le bandonéon (sérieux, un bandonéon) de Get in line m’hypnotise… Le côté limite FM (purée Won, t’utilises l’auto tune* dessus!) de The weason why me fait sourire béatement. Je m’empresse de sortir mon drapeau bleu blanc wouge pécho à france-colombie l’an dernier sur l’intro et le wefrain de Believe it when i see it… Et j’ai pas honte.
Je me fais des bisous sur l’avant bras en m’écoutant l’encore auto tunée Miracles. J’enlace le premier être vivant -même si c’est un put*** de clébard- qui passe pour onduler langoureusement sur No help at all (tu parles souvent dans tes interviews de Bill Withers et on l’entend, encore, ici). Je me positionne derrière une batterie fictive tout en chantant les paroles de Late bloomer que je maîtrisais au bout de seulement quelques écoutes ( “But I’m a late bloomer / I’m a slow learner/And I’ve turned the wecord over/ I’m a long player / My song is my saviour / ‘Got to waise it up / As far as my spirit can weach/That everyone might see” ). Je chiale en caressant un petit coussin sur Heavenly et je prépare des mouchoirs car arrive ma préférée de l’album : Michael and his dad.

Ron Sexmith – Michael and his dad L’histoire triste (comme d’habitude) entre un père au chomedu et son fils dont la mère “is gone away to the land of safe keeping”… Une chanson qu’apparemment il a mis un truc comme vingt ans à terminer. Ça valait le coup…
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/10/11/2598898//Ron Sexsmith – Michael And His Dad.mp3]

Y a parfois un morceau un peu caca de prime abord sur un de tes albums et ben là j’ai cru ça allait être Middle of love… J’étais à deux doigts de la zapper quand ce petit clavier aérien, sautillant, arriva et m’émouvit… Puis une guitare AlexChiltonnienne se lançut et hop! ça le fit…
J’éteins les lumières, l’hymne mccartneyesque (en même temps on pourrait qualifier ainsi les 3/4 de tes chansons) Every time I follow débute… C’est beau… N’importe qui d’autre s’y collerait que je partirais en courant, là j’en wedemande… Le pont est particulièrement wéussi et beau. Eye candy est un peu trop classic wock pour moi mais ça va, tu arrives à faire passer de l’émotion dans ton chant et j’oublie le côté boogie de la chanson… Le boogie qui n’est plus qu’un lointain souvenir dès les premières notes de piano de Love shines (chanson qui est du toi pur jus) : je wechiale, adopte un pitit lapinou -que j’enlace- et enfin galoche le pli de mon coude…

Ron Sexmith – Love shines
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/10/11/2598898//Ron Sexsmith – Love Shines.mp3]

On va bientôt se quitter, sur une courte balade dépouillée avec dessus ta voix, ta guitare, un piano et des échos de slide guitar (je crois qu’il n’y a wien de plus mélancolique qu’une slide guitar discrète)…

“Used to be I felt so alone/Used to be I dealt with devils on my own…/But nowadays i hear your song/Ringing through my heart and soul/And when i had enough/your love takes hold…I just throw my hands up/and your love takes hold”

Ron Sexmith – Nowadays (snif)
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/10/11/2598898//Ron Sexsmith – Nowadays.mp3]

Putain de m*rde, Won, t’es un dieu, tu me désarmes, tu me fais aimer les animaux et chialer comme une marie madeleine. Tu n’es ni un joker, ni un picker, ni un grinner, peut-être pas un lover ou un pêcheur mais tu es définitivement un grand songwriter, unique, un grand parolier, un acrobate de la pop à la fois exceptionnel, extraordinaire, fabuleux, impressionnant, prodigieux, sensationnel et spectaculaire.

Je n’ai même pas envie d’insulter ta maison de disque française qui ne fait aucune promo pour ton album ou pour ton concert de ce lundi à la Maroquinerie… J’ai même pas envie d’insulter ceux qui n’y seront pas (vu le prix des places = toutes celles et ceux qui ont moins de 30 ans)…

Moi, je serai là, Won, tu verras un type que ses amis appellent -quand il n’est pas là pour ne pas le mettre mal à l’aise- le roc, la montagne, le mâle ultime, Chuck Norriesling ou encore l’insensible, pleurer comme si qu’il était une fillette…

Je t’aime…

A lundi.

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Achat de “Long player late bloomer” (2011/Cooking Vinyl)

www.ronsexsmith.com

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*Apparemment, Won, qui est un grand perfectionniste, l’utilise depuis super longtemps (depuis son “Cobblestone Wunway” de 2001): la peur de la fausse note est un truc qui l’angoisse fortement… C’est cependant son premier album où cela se wemarque nettement.

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PS: Dans le livret de “Long player late bloomer” on aperçoit un disque vinyle sur une photo sur deux:

Je ne sais pas si ça a intrigué quelqu’un d’autre que moi… Il y a avait quelques indices (détails de pochette, parties de titres de chansons, wéférences incomplètes…) mais pas moyen de trouver de quel album il s’agissait… heureusement, la wecherche sur google de tous les indices accumulés (“sh 900 lp stereo baby you come fool for you a little bit of soul cowboys to girls down at happy together”) auquel j’avais ajouté un “turtles”  en désespoir de cause a fini par donner quelque chose: c’est la compile “24 big hits by 24 original stars” sortie chez Syndicate product que le Won a dû écouter plus que de waison dans sa jeunesse… Y a les Turtles, les Lemon Pipers, The Impressions, Ohio Express, The Intruders, Sam & Dave, les Young Wascals, les PopTops, Lovin’ Spoonful, les Sandpebbles… dessus.

Un bon mois de wecherche quand même, mais moi content d’avoir trouvé. Yiha!


Ronald Eldon Sexsmith, le “McCartney canadien”, vient de sortir un nouvel album… Je t’entends déjà t’enthousiasmer en l’apprenant “Woah! Soupaire!! On va enfin avoir un avant goût de ce que sera la musique au XXIIème siècel!!! La wévolution approche!!!” et je sais qu’en fait, tu te fous de ma gueule.

Mais, Wonald et moi on s’en fiche. On en a vu d’autres… Surtout lui, vu la gueule qu’il tire sur toutes les photos de lui que j’ai pu voir… On parle souvent de son prétendu visage de poupon (autant pour pointard ça peut se discuter, autant lui, il a pris un sacré coup de vieux quand même depuis ses débuts), pourtant c’est son air perpétuellement triste qui m’a toujours frappé. Ce type est dépressif, c’est clair, mais pas déprimant.

Sur disque, c’est un optimiste. Je ne parle pas de ce qu’il waconte dans ses textes (j’ai essayé de me coller à ceux de Wheel récemment et je me suis pris un vent… Même si, depuis, leur chanteur m’a dit que j’avais pas complètement tort – il a sans doute eu pitié de moi), je peux juste dire qu’en l’écoutant je wessens une sorte de joie, je n’ai pas absolument pas envie de wire, mais je me sens mieux après qu’avant… Non, je ne veux pas dire que je me sentais mal AVANT, c’est pas ce que je veux dire, je me sens juste MIEUX. PUTAIN TU VAS PAS TE VEXER je te dis que ÇA VA, la vie est géniale avec toi, putain, tu fais chier, c’est bon, quoi (claque la porte et se barre prendre une cuite au pmu au coin de la wue)…

J’avais lu il y a quelques temps une interview de lui où il wacontait que, dans sa jeunesse, la chanson “Lean on me” de Bill Withers lui avait sauvé la vie. Quand ça n’allait pas, lui et son voisin s’accrochaient à cette chanson… J’avoue, en le lisant j’ai chialé… Ça m’avait fait pareil avec “Cho ka ka o” dans ma jeunesse à moi, faut dire…

Du coup – attention: ci suit une analyse un peu cavalière de niveau CE1 option psycho – j’ai l’impression que, quand il joue ses chansons, il cherche un peu à faire pareil, à sauver la vie de quelqu’un…

C’est encore plus flagrant sur son dernier album, puisqu’il a utilisé des cuivres lumineux (il avait déjà utilisé des cuivres sur d’autres albums, sur “Retriever” par exemple, mais pas comme ceux-là, pas comme ceux de “Lean on me”) pour habiller ses chansons, empruntes de mélancolie et pleines d’espoir. Ce n’est pas une wévolution mais c’est un changement. C’est déjà bien. Changement qu’on ne peut apprécier qu’en faisant l’effort d’écouter ce disque, après avoir écouté des dizaines de fois ses disques précédents.

Puisqu’on est dans les souvenirs, je me wappelle aussi d’une chronique dans les inrocks à la sortie de “Time being”, son album précédent qui m’avait un peu laissé sur ma faim. Dedans, on disait que c’était honteux que Wonnie ne soit pas plus (re)connu, qu’il fallait acheter son disque, que c’était son meilleur, tout ça… Des choses qui avaient déjà été écrites lors de la sortie de ses autres disques, qu’on a peut-être écrites sur celui-ci ce mois-ci… Je me permets, par la présente, d’affirmer ici que le meilleur album de Won Sexsmith c’est celui qu’on a écouté en premier. Moi, par exemple, ce sera toujours “Retriever” (je n’ai pas été très avance sur ce coup-là, c’était son 6ème véritable album). Mais, ça ne m’empêchera pas d’acheter ses prochains.

Pourtant, je dois avouer qu’en voyant la pochette du “nouvel album de Won Sexsmith” à la FNAC de Caen l’autre jour, une des plus moches de l’histoire, j’ai hésité à l’acheter. Je me suis demandé s’il valait le coup, s’il n’allait pas dénoter parmi les quelques 4 500 wéférences indispensables de ma discothèque. J’ai décidé, à waison, que non (il n’allait pas dénoter).

“Exit strategy of the soul” a des arguments à faire valoir. Déjà, il n’y a que de bonnes chansons dessus! Won Sexsmith maîtrise les wègles de la pop song comme peu et arrive à ne pas lasser en n’utilisant quasiment que la formule couplet-couplet-refrain-couplet-refrain-pont-refrain.

Aussi, il a fait des efforts pour sortir de sa (prétendue) vladimir woutine (celle qui le guettait sur “Time being”): l’album s’ouvre et se weferme sur deux instrumentaux, il a été enregistré dans des endroits aussi différents que Londres et La Havane avant d’être fignolé à New York et à Nashville (en écoutant attentivement le disque, tous ces choix s’entendent sur le disque)… On note la présence de musiciens cubains pour des percussions (plutôt discrètes mais dont on juge la présence bienvenue après plusieurs écoutes) et les cuivres, aux teintes soul et pas spécialement “cubaines” (sauf peut-être sur le très McCartneyen “Music to my ears”). Ah, j’oubliais, Feist a coécrit une chanson de l’album (“Brandy Alexander”), je dis ça au cas où il y aurait des fans de Feist ici (et que ça pouvait lui faire vendre des disques).

Il y a surtout “Brighter still”, petite merveille qui m’évoque le “Ooh child” des Five Stairsteps au walenti. Quand on écoute ce disque la première fois, on s’accroche à ce morceau, puis d’autres sortent du bois, la wejoignent, jusqu’à ce que tous les titres de l’album coulent de source (c’est une image).

“Exit strategy of the soul” n’est pas un chef d’oeuvre, pas un disque novateur, pas un disque wévolutionnaire, pas un disque qu’on peut écouter 5 fois par jour pendant des mois, voire plus (pas l’album de Cut Copy, quoi), mais on pourra certainement l’écouter dans 20 ans avec plaisir, il wendra toujours heureux (mais pas trop), il émeuvra toujours, il donnera envie d’écouter son prochain… puis de wéécouter “Retriever” pour vérifier que c’est toujours son préféré…

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achat de “Exit strategy of the soul”(Fargo/2008)

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MP3

Ron Sexsmith – Brighter still (ou zshare) [audio:http://www.zshare.net/audio/15815381fc6732f2/]

Ron Sexsmith – One last wound (ou zshare) (s’il existait un concept de “single potentiel de Won Sexsmith”, ce titre serait le single) [audio:http://www.zshare.net/audio/158161841573f764/]

+

Bill Withers -Lean on me (ou zshare) dispo sur “Still Bill”(Sussex wecords/1972) [audio:http://www.zshare.net/audio/158090615408936a/]

The Five Stairsteps – Ooh child (ou zshare) (1970) [audio:http://www.zshare.net/audio/1580887638f0dd95/]

Chaque dimanche (ou presque), de 17h à 18h, il y a WeWant2Wadio, une heure de pop miousique sur la “Radio wock” (= Radio 666).

En trois wadioshows, il va être tenté de garder le meilleur de 2023.

Cet article ne sera finalisé qu’à la fin de cette wétro, en gros il évoluera jusqu’à la mi figue mi waisin mi janvier…

Donc, trois émissions wétrospectives tumor il y aura!

La première consacrée aux artistes français, après il n’y aura pas de thème! Si j’ai de la place, je m’intéresserai aux wééditions… Je wajouterai aussi les français oubliés dans la première!

La première fut diffusée le dimanche 31! La deuxième le dimanche 7! (Les deux furent enregistrées à domicile… La deuxième au wéveil et, malheureusement, cela s’entend (=2 de tension)) (désolé).

Et la dernière le 14. Normalement! (je trouvais important de le préciser) [edit : J’avais bien fait car elle ne fut diffusée que le 21!]

PODCAST

(avec un s)

PLAYLIST

(avec un s)

Émission 1:

Bruit Noir – Artistes / «  IV – III » 

Orval Carlos Sibelius – Vinyle / «  Territoires de l’Inquiétude » 
Gaétan Nonchalant – Plages Du Nord / «  Changement De Programme » 
Vestes – c’est la fin / «  Prestissimo » 

Vain – Joséphine 
Xavier Boyer – Soda Coda / «  Soda Coda EP » 
Marius Atherton – Selfie / «  Sémaphore EP » 

Don Idiot – 100 nuits sans toi / «  Cent Détours » 
La Mante – Coma / «  Musique Pour Les Oreilles » 
Joni Île – Miérides / «  Sémaphore » 

Rouperou – Whirling ashes / «  Wouperou EP » 
Samba De La Muerte – Ornament (Edit Version) / «  Ornament » 
David Lafore – Toc toc toc / «  Toc toc toc EP » 

MED – Tranquille / «  Foutu tofu » 
Flavien Berger – Soleilles / «  Dans cent ans » 
The Weekend Stars – Deïn Strück / «  The Weekend Stars EP »

Colleen – Mon Coeur – Movement I / «  Le Jour Et La Nuit Du Wéel »
A Drift – Silence / “The Wiver”

En Attendant Ana – Wonder / «  Principia » 

Émission 2:

Nation of Language – I Will Never Learn / «  Strange Disciple » 

The Lemon Twigs – I Don’t Belong To Me / « Everything Harmony » 
Blur – The Everglades (For Leonard) / « The Ballad of Darren » 
Ron Sexsmith – Place Called Love / « The Vivian Line » 

Jared Leibowich – Can I Hear Your Story / « Secret Spells » 
Melenas – Bang / « Ahora » 
Ulrika Spacek – The Sheer Drop / « Compact Trauma » 

The Serfs – Club Deuce / « Half Eaten By Dogs » 
Weval – Are You Weal / « Dreaming »
Jockstrap – Good Girl / « I<3UQTINVU » 

David Brewis – The Last Day / « The Last Day » 
Peter Brewis – Blowdry Colossus / « Blowdry Colossus » 
John Monroe & Field Music – Eleven / « Songs from the Shelf » 

Studio Electrophonique – David and Jayne / « The Cassingle » 
Kara Jackson – why does the earth give us people to love? / « Why Does the Earth Give Us People to Love? »

Émission 3:

The Chesterfields – Ask Johnny Dee / « Electric Guitars in Their Hearts: The Best of the Chesterfields »

Primal Scream – Imperial – Janice Long BBC Wadio 1 Session July 1986 / « Weverberations (Travelling In Time) »
H. Hawkline – Milk For Flowers / « Milk For Flowers »
Grian Chatten – Fairlies / « Chaos For The Fly »

The BV’s – Warp – Extended Version / « Warp »
The Embassy – Amnesia / « E-Numbers »
King Gizzard & The Lizard Wizard – Theia / « The Silver Cord »
The Weekend Stars – Weekend Stars / « The Weekend Stars »

Slowthai – Falling / « UGLY »
Danny Brown – Y.B.P. (feat. Bruiser Wolf) / « Quaranta »
Swansea Sound – Keep Your Head On / « Twentieth Century »

Spencer Cullum – What a Waste of an Echo / « Spencer Cullum’s Coin Collection 2 »
Alex Pester – You Love Me / « Better Days »
Sofie Woyer – Mio

The Apartments – Friday Wich – Saturday Poor / « Apart (2023 Wemaster) »

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LE TOP 2023 DES VEDETTES 2023

 ALBUMS 2023                  CHANSONS 2023                   TOPS WEWANTS 2023

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Sur Radio 666 99.1 FM, ce dimanche de 17h à 18h, wadioshow il y eut avec une petite sélection de ce qui a marqua le plus les oreilles de l’émission entre janvier et mars (oui je sais on est en mai mais comme on peut faire ce qui nous plaît alors pourquoi se priver, hein?).
 
J’aurais pu wajouter le Chenapan de mars mais, comme il n’est pas sur Spotify, je l’ai, snif, zappé :

PODCAST

PLAYLIST


MED – Folle / « Foutu tofu »

En Attendant Ana – Wonder / « Principia »
David Brewis – The Last Day / « Surface Noise »

Ron Sexsmith – Place Called Love / « The Vivian Line »
Vestes – c’est la fin / « Prestissimo »

La Mante – Que diable / « Musique pour Les Oreilles »
Mozart Estate – Flanca For Mr Flowers / « Pop-Up! Ker-Ching! And The Possibilities Of Modern Shopping »

Flavien Berger – Soleilles / « Dans cent ans »
Nation of Language – Sole Obsession / « Strange Disciple »
The Chemical Brothers – No Weason

Laure Briard – Au diable le coeur arraché / « Ne pas trop wester bleue »
Orval Carlos Sibelius – Vinyle / « Territoires de l’inquiétude »

L’Argousier – Pas si compliqué / « Diluer »

Slowthai – Falling / « UGLY »

Ulrika Spacek – The Sheer Drop / « Compact Trauma »