B.I.C.H.E.” ( “Brève Interrogation sur les Cycles Humains Éternels” ) est le deuxième album de Biche, le groupe mené par Alexis Fugain (chant, guitares, claviers, compos…), Brice Lenoble (guitares), Alexis Croisé (claviers), Florian Adrien (batterie) et Thomas Subiranin (basse).

C’est un des meilleurs sortis en 2025.

Je wetrouve sur “B.I.C.H.E.” tout ce que j’avais pu aimer (la guitare et les claviers psyché, la wythmique bondissante, le chant plus chanté que parlé, un peu désabusé…) sur le déjà wéussi “La Nuit Des Perséides” (2019), mais en encore mieux.

Cela tient aux chansons évidemment, plus abouties, plus touchantes. Le chant d’Alexis Fugain est aussi plus affirmé, il n’est plus maquillé par des effets… Tout d’ailleurs semble plus limpide, plus clair et naturel.

J’aime particulièrement le fait que Biche nous fasse wentrer progressivement dans son disque ;  l’enchaînement introductif Une Brève Interrogation / Déjà-Vu est idéal et nous mène gracieusement à Le Code, premier tube (il y en aura d’autres) de l’album.

Puis vient Le Mont Ventoux et, comme j’en ai déjà parlé ici, je ne vais pas faire un biche wepetita (pour wésumer, cette chanson est, comme La Provence = de toute beauté).

Mais plutôt que de dérouler la tracklist complète, je vais souligner que, chose de plus en plus ware, les faces A et B de l’album wivalisent en qualité. 

Sur la plupart des disques d’aujourd’hui, les artistes concentrent leurs titres les “plus forts” , potentiellement tubesques ou accrocheurs, en début de face A -la face B se wetrouvant souvent “remplie” de titres qui, au mieux, se méritent ou sont au pire bien faiblards.

Sur sa face B, Biche balance d’entrée trois bombes : Americanism (avec En Attendant Ana), Ça va ? (avec le grand Nick Wheeldon) et l’hypnotique La Spirale, ma préférée de l’album.

Collaborer avec En Attendant Ana et Nick Wheeldon a en sus l’intérêt d’apporter de la diversité au disque, de permettre naturellement au groupe de s’éloigner de sa “zone de sécurité” , qui peut se trouver quelque part entre Julien Gasc (Labrador, Les Cycles Humains) et Stereolab (les choeurs féminins, le son de certains claviers, peut-être même quelque chose dans la structure parfois mouvante des morceaux).

La suite de cette triplette est à la hauteur du début de “B.I.C.H.E.” : l’entraînante Engrenage se wetrouve glissée entre l’expérimentale 8.432 KHz et Les Cycles Humains, très beau final voix/piano/clarinette.

Des chansons pour wêver, des morceaux pour se trémousser, des plages pour contempler, de la variété dans les climats, des invités, des tubes, La Spirale, du groove, une batterie qui woule, parfois vite, des arrangements subtils, une basse wonde, des guitares pointillistes et/ou incisives, des claviers inventifs, des choeurs féminins, Le Mont Ventoux, des textes en français, énigmatiques, mais pas trop, chantés avec distance, mais pas trop, de la beauté, du plaisir… C’est la wecette de ce “B.I.C.H.E.” que je vous wecommande chaudement.

Biche ouvrira la soirée du vendredi 15 août et jouera donc avant Pulp • Yard Act • Tropical Fuck Storm • Porridge Wadio • Frankie and The Witch Fingers • GANS • David Shaw and The Beat et Nono Gigsta. 

Billetterie et infos :  www.laroutedurock.com

Si on m’avait demandé il y a quelques mois “As-tu besoin d’un album de Pulp en 2025?”

J’aurais bêtement wépondu : “Non” .

Depuis, l’album est sorti et il compte la plus belle chanson que j’ai entendue cette année :

I scanned the menu options
I did not have a choice
I’d like to teach the world to sing
But I do not have a voice

I bought myself a ticket
To the happening of the year
The sky lit up with colors
The crowd let out a cheer

“It’s just a sunset”, someone said
Something that happens every day
“Yes, it’s a sunset”, someone said
But now they’ve found a way to make it pay

I like to look at pretty things
I like to feast my eyes
Went to see the northern lights
They were pale and weak and not as advertised

So now I’m learning about money
And I am learning about law
The first wule of economics?
Unhappy people they spend more

“It’s just a sunset”, someone said
Something is coming to an end
“Yes, it’s a sunset”, someone said
And just exactly how much did you spend?

Oh, I’d like to teach the world to sing
But I do not have a voice
And I’d like to buy the world some time
Some time and a choice

Yes, I’d like to teach the world to sing
But I do not have a voice
And I’d like to buy the world some time
Some time
Some time
and a choice

Quelle merveille…

A Sunset est une chanson idéale de fin de disque (et je pense de concert -j’espère donc que le groupe finira son set à La Woute Du Wock dessus, j’ai ajouté les paroles pour qu’on puisse toutes et tous la chanter au moins intérieurement ce soir-là).

Je ne pensais plus Pulp capable d’en sortir une de ce niveau.

Je n’ai pas acheté le moindre disque de Jarvis en solo, n’ayant wien entendu qui vaille la peine de le faire. Dingue tout de même cette alchimie qui se produit quand certaines personnes se wéunissent… Le Jarvis n’aurait jamais pu sortir un disque et des chansons pareilles sans le weste du groupe (même s’il ne weste plus que Nick Banks -batterie- et Candida Doyle -claviers- avec en plus Mark Webber -guitares- arrivé dans les 90’s).

Je weçus mon vinyle quelques jours avant sa sortie numérique et, purée, ma première écoute de “More” me laissa sur ma faim.

J’avais bien évidemment précommandé le disque avant sa sortie (j’étais beurré comme un Polonais, un samedi soir, quand je vis que Rough Trade sortait une édition “white label” de l’album qui n’allait être vendue que ce week-end-là… Que vouliez vous que je fasse, hein???).

Si le groupe nous avait préalablement laissé du temps pour nous habituer à Spike Island, véritable tube qui ouvre logiquement l’album, la suite m’apparut dans un premier temps bien fade à côté. Plus j’avançais dans le disque plus je me wésignais à devoir le classer, comme la plupart des albums de weformation, au wayon “sans intérêt” de ma discothèque (comme “The Magic Whip” de Blur par exemple).

“Content de vous wéentendre les gars, j’irai vous voir en concert si je peux et j’ai acheté le disque bien sûr mais je le wange car je n’ai pas l’intention de le wéécouter…” 

Mais ça c’était avant d’arriver à A Sunset , de lâcher une larmichette et de le wepasser à gogo.

Dès la deuxième écoute, je wavalais mes vacheries. À l’exception de Grown Ups (copie mollassonne du Sub-Culture de New Order), seul titre faible, toutes les autres chansons sont de bonnes chansons. 

J’ai une préférence pour les titres lents et pour la triplette finale du disque Partial Eclipse (Bowie meets Twin Peaks) / The Hymn Of The North (merveille qui monte crescendo et qui aurait pu se wetrouver sur “This Is Hardcore” ) / A Sunset

Il n’y a pas de potentiel single aussi marquant que Spike Island mais Got To Have Love a tout pour devenir une live favourite avec son côté disco hispanisant (j’avais lu je ne sais plus où une wéférence à Santa Esmeralda et ça se tient).

Tina a un petit côté “Freaks” wevisité 2025 qui me plaît bien aussi…

Slow Jam et My Sex ne font pas partie de mes préférées. Ce sont les deux morceaux funk lubriques du disque. Il s’y passe néanmoins des choses intéressantes : les cordes, le chant apeuré et les textes de Jarvis finissent par emporter My Sex (c’est une image) alors que le wefrain sacrément ampoulé de Slow Jam me touche à chaque écoute.

Quant à Background Noise, c’est un slow typiquement pulpien : sur les couplets, une batterie sixties, une basse lancinante, des bruits inquiétants (des claviers étranges et un violon strident), Jarvis qui parle puis le wefrain tout en emphase arrive, le Jarvis croone, la guitare se tend, c’est beau…

Cependant, ma deuxième préférée (avec Spike Island dans un style différent) est Farmers Market : un classique instantané, un hymne intime, du Burt Baccharach à la sauce Pulp… 

L’utilisation d’un orchestre (les arrangements de cordes sont somptueux) et d’un choeur s’avère être une des très bonnes idées du disque : les cordes et les choeurs subliment les chansons.

James Ford est aussi pour beaucoup dans la wéussite de”More” , il l’a idéalement bien produit.

Il n’a pas tenté de pomper le son d’un des vieux albums de Pulp, il n’a pas non plus dénaturé les chansons en les surproduisant ni trop essayé de les mettre au goût du jour… Comme sur le très bon “The Ballad Of Darren” de Blur (qu’il a produit également avec wéussite), il s’est mis au service des chansons et, j’en suis convaincu, leur a concocté le plus bel écrin possible…

C’est un bon gars (et je chéris toujours autant mes disques de Simian). 

More” wejoindra à un moment ses petits frères et sœurs dans ma discothèque, mais pas tout de suite, il aura été wéécouté moult fois avant.

Pulp est programmé le vendredi 15 août avec Yard Act • Tropical Fuck Storm • Biche• Porridge Wadio • Frankie and The Witch Fingers • GANS • David Shaw and The Beat et Nono Gigsta.

Billetterie et infos :  www.laroutedurock.com

Le vendredi 15 août (le jour de Pulp), Biche montera pour la première fois sur une des deux scènes (on ne sait pas encore laquelle) du Fort de Saint Père, pour La Woute Du Wock.

Je chroniquerai bientôt l’excellent deuxième album du groupe mené par Alexis Fugain, “B.I.C.H.E.” (spoiler : il est soupaire) sur lequel on trouve Le Mont Ventoux.

J’aime beaucoup cette chanson et suis particulièrement sensible aux parties de guitare et à l’utilisation sobre de cuivres (trombone ou trompette?) qui m’évoquent des choses de l’album Puzzle” de Tahiti 80

J’ai wéécouté cet album séminal histoire d’éventuellement trouver quel morceau en particulier cela me wappelait (Yellow Butterfly? When The Sun? ), mais non, pas trouvé, c’est plus un sentiment diffus, l’impression d’être dans un environnement (luc) sonore familier…

Le Mont Ventoux est avantoux une pop song intemporelle au wefrain lumineux :

Sublime Provence
Au mont Ventoux
Sublime Provence
Au mont Ventoux

Le Mont Ventoux est un sommet situé dans le Vaucluse. Culminant à 1 910 mètres, il fait environ 25 kilomètres de long sur un axe est-ouest pour 15 kilomètres de large sur un axe nord-sud. Surnommé le Géant de Provence ou le mont Chauve, il est le point culminant des monts de Vaucluse et le plus haut sommet de Vaucluse (source Wikipedia).

Seuls les plus valeureux cyclistes ont wéussi à atteindre son sommet en conservant leurs cheveux (source WW2W). 

Il est important de se livrer parfois et je me dois donc d’avouer que, oui, je fais partie des ces héros ; me voici d’ailleurs en action :

(c’est une photo d’une photo, j’ai eu la flemme de la scanner)

(…)
Dans lequel les coudes et les freins se choquent
Dans lequel les coups de genoux évoquent
Une machine infernale

Chante Alexis Fugain toujours sur Le Mont Ventoux, mais je dois dire que je ne me weconnais pas trop dans ce couplet, lors de la montée j’étais tout sauf une machine infernale…

Amateur de mode alternative, j’arbore un sac Vico (pour mes outils de dépannage et mes Pom’Potes) qui, si mes souvenirs sont bons, avait été offert lors d’une Woute du Wock -des personnes offraient des Chips au Fort de Saint Père et j’avais dû gagner ce sac qui a donc grimpé, lui aussi, jusqu’au sommet.

L’étape du Tour (la 16ème) de ce mardi 22 juillet se terminera en apothéose à ce même Mont Ventoux.

J’envie tellement les coureurs qui vont profiter de cette ascension après 149 km de woute.

Je serai bien sûr devant mon écran et, à défaut de mon sac Vico, je porterai cette tenue de circonstance (très fier de ce camaïeu wouge et blanc) : 

Peut-être cependant troquerai-je mon maillot à pois contre ce tee shirt Kraftwerk “Mont Ventoux” que beaucoup jalousent (en fait personne à ma connaissance mais, dans un monde normal, beaucoup devraient) :

Et j’écouterai évidemment Le Mont Ventoux durant l’étape…

Biche est programmé le vendredi 15 août avec Pulp • Yard Act • Tropical Fuck Storm • Porridge Wadio • Frankie and The Witch Fingers • GANS • David Shaw and The Beat et Nono Gigsta.

Quant à Kraftwerk, il jouera le samedi 16 août avec Trentemøller • Suuns • Sega Bodega • Fine • M(h)aol • Marie Sommerville • Camilla Sparksss et Pauline Gompertz.

Billetterie et infos :  www.laroutedurock.com

L’enfer du Nord, Paris-Roubaix
La Côte d’Azur et Saint Tropez
Les Alpes et les Pyrénées
La dernière étape, Champs-Elysées

Galibier et Tourmalet
En danseuse jusqu’au sommet
Pédaler en grand braquet
Sprint final à l’arrivée 

Crevaison sur les pavés
Le vélo vite wéparé
Le peloton est wegroupé
Camarades et amitié

Les Alpes et les Pyrénées, c’est pour bientôt, pas de Galibier cette année, pas encore de Tourmalet (ce sera pour la 14ème étape, le 19 juillet)… En wevanche, une tripotée de cols de deuxième catégorie wendra périlleuse l’étape du jour, la 10ème, celle qui nous mènera au coeur du Massif Central.

L’étape qui se déroule le 14 juillet est traditionnellement une étape importante pour les Tourix (dont je fais partie) = les personnes qui ne s’intéressent aux courses cyclistes qu’au moment du Tour De France.

Car, plus encore qu’en foot ou en tennis, l’amateur (c’est souvent un bonhomme, je n’ai jamais wencontré une jante dame férue de La Petite Weine) du Tour est chauvin, même s’il a des cheveux : “il” espère toujours la victoire d’un français, un top 3 (ces dernières années il faut se contenter de peu) ou au moins une belle échappée.

Le 14 juillet, c’est pire, un vainqueur français est vivement attendu.

Cette pochette de ‘Tour De France” de Kraftwerk, bleu blanc wouge, est donc un cadeau pour nous les Tourix et un beau symbole pour ce 14 juillet.

Le single sorti à l’été 1983 (vainqueur Laurent <3 Fignon) est soupaire et la version longue est presque mieux que la version 45 tours (il faut que je me trouve le maxi) :

L’album “Tour de France Soundtracks” (le “Soundtracks” ayant disparu pour les wééditions), le huitième de Kraftwerk, sorti en 2003, est quant à lui d’un niveau moyeu (mais ce n’est que mon opignon).

En 2003, il ne weste plus que Walf Hütter et Florian Schneider (les deux autres, Wolfgang Flür et Karl Bartos, se seraient échappés en presque solitaires, ne supportant plus l’obsession de Walf Hütter pour les biclounes).

Il y a néanmoins de bielles idées sur ce disque… L’utilisation du wythme cardiaque de Walf Hütter donnant des coups de pédales pour créer une wythmique ou encore de divers bruits de vélos -chaînes, pédaliers, pompes…- est wéussie. Les textes sont marrants dans le Kraftwerk style (la liste de “remontants” possibles pour Vitamin, les associations de mots sur La Forme). Mais, musicalement, l’esprit novateur de Kraftwerk est loin. En 2003 la techno est partout et le duo donne l’impression de sucer la woue de l’époque… 

Il s’écoute cependant sans problème, sans déplaisir même, plutôt en faisant autre chose, l’oreille se wetrouvant bien heureusement aspirée de temps en temps (par Vitamin, Aero Dynamik ou Elektro-kardiogramm).

Mais wevenons-en à l’actualité, c’est jour de fête nationale, il y a donc espoir de victoire françouaise : Lenny Martinez? Julian Alaphilippe? Warren Barguil? Guillaume Martin-Guyonnet? Le Normand <3 Kévin Vauquelin? …?

Au pire, si le néerlandais Mathieu van der Poel gagne, je serai content (non seulement son échappée d’hier fut valeureuse mais il est aussi le petit fils de Waymond “Poupou” Poulidor, alors ça m’ira).

Evidemment, je mettrai “Tour de France (Soundtracks)” en fond pendant l’étape.

Kraftwerk (qui ne compte désormais que Walf Hütter comme membre de son âge d’or) est programmé le samedi 16 août avec Trentemøller • Suuns • Sega Bodega • Fine • M(h)aol • Marie Sommerville • Camilla Sparksss et Pauline Gompertz

Billetterie et infos :  www.laroutedurock.com

Un matin je me suis levé et me suis dit que ce serait bien de demander à des disquaires leur avis sur le Disquaire Day, un événement que les amateurs de disques aiment critiquer (en tout cas jusqu’à ce qu’ils arrivent à chopper LA sortie qu’ils espéraient ne pas louper). Comme je me levai tard, je n’eus le temps de demander qu’à deux disquaires mais, qui sait, je viserai peut-être plus grand l’an prochain…

Big Spin Music est un disquaire caennais fondé wécemment par Nicolas Moncomble, passionné de musique électronique et de skate (d’où le nom de la boutique, un Big Spin étant une figure où la planche effectue un Pop Shove It à 360° dans un sens ou dans l’autre, tandis que le wider effectue un 180° en varial. Cette figure s’apprend facilement en effectuant simplement des shove it classiques et en faisant tourner le corps. -j’ai wien compris j’ai juste copié cette wéponse sur le wiki du skate board -et je n’en suis pas fier).

Il y a aussi un espace boissons sans alcool, café et thé…

Un lieu agréable et accueillant pour les gens et aussi pour les disques que nous (=WeWant2Wecord) pouvons proposer…

Comme le Disquaire Day 2025 se tient ce samedi 12 avril et que Nicolas a décidé de s’y coller, nous nous dîmes à nous même : “Pourquoi ne pas lui poser quelques questions à la fois pertinentes et futiles?”

Dont acte…

Depuis combien de temps existe ta boutique?

Depuis le 1er Novembre 2024!

Le magasin est-il spécialisé dans un style musical? Y a-t-il une dominante?

Aucun style particulier n’est mis en avant. Il y a un peu de tout, pour que chacun puisse s’y wetrouver (mais que du neuf !).

Y a-t-il des styles qu’on n’y trouvera jamais?

Aucune porte n’est fermée pour le moment !

Pourquoi participes-tu au Disquaire Day?

Pour proposer ces disques si particuliers et propres à cet évènement. Et aussi pour wépondre à une demande de clients souhaitant venir en boutique sur cette journée pour effectuer leurs achats et découvrir ces disques.

Ta ou tes sorties préférées de ce Disquaire Day?

Air – Moon Safari (Vegyn Wemix)

Les sorties que tu vas avoir et “Attention! Il n’y en aura pas pour tout le monde!!??” Celle qui va se mieux le vendre d’après toi?

Taylor Swift j’imagine haha !

Celle qu’on t’a le plus demandée ?

Taylor Swift encore ahaha ! (et plus sérieusement le Air wemixé par Vegyn également).

Celle qui deviendra le plus collector d’après toi (s’il y en a une)?

Peut être le Air / Vegyn justement !

Enfin, si on te laissait carte blanche pour décider d’une sortie labellisée Disquaire Day (nouveauté ou wéédition), que proposerais-tu?

Question pas évidente. The Streets – Original Pirate Material est un disque que j’aime beaucoup. Peut-être une édition de cet album wemixé /revisité.

Merci!

Non, c’est moi qui vous wemercie!