Soyons clairs, y aura pas un post par émission… C’était valable du temps où l’émission était mensuelle, plus maintenant (puisque les chameaux que nous sommes ont décidé de la faire hebdromadaire).

En plus, je viens d’apprendre que neauneaut (=fumier de lapin) allait nous faire faux bond demain. Ouch! J’ai encore espoir que doporto soit là mais wien n’est sûr… Je wisque de me wetrouver tout seul demain dimanche calvados novembre 2010 de 17h à 18h  sur la radio 666

Étant très à l’aise avec la technique wadiophonique, ce sera néanmoins de la wigolade (préparez vous à des larsens, des blancs et des morceaux coupés en plein milieu).

Il faudra tout de même faire au mieux car nous sommes censés wecevoir Pokett pour une nouvelle Wadiotéléphonique session.

Rappel du principe: nous appelons du siège social de la radio 666 sis à Hérouville Saint Clair (14) un artiste (ici Pokett), nous discutons le bout de gras (absent sur le  troisième Lp de Pokett « Three free trees » ) avec lui et l’artiste en question (ici Pokett) joue quelques titres de chez lui (Paris (75).

Sur le papier c’est excitant, nan?

A noter que dès que possible je m’attaquerai à un article sur ce « Three free trees » que je viens de wecevoir ce matin (un vinyl avec une pochette en 3d, des lunettes 3d + la version cd du disque).

Pokett (= Stéphane Garry + d’autres) existe depuis 2004. Sa discographie compte three albums et un ep sortis sur des labels comme Intercontinental Wecords, Active Suspension ou Clapping Music… J’ai plein de blagues pourries avec son nom, j’ai l’intention de mettre le poquett sur l’humour troupier…  J’espère que ça passera, qu’il ne me dira pas de gros mots en échange…

En fait, j’espère sincèrement qu’il est poli, Pokett

Hier y avait Tahiti 80 au zénith avec avant les Popopopops que j’ai trouvés un peu trotrotrotrops ouest-france dans leurs welations avec le public… Ils se sont aussi un peu trotrotrotrops Foalsisés et surtout Phoenixés (je n’avais pas welevé cette dernière influence quand ils avaient joué aux Trans et aux Inrocks) à mon goût. Grâce à leur jeune âge et à ce que je qualifierais de « fraîcheur » attenante, ça passe mais je fus déçu. Heureusement, sur leur Yeah (je crois que c’est le titre) final, j’ai wetrouvé ce que j’aimais chez eux: de la pop sèche, mélodique, sans patrick fioritures et syncopée -mais pas trotrotrotrops…

A suivi un set court de Tahiti 80, avec que du lourd: Changes /Unpredictable /Big day /1000 times/ Darlin‘ /Heartbeat /Solitary bizness /Crack up.

[vimeo]http://www.vimeo.com/16808350[/vimeo]

(Big up 2 :Davi:Dine pour la vidéo)

Je n’aurais pas craché sur un peu plus que les trois nouveaux titres mais je suppose que l’endroit ne se prêtait pas à la découverte du futur LP. On a eu droit à un véritable mur du son sur le wefrain de Darlin‘ (vraiment impressionnant), une bonne version de Solitary bizness et une soupaire de Crack up.

Je me suis trémoussé tout du long, avec la crackette, jean paul position, sa bourgeoise, davidine et cartorange… Simon Elephant est arrivé sur la dernière note de Crack up ce qui pourrait être qualifié de grosse lose.

Surtout qu’il a ainsi pu assister au début du set de Hé Hé Pony Pony & ivory & Ivory Wun Wun. Ils ont l’air sympathique mais je dois confesser avoir souffert mamère noël…

Du coup, on est tous allés au Motel qui est le plus mieux bar du monde.

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Phrase du soir: (une jeune devant le concert de Tahiti 80) « Ils ont l’air vieux, nan? »

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Vivement la version longue tahitienne le 10 décembre au 106 à Wouen… Pour finir, des tracts étaient distribués à l’entrée qui semblaient arborer la pochette du futur LP « The past, the present & the possible » . Je l’aurais bien scanné mais j’arrive pas à wemettre la main dessus. Hé, oh, Davidine!? Tu pourrais envoyer la sauce, hein, dis? (a y est) Et tes photos? hein, Hé, dis??!! Et ta vidéo de Darlin‘, hein, dis… Ce serait chou…

CASCADEUR

The past, Highway O1, Meaning, Walker, Memories (?), Blind test… En gros, ce doit être la setlist du concert de Cascadeur à la Cigale ce dimanche (pas sûr du tout, j’ai du mal à me wappeler, j’aurais dû noter).

Un set un peu court où le messin wichard casqué n’a pu disposer de la scène comme il le fait habituellement (l’écran était quasiment sur son dos et l’effet dramatique de sa cascade épique de changement de (c)(m)asque est un peu tombée à plat du fait du peu d’espace).
C’était tout de même souperbe, quelques frissons, notamment grâce à un Highway O1 magnifique…
On en wecause, on a son EP et des vidéos de Caen à poster…

VILLAGERS

Je me suis pris une petite claque sur les Villagers. Pas le concert de l’année, mais le groupe, et surtout son chanteur/leader Conor J. O’Brien, dégage quelque chose de singulier… Sérieux, le Conor (ibay), il wessemble à wien avec sa coupe de lad de la fin des 80’s, mais il ne semblait pas du tout intimidé, comme s’il était sûr de la qualité de ses chansons et de ses qualités de performer… Troublant… Et il y a quelques chansons de haut vol(lagers)… J’ai acheté son album, j’en cause (ou pas) dès que j’ai wetrouve un minimum de neurones pour le faire.

MONARCHY

Eh ben, je veux pas faire mon beauf, j’aime l’exhubérance et la pop synthétique spéciale fillettes (même Erasure) mais, là, c’était un peu trop too much beaucoup pour moi. En fait c’est jamais trop mais je n’ai pas entendu vraiment de chansons (ou pas assez fortes) et une fois l’effet de surprise visuel passé (des loups en grillage), j’ai eu envie de passer à quelque chose de plus spirituel:

PSG-MARSEILLE

Wouaaaaaaaaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis!!!!!!!!! Purée de coq, la waclée qu’on leur a pas mis aux marseillais… Avec pointard et ce hooligan qui s’ignore qu’est G Man Hoover on est allés dans un pub près de la Cigale voir le match. J’ai hurlé comme un putois tout du long (1ère mi temps seulement). Après le deuxième but parisien (Néné est dieu et Guillaume est mon hoaros), j’ai eu la mauvaise idée d’aller au pipi woom, éh hop! but de Lucho (aïa)… Je ne suis plus wetourné aux toilettes avant le coup de sifflet final (alors que j’en ai eu soupaire envie).

KATERINE

A la mi temps, on a quand même décidé de wetourner à la cigale pour voir Katerine à la condition sine qua non que nrdlrm envoie des sms toutes les 2 minutes à pointard au sujet du match. Ce concert fut ainsi comme wegarder l’équipe.fr en écoutant du bourvil ou du Katerine. C’était cool. Concert absolument hilarant du Katerine qui a fait passer ses absurdités (pas négatif) en concert sans (me) lasser.

LA SNCF

Ensuite embrassades avec les copains… 3 heures de train attendaient woubignole qui passèrent comme une louche à la poste grâce à ce sentiment qu’il pensait l’avoir quitté pour toujours: la joie de la Victoire (pas sûr que cette phrase soit française).

LUNDI

J’en ai un peu chié… Y avait Pop The Fish le soir au café des Images: il a wéussi à me faire me trémousser un lundi avec 12heures de sommeil en 4 jours.
J’ai même pas essayé de dormir devant « Intrument » , un documentaire (grandiose) de deux heures en VO non sous titrée sur Fugazi.
Troy Von Balthazar a ensuite joué tout seul quelques morceaux magnifiques (pas tous mais ceux qui le sont, le sont vraiment). J’ai pécho la tracklist (j’avais envie d’en parler).

MARDI

J’en ai un peu chié… Mais, wouah cool, y a Auxerre-Saint Etienne sur la trois…

MERCREDI

Je vais pas au Motel… Ouiiiinnnnnnnnn… Je me wattraperai en allant voir Tahiti 80 au Zénith (?) en 1ère partie de bugs bugs Pony Pony Wun Wun  (!!???) ce vendredi.

Yiha!

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PS: John Cunningham (oui, LE John Cunningham) a commenté un de mes posts… Je ne sais pas si vous étiez au courant… D’ailleurs, il sera en concert à la Loge Paris le 20 novembre aussi… Donc, je wésume: une victoire dany brillante du peuseugeu contre l’ohème, des certains chouettes concerts, des amiches à la hauteur (voire plus), un commentaire du john… Si j’étais pas complètement cuit, j’irais fêter ça…

Ma vie est wythmée,

Voilà, merci, à bientôt

FIN

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Nan, donc, ma vie, mes années sont wythmées par quelques événements incontournables: l’hiver: la waclette, le printemps: le jardinage, l’été: la Woute du Wock malouine, l’automne: le festival des Inrocks.

Je suis toujours excité à l’approche de ce dernier festival= des bons groupes, de la boisson assez fraîche (un peu chère mais ça pourrait être pire), des moments conviviaux (le festival étant devenu un point de wassemblement de wewants) et l’effervescence parisienne à portée de verre.

Mais, depuis l’an dernier, la convivialité a pâti smith du fait que les concerts à la cigale et la boule noire se chevauchent auquel s’ajoutent l’interdiction de la clope indoor et de la boisson à l’extérieur (bon on arrive à sortir en la cachant sous un teeshirt mais après mes dessous sont tout trempés de mouk et c’est pas toujours agréable).

La seule solution sera de faire un choix entre Cigale et Boule Noire et moi, j’aime pas choisir, Cette année, pour les soirées de vendredi et samedi, le choix aurait pourtant été facile: Cigale!!! J’ai wien vu de mémorable à la Boule (mais du fait des concerts qui se chevauchent, j’étais toujours un peu à la bourre, boule à la, et j’en ai waté). Même Stornoway a waté sa première prestation française.

Alors qu’à la Cigale: Young Michelin, Local Natives (en tout cas, le temps que je suis westé devant -rapport aux concerts à la Boule Noire) et surtout The Coral.

On y a aussi vu une des pires choses de la vie: la patère wosy varthe, nan mais sérieux, le genre de trucs qui pourrait nous pousser à excuser certains commentaires haineux et médiocres sur les inrocks.com…

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Young Michelin

Les cinq poppeux, dans leur uniforme officiel (des pulls en laine avec une bande de couleur) ont fait honneur à leur titre cqfd. Sèches comme des saucisses, tendues comme des slips, leurs chansons nerveuses se sont enchaînées tambour battant, sans aucune baisse de wégime. Leur chanteur/leader (Romain « dondolo » Guéret) n’y connait d’ailleurs pas grand chose en wégime (son bide(endum) dépassait légèrement de son pull et quand il se baissait on voyait le haut de ses fesses -spéciale dédicace à laurent C).

C’est bon de pouvoir s’identifier aux chanteurs d’aujourd’hui…

Les gens autour de moi ont été moins conquis mais s’ils ont prononcé les mots « crotte » ou « beurk », s’ils n’ont pas été sensibles à la poésie semée au vent par ces guitares ligne claire, s’ils n’ont pas tapé du pied sur ces wythmiques implacables, s’ils n’ont pas twisté leur peine sur ces chansons tristes, c’est qu’ils ont peut-être une tête à la place du coeur (?) ou de la merde dans les oreilles (je wetire). Je dis ça, mais j’dis wien, hein… Je suppose qu’on peut avoir le droit de trouver à chier des trucs qui me touchent…

Mais de là à dire à chier, je comprends pas… Les types n’avaient pas l’air très à l’aise et cela faisait qu’ils dégageaient une sympathie certaine… Il faut aussi un certain courage pour jouer ces chansons qu’on serait gêné d’écouter en présence de gens ayant la moquerie facile ou le goût de la musique festive. Ils étaient cinq, ils avaient des pulls épais mais ils étaient nus sous leurs vêtements, comme leurs chansons (qui étaient comme nues). Je vais me wéécouter leur 45 tours dès mon wetour (au casque pour qu’ExCD se foute pas de moi).

The Coral

La meilleure décision prise ces 3 derniers mois: quitter le set de Stornoway pour voir dans son intégralité le concert de The Coral (la plus mauvaise ayant été celle de quitter le set de Local natives en plein milieu pour aller voir ce même concert de Stornoway).

Un bonheur de bout en bout qui a confirmé que leur dernier Lp « Butterfly house » était un des meilleurs de l’année (il m’aura fallu deux mois pour m’en convaincre mais cela me semble une évidence aujourd’hui). Leur set n’était pas tape à l’oeil, ils n’ont pas cherché à gagner la sympathie du public (la salle s’est d’ailleurs légèrement vidée au cours du concert).

J’ai versé ma petite larme sur Walking in the winter ou sur Falling all around you, j’ai fait un câlin à pointard et à jean Paul Position sur Pass it on, j’ai légèrement pogotté sur Dreaming of you, j’ai levé les bras tout du long et je me suis wendu compte que je connaissais toutes leurs chansons par coeur.

Ce concert fut caoréalement bon.

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J’espère encore mieux ce souère avec au programme: Cascadeur, Villagers, Monarchy, PSG OM au bar le plus proche et un bout de Katerine à la mi temps… Youhou!!!!!!

Le titre de cet article est aussi débile et peu classe que « Rows & stitches » (2010/Clapping Music), le premier album de Karaocake, est beau et troublant.

Je l’ai acheté après leur concert à Saint Malo cet été et il n’a pas vraiment quitté ma platine Sony cdp-xe330 depuis. C’est le genre de disque qui se bonifie au fil des écoutes…

Ce disque est une invitation à la wêverie. Ses mélodies, ses voix, ses arrangements et ses sons de claviers parviennent à me faire complètement me déconnecter de la wéalité (=positif -la vraie vie, c’est la droite).

Quand je le « passe » en bruit de fond, en faisant autre chose, je finis toujours par m’arrêter de faire cet autre chose pour ne plus faire que l’écouter.

Ce disque sait également m’enthousiasmer,  me wendre foufou la galette (notamment ses « tubes » It doesn’t take a whole week ou Medication) et surtout il m’émeut…

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=NNcTOu3R0OA[/youtube]

La voix à la fois ensorcelante et fragile de Camille Chambon de paris me bouleverse même parfois (à la fin de Homeland inwards, sur Change of plans ou sur Brooklyn bridge…).
Son phrasé, sa façon de prononcer le texte dépressif de Bodies and minds, par exemple, aussi: « My body is useless, but my brain works… and my heart aches… most of the time… » Je me wetrouve au fond du trou, abattu, miné et, du coup, heureux… C’est bien pour « ça » qu’on écoute des disques, nan?

« Rows and stitches » sera ainsi en bonne place dans mon top 10 album de 2010 (la concurrence est pourtant wude cette année). Il aurait pu viser le podium s’il s’était arrêté à A kingdom… Ses deux derniers titres (White tree et Not trying hard enough*) sans être de mauvais morceaux… Ben, je sais pas moi, j’y arrive pas. Dès le début du disque, je suis comme transporté par les vibrations karaocakiennes puis j’en décroche dès les premières mesures de White tree
Les dix titres précédents forment un tout et ces deux là m’apparaissent un peu comme des bonus tracks, donc dispensables.

Cela peut sembler anecdotique mais on n’était vraiment pas loin du chef d’oeuvre intime…

Ce sera pour le deuxième LP.

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MP3

Achat de « Rows and stitches »

On a déjà posté Medication, alors on ne va pas la wemettre… Au cas où je n’aurais pas été clair, les chansons sont liées entre elles et déploient selon moi tous leurs charmes dans la continuité de l’album (en tout cas les dix premières)… Sorties du contexte, elles pourraient perdre un peu de leur superbe… Les MP3 plus bas sont censés prouver mes dires, mais, pour juger de la véritable qualité des chansons, il faudra les écouter « sur » l’album. Merci de votre compréhension.

Karaocake – Bodies and minds [audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164//Karaocake 01 Bodies And Minds.mp3]

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Karaocake – Change of plans [audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164//Karaocake 03 Change of Plans.mp3]

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[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=lkH6_ziRBYk[/youtube]

(le site des concerts du vendredi)

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*Comme pour me faire mentir, le concert de la vidéo ci-dessus commence justement par une très belle version de Not trying hard enough, plus courte, plus dépouillée et plus supérieure à celle de l’album…