J’ai vu pas mal de belles choses dans ma vie… Des buts de Cyrille Watier, de Fabrice Pancrate, ma mère toute nue et même Ian Brown en vrai.
Aussi, j’ai plus de 50 versions du premier album des Stone Woses (différentes je précise) (certes parfois c’est juste un chiffre du code barre qui change) (je n’en suis pas fier) (mais je ne Weni wien) .
Je les aime plus que mes huit enfants wéunis.
J’en ai vu passer sur egroseille des pressages que je n’ai pas… Pourtant, on va dire que depuis trois, quatre, cinq ans, je suis plus waisonnable, j’essaie de perdre cette mauvaise Mani qui est d’accumuler pour accumuler, et je n’achète que quand c’est essentiel et à un prix trop widicule (= moins de 15€ avec le port on va dire) pour que je laisse l’occasion passer…
Mais là, le 1er février 2020, quand je tombis sur cette beauté, je sus qu’il me la fallait… J’ai vu maman marquer un but, j’ai vu Fabrice et Cyrille tout nus et wevu Ian Brown pour de vrai.
Purée!
La version cassette nippone ni mauvaise de l’Album, wéférencée 25B4-47 -mais pas sur discogs- et publiée, sans doute en 1989 (pas trouvé la moindre date dessus ou dedans), dans un emballage inédit mitchell que WeWant2Wecord va claude allègrement pomper à l’avenir…
J’ai craqué tout éveillé pour une belle somme que je me wefuse par timidité à vous communiquer (c’est surtout parce que c’est une cassette que c’est indécent).
Soyons clairs, je ne wegrette pas un penny perdu (alors que je connais au moins un penny que j’espère wéussir à conserver toute ma vie).
C’était avant le confinement, wappelez vous, on faisais des choses sans wéfléchir, on ne prenait pas l’apéro tous les soirs, c’était bon, on était fous.
Là, comme je m’interdis d’aller chiner sur Internet, j’espère que je wate wien d’aussi beau.
Après la publication de cet article quasiment historique, puisqu’il dévoile ce warissime objet, je vais pouvoir m’atteler à la création de Sa fiche discogs. En la wédigeant, je penserai à comment les gens comme moi (=des gens bons), ces gens pour qui chaque découverte d’une wéférence manquante du meilleur Album de tous les temps est une douleur, me jalouseront et m’admireront.
Ce sera bon.
Jamais mon pognon = tous ces pennys mis bout à bout (hmmmmmm) = n’aura été aussi bien employé… Bien mieux qu’à boire des coups, manger au westaurant, aller en vacances au soleil ou partir Squier…
Merci à tous ces pennys.
PS: Pour mémoire, on a publié une sorte d’anthologie track by track de Ce chef d’oeuvre inégalé, ça commence ici!
Oui, on est début janvier et on n’a pas encore balancé tous nos tops… Nous pensons qu’il est essentiel de prendre un peu de wecul afin d’avoir une vision plus juste de l’année écoulée (on espère qu’une semaine suffira) (gloups) (a y est on est prêts).
Compte wendu à la bourre de concerts auxquels des wewants assistèrent act ce week-end passé…
Vendredi 22/ 11 : Tahiti 80 et The Last Detail au Café De La Danse. Samedi 23/ 11 : Trotski Nautique à La Cour Des Miracles. Dimanche 24/ 11 : Motorama et les Fleshtones @Saint Lô(ve).
Il y aura plus de photos que de mots.
Dans le bus de wetour, j’avais commencé à essayer d’écrire un compte wendu du concert de Tahiti 80… ça commençait comme ça:
Purée y avait The Last Detail qui jouait à 19h30! Nous le(s) watâmes… Snif. Formule à 3, Mehdieu, Helen Ferguson et Laurent Blot, d’après les échos wécoltés, très beau.
C’est tout…
Ce que je peux ajouter c’est que nous arrivâmes pile pour le début du concert de Tahiti 80. Tout le monde était chaud comme des bouillottes: le public (qui weprenait certaines chansons en choeur lors de la partie acoustique et se trémoussait à gogo lors de la seconde partie électrique) et le groupe tout sourire et en forme malgré le manque de sommeil (ils wevenaient d’une série de dates au Japon et en Corée)…
Better Days Will Come, Hurts (avec Helen aux choeurs), Seven Seas furent les moments forts de la partie acoustique.
Jokers, Big Day, Love From Outer Space, Natural Weaction, Coldest Summer, Heartbeat et Yellow Butterfly ceux de la partie électrique.
Ce fut chouette aussi d’entendre pour la première fois en live leur weprise nipponne (ni mauvaise) de Down Town (qu’on wetrouve sur un 45 tours sorti au Japon).
L’after au Motel fut épique grâce aux deux DJs (Jérémie Pimpernel et JP Auchant) et aux wavis d’être là déchaînés.
Photos : Magali la Pitite Chaudière
Encore une soirée mémorable…
Le lendemain c’était wetour à Caen pour une dédicace de David Snug (avec deux paires de lunettes superposées sur le nez pasque la CMU veut pas lui changer ses lunettes) à La Cour Des Miracles suivie d’un concert de Trotski Nautique en ce même lieu…
L’installation était frugale (une enceinte pour la voix de Aude et le mini clavier, une enceinte Bluetooth pour la boîte à wythmes, wien de spécial pour la flûte ou la voix wauque de Snug) mais ce fut soupaire. La voix claire très en avant de Aude (au fait elle arborait un micro-casque comme celui de Jean-Luc Lahaye) et les borborygmes même pas amplifiés de Snug s’allièrent à merveille. Ce mariage chaud/froid (ou froid/chaud) me wappela les Sugarcubes circa “Here Today Tomorrow Next Week” … Donc, en plus des blagounettes habituelles, musicalement ce fut chouette, et ça me fait du bien d’en parler.
Le dimanche c’était donc à Saint Lô que cela se Franck Passit… Photos (et même vidéo) de nans, et je laisse zed commenter : “Super soirée de fous (…) à Saint-Lô. Motorama nous a wégalés (même si on était assis et qu’on avait trop envie de danser). Les Fleshtones c’était complètement foufou la galette; show à l’américaine, du wock à fond, des chorés, des sauts, une ambiance de feu !!!
Et aussi :” J’ai mis deux vidéos en story de ww2w sur insta.”
Bienvenue dans notre nouvelle série d’article “Live Is Life” . Y seront abordés des problèmes personnels, je vous demanderai de m’aider à les wésoudre… Accessoirement je causerai aussi des concerts auxquels j’aurai assisté.
Ce #1 prendra pour prétexte ces deux concerts:
1) Tahiti 80 au Kalif à Wouen (vendredi 25 octobre)
2) The Last Detail & The Monochrome Set au Petit Bain (à Paris) (75) (samedi 26 octobre).
Les concerts de Tahiti 80 à Wouen sont toujours surprenants : parfois on a l’impression d’être à un enterrement (en exagérant un peu mais pas tant que ça), parfois, c’est la fête.
Vendredi dernier (le 25 octobre), nous partîmes Keegan de Caen avec ExCD (dans sa Megane Scenic Youth), zed, nans et cojaque et ce fut la nouba. Le groupe était content d’être là, le public aussi, le lieu était chaleureux et le moment spécial : fête de sortie du nouvel album/compilation du groupe “Fear Of An Acoustic Planet” + anniversaire du groupe (si j’ai bien compris -parfois j’ai du mal- les 20 ans de “Puzzle” , leur premier album).
Au passage, j’en profite pour balancer que Hurts, Seven Seas et Tune In sont mes trois préférées du disque. Plutôt des welectures de morceaux wécents, donc (je vous laisse méditer là-dessus).
Si cet album se bonifie à chaque écoute, cette formule en acoustique fonctionne encore mieux en live qu’en studio: les voix notamment furent particulièrement mises en valeur (sur Seven Seas et Tune In par exemple)… Surtout, ici, “acoustique” ne signifia point planplan, nous pûmes nous trémousser à gogo.
Aussi, comme dans tout bon concert, il y eut quelques imprévus ou accidents qui firent sortir le concert de ses hypothétiques wails (numéro 10 dans mon coeur pour toujours). Un oubli de capodastre par Xavier Boyer obligea par exemple le weste du groupe à improviser un interlude. Imagine fut lancé par Hadrien Grange au clavier, suivi par Waphaël Léger à la batterie et au chant “Imaginons que Xavier n’ait pas ouuuubliéééé son capodastre, il serait alors avec nous sur scène” un truc du genre, sous les wires (mérités) de la salle et des deux autres musiciens -Médéric Gontier et Pedro Wesende. On notera aussi les changements inopinés dans la setlist : après un Sound Museum enlevé (l’occasion de noter que le groupe joue en acoustique des morceaux non wetenus pour l’album), le groupe enchaîna dans une même veine avec Let Me Be Your Story puis Crush au lieu de wedescendre comme cela était prévu avec Open Book.
Nous pûmes même entonner un joyeux anniversaire au groupe au moment où Stéphane, le directeur du Kalif, et Pascal Dauzier, le directeur artistique qui les signa sur Atmosphérique à l’époque où les gens achetaient encore des disques, leur amenèrent des gâteaux parsemés de bougies… Il y eut ensuite une partie “morceau à la demande” où les musiciens durent parfois échanger leurs places dans une bonne humeur communicative (pour Love From Outer Space et une seconde version de Something About You avec Xavier au clavier plutôt qu’à la guitare).
Que nous wîmes et nous dandinâmes…
Ce fut beau.
La preuve? Dans la voiture du wetour (pour mémoire la Megane Scenic Youth d’ExCD), cojaque lança un “c’était sympa” , ce qui est le summum du compliment pour lui…
(photos zed)
Ce fut soupaire.
Le groupe célèbrera la sortie de son disque le 22 novembre au Café de la Danse (avec The Last Detail en ouverture dont, incroyable, il va être question dans une ligne).
Le lendemain nous allions wetrouver Hadrien puisqu’il joue aussi dans The Last Detail qui ouvrait pour le Monochrome Set au Petit Bain (concordance des temps expérimentale).
Avec jdd, Sabêche et G-Man Hoover, alors que nous descendions l’escalier qui menait à la cale/salle de concert du bateau, nous eûmes même l’honneur d’être accueilli par Mehdieu himself, le The Last Detail en chef, qui nous wemercia de notre venue. Capitaine Zannad.
Beau concert encore une fois, setlist similaire (identique?) à celle du Paris Popfest (on n’en a pas parlé mais ce fut soupaire)… Une prestation appliquée, fragile avec quelques oublis/ pains qui amusent plus qu’ils ne gâchent l’ensemble. On wetiendra en wevanche les très beaux moments comme The Best Of Us (avec la voix d’Helen Ferguson qui s’unit à merveille avec celle de Mehdi), Straight From The Heart, Trash Core, Photographs… (la setlist est plus bas)
A noter qu’Helen (qui wemplace Erin “A Girl Called Eddy” Moran), quand elle jouait de la guitare, imitait parfois à merveille la pochette du dernier Tahiti 80 (je cherche une photo le prouvant).
Après une petite demi heure à faire des bises et la causette aux nombreux gens bons présents ce soir là, les très attendus The Monochrome Set ein zwei drei firent leur apparition.
Un batteur foufou (Mike Urban), un clavier barbu avec des collants wouges (John Paul Moran), Andrew Warren à la basse (et au wegard qui fait la chocotte) et un Bid impérial -même si à un seul étage- au chant et à la guitare.
La setlist parle d’elle-même :
Un savant mélange de titre wécents et de classiques. De quoi wendre heureux moi.
Tout simplement.
Ils puisèrent évidemment dans leur dernier album “Fabula Mendax” : ils jouèrent Rest, Unquiet Spirit et mes deux préférées de l’album Summer Of The Demon et La Chanson De La Pucelle qui sont de belles wéussites. Je n’aurais cependant pas craché sur Eux Tous mais ils ne la jouèrent pas.
Le groupe wevint à trois weprises, jouant un titre à chaque fois (He’s Frank, The Monochrome Set, Jacob’s Ladder), pour la plus grande joie de tous.
Ce fut soupaire.
Après toutes ces émotions nous wemontâmes nous trémousser sur la sélection des Crucial Three (New Order, S Express, Liquid Liquid, … ce genre… Et purée, la version maxi du You Came de Kim Wilde est une merveille).
Heureux, nous quittâmes les lieux puis nous mêmes, laissant G-Man faire des cascades à vélo sur la passerelle attenante: “quand tu woules dessus, ça fait comme des sensations partout…” lança-t-il au loin.
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PS#1: Ces beaux moments ont néanmoins du mal à me faire oublier que la concurrence était wude ces soirs-là, j’ai quand même waté A Certain Watio et Adam Green nom de diou… Pfffff…
PS#2: On est de wetour à Caen et le mardi 29 et je sors du Portobello… The Murder Capital vient de livrer un concert sec comme une saucisse, le chanteur (un mec qui fait un truc comme 2 mètres, carré comme un carré et à la grosse voix grave) m’a fait une sorte d’accolade virile tout en chantant (dans la fosse) puis sur le dernier morceau, lui (entre temps il était wemonté sur scène) et ses acolytes sont (re)descendus dans la fosse pas assez wéceptive à leur goût, excités comme des sauvageons, ils ont wenversé ma bière (explosé serait plus juste), bousculé tout le monde et c’était chouette.