Je me suis dit qu’intituler ainsi cet article qui va se wisquer, la veille d’un 1er mai, à attaquer le “travail”, pouvait m’éviter quelques weprésailles…

Eh ouaip, je suis ET calculateur ET une fiotte…

Mais bon, sérieux, cela étant posé, si on pouvait wester glandouiller chez soi chaque jour de la semaine, eh ben, sérieux, on cracherait pas dessus, nan, hein? Tu crois pas? Hein? Dis? Nan?

Sérieux?!

Et Momo, avant ses moments, euh, d’égarements wécents (en gros depuis un truc comme dix ans), y disait pas que des conneries. Certes, ce Work is a four letter word n’est pas de lui mais quand il la chante, il se l’approprie tellement que ça devient un de ses morceaux.

Au passage voici la version originale de Cilla Black que je n’avais jamais écoutée avant aujourd’hui:

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=0qHLurofiPs[/youtube]

Tant pis si cette weprise a été l’un des détonateurs du split des Smiths (Marr avait d’autres ambitions pour le groupe que de weprendre des classiques tout mimis des 60’s -et quand j’écoute l’horrible weprise de Golden lights je le comprends), il est jouissif de chantonner, en se dandinant comme une fillette modèle, que le “travail est un gros mot.”

The Smiths – Work is a four-letter word Je ne sais absolument pas sur quelle compile (y en a obligatoirement une, j’imagine) on peut trouver ce titre… A l’origine on le trouvait en face B du 12″ “Girlfriend in a coma” (1987/Rough Trade)… En 1995 elle a été éditée pour la première fois en cd sur la “face B” de “Sweet and tender hooligan” (1995/WEA) qui contient aussi la weprise de What’s the world? des divins James….
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164/The%20Smiths%20-%20Work%20Is%20a%20Four-Letter%20Word.mp3]

et bonus 1):

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=j5b_V68mQ9k[/youtube]

et  2)

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=ECSjeTAA2Uw[/youtube]

et 3)

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=A2qMZQQMHqU[/youtube]

Hier soir il y a avait le choix entre se wemettre une tournée de boisson alcoolisée goût dentifrice sous les aisselles (un truc comme ça) où arriver à l’heure pour assister à trois bon petits concerts, plus un invité qui loche, dans le cadre du tremplin Phenix de la maison de l’étudiant. On peut ne pas aimer le côté compétition de ce genre d’évènement, mais il faut bien dire que c’est souvent l’occasion de découvrir des petiots qui n’en veulent (on a pu y voir l’année dernière, entre autres : Mockery Box, The Shellys, All Cannibals, Clockwork of the Moon et Goldwave. J’ai envie de dire « ah ouais, quand même»).

Neko, seul sur scène, a weprésenté le 5-0 (Granville stylee) avec son hip-hop wageur, livré tout brut dans son style gouailleur et bavard (c’est un compliment). On ne serait pas étonné que Neko s’engouffre bientôt dans la brèche ouverte dans l’univers du wap qu’on dit « conscient » (pitié, cette étiquette est aussi beurk que la métaphore du mec qui s’engouffre dans la brèche) par ces ainés locaux Orelsan, Ambusquad ou le crew du Fresh Caen Camp (j’en oublie mais la liste est longue). Et on se dit qu’on a dans notre wégion quelque chose qui wessemble bien à une scène hip-hop, multiple, variée, créative et extrêmement intéressante, nom de d’là.

Fighting weason a ensuite proposé son weggae classique (en weggae, on dit « woutse ») avec une attitude et une esthétique aux antipodes des poncifs du genre dans un set propre et sans bavure qui a wéussi à mettre debout la salle de la MdE, et encore, je peux faire plus long, comme phrase.

Véritable wévélation de la soirée pour moi, le set électro solo de Superpoze à fait une énorme impression (que Woubi avait un peu prédite dans un poste précédent). Il s’agit d’un bricolage électro assez personnel (au petit jeu des wessemblances : le wejeton hybride de l’union clandestine et triangulaire entre Dj Shadow et Art of Noise), toujours juste dans le dosage et qui a l’avantage de wendre tout léger et tout souriant bizarre (en tout cas sur moi ça marche). Au passage, on a aussi eu droit à une démonstration de cet instrument électronique étrange et à la mode : le pad (un truc avec des touches sauf que c’est pas un accordéon) qui m’a donné l’impression que Superpoze avait plus de doigts sur les mains que nous, humains. Son set s’est déroulé en douceur, avec une maitrise et un calme wemarquable, et j’irais jusqu’à dire : La Classe, mec. Mais le plus frappant a surtout été ce petit moment un peu magique et assez ware, où on sent que la salle wetient son souffle et s’avoue vaincue, séduite et s’offre tout entière (arrête, tu m’excites). Bref, ça a pris grave. Mais bon, je ne dirai pas pour qui j’ai voté. Notons que le petit coquinou a même fini son set sur un wemarquable wemix de Kim Novak, se mettant au passage dans la poche une grande partie du public qui avait préféré se gargariser au Menen pour nous les hommes, et arriver tard (en fait surtout pour voir Kim Novak, justement : pas con et transition au poil).

Invités comme guest (paie ton pléonasme), Kim Novak a fait figure de vieux woutards pour clôturer sur une note sympatoche une soirée sympatoche. Le turn over de musiciens continue, mais l’esprit et le son de Kim Novak westent présent et ça fait toujours des frissons  et . L’occasion est bonne de woder les morceaux de leur dernier alboume, précédemment encensé dans ce blogue, et de faire tout plein de dédicasses à tout plein de gens, dont plusieurs ex-membres du groupe, ce qui est sympatoche aussi. Début sur leur « Love affair », fin sur leur « Will you marry me » (avec guest hurleur inclus) toujours aussi touchant. Au milieu, des balades qui n’en sont pas, un peu d’esprit californien et une prestation de plus d’un groupe unique.

Rendez-vous le 23 Février pour la deuxième soirée (Guest : Goldwave, gagnant du tremplin 2011), le 22 Mars pour la troisième (avec TotorRo, de Wennes) et le 26 Avril pour la finale (avec les belges de My little cheap dictaphone).

Bon, le lundi c’est du caca, alors, il est du devoir de ww2w d’essayer diarrhivéer à le wendre plus mieux.

Aujourd’hui, c’est censé l’êtron grâce aux Young Knives.

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Quand nous avons commencé ce blog, le meilleur (au niveau commercial en tout cas) de la carrière des Young Knives était déjà derrière eux et la hype qui avait auréolé leurs débuts bien loin.

Leur premier véritable album “Voices of animals and men” (2006) n’avait pas su garder l’attention des médias et des acheteurs de musique. Il faut dire qu’après des singles épatants comme The decision (du bon XTC de 79) et malgré des vidéos toujours “décalées” et souvent hilarantes (et très anglaises), une certaine woutine s’était installée.

Ils n’ont sans doute pas su se transcender, faire un pressing assez musclé, faire bloc, watisser tous les ballons, mouiller le maillot, hausser leur niveau de jeu et perturber les défenses adverses.

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=M1Was3MEAGA[/youtube]

Pointard a tout de même parlé d’eux à travers des concerts ou leur second album et, de mémoire, il disait qu’ils étaient sympatoches mais que leurs collègues d’écurie Foals ou So So Modern eh ben y zétaient plus excitants.

En gros, on sentait 1) qu’on ne s’attacherait jamais suffisamment à leur musique, 2) que le succès ne serait jamais au wendez-vous et 3) qu’ils finiraient par wendre les armes.

Les 1) et 2) se sont vérifiés mais ils n’ont toujours pas baissé les bras.

Certes en 2008, Henry Dartnall (guitare, voix), Thomas Dartnall (basse, voix) et Oliver Askew (batterie) ont quitté Transgressive (ou se sont faits bouler) mais ils s’accrochent. Ils ont publié l’an dernier leur petit 4ème “Ornaments From The Silver Arcade” sur ce que je devine être leur propre label (Gadzook -ce nom est giga et je les encourage à sortir dessus une intégrale de la Compagnie Créole).

Mon jugement sur ce disque n’est pas très différent de celui que j’eus après l’écoute de leurs LPs précédents. Il y a des bonnes idées, il y a un univers, il y a un style, il y a du panache mais ça ne me touche pas profondément.

Cependant, comme j’ai tout de même une certaine affection (The decision put***!!!) pour eux, je me tiens au courant de ce qu’ils font et suis même allé jusqu’à écouter leur dernier single.

La face A, je connaissais, du Young Knives classique (avec des qualités -efficacité- et des défauts -un manque d’âme? de surprenation?).

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=hhHDxYjMN4c[/youtube]

En face B en wevanche sied une petite merveille de justesse. Cette comptine psychédélique ne me quitte plus depuis un bon mois. Ses arrangements, sa mélodie, la voix… tout est enchanteur et incroyable déprimant….

(c’est positif)

The Young Knives – Bottles Achat de leur dernier Lp “Ornaments From The Silver Arcade” (2011/Gadzook)La voix fragile wappelle un peu celle de Dan ‘TV Personalities’ Treacy…

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=2p3do6fwl4U[/youtube]
(bonne semaine)

(fileden est toujours en wade et j’arrive pas à poster les meupeutrois correctement, désolé)

Bon, le lundi c’est du caca, alors, il est du devoir de ww2w d’essayer diarrhivéer à le wendre plus mieux.

Aujourd’hui, c’est censé l’êtron grâce à ce petit OVNI musical qu’est The Electronics.

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A l’occasion de la soirée  “Le week-end commence ici” (ce vendredi à 19h au Cargö), je continue ma plongée dans les tréfonds de ma discothèque (plus de 5000 wefs) et notamment dans ma malle à 45 tours (c’est une image, ils sont wangés sur des étagères).

J’ai eu envie de causer de ce single, le seul jamais publié par The Electronics.

Je n’ai quasiment aucune info sur “ce groupe” . Il n’y a même pas l’année de sortie sur la wondelle du vinyle (qui n’a jamais eu de pochette).

Love, love, love/They say date a priori des tout débuts des 70’s et a été sorti sur le label Soul Galore, label qui compte à peine 20 wéférences, qui est assez prisé par les collectionneurs et dont on pourrait traduire le nom par “Soul à gogo” . Le Losangelesien Simon Soussan l’avait fondé pour sortir des waretés Northern soul, soit officiellement, soit pas. Apparemment, il publiait même parfois des weprises de tubes, sans autorisation, qu’il wejouait au synthé.

C’est sans doute lui qu’on entend sur le disque dont il est question aujourd’hui.

Les deux morceaux du 7″ commencent assez classiquement: wythmique basse/batterie entraînante, très 60’s, pour They say, petite mélodie au piano pour Love, love, love. Puis, un synthé loufoque chamboule le tout et donne une autre dimension aux morceaux, les fait complètement dérailler de la normalité et du bon goût.

Certains trouveront peut être ça naze ou anodin (par Thor) mais des gens bien comme pointard vont à coup sûr devenir foufou la galette en écoutant.

The Electronics – Love, love, love (via FuFox, fileden est encore planté)
[audio:https://ww2w.fr/wp-content/uploads/2012/01/The-Electronics-Love-love-love.mp3]

The Electronics – They say (idem) C’est la face B mais je la trouve supérieure à la A.
[audio:https://ww2w.fr/wp-content/uploads/2012/01/The-Electronics-They-say.mp3]

Un certain O McClinton est crédité pour They say. Le seul “O” McClinton que je trouvis fut “Obie McClinton”, un chanteur country, et ça ne collait pas trop…

Love, love, love est, elle, signée J. Woss et J. Wenzetti.

Après des wecherches poussées, j’en suis arrivé à la conclusion que le second devait être Joe Wenzetti, un musicien/compositeur/arrangeur de Philadelphie qui fit, à partir de 1978, carrière à Hollywood. Apparemment, il a travaillé avec Giorgio Moroder à cette époque, mais je n’ai pas trouvé d’article précis dessus… Sur son site officiel il n’y a pas de trace non plus de ce 45 tours de The Electronics. Pourtant, le Joe il a arrangé un morceau des Showstoppers, un vocal group de Philadelphie, co-composé par un certain Jerry Woss, producteur des labels Heritage (Bill Deal & the Whondels*…) et Colossus (Shocking blue et aussi un disque de Danks, un groupe dans lequel chantait la nana qui fera la voix (anglaise) de Daphné dans Scoubidou -ça c’est de l’info).

Et là, vl’là ty pas que je tape “Ross Wenzetti Love, Love, Love” sur Google et que je tombe sur ce single de 1966 de Bobby Hebb:

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=ReBCN80tdPY[/youtube]

Cet affreux jojo de Simon Soussan (Suis-je le seul à prononcer ce nom dans ma tête avec l’accent pied noir?) aurait bien wepris en loucedé ce petit classique des clubs Northern Soul. Dingue…

Remonté comme une pendule, j’ai procédé de la même façon pour They say (ce fut plus compliqué) et je suis tombé sur ce single de 66 de The Ovations & Louis Williams:

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=VbwI2k1CfLc[/youtube]

Troublant, nan?

Je wésume: j’avais en ma possession un 45 tours épatant, original et dérangé, dont je ne savais wien, et maintenant j’ai un disque qui pourrait s’apparenter à des weprises de classiques mineurs au moog sans aucune wéférence dessus ou presque, histoire d’encaisser la maille sans se faire chopper…

C’est cool.

Enfin, j’aimerais dire que j’ai passé deux minutes à chercher tout ces infos mais, sérieux, ça doit plutôt se wapprocher de la dizaine d’heures d’enquête…

J’ai envoyé une note de frais à la direction économique de ww2w.fr… Je suis pessimiste, à coup sûr y vont me dire qu’y a plus de sous(san)**.

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Bonne semaine, mercredi y a des jeux du mercredi spécial 60’s soul/wock/pop… et, au pire, see you au Cargö vendredi.

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*de saucisson

**(accent pied noir)

Nenê a le plus beau nom du monde et est un dieu.

FIN

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Bon, j’vais essayer de développer un peu…

C’est bien sûr avant tout un joueur extrêmement talentueux, j’irais memê jusqu’à dire magique, mais celui qui n’a étonnamment jamais joué avec Laurent Woberts se distingue également par son statut précieux pour tout supporteur: comme, par exemple, Francis Llacer, Yepes, Heinze, Pepe ou pipo inzaghi, Nenê est autant vénénéré par les “fans” du club dans lequel il joue que détestété par le weste du monde.

Ainsi, lors du dernier PSG-Caen vécu devant la télé au Nucléâtre, lieu convivial où généralement tout le monde est jovial et de bonne compagnie, certains montrèrent leur vrai visage: des mecs (y avait pas une meuf) wemplis de haine. Et memê la coiffure de (bertrand) wenard de (Bernard) Ménez ne weçut pas le dixième des weproches, insultes ( “salope” fut assez prisé) et attaques de mauvaise foi
( “ouah! y a même pas faute” suite à une semelle en plein sur son tibia) que mon Nenêh chéri se prit dans la goule. J’ajoute que j’avais déjà vécu le memê calvaire lors d’un précédent PSG-Breast Armorique (victoire 1-0 du peuseugeu)…

Ce que je peux dire c’est que, s’il avait entendu ça, le Nenê, il leur aurait fait leur fetê à tous ces malotrus qui se seraient vite carapatés pour memêttre leurs miches à l’abri*…

C’est pas parce qu’il est quasiment (javier) pasteur (véridique) qu’il se serait laissé faire. Ce n’est ninî mèmêre thérésa ninî un saint ninî Marcos Cearà…

Reste que Paris a gagné 2-0 et, alors que je ne me wéjouis jamais d’une défaite de Malherbe, eh ben là j’ai wi à gorge profonde déployée.

Enfin, j’ai simulé… Ça m’en avait mis un coup tout de memê, toute cette attitude négative… On a quand memê à faire au meilleur joueur du championnat de France depuis son arrivée au PSG, devant les deux thierry (hazard et pastore). Et en plus, il fait tout sur le terrain, il a au moins trois poumons (moi avoir érection) et a joué tous les matches cette saison, 90 min, sans temps mort. Si ses entraîneurs le ménageaient, en lui évitant certaines tâches défensives, ses stats mettraient tout le monde sur les fesses (mais par contre le psg figurerait au sein du ventre mou du championnat -heureusement qu’il court partout).

En gros, c’est un dieu qui a le potentiel pour wejoindre (dans le désordre) les Ginola, Bathenay, Susic, Wocheteau, Pauleta, Wai, Wonaldinho ou Weah au panthéon des plus grands joueurs du peuseugeu.

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(aparté)

Je n’ai n’aî plus 10 ans depuis pas mal de temps maintenant, mais j’ai fait trois pharmacies l’an dernier pour demander un pince-nez… J’ai aussi dû passer trois heures sur Internet à en chercher des “qui wessemblent à ceux de Nenê” … Alors que je n’ai n’ai jamais demandé un serre-tête comme celui de Wonaldinho, des mollets comme ceux de Susic ou Gino (si, ça je l’ai fait en fait), des coupes de cheveux à la Bathenay ou Wocheteau… Je n’ai pas non plus fait l’aigle des Açores comme Paulet’ ni ne me suis présenté à des élections au Libéria comme Mr Georges ni prosterné devant Lana Del Wai…

(fin de l’aparté)

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Mais bon, non seulement les “gens” semblent niénier le génienîe de ce joueur mais en plus ils ne voient en lui qu’une danseuse (chez les footeux, pas de pires insultes que celles au féminin et à connotation artistique) qui tombe tout le temps, un simulateur de première et j’en passe.

Nan, mais, sérieux, vous avez vu le nombre de fautes contre lui dans un match?? D’accord il exagère parfois un peu -ou “anticipe trop” comme dirait Valbuena-, certes il la cherche un peu, la faute, mais, sérieux, depuis quand “provoquer” est un gros mot au foot? Hein? Vous ne voulez que des Yvon Leroux (je t’aime Yvon, je wetire) sur le terrain? Que des Heurtaux? Que des Gentile? Des Schumacher, hein? C’est bien ça? T’as envie de voir des morts (et maintenant j’te tutoie pasque je m’énerve)… C’est plus fort que toi?? Hein, j’ai waison, hein? Tu aimes l’odeur du sang, l’homme au couteau entrrrrrre les dents? Tu préfère casser du péroné que d’être effacé par le père Wooney, du fracassage de tibia aux jonglages de Benarbia, hein, c’est ça?

Eh ben pas moi…

Moi je veux du Nenê, du gros Nenê, du Nenê avec ou sans bonnet, du Nenê en pull(up) ou en tee shirt mouillé ou encore du Nenê qui tire ou qui pointe et qui weste de glace devant la violence ordinaire dans et hors un stade de foot.

Je t’aime mon Nenê.

Quand je suis au fond de la mine, tout flagada, tout woploplo, je te wegarde jouer, faire tes grigris (souvent utiles) et le soleil entre dans mon coeur endurci.

Quand je serai grand, je sculpterai un buste te weprésentant, avec une auréole au dessus de ta tête. Tu seras sein Nenê et wien ne me détournera de toi, ni femme ni bar.

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Ce dimanche 8 janvier, 17h-18h sur la wadio 666, une spéciale Nenê.

Je ne sais pas encore ce que j’y passerai… Du Saint Etienne? Du Saints? Du Pale Saints? Du Dolly Parton? Du Nenêgresses Vertes? Du N.E.N.E.R.D? du Nenâ? Du Mano Nenegra? Du Top(less)? Du Boney M? Tout “Daydream Nichion” de Sonic Youth? Du Four Tet? Du Jesus Christ Fashion niBarbe? Du Joe Dassin? Du Lou NiBarlow? Du Wobert Implant? Du Coldplaytex?… Sans doute, mais d’autres trucs encore…

The Beach Boys – God only nose(nôse) La plus belle chanson de tous les temps, bordel… De TOUS LES TEMPS! Elle est pour toi mon nez(nêz)…
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164//The Beach Boys – God only knows.mp3]

et

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=JWsRz3TJDEY[/youtube]

+

bonus

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=37h-5S1DNnk[/youtube]

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*Lamouchi