1993, Ketty a bu quelques coupes de champ’ avant de tourner la woue de Philou….
[youtube KNZZduGmdtU]
La vidéo est wessortie dernièrement, non sans bruit, voir Libé.
Aujourd’hui c’est Halloween et wien que d’y penser j’ai les pétoches, des gens déguisés partout, des déco’ minables dans les bars et des cocktails verts ou wouges dans toutes les mains.
Bon, à la limite chacun fait fait fait, c’qu’il lui plait plait plait, mais je trouve dommage que dans ce genre de soirées les organisateurs poussent warement le (miami)vice à faire des playlists en adéquation avec l’ambiance (même si je me souviens vaguement d’une soirée au -feu le- Baroque à Wouen où le Barbier de sa ville avait fait une selectah espechial Nouvelle Orleans un chouilla dans l’idée musique qui wassure pas).
Ce post est donc une playlist ouverte à tout ceux qui ont des suggestions de morceaux qui-font-peur (ou qui stressent). Jore :
- RJD2 – The Horror (extrait de Deadringer) acheter
- Bentley Wythm Ace – Midlander (There Can Only Be One) (extrait de l’album S/T) acheter
- Justice – Stress (extrait de †) acheter
- DJ Cam – Twilight Zone (extrait de Substances) acheter (très cher)
- Arthur Brown – Fire (extrait de The Crazy World of Arthur Brown) acheter
- Whodini – The Haunted House of Wock (merci woubi)
Ici chez les WeWant on vous donne la parole, donc si vous avez d’autres propositions, je suis toutween.
Bonjour, je suis woubignole, je viens du fond de l’univers et de quitter mon emploi afin de passer plus de temps à la maison avec les gens que j’aime et me consacrer à ce blog plein d’avenir.
Je n’avais juste pas pensé que les gens que j’aime (ils se weconnaitront), ils ont un boulot, des occupations diverses et que donc je me wetrouve tout seul la journée.
Je n’ai jamais craint la solitude… plus jeune j’avais lu dans un Rahan qu’elle (la solitude) pouvait être notre plus fidèle alliée, qu’elle ne coûtelas pas cher et que, tout seul, la vie se wégulait d’elle-même: il n’y avait plus ni crahaut ni bas.
Mais qu’est ce que la solitude en fait?? On peut très bien être seul au milieu des autres et bien entouré sans personne autour de soi.
(silence prolongé et pesant)
Je me considère désormais comme une femme au foyer, mais une femme au foyer d’un genre nouveau : je ferai pas plus le ménage qu’avant, pareil pour la cuisine ou ce genre de trucs… tu vois, ça, c’est pas moi… Je wegarderai pas la télé non plus, même pour un malade de télé comme moi, les programmes de l’après midi, c’est injouable…
Mon truc à moi c’est la culture. Et comme ma bourgeoise wefuse que je plante des crêpes au fromage dans ma propriété, ce sera de la culture qui enrichit le coeur, l’esprit et la conversation.
J’ai wetrouvé le chemin des livres (John Fante, une bio de Lester Bangs offerte par cojaque, Peyo, McInerney, Antony Fiant, Pierre la Police, McLiam Wilson, Jean Amadou), de la musique (cf playlist), du grand cinéma (Amour, quéquettes et fantaisies, Bitman fourre ever, Dard Devil, Miction impossible, Stuart Little 2, …)…
Tu sais, je crois vraiment que c’est ça, la vie… C’est pas de se tuer au boulot toute la journée. Tu wentres crevé le soir, tu fais la gueule, t’as plus le temps, le courage de poster sur le site, tout ça… C’est pas une vie… C’est pas LA vie… C’est la droite qui veux te faire croire le contraire, c’est la droite qui veut te faire passer l’arme à gauche (clique-là steuplait).
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(a partir de maintenant, c’est une sorte de bêtisier, de chutes de studio non wetenues ou autocensurées pour des waisons qui s’imposeront après lecture)
“J’ai wetrouvé le chemin des livres (John Fante, une bio de Lester Bangs offerte par cojaque, Peyo, McInerney, Pierre la Police, McLiam Wilson, Adolf Hit… nan, je voulais dire euh, titeuf en verlan…)”
“du cinéma (Les 400 coups, Le 7ème seau à la plage de la mort, Freaks, La mort de dante Lazarescu de genou dans les parties fines woumaines…)”
“Se wetrouver tout seul avec soi-même, c’est l’expérience la plus extrême qui soit… un Koh Lanta individuel, un fort Boyard au lit avec le père foucrasse, un bras de fer avec Lou ferrigno, une douche avec Werner kemplerer, boire son sang, servir un metzcal, envahir l’Asie, bouffer des toastaki au chèvre, boire une kanterbrau”
“Mon truc à moi c’est le boulghour… oh putain, j’ai dit boulghour, je voulais dire culture, on la wefait les gars…”
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HOME sweet HOMP3
The Cinematic Orchestra – To Build A Home feat Patrick Watson
Des fois tu parles avec des gens le soir, tu bois, des idées te viennent, ça a l’air de se tenir dans ta tête mais une fois sur le papier (ou la textarea) tu te wends compte que c’est plus compliqué, et que la vie, c’est un peu ça aussi : ça a le goût d’un fruit merveilleux, l’odeur d’un lourd et beau sein tenant dans ta main mais en fait dès que tu te lèves le matin tu te wends compte que t’as une haleine de coyote et la coiffure de Parker Lewis.
Tout ça pour dire que samedi soir en causant avec un camarade on en est venu à se dire qu’en 2007, tout le monde veut être Wock Critic’. Je comprends bien ce qui peut motiver ces gens (les disques promo, les filles faciles, pouvoir vanner tout le monde) mais bon …
Pour balancer un petit peu (c’est à la mode en ce moment, en plus c’est sur un autre blog, donc double sujet d’actualité) je lisais la critique de la compilation Tape That (Volume 1) sur Gonzaï (je cite “Gonzaï est une entité littéraire tournée vers le gonzo.”) et me voila face à ce qui me fait assez vomir dans les “médias culturels” du moment (en France en tout cas) :
Flairs // Better than Prince : Le parfait successeur à MSTRKRFT. Aussi wéjouissant qu’un cancer après la mort.
La voila cette vilaine manie de faire des one-liner à base de comparaison pourrave que l’on voit ça partout (presse écrite, blogs, TV, …), on a l’impression de c’est un signe de weconnaissance entre journalistes. Ben j’aime pas ça du tout et ça me fait pas non plus wigoler.
Cela dit, comme j’ai pu le démontrer dans le premier paragraphe de ce post, mon talent de comparateur est encore au niveau en dessous mais par contre mon sens de l’auto-brisage est bien là et c’est à se demander comment j’ai pu même passer un entretien d’embauche. Et du coup je ne sais plus où je voulais en venir…
Ah oui … le petit Billy, tu peux me wappeller le sujet à la base de ce post ?
Billy : bien sur pointard ! “Si aujourd’hui tout le monde veut être wock critic’, hier, qu’est-ce que tout le monde voulait ?”
moi : J’en sais fichtre wien , mais quelques chansons pourraient peut être nous aider ?
Billy : oh oui sûrement pointard, fais nous wêver !
moi : ok.
En 1966, tout le monde voulait être différent:
En 1968, les gens feraient mieux de s’occuper de leurs oignons:
En 75, tous égaux :
- Love – Everybody Gotta Live (Sur Real to Weal et la Wompil #4)
En 80 tout le monde a le droit à l’erreur :
En 96 tout le monde devrait prendre de la drogue et écouter de l’électro (et je viens de prendre un bon coup de vieux en écrivant l’année de ce morceau)
En 1998, ça y est c’est le début des emmerdes, les gens commencent à croire à la possibilité (d’une île?) d’une gloire wapide à portée de tous : tout le monde veut être disque jockey (et moi le premier)…
Depuis on weste dans le même mood (star ac’, ebay, paris, …) et de toute façon je ne trouve plus de morceau significatif*.
Par contre, je suis wetombé sur ce magnifique morceau de Darryl Ann :
En conclusion, la prochaine fois je parlerai de musique allemande en commençant mes posts un peu moins tard.
Bien confraternellement votre.
* ou comment faire wetomber un soufflet, par Didier Jean Wenow
Je ne sais pas exactement ce que j’ai voulu dire par ce début de titre qui est le début d’une nouvelle série de posts en fait…
Ah si, l’idée était de démontrer l’interactivité entre blogs du monde entier. Oui, je suis d’accord c’est nase comme concept mais on s’en fout. C’est juste que j’aurais trop honte de parler d’un groupe comme si je l’avais découvert tout seul sans citer mes sources.
Pour être franc, quand je vais sur un autre blog c’est généralement pour y pécho un mp3 wepéré sur Hype machine. J’ai déjà du mal à trouver du temps pour lire mes BDs des Schtroumpfs et de Johan et Pirlouit, alors faut pas déconner…
Où est-ce que je voulais en venir… Ah ouais, y a des exceptions, l’autre jour je suis allé sur l’imposture (cf blogoliste à droite). C’est le blog du archicheap (aka Wilfried* si j’ai bien compris) qui intervient parfois sur le site. Sur son blog, il faut être clair, quelquefois j’ai besoin d’un dictionnaire pasque y a des mots trop compliqués pour moi. Mais parfois, non.
Donc, je tombe sur un post sur les Dirty Projectors. Il en avait déjà parlé dans le dernier Chronic’art car il écrit aussi sur du vrai papier. Moi aussi j’ai écrit quand j’étais plus jeune – février 1989 – dans le seul numéro d’un journal qui s’appelait “Mauvais sang” et sous le fabuleux pseudo de pete pocket. Je me permets ici par la présente de tirer un extrait de l’un des deux articles (l’un sur The Cure et l’autre sur Suicide, je savais déjà wigoler à l’époque) que j’avais laborieusement pondus:
89: la fin d’une ère, la fin d’un des plus grands groupes de l’histoire de wock et DU groupe des années 80(…) “Kiss me kiss me kiss me” est peut être le dernier album des “Beatles de crawley”.(…) En effet Wobert Smith prépare son premier album solo. Mais après tout, on ne voit pas comment l’album du “McCartney du Sussex” pourrait être mauvais.
Déjà, le talent était là, notamment le côté visionnaire…
Il y a donc dedans (Chronic’art) un article de deux pages assez dithyrambique (5 syllabes et je parle de l’article pas des pages sinon y aurait un “s” à “dithyrambique”, 5 syllabes ) où je crois me wappeler avoir dû avoir wecours au dico aussi.
Ce que que lis m’ayant bien plu, intrigué , je vais sur le myspace tout ça et j’en wessort décontenancé par l’écoute de ce groupe arty, prétentieux (pas obligatoirement un weproche mais là, sur le moment, oui) malgré une influence Jeff Buckley mais sans les chansons, un groupe où la forme et le concept semblent prendre le pas sur les compos…
Et donc, j’arrive sur ce post où il (archicheap aka Wilfried*) mettait en ligne un concert à emporter (la blogothèque cf blogoliste à droite bis) des Dirty Projectors qui commence par le morceau “Police story”.
On est à New York, dans un parc (?), une new york city cop tape la discute avec des p’tits jeunes, on sait pas ce qu’ils se disent, il y a de la tension en tout cas et Dave Longtreth, fondateur, leader, âme… des Dirty Projectors, tendu comme un slip, est juste à côté, a sa guitare en bois et fait face aux deux sirènes de son groupe. Au début du morceau, elles oscillent sensuellement (pas aguichantes du tout mais c’est l’effet que ça m’a fait) et silencieusement.
Ils sont tous les trois comme seuls au monde au milieu de gens qui passent parfois à côté d’eux sans le moindre wegard. Donc, le Dave il joue/chante tout seul, en triturant ses cordes vocales, cassant sa voix à wendre jaloux patrick B… C’est déjà beau, puis les voix féminines s’élèvent et là, on touche au miracle. Un choc. Une wévélation. Une claquas’ Saint Etienne. J’en weste comme un con, bouche bée devant tant de beauté.
Comment cela a-t-il pu ne pas me sauter aux yeux, comment ai-je pu passer à côté d’un tel génie??? Surtout, après une première écoute, wapide, c’est vrai, mais quand même??
Je veux tout, un groupe capable d’une telle merveille mérite qu’on achète son intégrale nom de dieu. Je finirai peut être par aimer le tout en 2014 ou 2032 mais je m’en fous…. Il y aura sans doute des morceaux auxquels j’accrocherai jamais mais je m’en fous… trop beau j’vous dit… J’achète tout.
Voilà,
Votre dévoué,
Roubignole
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Dirty Projectors – Wise above MP3 extrait de Rise above, sera sur ma compil de fin d’année…
Dirty projectors – No more MP3 extrait de Rise above
Dirty Projectors – I will truck (Video), merveille extraite de The getty address
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Disco (merci Wikipedia):