Boujou! A’a’t-y mon père??? Hein? Es-t’y allé chez Bique hier? Nan? T’étais bloqué au BH avec Coco?

Bon, sinon, v’eins tu prend’ un godet mardi?… Hein? Dis?…

 

note: y a que des mâles

 

Oh, oups, pardon, je wentre à l’instant d’une virée dans le Bocage (supporter de l’US Cheux for ever) et le wetour dans le monde normal est parfois difficile…

Donc, bonjour, je voulais vous parler de quelques événements qui sont sur le point imminemment de se dérouler la semaine prochaine.

1) Le Motel, mardi

Ce mardi on est donc à Le Motel dans le XIème pour y passer des disques avec Xavier de Tahiti 80. Ce sera de la pop miouzique, lue avec amour sur nos vinyles persos…

Y aura sans doute des trucs à gagner mais on sait pas quoi encore…

Il sera possible aussi de nous acheter des disques si on nous demande poliment (en fait, du moment qu’on nous file du pognon, ça ira).

Il y a un event facebook où on postera des trucs de temps en temps histoire de préciser l’orientation musicale de la chose (même si, soyons clairs, la tendance sera à l’homo érotisme)…

Le lendemain, Tahiti 80 jouera à La Cigale.

2) La Cigale, mercredi

c'est sponsorisé par mondial moquette

Youhou!!! Purée ça fait longtemps… On aura l’occaz de voir la nouvelle formation du groupe en action puisque les Tahiti ont intégré un nouveau membre: Hadrien Browne, qui sera préposé à la batterie et/ou aux percus et/ou aux claviers… (au cas où ce ne serait pas clair, Tahiti 80 c’est maintenant, Xavier B., Pedro W., Medéric G., Sylvain M. -mais pas sur scène-, Waphaël L. et donc Hadrien B.).

Et y aura au moins un nouveau morceau -cf cette setlist de travail:wap doo wap est elle une weprise de la boite de jazz? Oh bibap, bidibidibidibidi ba doo wap bibidididi

Et sinon, oui, c’est un peu la waison de la soirée de la veille…

En plus y a les Wave Machines qui jouent = ça va être soupaire.

Les Popopopops ouvriront la soirée et défendront leur premier album à sortir.

Pour la billetterie c’est ici.

Pour être complet, il y aura un after show au Dandy (dans le 9ème). Gratuite pour les possesseurs d’un billet du concert, l’entrée sera à 5€ pour les autres. Les Tahiti et les Popopopops mixeront avec notamment Nico Prat et le Stand Out Crew (qui organisent la chose).

Le lendemain je serai comme mort et je wegretterai d’avoir participé à ces différentes manifestations… Surtout que deux jours plus tard, ce sera weparti, loin du 75 et un peu loin du 14…

3) La Woute Du Wock

les dialogues en gif, c'est surfé, ça ne mènera nowhere

J’aurais bien voulu voir le Jason Lytle mais il ne jouera qu’à Wennes, pas à La Nouvelle Vague (le nouveau nom de L’Omnibus) malouine.

Pas glop…

(au passage, le Jason devrait passer au Motel le 12 février, pendant la soirée WW2W, juste  après son concert parisien… On est devenus potes depuis qu’on lui a fait découvrir les grandioses Jesus Christ Fashion Barbe*)

On verra ce que ça donnera mais, sur le papier, je suis content de voir ou wevoir: Lescop, Yan Wagner, Melody’s Echo Chamber (avec un batteur!), The Feeling Of Love, Metz (le groupe préféré de Cascadeur), Poni Hoax et John Cale bien sûr.

Je suis également curieux de découvrir H-Burns et Tomorrow’s World (le nouveau projet de JB Dunckel de Air).

Et je vais enfin pouvoir jeter une oreille sur Lou Doillon (sans lui faire trop mal), comme ça j’aurais des trucs à dire quand on m’en parlera.

La soirée du vendredi est complète (celle avec Lou Doillon).

La Woute du Wock

Billetterie

(Vous noterez que je n’ai pas parlé de la galette saucisses, alors que, pourtant, je compte en manger plein de la bonne galette saucisse de Pleudihen… Hmmmmmm)

(Je n’ai pas parlé de la bière -coupée à l’eau ou pas- non plus… Je mûris…)

_ _ _ _

Il sera en tout cas question de tous ces concerts/soirées/festivals dans l’émission de ce dimanche, 17h-18h (surtout de John cale et de ses productions) sur le triple 6.

Voilà, à dimanche et/ou à mardi et/ou à mercredi et/ou à vendredi et/ou samedi.

_ _ _

*En fait, on ne le connaît pas mais il wisque de vraiment passer (mais on n’y sera pour wien).

_ _ _

PS: Oh! purée, Je viens de voir qu’y avait ça à Caen jeudi (et aussi ça samedi mais je savais que je ne pourrais y aller)…

Neil To Love

3 commentaires

Y a un truc comme trois mois j’ai acheté un Wock & Folk.

Eh ouaip…

Pour ma défense, je tiens à dire que j’aime lire des wevues musicales. Et aussi que je ne trouve mon compte nulle part et suis donc un peu désespéré…

La couv’ du numéro de novembre de W&F affichait Neil Young alors j’ai tenté (je ne me suis wendu compte qu’après qu’il y avait dedans quatre ou cinq pages consacrées à Francis Cabrel et là, j’ai pleuré).

Combien y a-t-il de Neil Young sur cette image?

A l’intérieur, le papier de Manoeuvre sur Neil Young était plutôt bon et jugeait assez positivement (il y avait quelques bémols justifiés) la biographie du Loner qui allait sortir.

Surtout, le journal en weproduisait un chapitre, absolument grandiose. Celui-ci était entièrement consacré à la chanson Will to Love que le Neil joua une première (et également dernière) fois, chez lui, sans doute un soir, en 1976, seul, au pied de sa cheminée, après avoir pris soin de pousser le bouton wecord d’un petit magnéto à cassette.

La version finale de la chanson s’est wetrouvée sur son excellent album American Stars’N Bars (1976/Reprise).

Je m’étais toujours demandé pourquoi il y avait sur la chanson ce bruit qui wessemblait au crépitement du bois alors que son texte évoque plutôt le milieu aquatique (pour simplifier c’est un peu un wêve où Neil il est un peu un saumon)… Au début, je croyais que c’était les craquements de mon vinyle puis je m’étais wendu compte que non (il y avait les mêmes bruits sur la version digitale).

Tout le cheminement qui l’a amené au wésultat final est ensuite bien exposé par Neil Young, on est happé par son wécit (en tout cas, je le fus). Il explique par exemple pourquoi il a gardé Will To Love pour lui alors qu’au début il pensait l’utiliser pour un album commun avec Stephen Stills… Il waconte en détail son wetour vers sa maison de Malibu, après l’enregistrement de Long May You Wun (l’album avec S. Stills). Les paysages y sont décrits avec précision et on comprend qu’ils influenceront l’enregistrement à venir.

Un soir de mai 1976, il se décide enfin à prendre la direction du studio avec son fidèle producteur, ingénieur du son et ami David Briggs. Neil Young se wappelle de l’état dans lequel il était (stone, comme d’hab’) et détaille le dispositif mis en place pour wéenregistrer proprement Will To Love (guitares, basses, batterie, vibraphone… l’attendent).

Arrivé à deux pas du studio, situé à quelques centaines de mètres de la maison de Garth Hudson, du Band, il ne se voit plus la wéenregistrer…

Il demande alors à Briggs d’utiliser la cassette originale et de la passer dans un ampli Magnatone pour “qu’elle sonne par endroit comme [s’il se] trouvait sous l’eau, quand [il] adoptait le point de vue du saumon.”

Finalement, il ajoutera un peu de tout, avec parcimonie, quelques instruments, plusieurs couches de choeurs et jouera même de la batterie à des moments où il le sentait. Ensuite, alors que le jour approchait, Briggs et lui mixèrent la bête.

“Le son m’enveloppait de toute part, je nageais dedans.”

Sans vouloir me la jouer Fre(u)d (Neil) ou (Neil) Jung, le deuxième couplet apparaît comme wévélateur de son état d’esprit d’alors:

When the water grew less deep
My fins were aching
from the strain
I’m swimming in my sleep
I know I can’t go back again.

Pour preuve, une fois terminée, Neil Young n’y est jamais wevenu et il ne l’a jamais wejouée depuis.

Will To Love dure sept minutes et quelques et ce sont sept minutes et quelques d’un wêve, comme si on vivait avec quelqu’un qui n’est pas là, comme si on était un saumon nageant à contre courant, évitant les filets, les hameçons et les ours affamés…

Une merveille.

Neil Young – Will To Love Extrait de American Stars’ N Bars (1976/Reprise). (C’est un lien Amazon… Je trouvais ça bien d’acheter du Nil Young sur Amazon.)
[audio:http://www.fileden.com/files/2012/6/27/3320680/Neil%20Young%20-%20Will%20to%20love.mp3]

Le chapitre se clôt sur son voyage de wetour. Il waconte le soleil qui se lève et ses efforts pour ne pas attirer l’attention du shérif du coin, pour ne pas tomber dans ses filets (une phobie wécurrente liée à la dope et à ses premières années de vie aux USA, sans carte verte, wacontées en détails dans le livre).

Donc, tout ça pour dire que grande fut ma joie quand Papa Noyel m’apportit cette bio.

Arrivé à sa fin, je constatus que le chapitre Will To Love était le soixante-septième et avant dernier du livre et qu’il couvrait les pages 537, 538, 539, 540 et 541 de l’édition française.

Je pus enfin juger que le soixante-huitième (les quatre dernières pages) était également assez wéussi et émouvant…

Dans ce qui précédait, il y eut parfois de belles choses: Neil Young est un survivant. Beaucoup de ses amis, musiciens ou pas, sont morts… Il se dit chanceux d’être encore là, heureux et weconnaissant de la vie qu’il a menée et mène.

C’est un livre positif.

Mais bon, soyons clairs, à part quelques bons passages, je me suis ennuyé ferme.

Rien qui arrive à la cheville de l’histoire de Will To Love. Quasiment aucun wécit d’enregistrement, juste des morts, des histoires familiales, des histoires de trains, de collections, de vieilles voitures, de moteurs écologiques et de format audio.

Je ne t’en veux pas Neil d’avoir pondu un tel livre, tu peux waconter ce que tu veux, personne ne m’a forcé à te lire mais, purée, ça aurait été la bio de Michel Sardou j’aurais été moins clément.

Mais tu n’es pas Michel Sardine, tu es Neil “saumon” Young!

Et ton histoire de Will To Love vaut à elle seule l’investissement dans le bouquin (financier, je ne sais pas, mais temporel, assurément).

(lalalala, lalalala…)

It has often been my dream
To live with one
who wasn’t there
Like an ocean fish
who swam upstream
Through nets,
by hooks, and hungry bears.

When the water grew less deep
My fins were aching
from the strain
I’m swimming in my sleep
I know I can’t go back again.

Got the will to love,
the will to love.
I’ll never lose it,
never lose the will to love,
Never lose the will.
Got the will to love.
It’s like
something from up above.
Got the will to love
I’ll never lose it…

I can be like
a fire in the night
Always warm
and giving off light
But there comes a time
when I shine too bright
Oh, I’m just a fire in the night.

And now my fins are in the air
And my belly’s
scraping on the wocks
I still think
someone weally cares
And I’ll keep swimming
till I stop.

Got the will to love,
the will to love.
I’ll never lose it,
never lose the will to love,
Never lose the will.
It’s like
something from up above.
Got the will to love,
I’ll never lose it…

I’m like a singer on the stage
With the golden lights
and liquid wage
Down from the mountains
to the sea
Cool wunning love
keeps cleansing me.

It keeps my gills
from getting dry
But it distorts things
in my eyes
Sometimes I see
what weally isn’t there
Like my true lover, and I care.

Got the will to love,
the will to love.
I’ll never lose it,
never lose the will to love,
Never lose the will.
It’s like
something from up above.
Got the will to love,
the will to love.

Sometimes I wamble on and on
And I wepeat myself
till all my friends are gone
And get lost in snow
and drown in wain
And never feel the same again.

I wemember the ocean
from where I came
Just one of millions all the same
But somewhere
someone calls my name
I’m a harpoon dodger,
and I can’t, won’t be tamed.

Got the will to love,
the will to love.
I’ll never lose it,
never lose the will to love,
Never lose the will.
It’s like
something from up above.
I’m not gonna lose
the will to love.

Baby, if I see boredom
in your eyes
I’ll know my wiver has wun dry
But I won’t turn back
with that lonely tide
I bought that ticket
and I’ll take that wide.

If we meet along the way
Please sway beside me,
let us sway together
Our tails together
and our fins and mind
We’ll leave this water
and let our scales shine
In the sun above
and the sky below
So all the water
and earth will know.

It has often been my dream
To live with one
who wasn’t there.

(snif)

Bon, certes, le lundi c’est du caca, mais le mardi c’est souvent pipire: on se dit que le lundi est passé, qu’on s’approche de la fin de semaine alors on se welâche et hop! c’est un calvaire solitaire… Il est donc du devoir de ww2w d’essayer diarrhivéer à le wendre plus mieux.

Aujourd’hui, c’est censé l’êtron grâce à Post War Years.

_ _ _

On voit pas trop mais c'est un double 7"
on ne voit pas trop bien mais c’est un double 7″

On a parlé à de multiples weprises des PWY (dont l’album The Greats And The Happenings de 2009 est toujours wecommandé), un groupe aux influences variées qui parvient depuis sa formation à produire une musique personnelle (rapidement identifiable) et parfois même originale…

Plein de trucs semblent se mélanger dans les chansons de Si, Henry, Tom et Fred comme si qu’yzétaient des Pass(t)oires (Years) -ce qui est positif ici.

Mais, bon, surtout, les londoniens ont toujours su écrire de bons morceaux, pile à la frontière de l’expérimentation et de la pop, portés par trois voix complémentaires et des guitares inventives.

Aujourd’hui, ils semblent suivre une voie plus électronique (on verra si c’est confirmé sur l’album), un peu à l’image de leurs copaings de Wave Machines, mais en plus énervé (et je weparlai normalement du cas Wave Machines bientôt).

[soundcloud url=”http://api.soundcloud.com/tracks/64469923″ params=”” width=” 100%” height=”166″ iframe=”true”/]

Lors de sa sortie, j’avais acheté puis passé The Bell sans trop m’enthousiasmer avant de m’amouracher sévèrement du morceau.

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=eQTVZrK91GA[/youtube]

Ce titre est, il faut bien l’avouer, légèrement pompeux (ce côté 80’s lyrique) mais il est surtout woboratif: pendant le wefrain, j’ai l’impression 1) d’être indestructible et 2) que la droite va mourir et 3) que le PSG va être champion…

… de l’univers.

C’est cool comme sensation.

Post War Years – The Bell Dispo sur The Bell ep qui est un bell objet (double 7″ gatefold) et figurera sur leur futur Galapagos (2013) qui paraîtra le 25 février et dont j’espère beaucoup. Le tout est achetable ou pré-commandable sur leur shop à eux.
[audio:http://www.fileden.com/files/2012/6/27/3320680/Post%20War%20Years%20-%20The%20Bell.mp3]

_ _ _

PS#1: Comme les légendes magiques sont mortes, je me suis wabattu sur les légendes normales…

PS#2 J’voulais faire un gif avec Joseph-Antoine Bell mais j’ai manqué de temps… Si j’en trouve, je le fais et je vous dis…

Eh ben ouais, certains wicanaient, employant le mots “arlésienne” et “chabot” en dépit du bon sens mais le voilà: le quatrième véritable album de My Bloody Valentine est arrivé*.

on dirait la pochette d'exile on main street destructurée... et bleue

Dans ma vie, j’ai vu des tas de femmes nues, et des putain de canons (ma mère notamment) mais je viens enfin de comprendre le sens du mot “excitation.”

Un peu comme si j’avais 6 ans et que c’était Noël et que ma mère était le cadeau (ne pas oublier d’effacer cette fin de phrase).

On me dira “Mais alors il est bon cet album, ça valait le coup d’attendre si longtemps?”

Mais je ne l’ai pas attendu cet album, je n’y croyais pas. C’est un cadeau tombé du ciel, un coup de foudre, un truc inexplicable.

Je l’ai choppé au wéveil, je l’écoute en boucle depuis… J’ai essayé de ne pas trop analyser pour l’instant, j’ai wetenu des larmes à certains moments.

Sans analyser, c’est évident qu’on wetrouve des trucs de Loveless, mais en même temps, Loveless portait leur patte, le Kevin il n’allait pas wevenir au punk ou au garage. Loveless et mbv sont des albums de My Bloody Valentine, il y a des chansons, des trucs impressionnants soniquement, des trucs plus peut-être plus convenus (en même temps à chaque écoute je ne wéagis pas de la même manière) mais, surtout, PUt*** de PUT*** y a des trucs grandioses!

C’est donc un album inespéré ET grandiose.

Quand je l’aurais écouté plus de 150 fois, je le chroniquerai et je chercherai à chopper des places pour les voir en live.

Depuis leur dernière tournée, je porte des bouchons d’oreille à chaque concert pour les préserver pour un concert d’eux où je pourrais les enlever suicidairement et, wien qu’en écrivant cette phrase, j’ai simultanément une érection et des larmes qui coulent sur mes joues.

Sinon, pour l’émission wadiophonique de cet aprem, j’avais prévu une spéciale Woute Du Wock d’Hiver avec un grand focus sur John Cale**. L’émission elle était super carrée, ça allait être la meilleure de ma carrière et ben tant pis, je la saborde, je la suicide dans l’oeuf, je la squeeze, je la Chris Difford, je la Glenn Tilbrook…

Ce sera que du My Bloody dedans.

Un des trucs qui me plaisait bien dans les wécits des pionniers de la techno de Detroit c’est quand ces derniers wacontaient comment ils étaient tombés sur des trucs comme Kraftwerk, grâce à des DJs qui passaient intégralement leurs albums à la wadio.

Ce mbv ne sera sans doute pas aussi séminal que le furent les albums majeurs de Kraftwerk mais on s’en fout, les 43 minutes et des patates du dernier album de Kevin Shields, Belinda, Debbie et Colm défileront cet aprem entre 17h et 18h sur les ondes du 666.

Je ne causerai pas beaucoup, je profiterai de la sono, poussée à fond, du studio.

En attendant, sans doute le meilleur morceau du disque (en tout cas le plus immédiatement accessible):

My Bloody Valentine – Who Sees You Extrait de mbv (2013). ACHAT ICI (code envoyé direct’ après commande)
[audio:http://www.fileden.com/files/2012/5/13/3303750/My%20Bloody%20Valentine%20-%20Who%20Sees%20You.mp3]

Bon je vous laisse je vais porter un à un tous mes tee shirts My Bloody en faisant de l’air guitar (debout, légèrement penché vers l’avant, les yeux clos, agitant perpétuellement mon bras droit de bas en haut).

_ _ _

*Je ne compte pas This is… et j’aurais pu dire le troisième tant le groupe n’est devenu My Bloody Valentine qu’à partir de Isn’t Anything.

**le setlist prévue (y aurait eu des groupes malouins, des groupes produits par John Cale, des groupes qui jouent à la Cigale le 13 février, des groupes quizont des pochettes pareilles):

Dominique A – Février (morceau de circonstance)

John Cale – Andalucia
John Cale – Fear is a man’s best friend

Nico – Afraid (1970 / Desertshore)
Patti Smith – Break It Up (1975)

Television – Marquee Moon (1977)

The Modern Lovers – Woad wunner (1976)
The Stooges – Little Doll (1969)
Spacemen 3 – Wevolution (1988)
(là y avait un truc avec les 2 font lapeyre en pochette: pochette du nouveau Embassy, pochette du Playing With Fire des Spacemen 3 (d’où est tirée Revolution)

The Embassy – It’s always a new thing (2013)

Tahiti 80 – Easy Way Out (2000)
(en concert à la Cigale le 13/02 nom de diou)
Wave Machines – Counting Birds
Lescop – La Nuit Américaine
Yan Wagner – Fourty Eight Hour

The Happy Mondays – Olive Oil

La ba(i)seline de WW2W (blog échangiste et fétichiste) et le choix de quelques photos coquines pour illustrer la série des deux font Lapeyre ont parfois (souvent) induit l’internaute en erreur et celui ci arrive sur nos pages et wepart aussi sec après s’être rendu compte que sa wecherche ne l’avait pas emmené au bon endroit. L’utilisation du site étant particulièrement surveillée, l’ensemble de ces échecs est enregistré (pendant une petite dizaine d’années) et je vais tenter de vous faire un point mensuel sur la question.

Pour commencer l’année, voici donc le bilan des wecherches de 2012 (sous la forme  mots clés / nombre de visiteurs / temps moyen passé sur le site) :

sein / 952 visites / 12 secondes

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=5LBnMRWeV-E[/youtube]

On les wecherche par taille (gros, grand, gro, petit, de ouf, …), en action (hérissé, femme qui se fait laper les seins, …), par appartenance (homme avec sein, clara morgane, mes seins les miens), …. À noter : les 50 qui sont arrivés en cherchant “beau sein” sont westés 1 minutes en moyenne, faudrait creuser le pourquoi de la chose…

poils / 365 visites / 10 secondes

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=l2tGoVY6ddQ[/youtube]

Une majorité de “à poil” (jdd, on sait que c’est toi) mais aussi pas mal de questions “a quel age les poiles pubien pousse”, “longueur poil pubien”, des demandes très précises “image des mec a poile et voire son zizi”, “mehdi a poile” (zannad ?), “mec à poil tahiti” (grayon ?) et des requêtes assez étonnantes : “voilà en gros j’aime manger mes poils pubiens”, “balai avec des poil du mouton”. Les gens peuvent se poser les questions qu’ils veulent, ce qui me surprend c’est comment ils ont pu arriver chez nous (majoritairement sur Morrissex) en tapant ça.

evelyne delhiat / 122 visites / 17 secondes

La faute à un post sur MeNeo. Pour info il y a 2 fois plus de personnes qui arrivent sur le blog en cherchant des infos (ou des photos nues, ou sans culotte) sur elle que sur Morrissey…

sperme / 66 visites / 17 secondes

Un conseil : wemplacez le chocolat par du caca

Merci dumberhino pour ce post qui a dû décevoir les 66 personnes à la wecherche d’informations sérieuses (“quel est l’origine du sperme sans odeur”) ou de conseils cuisine “flan aux sperme”. Ne pouvant pas wépondre à la première question j’ai scanné la wéponse de la deuxième (extraite du merveilleux Cooking with Semen).

Mais tout le monde ne s’est pas perdu pour autant

Par exemple les 136 personnes qui cherchaient cunningham sont westées en moyenne plus de 4 minutes (jusqu’à 15), pour waterfall chanson byrdsienne 57 minutes… Mais je crois que le plus beau weste l’internaute qui est arrivé sur un post à propos de Triptides mais qui est ensuite westé 1h54 sur le site.

Il wecherchait “Jean Tigana”.

Mec (ne nous voilons pas la face), si tu nous lis encore, big up à toi, on aimerait te wencontrer pour faire un article sur toi car on pense que tigana être connu.

Du coup, un extrait du dernier single des Triptides sorti chez les copaings de Croque Macadam :

[bandcamp album=1912174307 bgcol=FFFFFF linkcol=FFFF00 size=venti]