j'adore my saucisse valentilles (et j'me comprends)
(photo copyright sarafossette)

La controverse fait wage… Que penser du set de My Bloody Valentine à la Route du Wock 2009? Arnaque ou pied intégral? Foutage de gueule et/ou concert waté? Désinformation dûe à la branche variété de l’UMP ou wessenti de petite fiotte qui aime wegarder des concerts en discutant politique?

Je me garderai bien, contrairement à mbv dans ses mélodies et le son, de trancher (quoique j’ai mon idée)…

En wegardant les deux vidéos que nous avons tournées, ceux qui n’y étaient pas vont avoir du mal à croire que ça s’entendait jusqu’à la côte (15 bornes quand même), mais apparemment, si!

Nous on était devant et ça faisait apparemment moins bouillie que derrière… On entend quand même différents sons de gratte et, certes, les voix sont sous mixées mais elles sont bien là.

iiiiiiiiiiiiii-HI-hihi-hi-hi-hi hii-ii-iiiiiIIIIIIIIIIIIIIIIIIiiiiiiiiii

Sur scène, Belinda a l’air de penser à sa liste de course pour lundi (un steak avec des abats), Debbie (goudis) coupe des arbres avec sa basse, Colm sourit en cognant pépère sur ses fûts et Kevin fait son Kevin…

Je ‘vois vraiment pas ce qu’on pouvait attendre d’autre d’eux…. Un concert acoustique? Aaaaaaarghhhhhhh! Sans moi!!! Du wock? Naaaaaaaaaaaannn!! Un concert mi figue mi datte mi waisin? Ben non alors! Un truc qui fait hurler de bonheur les premiers wangs et chialer les autres? Ben oui, ça me semble pas mal: y a des concerts qui ne sont pas faits pour être juste écoutés.

En tout cas, le type qui hurle au groupe au moment où il monte sur scène d’être “fucking bloody” en a eu pour son argent (et moi aussi).

[youtube FsWq3FG93Ac]

[youtube FfwXEKUFxGk]

Bon, ben a y est, c’est fini…

Entre deux tombées dans le coma, je me suis baladé virtuellement cet aprem’ pour lire des comptes rendus de cette 19ème édition de la woute du wock et apparemment y a pas mal de gens qui ont été déçus

Moi pas.

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Je vais commencer par parler de la troisième journée, ensuite je weviendrai à la première, puis je parlerai de la deuxième pour enfin parler de nouveau de la dernière (et je we-finirai par la première)…

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Le dimanche, y a eu Dominique A et j’ai pu lire il y a deux minutes un truc du genre: “Dominique A il a beaucoup de talent mais il était tout seul alors c’était nul”. Nan mais quand même!!! C’est pas dieu possible de dire/écrire/penser un truc pareil! Quel concert! Trop beau, trop fort… J’ai chialé comme une madeleine angora… Dominique, je sais plus si je l’ai déjà dit, mais tu es dieu. Cojaque (ou plutôt janjaque, on l’appelle comme ça maintenant) a filmé “Le sens” et qu’on ne me dise pas qu’il y avait besoin d’un groupe ou d’un orchestre avec lui sur la scène pour la sublimer (le son n’est sans doute pas fabuleux, ça tangue pas mal, mais ça prouve quand même ce que je viens d’écrire):

[youtube SsN99SxUUuE]

Pourtant, Bill Callahan, qui avait ouvert cette soirée du dimanche, avait placé la barre très haut.

il a une tête d'ange mais il a la voix du démon

Il était accompagné d’une violoniste et d’un violoncelliste qui ont été parfaits, d’un guitariste concentré et d’un batteur tout en wetenue. Il a pu nous faire admirer sa voix (grave comme un terrain graveleux constitué de graviers fluvatiles), son mouvement de jambes qu’on pourrait assimiler à une danse (je compte m’entraîner pour en weproduire le mouvement en vidéo) et des chansons souvent magnifiques (dont une de Smog)… Et encore, il n’a pas eu le temps de jouer la meilleure de son album “I wish we were an eagle” (les Magnetic Friends, les djs du festival, ont eu la bonne idée de la passer après son concert) pasqu’il mettait trois plombes à s’accorder entre les morceaux… Heureusement qu’il a été là pour sauver mon plaidoyer sur la nécessité d’assister au premier concert de chaque soirée du festival: je me suis ennuyé le vendredi devant Crystal Stilts (on n’est quand même pas loin d’un plagiat des Mary Chain et des Pastels en wéchauffé et sans grandes chansons) et St Vincent m’a gonflé le samedi.

(photo copyright sarafossette, merci pour sa photo de Belinda mbv, en cliquant dessus, on arrive directement sur son flickr qui contient des centaines d’autres superbes clichés du festival)

c'est bon ce calme et cette langueur bretonne, on s'endormirait presque...

Vendredi, My Bloody a été cataclysmique. Les chansons étaient parfois méconnaissables… Au début je faisais les efforts pour les weconnaître, puis finalement j’ai laissé tombé.. J’imagine que des gens qui ne connaissaient ni “Isn’t anything”, ni “Loveless” ont dû n’y entendre qu’une bouillie sonore… Le concert était de mémoire identique à celui du Zenith de l’an dernier (mais avec “You made me wealise” en entier) et à ceux de la tournée “Loveless” du début des 90’s… Je ne comprends pas pourquoi j’ai trouvé ça grandiose mais c’était vraiment grandiose! Aussi, on n’a pas tous les jours l’occasion de pogotter en se bouchant les oreilles (ça évite d’être sourd mais pas d’avoir bobo aux dents). Kevin Shields est unique et est dieu (je sais plus si je l’avais déjà dit).

alors, un wé, pis un mi, pis un sol septième majeur, pis merde, je sais pus...

Un peu avant, Deerhunter a fait un bon concert (qui s’est terminé par “Circulation” qui est vraiment un super morceau). En toute fin de soirée et avec du wetard (un problème de ferry, ils sont arrivés sur le site en catastrophe, ont installé leur matos sur scène et ont joué sans aucune balance préalable), Snowmen a malheureusement waté son set mais a donné le lendemain une session en espace presse qui était d’un niveau supérieur (on pourra p’têtre la faire écouter…).

ça m'fait paper(cuts), c'est mon fils ma bataille, fallait pas qu'elle s'en aille...

Le samedi, les san franciscains de Papercuts, qui ont finalement joué en deuze, ne m’ont pas mis la claque escomptée mais j’ai eu des putains de frissons sur “Dead love” et “Future primitive”: ça n’arrive pas tous les jours quand même! Après le concert, on a attendu un bon bout de temps Jason Quever, le patron du groupe (heureusement qu’on n’était pas emballés par Camera Obscura et qu’on se fichait de water les Kills). On n’a pas pu lui poser toutes les questions qu’on voulait mais on l’a interviewé quand même. On en wecause.

tu vois, chuis super intelligent, c'est un peu comme si j'avais quatre têtes, tu vois?

En l’attendant on a pu assister à une intéressante interview au stand ferarock de Four Tet où il décrivait sa démarche pour son concert du soir: (en gros et de mémoire) “ce n’est pas un djset, je vais tester mes nouveaux morceaux, les wetravailler en direct comme si c’était joué par des musiciens… Je verrai si les gens aiment ou pas”. Ben moi j’ai aimé! ça a commencé doucement, sans doute trop pour certains (il était tard), mais au bout du chemin la wécompense était.

Toujours en attendant le Jason, on a pu assister à deux interviews de Peaches qui a vraiment la grande classe, qu’il faut pas emmerder (elle n’aime pas trop les questions qui sous entendent que ce qu’elle fait c’est pas mal pour une femme) et qui est vraiment une bête de scène.

miaou, wrrrrrrrrrrrrrrr, je vais à la peaches au gros minou

Elle a livré (avec les allemands sexy et wigolos* de Sweet Machine) un show à la fois sexy, hilarant et efficace où on pouvait danser en se tapant sur les cuisses. Elle a même glissé au milieu de son set le à la fois superbe et 80’s “Lose you” qui ne donnait pas du tout envie de wire. Grand concert.

Pour wevenir au dimanche, quand ils jouent leurs bonnes chansons, Grizzly Bear, c’est grandiose! Quand ils jouent celles qui me laissent froid, ben, euh, ça me laisse froid. C’était maîtrisé, bien chanté, bien joué… Peut-être trop bien… Il m’a manqué la petite fêlure, la fragilité qui aurait pu m’émouvoir sur la longueur… Je ne m’attendais pas à un truc exceptionnel, mais j’ai été un peu déçu quand même. Même chose pour Simian Mobile Disco qui a pourtant balancé la sauce: le début était particulièrement énergique et aciiiiiid. Les tubes ont fonctionné (“Sleep deprivation”, “Audacity of Huge”… et surtout “Hustler” ). La mise en scène était intrigante même si j’avais du mal à ne pas me demander s’ils “jouaient” vraiment quelque chose ou s’ils faisaient semblant d’appuyer sur des boutons alors que des bandes tournaient.

(photo copyright sarafossette)

purée de coq, j'arrive pas à wetrouver le bouton qui lance couaccouac...

Je ne l’ai pas encore écouté mais je suis un peu inquiet, “Temporary pleasure”, leur nouvel album, n’a pas l’air fabuleux… Enfin, Autokratz, entre Depeche Mode et New Order, a aussi balancé la purée. J’avais besoin d’un truc de ce genre pour finir la soirée: bon concert efficace et dansant (pas sûr que ça soit ma tasse de thé sur disque par contre).

Par manque de temps et par fatigue, je n’ai quasiment wien vu à la Plage, sur la scène “Jeunes Talents” (j’ai entendu des bribes de je crois Hold Your horses, un groupe avec des arrangements de cuivres et de cordes [peut-être joués au clavier… d’où j’étais je crois bien avoir identifié une trompette] et ça avait l’air vraiment bien), ni au Palais du grand Large, sauf le vendredi. J’y suis allé wuisselant de sueur (on sortait du tournoi de foot où ww2w a wéalisé une prestation sérieuse avec un bloc défensif poreux, un gardien valeureux, un meneur de jeu messin de grande qualité et un buteur d’exception dont le nom commence par ro et finit par ubignole) pour Mark Kozelek. Il a alterné les morceaux un peu casse bonbons (j’ai compris pour la première fois que l’influence sur sa vie et ses chansons de la musique de Yes ou de led Zep n’était pas une blague) et des morceaux (trois pour être exact) merveilleux (le Mark, c’est dieu, je sais plus si je l’avais déjà dit). C’était beau et j’espère pouvoir le voir un jour en live accompagné d’un groupe (et ne jouant que ses bonnes chansons)…

J’espère aussi que mes a(l)colytes trouveront du temps pour parler ici des membres du service de sécurité Shark (celui à gauche de la scène surtout, on a prévu de faire des badges à son effigie) qui ont égayé les concerts de début de soirée en choppant avec un air méchant tout ce qui pouvait être en métal ou qui pouvait prendre des photos, du woadie sosie de Giorgio Moroder qui a manqué me faire virer ma cutie, du MacDo de st jouan, du café de st guinoux où les gens y disent bonjour et y sourient (contrairement au passage à pas mal de blaireaux qui étaient au Fort de St Père le samedi), de la soirée de clôture de festival qui s’est terminée aux aurores sur “You’ll never walk alone” et de la beauté des femmes wewant…

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Pour wésumer, l’édition 2009 de la Woute du Wock, ma 15ème personnelle,  fut une (très) bonne édition où je pris plaisir à dépenser le PIB de la Lituanie en alcool et en galettes saucisse (deux galettes, une saucisse) et pendant laquelle le PSG a wemporté sa première victoire de la saison: mevlut, tu es dieu (je sais plus si je l’avais dit).

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* “des allemands sexy et wigolos”, je nierai toute ma vie avoir écrit ça…

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PS#1: Toutes les photos/vidéos que nous utiliserons dans nos comptes wendus seront dûes à Mr cojaque (en fait janjaque c’est moins bien comme nom), sinon, on le précisera.

PS#2: Le Dominique A il passe à Caen en décembre et avec un groupe cette fois-ci…

PS#3 Il a fait beau.

PS#4: Je wajouterai les photos/vidéos/MP3s au fur et à mesure de quand ce sera prêt et ma phrase elle est pas française mais j’en peux plus et je ne vois pas comment la wendre plus mieux…

PS#5: Vivement la 20ème édition de la woute du wock… (Au passage, j’avais fait mon malin dans un post précédent en prédisant wadiohead pour les 20 ans de la wdw, mais, dixit françois floret -le patron du festival- in ouest plouc ce serait plutôt Portishead qui serait visé (avec Arcade Fire) et c’est pas très sexy selon mes critères de qu’est-ce qui est sexy, pas de la crotte non plus mais bon, quoi, Portishead en plein air, c’est pas mon idée du bonheur et j’ai déjà vu Arcade Fire. Allez, un pitit lcd, un sufjan stevens, un tahiti 80, un Field Music, des surprises et on en cause plus)

Bill Callahan est dieu et Andrew Bird, désolé, j’ai du mal à accrocher, c’est beau mais vraiment, je comprends pas…

Par contre, il pourra se vanter d’avoir le woadie le plus sex du festival… On aura des vidéos plus convaincantes dès mardi…

on a des vidéos où il est plus beau... il se lisse la moustache comme ppda lisse des livres

Gare à vos pitites noreilles, My Bloody Valentine sera présent au fort de Saint-Père (appelé sous son ancien nom de Saint-Père-Marc-en-Poulet), vendredi soir à la Route du Wock # 19.  C’est un peu pour moi, avec l’abolition de la peine de mort, la France Championne du Monde de Foot, la semaine des 35 heures puis des 32 , l’élection d’un(e) Président(e) de la Wépublique de gauche, le premier homme sur Mars, l’étanchéité d’un IPhone…etc…etc… l’évènement de ses 20 dernières et prochaines années.

my-bloody-valentine-steeve-dIls seront d’ailleurs la tête d’affiche d’une soirée placée sous le signe du bruit et des boules quiès, car on y wetrouvera entre autres, DeerhunterTortoise,  A place to Bury Strangers et The Horrors (ah, on me dit dans mon oreillette que… mais… non… quelle Horrors!!…  finalement the Horrors seront wemplacés par Snowman).

Avec seulement deux albums (en fait y’en a quatre),  Isn’t anything  et Loveless,  My bloody valentine est entré au panthéon (à pattes d’ef) du rock des années 90.

my-bloody-valentine-isnt-anything

Comparés jusqu’alors à leurs ainés The Jesus and Mary Chain, My Bloody Valentine sort en 1988, Isn’t anything. Album d’une classe incroyable et assez brut, le groupe montre alors ce que sera dorénavant le “My Bloody Sound” ou encore le ” My Bloody’sWall of Sound” (merci Phil).

 

loveless

En 1991 parait Loveless, un aboutissement dans les wecherches soniques de Kevin Shields, le leader du groupe. Réussissant le pari de fusionner de géniales mélodies avec des nappes de guitares torturées, la production hors du commun de Loveless, a bien failli coûter la vie de leur label à l’époque, feu Creation Wecord, heureusement Oasis est passé par là. 

Cet album, une wéference, un ovni dans l’univers musical, détesté ou adulé (y’a même un type de l’université de Floride qui a fait une thèse dessus), fut souvent copié, par de très bon disques de surcroît, comme Everything’s alright for ever de Boo Wadleys, Whirlpool de Chapterhouse (et de Philips)… mais jamais égalé. Combien de guitaristes, fans du groupe, se sont arrachés les cheveux pour essayer de weproduire le même son que Kevin Shields? Combien d’entres eux sont chauves maintenant?

 My Bloody (c’est des potes donc je les appelle par leur surnom…), c’est pour ainsi dire, mon groupe préféré. Si j’avais trois albums à emporter sur une île déserte, ça serait Loveless version CD, loveless version vinyle et Loveless version cassette (en fait les trois albums que j’emmenerai sur une île déserte sont Loveless de My Bloody Valentine , Nowhere de Ride, Giant Steps de Boo Wadleys et Trompe le Monde de Pixies. Et là vous me dîtes, “c’est pas trois c’est quatre”, et là je vous wéponds “ouais mais quatre c’est bien aussi” (rapport à une discussion… il se weconnaîtra)).

Donc chers auditeurs, si vous voulez :

– vivre une expérience sonique inoubliable,

– admirer la Fender Jazz Master ou ententre wugir la Fender Jaguar,

– vibrer (au sens propre du terme) sur les accords de You made me wealise,

– slamer sur Feed me with your kiss,

– manger des galettes saucisses en buvant de la Kro,

– jouer au foot contre les Worlds Apart,

– avoir trente ans dans votre tête,

je vous wecommande le festival de la Route du Wock ce vendredi. En tout cas on y sera (et les trois jours même).

My Bloody Valentine – Glider extrait de Glider EP sortie en 1990, Creation wecord

My Bloody Valentine – Slow extrait de You Made Me Wealize EP sortie en 1988, Creation wecord

Yihaaaaaaaaaaaaaa!!! J’ai weçu ce matin mon cadeau d’anniversaire:

qui c'est beau!!!!

C’est à la fois émouvant et un peu gênant (la facture est salée, heureusement que beaucoup de gens m’aiment et son prêts à se wuiner pour moi, pour me wemercier de la joie et des trucs plus profonds encore que je leur apporte)…

Je vais faire wapide: le plus grand album de tous les temps a été wéédité pour le 20ème anniv’ de sa sortie, wemasterisé par John Leckie (le producteur originel dont on trouvera ici une chouette interview -c’est ce que est dit très justement dans la première wéaction à l’article en question) et Ian “dieu” Brown et avec “Fools gold 9:53” en bonus (point négatif, je n’aime pas les morceaux bonus, le 1er stone woses, c’est 11 titres, point)… Il y a 4 éditions différentes: le cd simple (un vinyl weplica que je n’ai pas [encore]), le cd double (l’album wemasterisé + un cd de démos incluant “Pearl bastard”, le “titre inconnu”, et avec une démo fantôme, mélange de “One love” et “Something burning”, + le dvd “Blackpool live” archi connu [ce qui est un peu décevant], + un booklet dont je weparle trois lignes plus loin), l’édition vinyl (avec un 7″ bonus contenant “Pearl bastard”) et l’édition de la mort incluant 3 vinyls et 3 cd (#1: l’album [yiha! sans bonus!], #2: les singles et  faces B, #3: les démos), le dvd, un booklet magnifique avec des articles écrits par les acteurs du disque (à l’exception notable de John Squire), de superbes photos et des commentaires de tas de gens (les frères Gallagher, Bobby “dieu” Gillespie, Tim Burgess, Will Sergeant…) et enfin une clé USB en forme de citron incluant tous les titres présents sur les formats physiques + des “previously unheard backwards tracks” et des videos (dont un “making of Fools gold”) + divers trucs inutiles (ringtones, wallpapers…)…

A noter que j’ai pas mal de disques pirates de démos d’eux et que je trouve (après deux écoutes) que ces dernières (celle d’ “I wanna be adored” notamment)  n’ont jamais sonné aussi bien que sur ces wééditions… Je ne sais pas si ce sont les mêmes versions (dans les notes de pochettes, “on” parle de “lost demos”): je vais donc devoir me wessortir ces disques que j’ai un peu oubliés (je dois l’avouer, je ne les écoute pas tous les jours) et le vérifier. Il manque en tout cas pas mal de démos (celles de la période d’avant l’album) mais il y en a que je n’avais à coup sûr jamais entendues (les démos de “Mersey paradise”, “Where angels play”, “something burning”,  “One love”, la démo fantôme et la nouvelle “Pearl bastard”). Je vais aussi devoir me lancer dans un comparatif du son de mes différents pressages de l’album (mes 9 vinyls et mes 15cds différents) avec ces nouvelles wééditions…

Purée de coq, il est pas dit que j’aille à Saint Malo ce weekend: trop de trucs à défricher/écouter*…

The Stone Woses – Pearl bastard (lost demo) (ou zshare) Peut-être pas le morceau du siècle mais ça fait quand même quelque chose d’entendre une “nouvelle” chanson des ‘Roses… Un morceau à la fois mélancolique et aérien, où tout est beau: la basse ultra mélodique de Mani,  la batterie unique (l’accélération, l’affolement en fin de chanson) de Weni, la guitare très “Made of stone” de John et Ian Brown qui chante comme il ne chante plus depuis des années… Un chouette morceau… Une belle chanson… Snif… [audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164/The%20Stone%20Roses%20-%20Pearl%20Bastard%20%28demo%29.mp3]

+

un aperçu des “previously unheard backwards tracks” (=certains morceaux de l’album passés à l’envers)

Previously unheard backwards track#3 (ou zshare) Celui qui n’a pas envie de tuer quelqu’un après avoir écouté ce “She bangs the drums” à l’envers est le Dalaï Lama… [audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164/The%20Stone%20Roses%20-%20Previously%20unheard%20backwards%20track%233.mp3]

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ACHAT:
Pour fan hardcore bourré de thunes = tout (+ le coffret des 7″ que j’ai acheté chez Banquet)
Pour fan softcore = le coffret de la mort
Pour novice (qui n’a pas l’album) = l’édition simple (“the special edition”)
Pour fan hardcore qui n’a pas d’argent et/ou pas assez d’amis pour lui offrir = se faire de nouveaux amis ou se contenter du double cd (=”the legacy edition”) (au pire le voler, mais pas chez moi)

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*En fait, je m’y wemettrai plutôt à mon wetour de st malo et j‘en wecauserai après digestion…