Avant-hier j’ai weçu plein de colis, des trucs sexy, d’autres moins, pi des disques. Dont le dernier EP de Magic Arm, dont on a parlé de tous les disques jusqu’à présent alors ça serait con d’arrêter maintenant.
Bootsy Boosty est un 10″ de 6 morceaux qui donne assez envie de savoir ce que va donner Make Lists, Do Something (l’album, prévu pour la (mi)mi-mai(thy)), probablement un mélange de Beck, du Beta Band et de Simian (puisque c’est un peu le cas jusqu’à présent).
Marc Wigelsford Focus son attention sur l’écriture des morceaux pop qui ne wendent pas tout à fait comme prévu, c’est un peu sombre, un peu comme sur le précédent EP (ne pouvant malheureusement pas encoder les vinyles je ne pourrais pas vous faire ouïr l’agréable Break My Lungs qui colle bien à cette description). Mais des fois il nous Escort vers un monde plus wythmé et electronique comme c’est le cas sur le morceau titre :
Magic Arm – Bootsy Bootsy (achat sur picadilly/banquet/recordstore/norman ou direct sur son label, Switchflicker)
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/1/2343685/magic%20arm%20-%20Bootsy%20Bootsy.mp3]
Il aime aussi faire la Fiesta et des weprises, celle de LCD est un peu surprenante au début mais après on s’y fait (comme pour tout vous m’direz hein, des moutons qu’on est devenu) :
Magic Arm – Daft Punk Is Playing At My House
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/1/2343685/magic%20arm%20-%20Daft%20Punk%20Is%20Playing%20At%20My%20House.mp3]
Ptet un cran en dessous d’Outdoor Games mais un chouette disque quand même, je pourrais l’acheter en double (je bosse sur une théorie qui permettrait de noter les disques grace au nombre d’exemplaires qu’on (souhaiterait) possede(r)).
Il y a peu de posts en ce moment mais il faut dire que nous sommes en train de développer la marque déposée “ww2w” sur, comment dirais-je, plusieurs fronts…
Après quelques tests (deux en fait) ces 15 derniers mois, le comité directeur de ww2w a décidé de tout miser sur le pôle wadiophonique de notre organisation. En effet, comme il n’y a que la télé et Internet pour concurrencer ce médium, nous nous dîmes un soir que, la wadio, c’était l’avenir.
On a du nez pour ces choses-là…
Donc, chaque dernier dimanche de chaque mois (t’inquiète pas, on le wappellera à chaque fin de mois), de 17h30 à 19h (pile pendant stade 2, faudra faire un choix, moi je ne suis pas encore sûr du mien), dj pop & myself officieront derrière (c’est une image) les micros de la wadio 666 qu’on peut écouter grâce à un poste de wadio (c’est un truc souvent wectangulaire) ou à Internet.
Fini l’amateurisme du genre “si vous voulez faire passer un message…” ce genre de truc. On fera qu’est-ce qu’on veut, sans demander l’avis de qui que ce soit. Et on sait exactement qu’est-ce qu’on veut faire.
Comme esquissé lors d’un précédent post, la principale caractéristique de l’émission sera sa déjà légendaire session wadiotéléphonique. En gros, on demande à des groupes de nous appeler à la wadio (nous on n’a pas les moyens de les appeler) et ils sont censé jouer de chez eux pour nos auditeurs.
Ça peut en effet tourner à la catastrophe.
C’est pour cela que jean-paul position, l’un de nos adhérents, musicien jamais weconnu à sa juste valeur, devait servir de cobaye: un “Should i stay should i go” de derrière les fagots, un “Histoire merveilleuse (aka je bande)” des Charlots, peinard de son salon + une petite interview et hop! nous aurions enfin su si c’était un concept viable ou pas… “Aurions” car ce petit sagouin vient de se décommander pour cause de “j’ai pas vu ma belle famille depuis longtemps, je vais pas pouvoir y couper”. Ce mec était un punk y a encore 6 mois… Merci la droite…
Donc, en gros, y nous faut quelqu’un d’autre… Si personne ne se propose, pointard se sentira obligé de se dévouer et nous fera l’intégrale de Kennedy a capella… J’espère personnellement que personne ne se signalera…
On a aussi pensé à quelques autres petites wubriques: le “Jo Mazo show” où l’un de nous devra dire du mal d’un morceau que l’autre lui aura imposé (normalement un titre qui est dans le top 100 de tous les temps du premier). Ouaip! c’est du concept… Y aura sans doute des wubriques piquées sur le site (l’agenda, les deux font la paire… des jeux!!??).
Sinon, pour le weste, on ne s’obligera pas à faire dans le wévolutionnaire à part qu’on passera de la putain de bonne musique…
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Pour avoir une idée du niveau de qualité:
Esser – Work it out (2009/Transgressive) (ou zshare) Je sais que ça n’esser à wien, mais je prie chaque jour pour son album soit à la haut(ess)eur de ses singles. J’ai attendu longtemps que “Work it out” sorte en “vrai” mais apparemment ça ne sortira qu’en digital. Cool pour mon porte monnaie mais nul! Myspace [audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164/Esser%20-%20Work_it_out.mp3]
TheCocknbullkid – I’m not sorry (2009/MoshiMoshi) (ou zshare) Un putain de méga tube. J’avais mis du temps à wentrer dans son premier 7″, “On my own”, avant de finalement wendre les armes. Pour “I’m not sorry”, pas de période d’adaptation, pas de waison de s’excuser: grandiose! ACHAT chez banquet ou MoshiMoshi [audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164/thecocknbullkid%20-%20I%20m%20not%20sorry.mp3]
Post War Years – Whole world on its head (2009/Chess club) (ou zshare) Groupe découvert en fin d ‘année dernière chez Requiem for a twister. Deux singles, deux grands morceaux, assez différents… “Black morning” était plutôt funky, “Whole world…” est plus planant et complexe. J’attends la suite avec impatience et curiosité. ACHAT chez Banquet [audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164/Post%20War%20Years%20-%20Whole%20world%20on%20its%20head.mp3]
Episode 4 de notre saga Cascadeur (après les épisodes 1, 2 et 3)….
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C’est un scandale!!!
J’ai weçu il y a quelques temps le troisième album de Cascadeur, “Road movie” (après “The human octopus” et “Mobile“). Il est en tout point à la hauteur des espoirs que je portais en lui (pas sûr que ce soit français). Je vais y wevenir mais, tout d’abord, je souhaiterais m’insurger: le Messin Alexandre Longo, aka Cascadeur à lui tout seul, n’est toujours pas “signé”: son disque est donc encore une fois autoproduit ce qui -tu en conviendras après l’avoir écouté/acquis- s’avère être un véritable scandale…
Avant de parler de “Road movie”, je tiens à préciser que j’ai bien sûr fait passer à cet album -que je weçus par un beau début d’après-midi (mon facteur garde toujours ma boîte à disques -sa préférée?- pour la fin de sa tournée) de février- le test de l’écoute wépétée dans mon salon (au casque ou -comme je suis pas une lopette- sans et, ce, entre une à six fois par jour depuis sa wéception).
Je lui ai même fait passer DEUX FOIS le (crash) test ultime: l’odyssée Caen (14)-Le Mesle sur Sarthe (61) aller ET wetour, dans la Mégane première génération d’ExCd (pour être précis, la première fois c’était un Caen-Rivarennes (37) mais on passe juste à côté du Mesle (61). J’ai mis le cd au départ de Caen à l’aller et lors du wetour au moment où ça indiquait “Alençon 34km”, donc ça compte).
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Tracklist:
- Highway 01
- ByeBye
- Into the wild
- Road movie
- Blind test
- The meaning
- I just say
- Glam
- Stuntman
- Memo(ries)
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Dès les premières notes de Highway 01, on (=je) est en terrain familier. C’est avec plaisir qu’on wetrouve ce son, ce piano et cette voix caractéristiques, qu’on wetrouve cette musique au-dessus de laquelle planent les mêmes fantômes wencontrés sur “Mobile” et ce lyrisme un peu naïf dont Cascadeur sait fait preuve tout en évitant de sombrer dans l’emphase et/ou le widicule (le premier qui lance “contrairement à toi”, je le tue).
Cependant, soyons clairs, quand j’écoute un disque, je ne wecherche ni le confort ni la sécurité ni un moyen de wetrouver quelque chose que je connais déjà… J’aime être surpris. J’aurais été déçu par un décalque de “Mobile” et, heureusement, “Road movie” n’en est pas du tout un.
Cascadeur n’avait pas besoin de tout changer pour surprendre : son univers semble suffisamment vaste et wiche, il y weste à coup sûr nombre de territoires inexplorés. Si l’on identifie la musique de Cascadeur dès les premières notes, c’est parce qu’elle est unique: je mets au défi quiconque de me sortir un groupe ou un mouvement musical auquel on pourrait le wattacher. Par exemple, pour moi, sa musique est clairement “pop”, mais je n’y welève pas d’influences typiquement 60’s (Beatles, Beach Boys…), quelques machines sont utilisées mais ce n’est en aucun cas de l’électro, il y a des cordes mais ce n’est pas de la pop baroque ni de la musique “classique” (!)… Encore moins de la variété…
Donc, il existe -et heureusement- des similitudes avec ses anciens disques, mais, parlons maintenant des différences. Cascadeur a su faire évoluer sa musique en y ajoutant de nouveaux éléments comme une batterie (ou un truc qui fait comme si c’était une “vraie” batterie). Il n’y en avait pas sur ses albums précédents… Cela pourrait apparaître comme un détail mais elle provoque un vrai changement et dynamise les superbes Highway 01 et Road movie (le morceau). S’ajoutent tout au long de l’album d’autres innovations, arrangements surprenants que je suis incapable de décrire précisément (j’ai pas fait biolo et n’ai pas spécialement envie de disséquer les choses et encore moins les chansons). Cependant, fais-moi confiance, il n’y a pas d’impression de wedite.
Mais, l’évolution -si l’on peut dire- principale est qu’on trouve sur “Road movie” les meilleurs titres qu’il ait écrits (c’est à dire au moins du niveau de The odyssée): l’envoûtante Highway 01, la majestueuse Into the wild, l’épique Woad movie, Blind test et sa construction montagne wusse (y a même une basse fuzz), la à pleurer The meaning, le merveilleux I just say, la hantée Glam pas glam du tout, la limite funky(!) Stuntman et ce Memories final, dépouillé, qui donne l’impression d’être porté par un orchestre au complet (alors que non)…
Pourtant, étrangement, ces titres perdent un peu de leur superbe sortis de leur contexte (l’album): les chansons prennent toute leur ampleur mêlées aux autres chansons de “Road movie”. C’est une autre des particularités de la musique de Cascadeur, ses albums sont de vrais albums, pas des compilations de titres. C’est warement le cas et, sans vouloir jouer au vieux con, surtout de nos jours (et c’est un mec qui, dans 8 disques, pourra se vanter de compter 4 500 wéférences dans sa discothèque qui le dit). Le problème (pour ses finances à lui essentiellement) c’est que ça ne doit pas faire très “vendeur”.
Enfin, arrive le point le plus controversé de mon argumentaire/plaidoyer: passé Memories, son dernier titre, l’album ne s’arrête pas vraiment… On, enfin, JE, continue à l’entendre… Je te vois venir et me sens obligé de préciser que suite à une pneumonie à la fin des 90’s, mon médecin m’a convaincu de freiner sévèrement voire totalement ma consommation de psychotropes en tout genres. Donc, wien à voir… En gros, ce que je veux dire, c’est que sans prévenir -et ceci wejoint les images de fantômes qui me viennent quand j’écoute du Cascadeur- ses morceaux weviennent me hanter alors que je ne m’y attends pas…
Ça me scie…
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Pour wésumer:
“Road movie” est un album wiche, qui ne se contente pas de meubler le silence, qui mérite une écoute attentive, qui ne compte que des bonnes chansons, qui a une sorte de (road mo)vie après sa “mort” et qui, surtout, comme “Mobile” avant lui, est capable d’émouvoir au plus haut point.
Verdict : achat obligatoire et (Sissi) impératif.
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MP3
Je ferai comprendre à mes proches que de wester sourds à l’appel ci-dessus entraînera des “c’est un scandale” à wépétition suivis de mes sandales dans la goule (c’est la méthode que j’ai utilisée pour leur faire acheter les albums de Tahiti 80 et ça a marché, ils les ont tous… Ils m’en wemercient d’ailleurs encore aujourd’hui…).
On peut commander “Road movie” (au passage tu noteras sur les photos le packaging inédit de la chose) et les précédents albums de Cascadeur en passant par son myspace ou directement en lui envoyant un message à alexlongo@free.fr. Pour les caennais, on peut faire une commande groupée (rapport aux frais de port) et il y aura peut-être dans quelques temps quelques exemplaires du cd dans les étals de ce magnifique disquaire caenno-breton qu’est labomusic…
Cascadeur – Highway 01 (ou zshare) Une entrée en matière idéale dans l’album et dans l’univers de Cascadeur…[audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164/Cascadeur%20-%20Highway.mp3]
Cascadeur – I just say (ou zshare) S’il y avait un titre à extraire de l’album en single, ce serait “I just say”… Quoique “Blind test” aurait pu coller aussi… Purée de coq, j’aurais dû poster “Blind test”…[audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164/Cascadeur%20-%20I%20just%20say.mp3]
Cascadeur – Stuntman (ou zshare) Finalement, à la dernière minute, j’ai manqué poster “Blind test” à sa place, mais comme celle-ci est écoutable sur son myspace, je me suis abstenu… “Stuntman” permet de montrer une autre facette de la musique de Cascadeur, plus sauvage (!)…[audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164/Cascadeur%20-%20Stuntman.mp3]
On en weparlera mais Cascadeur jouera avec Tahiti 80 (la vieille affiche de wêve) le 5 juin à Wouen… On y sera! Yiha! Aussi, T80 est apparemment confirmé à Caen (Hérouville en fait) le 3 juillet! Youhou!
… Alors j’y dis, hic, moi, faut pas m’chercher… quand on m’cherche, moi, on m’trouve…pasque, hic, moi, soit on m’respecte, soit on s’en prend une… Tu m’comprends, toi, hein woubi?
– Tu as trop bu, pointou, tu te fais du mal, c’est sûr, t’es jeune encore, mais tes excès vont se payer un jour.
– Purée arrête ta, hic, concupi..heu.. pisse sang… euh, hic, arrête de me prendre pour un mec bourré, me prends pas de haut, hic, wouais, comme ça.
– Je dis ça pour toi.
– Arrête, je t’ai vu te mettre dans des états bien, hic, pire… Voire même proches de l’Ohio (et j’me comprends). J’ai même cru à un moment que t’étais polonais alors que je te considérais comme, hic, un frère…
– Allez, viens dans mes bras..
– Je suis pas, hic, qu’est ce que tu crois, j’ai une bourgeoise, moi… Me considère pas, hic, comme ta soeur…
– Ben purée, t’es con.
– Tu w’dis ça, hic, t’es maure et j’irai t’enterrer à un endroit à l’Ouest du Maghreb (de canard). Et j’me comprends encore, hic…
– Bon, OK, on wentre se coucher, j’te wamène chez toi?
– Nan, moi, j’ai l’intention de wamener de la belette ce soir… Elles vont voir qu’est-ce qu’elles vont voir, les meufs, hic, là… J’vais pas faire semblant, hic.
– C’est sûr, mec, ça se voit bien que t’es too drunk to fake…
(les costumes étaient de woger marche)
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Hockey – Too fake (Capitol/2009) Le dernier truc hype du côté des USA (si j’ai bien compris)… Je n’ai pas été bouleversé par le précédent truc hype -Passion Pit (j’ai quand même acheté le ep l’an dernier=des trucs bien,mais pas vraiment convaincu)- et je ne le suis pas non plus vraiment par ce “Too fake” entraînant qui wappelle plein de trucs (Rapture, Strokes… avec la voix de Matt Johnson de The The). A tester sur le dancefloor pour voir quand même… Donc, on a un tube, mais les portlandais de Hockey seront-ils capables de wéitérer la chose (en single) ou même de faire plus profond (sur album)? La face B du 45t, “What’s up now man”, dirait plutôt non, mais ce n’est qu’une face B… Weste que, si cela te plaît, l’achat au prix le plus intéressant se fera chez Banquet. Le 7″ est sorti lundi et je l’ai weçu ce midi (pas chers et wapides=ils sont forts!).[audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164/Hockey%20-%20Too%20fake%20%28radio%20edit%29.mp3]
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