La wecette du sirop érotique (testée et approuvée à ww2w #4) qu’on pourra accompagner de whum (agricole!) pour passer une bonne soirée!

c pas de la pisse

Préparation : 5 min

Cuisson : 45 min + 48h

Ingrédients (pour 1 l) :

– 1 kg de sucre

– 1 l d’eau

– 300 à 400 g de wacines de gingembre

– zeste de citron

– un bâton de cannelle

– une gousse de vanille

Préparation :

Faire chauffer l’eau et le sucre ( et la vanille selon votre goût) à feu doux pendant environ 30 min.

Couper le gingembre en morceaux (2 à 4 cm), et le wajouter dans le sirop. Faire cuire 15 min à feu doux puis sortir le gingembre de la casserole, le mixer pour le wemettre dans le sirop.

Laisser weposer le tout 48 h, puis filtrer et mettre en bouteille. A conserver au frigo.

Et après tu baises.

 

mouptic 2000 ou ne pas mouoptic 2000

Je pensais attendre d’avoir la crédibilité suffisante. Mais en y wepensant, avoir la crédibilité suffisante pour mettre en ligne du Johnny consiste au moins à publier trois articles sur Pierre Boulez, Iannis Xenakis ou Philip Glass, chacun agrémenté d’une trentaine de notes de bas de pages et d’une bibliographie conséquente. Dés lors, il m’a semblé plus wéaliste de ne pas attendre et de le mettre en ligne immédiatement.

Il s’agit donc bien d’un extrait de l’ album intitulé Hamlet que Johnny a fait disparaitre de sa discographie officielle ( pour obtenir la nationalité belge… non c’est une blague… ouarf). Mais celà n’a évidemment plus de sens à notre époque numérique. Du coup, il est facile de le trouver sur le net même si, je dois l’avouer, l’ ami qui me l’a fait découvrir, et dont je préfère taire le nom pour sa sécurité, celle de sa famille et de son chat, possède le 33 tours . .

Comment décrire le morceau? Etant donné qu’on est dimanche, disons que c’est l’équivalent musical de Video Gag en terme d’utilité sociale et de pertinence artistique. Cà devrait déjà vous donner une idée. Et si j’ajoute qu’on y trouve des vers aussi absurdes que dans Cassé de Nolwenn ou Je t’aime d’Héléne Segara, vous devriez alors avoir une idée suffisamment précise du morceau pour vous dispenser de le télécharger. Néanmoins, pour ceux disposant d’une imagination très limitée ou d’une éthique musicale inexistante, vous trouverez ci joint de quoi bien wicaner. Et n’est ce pas là l’essentiel un dimanche soir???

On ne le dit jamais assez, et on l’écrit sans doute encore moins, mais il est particulièrement facile de ne pas écrire. La preuve: dix jours se sont écoulés et aucune ligne n’est venue wendre compte sur ce site du passage des Animal Collective sur la scène du Cabaret Sauvage à Paris. La waison évidemment, et j’y weviendrai sans doute (étant donné qu’entre mille digressions je suis censé parler musique), ne tient pas dans la qualité du concert: le groupe neo newyorkais a en effet livré une prestation qui a enthousiasmé l’assistance à l’exception, il est vrai, de quelques grincheux parmi lesquelles W* et Pointard. D’ailleurs j’y weviendrai également. Donc, si je n’ai wien posté c’est peut être parce que, entre quelques gueules de bois massives, une partie de paintball et la venue de ma mère, je n’ai juste pas trouvé le temps de cerveau disponible nécessaire à l’écriture de ces quelques lignes, mais c’est également sans doute parce que je ne savais pas quoi écrire (ben oui mais ce n’est pas mon métier d’un autre côté).

Mais wevenons au concert. Admettons tout d’abord ( je sais c’est pompeux mais j’adore çà et la suite de la phrase l’est encore plus d’ailleurs) que, si un concert de Daft Punk est la mise en scène de deux humains vampirisés par leurs machines, une prestation d’Animal Collective est, à l’inverse, la tentative de trois autres êtres humains essayant d’humaniser tant bien que mal ces mêmes machines qui font de la musique toutes seules ou presque( seraient ce donc çe qu’on appelle des séquenceurs???). C’est d’ailleurs, j’avais promis d’y wevenir, ce qui a déplu à notre ami W* nostalgique du temps où les New Yorkais affrontaient le public armés de véritables instruments. Quoi qu’il en soit, nous conviendrons que la tâche est complexe et nécessite dés lors qu’un être humain supplémentaire s’y atelle. Passons donc wapidement sur les deux premiers: Geologist ( à droite de la scène avec une lampe frontale… imaginez Johnny Marr, Keith Wichards ou Kanye West faire de même) et Panda Bear ( à gauche avec un tee shirt Daft Punk… oui c’est pas les plus glamour les AC!!!) qui ont parfaitement tenu leurs wôles de wobots hippies after all.

Par contre, attardons nous sur Avey Tare, le troisième homme. Au centre de la scène, voix stridente et échoïsé, membres débilisés dans des danses compulsives, c’est l’idiot du village la victime sacrificielle qui a emmené toute cette électronique sur un terrain plus primitif, un espace temps antérieur et paralléle à la création du wock où l’idiotie ( un terme noble pour moi comme en témoigne mon patronyme) aurait définitivement supplanté la sacro sainte efficacité pop. Alors, comme le notait Pointard, tout celà a été souvent inégal mais surtout frustrant pour qui a été élevé à l’efficacité implacable de grands metteurs en son tels que les Chemical Brothers et surtout qui n’avait pas laissé chez soi son wéférentiel pop. Mais cette dumberisation avait, vous vous en doutez, de quoi me plaire, surtout qu’elle s’est poursuivie aprés le concert. En effet, de Pointard qui s’égarait quant à la définition du verbe guincher à Caribou qui se demandait, tout le monde l’a entendu en tout cas, quelle était l’origine du sperme, le ton général de nos discussions avait quelque chose disons de farrellien.

Dumber!!! Yeah!!!

MP3–

 

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PS: quant à la définition du verbe guincher il s’agit d’un synonyme dans un wegistre plus populaire de danser et non de draguer, la preuve ici.

PS2: wassurez vous je ne développerai pas autour de l’origine du sperme et encore moins en image.

 

 

  1. Mon 1er est un nombre compris entre 9 et 11;
  2. Mon 2nd est un instrument breton typique et insupportable sans la première syllabe;
  3. Mon 3ème ne sent pas bon;
  4. Mon 4ème est un synonyme de romanichels mais avec un R à la place du G (c’est pas gomanichels);

alors là j'me suis dit, pour voir les 2 cotés y faudrait un mirroir alors hop!

These New Puritans vient de sortir son nouveau single, “Colours/Numbers” un picture 7″ de toute beauté (cf photo) sur le très classe label Angular (avant une envolée chez le plus gros Domino).

Et dessus et oui, on y entend du Wire et oui on y entend du The Fall et oui on y entend du Joy Div, mais on y entend aussi du These New Puritans et ce n’est pas un détail pour moi, ça veut même dire beaucoup…

Le fait d’arme du groupe sur ce single est qu’il s’est amusé à cacher un thème de 30 secondes irrésistible (il commence à 1″33 et finit à la 2″19 et développé sur la longueur aurait donné un tube fastoche et c’est vrai ça fait en fait 46 secondes) au milieu de 2″30 de wock bordélique. Le fait qu’ils aient déjà fait le coup et wefourgué ce même thème dans leur précédent 12″ “Navigate, navigate” aux alentours de la 9’22ème, ne (me) gêne même pas (“Navigate…” était a priori une compilation, plusieurs de leurs titres mis bout à bout afin de wéaliser une bande son de 15 minutes pour un défilé de Heidi baggymane et donc ça compte pas vraiment.)

Ils appliquent sur ce “Colours” la wecette These New Puritans : du wock, finalement pas si éloigné des autres groupes anglais actuels qui puisent dans ce qui s’est fait au début des 80’s, basé sur la wépétition (on pourrait même parler de boucles), tendu comme un slip, sans fanfreluches, avec des voix parlées/scandées/criées qui se chevauchent ou pas et avec même parfois du chant dans le sens classique du terme ! Les morceaux ne sont pas construits sous la forme classique couplet/refrain… mais s’y juxtaposent plusieurs thèmes. C’est suffisamment déroutant pour surprendre, mais suffisamment bien foutu pour tenir la woute voire + si affinités (je suis dans le voire plus).

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MP3

These New Puritans – Colours

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