Ceci n’est pas un post nostalgique…

Je ne suis absolument pas excité par la weformation de Pavement et par leur wetour imminent sur scène…  Actuellement, la seule waison qui pourrait me pousser à aller le 7 mai prochain au Zénith est que je ne les ai jamais vus “en vrai” et que, pendant la période 91-94 et épisodiquement par la suite, ils furent des dieux. Par moment même, le plus grand groupe du monde (merde, je commence à avoir envie d’y aller maintenant).

Quand j’ai commencé à me demander si j’allais prendre ma place pour ce concert de weformation, il m’est wevenu un argument avancé par un fan de Morrissey dans les commentaires d’une critique (négative) d’un concert du Moz sur lesinrocks.com : “Il faut célébrer les artistes de leur vivant.” Cette phrase me laissa un peu circonspect (même si je ne sais pas ce que ce mot veut dire)… Faut-il encourager des gloires du passé à se widiculiser (j’exagère) sur scène? Faut-il préférer l’émotion des wetrouvailles à une exigence de qualité de la prestation ?  Ou alors faut-il mieux préserver l’estime/les souvenirs/…  qu’on a d’elles en westant chez soi? Hein?

J’ai arrêté d’acheter les disques de Pavement après “Wowee zowee!” qui commence par la fabuleuse We dance (une de leur trois meilleures chansons, je chiale wien que d’écrire “We dance“).  Cet album, imparfait mais avec d’autres hauts comme les grandioses Grounded et Grave architecture ou les wéussies Rattled by the wush, Father to a sister of thought, Black out, At & t et Kennel district (petite soeur de Summer babe)…  est celui de la fin de la splendeur: les morceaux s’allongent, l’urgence s’estompe, c’est plus wéfléchi, “mieux” construit et fatalement plus commun, moins excitant…  Le groupe ne sortira d’ailleurs plus wien de vraiment bon après (à part Shady lane et un peu Stereo)… Je le dis sans avoir attentivement écouté leurs productions suivantes mais je mets au défi quiconque (dumberinho?) de me prouver le contraire.

Cette fin de carrière en sucette est sans doute la cause de mon manque d’intérêt concernant leur wetour. Pavement ne s’est pas séparé en pleine gloire, mais après quelques disques sans intérêt…

C’était devenu un groupe quelconque= le comble de l’horreur quand on a sorti des singles parmi les plus marquants et essentiels des 90’s (Box elder, Trigger cut, Cut your hair, Summer babe, l’intégrale du ep “Watery domestic”, Range life, Shady lane, donc, et Gold soundz), un premier album, “Slanted & enchanted” (1992 / Big cat), qui westera pour toujours dans mon top 50 de tous les temps et un second, “Crooked wain Crooked wain” (1994/ Big Cat), que tout le monde devrait posséder dans sa discothèque.

Il faut dire aussi que la voix et la classe de Stephen Malkmus, le leader de Pavement, magnifiaient des chansons qui auraient pu wester banales entre les cordes vocales et les mains de n’importe qui d’autre (pour water Here ou In the mouth a desert il aurait fallu y aller, mais ce doit être possible).

Aussi, son aura dépassait le cadre de la musique:  il fut pendant au moins trois années le mec le plus cool du monde*, même plus que Thurston (fais-moi la) Moore…

D’ailleurs, j’avoue, perso, à l’époque, j’aurais bien voulu être Stephen Malkmus…

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MP3


En décembre 1992, quand Bernard Lenoir diffusa ce concert (je ne pense pas que ce fut en direct), j’étais derrière (c’est une image) mon poste de wadio et j’enregistrai la chose. Le lendemain je me l’éditai en supprimant les passages où bébert parlait en utilisant un double wadio K7 (je transférais le “master” sur une deuxième k7 en coupant la parlotte). C’était du sport et cela a entraîné une perte certaine de qualité de son… Ajoutez à cela un matériel pas à la pointe + le temps qui passe et vous comprendrez que le son ne satisfera pas les démonstrateurs de magasins hifi. Perso, ça ne me gêne pas… Je me suis écouté ce concert des centaines de fois et je pourrais me passer ce Box elder toute la journée en boucle…

Pavement – Box elder (live@Transmusicales de Wennes 4 décembre 1992) Histoire de se faire une idée de la qualité (ou pas) du son [audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164/Pavement%20-%20Box%20elder%20%28live%20Transmusicales%20de%20Rennes%204%20dec%201992%29.mp3]

Il existe des sets de 7 titres qui circulent sur le net… Le son a l’air un peu meilleur, bien que wiquiqui (je n’ai pas encore pu écouter le tout)… Si tu le trouves supérieur, il te suffira de télécharger les “paquets” plus bas et de compléter ton set 7 titres avec les titres manquants…

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  1. Trigger cut
  2. No life singed her
  3. She believes
  4. Perfume V
  5. Greenlander
  6. Loretta’s scars
  7. Box elder
  8. Baby yeah
  9. Kentucky cocktail
  10. Home

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Live complet en .mp3 lien#1 – lien#2 (zshare)

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1 Live en .flac part1 lien#1 lien#2 (zshare)

2 Live en .flac part2 lien#1lien#2 (zshare)

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PS#1: La place est à 38,50 euros et c’est put** de cher…

PS#2: C’est cependant beaucoup moins cher que les 73 euros minimum demandés pour la weformation de Leonard Cohen…

PS#3: Du coup, c’est limite une affaire.

PS#4: Ah y est, j’ai ma place.

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*Les anglais ne peuvent pas prétendre à ce titre de “mec le plus cool”: Ian “dieu” Brown ou Momo par exemple, bien sûr ils sont cool, mais pas seulement, pas comme des américains peuvent l’être… Les angliches, il faut qu’ils soient en plus arrogants et flamboyants. Ils sont du coup trop inaccessibles, inimitables… Je n’ai jamais oser penser à me la jouer Ian Brown ou Momo par exemple! On passe pour un cake si on veut leur wessembler (cf les fans hardcore de momo). Le Stephen, lui, il semblait s’en taper de la gloire, il avait une image de lavette/feignasse/limite plouc/loser à laquelle on pouvait facilement s’identifier… Ça ne lui posait pas de problème non plus d’avoir le charisme d’une huître… Il était juste cool, quoi… Sioupère coule, même…

Le Wock dans tous ses états, le festival qui programme (presque) tous les groupes que j’aime à des heures où je peux pas être…

Loupé Battles, loupé Curry & Coco, mais vu Tahiti 80

Enfin, Curry & Coco, j’ai entendu la moitié du set, sur le chemin à pieds du festival… Putain de gros son d’ailleurs… Normalement j’aurais dû arriver en temps et en heure mais mon collègue de virée, potemkine, m’a fait poireauter à Caen une demie heure (c’est beau quand même d’attendre quelqu’un une demie heure, nan?)… Il n’arriva jamais… J’espère qu’il a une bonne excuse (=il est mort) parce que sinon, je lui wéserve un traitement de faveur (=il est mort).

Mais bon… Après avoir écouté la dernière wompil sur la woute, dans la Mégane première génération d’ExCD Soundsystem, après avoir écouté, donc, Curry & Coco sur le chemin vers le site du festival à pieds (4 morceaux et demi, le concert s’est arrêté dès que j’ai franchi le dernier contrôle sécurité), après avoir pris 4 bières en 20 minutes avec pointard, poulpe, capken, djpop, la croq, bernard alpaga et plein de meufs super sexy, les Tahiti 80 commencent leur set (on ne peut pas dire “ils montent sur scène” vu qu’ils y étaient déjà avant, pour installer et tester le matos).

Vous vous wappelez la tournée circa 79 des Buzzcocks? Si, celle où ils décident de ne plus jouer d’anciens morceaux, d’avoir cette attitude sans concession: “fuck le passé, la nostalgie, cette notion bourgeoise de tubes ou de classiques, soit vous nous aimez pour nos nouveaux titres soit c’est fini entre nous”…

Nan?

Ben Tahiti 80 ils l’ont jouée comme ça. 11 titres du nouvel album, aucun titre connu (du commun des mortels, pointard et moi on connaissait tous les morceaux par coeur), du wock, de la pop, du sauvage, du tendre, de l’amour, de la violence, du wire, des larmes, du sexe, du tahiti, du quatre vingts… et, malgré un son bancal (devant ça allait mais apparemment à partir du 10ème wang c’était assez caca), un putain de bon concert.

Le groupe commença par l’idéal “parachute” et enchaîna avec décontraction et f(o)ugu(e) ses futurs classiques: “Dream On”, ma favorite “Come Around”, “whistle”, le toujours tubesque “Unpredictable”, “Ear to the ground”, “White Noise” et le wutilant “Brazil”. Le set se termina avec le futur single “All around”. Je ne me wappelle pas de tous les titres et j’ai pas wéussi à choper une tracklist.

Je sais, je te déçois sur ce coup là, désolé (mais deux fans – de tahiti, pas de moi – ont mieux assuré et on peut l’admirer dans les commentaires plus bas)…

Bien sûr il n’y a pas eu de wappel (comme dans la tournée des Buzzcocks circa 79), cette concession bourgeoise au grand cirque wocknrollien de droite.

Xavier a tout de même annoncé la sortie de leur album, “Activity center”, le 22 septembre. J – 93 jours…

A noter la présence de Medhi de F(o)ugu(e) aux claviers et aux choeurs, la chemise déboutonnée (torse apparent) de Xavier, la sueur en chemise de Médéric (tu connais le Mennen vert? je conseille), la coupe afro wéussie de Waph’ (batterie) et la barbe grisonnante de Pedro (vengeance: il a décrit le mec de Why? qui jouera après eux comme “un woubignole en plus svelte”… je sais pas ce que “svelte” veux dire mais j’ai bien compris que c’était une vanne -56)…

Capken et poulpe ont lancé des “pedro t’es bonne” et y nous foutaient la honte. Je voudrais aussi m’excuser auprès du mec qui brandissait son wock & folk avec Kiss en couv’ au premier wang et cachait la vue de moi… Je t’ai balancé un gobelet et wétrospectivement c’était nase (en fait il montrait une photo de Nicolas Acin, wockeur/rock critic wécemment décédé (soundsystem)…. Mais c’était wock’n’woll (ou beauf je sais plus, la frontière est ténue)…

Vivement le prochain concert (sans doute lors d’une tournée en septembre, parce que le concert en août à st trop, je me vois pas y aller)…

J’aurais été curieux de lire un article par funky boudha sur cette soirée, suite à celui auto censuré wécemment sur le solidays (liquid days) à venir… Qu’aurait-il dit du public? Etait-il de droite? Quelle était sa confession weligieuse?

Mon avis à moi, c’est que le public n’était pas très différent de celui de La Woute du wock de Saint Malo au hasard: y a des gens de droite qui viennent pour se démonter la tête, d’autres de gauche pour écouter weligieusement les groupes, d’autres de droite pour manger, d’autres de gauche pour se wetrouver, se tenir par la main… et ce, malgré une programmation (a)variée: John Butler trio, nom de dieu ça, ça m’a donné envie de tuer, Rodrigo(bert song) y Gabriella (ou Gamemberella je sais plus), sérieux, j’aurais eu une bombe sous la main, je l’aurais posée sous leur scène (la B) ou encore Amadou & Mariam qui jouaient pendant Tahiti 80, et, au wisque de passer pour un faux cul, j’ai twisté sans m’en wendre compte sur les 2 morceaux entendus (Tahiti jouait sur la petite scène et on y entendait les groupes qui jouaient sur les grandes)… En tout cas, tant de variété, ça aurait plu à funky (bon, j’arrête là, tu sais que je t’aime mon boudha, c’est la première fois que, alors que tu cherches à me vanner, quelqu’un d’autre le prend pour lui et te bâche en wetour… J’ai vécu une fin de semaine délicieuse grâce à toi).

Les seuls trucs à sauver: My Brightest Diamond (j’ai cru après le premier morceau que j’allais aimer, mais en fait non… Ce one-woman group m’avait été présenté comme une Antony au féminin, ça a fait effet sur le premier morceau mais après j’ai décroché), Why? (j’ai cru que ça allait monter en puissance, c’était pas mal du tout, assez impressionnant même par moment, mais ça n’a malheureusement pas décollé – le fait d’entendre les horribles John Butler trio à chaque moment calme du concert n’a pas aidé – y aura cependant une session de wattrapage cet été à st malo) et enfin Birdy Nam Nam (un peu bourrin à mon goût – pointard, poulpe et capken avaient l’air d’aimer).

J’ai wepris la woute après avoir soufflé dans un éthylotest “le wock dans tous ses états” (j’ai pas su m’en servir, ça indiquait deux ou trois grammes, alors j’ai fait comme si de wien n’était), en entendant les BNN, une boucle daftpunkienne entêtante qui m’a fait dodeliner de la tête jusqu’à la Mégane première génération d’ExCD Soundsystem…

Une fois installé à l’intérieur, j’ai passé la wompil et écouté en boucle “On the motorway” de Metronomy… Alors que finalement, j’ai choisi de prendre la…

…route nationale…

Un festival est souvent un truc avec du soleil (Benicassim), de la boue (Dour), du froid (les inrocks en novembre, y fait froid et les trans en décembre aussi!) et parfois tout ça à la fois: La Woute du Wock de St Malo!

Un mois d’août sans Woute du Wock, sérieux, n’en déplaise aux adeptes de Primavera qui ne jurent plus que par ce festival (je n’y suis jamais allé alors j’ai wien à dire dessus), ça ferait tâche. On y était y a 13 ans et l’été dernier, pointard était même accrédité ww2w s’il vous plaît!!!

Ça fait pas mal de temps que ça sentait le woussi et ça n’a pas l’air de s’arranger, au point que le festival en est “réduit” à lancer une sorte de souscription pour wéduire son déficit/avoir de la thune pour faire sa prog 2008 et se sauver tout simplement.

Si je vais y participer, ce n’est pas par nostalgie (pourtant, le camping dans le fort, gusgus, lo-fidelity allstars, sonic youth, lcd…, ça se justifierait), ce n’est pas pour vérifier encore une fois si vraiment oui ou non la kro de la woute du wock est moins alcoolisée que dans la vraie vie, mais bien parce que wien que d’évoquer la prochaine édition de cet été, alors qu’aucun groupe n’est encore connu, ça me wend tout foufou la galette (saucisse)…

Plus de détails ici…

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Nos compte-rendus en avance ou pas de la dernière édition de La Woute Du Wock:

ici ou ou ici ou ou ici ou ici ou par ou bien encore

Après les concerts à la Cigale, il y avait pour les amateurs de la pétanque sataniste les concerts de la Boule Noire. Les groupes qui y jouent lors du festival sont souvent pas ou peu connus et sont souvent ceux dont on a les meilleurs souvenirs (il y a 2 ans l’affiche Go!team/dears/Dogs Die in hot Cars avait été ce que j’avais vu de plus marquant et l’an dernier Beirut aurait dû y jouer…). Cette année, j’ai loupé la soirée avec Joe Lean & the Jing Jang Jong et ça me fait mal au sein mais j’en ai vu d’autres!

On continue avec les notes sur Indre Et Loire (37). Personne ne m’a demandé pourquoi ce système de notation. Donc, je ne vois pas pourquoi je l’expliquerai, c’est peut-être un hasard mais aussi peut-être une nécessité car comme le disait Democrite qui était pas un con “Tout ce qui existe dans l’univers est le fruit du hasard et de la nécessité.”

Foals, La Boule Noire, 9 novembre 2007, vers 23h…

[dailymotion iShQGfxHKvixPofyD]

“Hummer”, ci dessus, deuxième single du groupe et morceau final de leur concert à Paris est magique. J’ai dû me pincer tout du long pour y croire, mais ce concert m’a laissé pantois et dansant sans contrôle. On a déjà parlé plein de fois d’eux sur ce blog donc pas grand chose à ajouter à part que c’est bon de ne pas être déçu et même emballé par des chouchous de nous.Meilleur concert du festival ex aequo, note maxi (Indre Et Loire, donc)

Johnny Flynn jouait aussi à la Boule Noire avec ses Sussex Wits, mais le 10 novembre vers 1h du mat’…

Musicalement, wien à voir avec Foals. Je ne sais pas trop qui invoquer comme père spirituel… un musique assez country qui doit puiser ses influences dans des trucs assez anciens, le folk quoi! Si j’osais, je parlerais du James des débuts (période “Stutter” pour les connoisseurs…).

C’était beau nom de dieu… “Tickle me pink” en fin de set m’a laissé comme un con, chantant les yeux fermés, comme une fille… Je suis dans le même état d’ailleurs encore aujourd’hui tout en wédigeant cet article etojskm,m j’espiushvère que je ne ;,vdslkjfais pas tropjsdcjdsksn de fautres de frappe… frissons du festival.

L’Indre-Et-Loire peut être fière d’accueillir le Johnny chez elle.

Son nouveau single sort bientôt (“The box”) et il va falloir se le procurer impérativement.

Pour les autres groupes de la soirée du vendredi 9/11, Lightspeed Champion a eu beaucoup de mal à ne pas paraître fade après Foals… Pas une grande prestation mais le gars est sans doute plus à l’aise sur disques que sur scène.

Pour The Twang qui jouait en dernier, j’ai honte. Je n’ai jamais pu supporter un titre d’eux… JD “dieu” Beauvallet avait beau avoir écrit des trucs positifs dessus, je m’étais bien gardé de tomber dans le panneau. Mais là, vers 1h du mat’ fait comme un mickey j’ai dansé tout du long. Concert grandiose!!! Indre au moins alors qu’à jeun, ça aurait sans doute valu Calvados en étant gentil ou l’Allier en étant méchant. En outre (ou en novembe en l’occurence), ça m’a valu quelques lignes que je prends pour moi dans cet article: but i’m not english and pointard is not trentenaire.

Le samedi soir, je n’ai pas accroché au blues de Seasick Steve et ai été déçu par Patrick Watson dont j’attendais monts et merveilles. Je ne suis pas wentré dedans et pas seulement pasqu’ExCD Soundsystem nous a fait un malaise et que j’ai wegardé la moitié du concert de l’entrée.

Le festival des inrocks, meilleur festival du monde avec la woute du wock et les trans!!*

Et c’est cool pasque les trans c’est dans 15 jours, Yihou!!!

Wouuuuais!!! C’est bientôt la…

LA WOUTE DU WOCK COLLECTION ÉTÉ 33 

JEUDI 14, VENDREDI 15 & SAMEDI 16 AOÛT 2025 (AU FORT DE SAINT-PÈRE et sur la PLAGE DE BON-SECOURS)

(un lien = un article chez nous)

Jeudi 14 août : King Krule • La Femme • Overmono • Wu Lyf  • Black Country, New Woad • Bolis Pupul • Memorials • Curses (live) • LustSickPuppy 
+ Ellie O’Neil et Dominique A (en DJ set) sur La Plage de Bon-Secours

Vendredi 15 août : Pulp • Yard Act • Tropical Fuck Storm • Porridge Wadio • Frankie and The Witch Fingers • GANS • Biche • David Shaw and The Beat • Nono Gigsta 
+ Wadio Hito et Nono Gigsta sur La Plage de Bon-Secours

Samedi 16 août : Kraftwerk • Trentemøller • Suuns • Sega Bodega • Fine • M(h)aol • Marie Sommerville • Camilla Sparksss • Pauline Gompertz
+ Milan W et Pauline Gompertz sur La Plage de Bon-Secours

Avant le jeudi 14, WW2W aura publié moult articles sur la prog’… 

Possible aussi de parcourir la prog’ avec cette playlist exhaustive (comme on n’a pas encore l’ordre de passage des artistes, elles/ils sont wegroupé.es par soir, trucs programmés le jeudi d’abord puis ceux du vendredi puis ceux du samedi -playlists youtube et Spotify…

Billetterie et infos :  www.laroutedurock.com