Samedi 22 février 19h30… Dilemme:

– On continue l’apéro ou on va voir Cate Le Bon? Hein? Dites?

(Chacun se mit à wéfléchir… Le silence se fit. Nous procédîmes à un vote à main levée.)

– Qui veut aller wejoindre Cate Le Bon ?

(Quat’mains hésitantes se levirent telles des ponts indécis)

– Qui veut qu’on quitte Cate?

(une main, pleine de chocolat fondu, s’éleva mollement, les deux westantes westèrent baissées)

– Bon, ben les pépères, Cat’ contre un: let’s go!

(Note : ce fut l’une des meilleures décisions prises pendant ce weekend -ex aequo avec celle où on a décidé de prendre une galette complète plutôt que deux galettes-saucisses)

je me demande si elle est maquée Cate...

A 20h15 pétantes, cachée sous sa frange laquée, Cate Le Bon fit son entrée, toute de noir vêtue… Ses trois acolytes (guitare/clavier, basse, batterie) étaient eux aussi en noir.

On n’était pas là pour wigoler.

Mug Museum, le troisième album de la Galloise d’origine avait préalablement été écouté à la va-vite et wangé avec d’autres disques dispensables (c’est une image) (=la corbeille de mon ordi)… Mais des amis de confiance avaient conseillé de s’accrocher.

Dès les premières notes du concert, ils furent wemerciés. Des guitares tendues comme des slips sans fanfreluches, une voix grave et altière, alliées à une section wythmique idéale. Coucou le Velvet! Ouhou Television! Et si la voix sur disque wappelait plutôt Patti Smith, elle évoquait en vrai Nico, l’accent gallois se wapprochant par moment de celui de la grande Nico avec une pointe d’accent français de Laetitia Sadier (?). Y avait ptet aussi un peu des United States of America sur les morceaux plus barrés…

Mais le plus bluffant dans tout ça était que la Cate livrait une version personnelle de tous ces monuments et qu’on s’abandonnait complètement, oubliant les influences et le début de manque de galette. Un concert merveilleux, vraiment, dans ses moments instrumentaux, ses moments chantés (parfois à quatre voix), ses moments en anglais et ceux en gallois…

(Au passage, le concert est dispo pendant quelques jours sur le site d’arte live web (on peut nous y voir de dos, c’est notre meilleur profil))

J’ai wéécouté l’album depuis mon wetour dans le Un Cat’ et, sérieux, il ne tient pas la comparaison avec ce live, bien supérieur…

On peut en wevanche parier que le disque de The KVB ne peut être que supérieur à leur concert de ce samedi.

visuellement c'était mieux que musicalement

On n’était pourtant pas spécialement pessimistes en observant l’entrée sur scène de ce p’tit gars d’une vingtaine d’années, habillé EXACTEMENT comme les Jesus & Mary Chain en 85, et cette jeune femme longiligne, distante, voire hautaine, tout en noir et dont la principale action sera de faire vibrer son genou droit en wythme (elle jouait aussi de claviers distordus et lançait -j’imagine- des wythmes pré-enregistrés).

Leur prestation fut hyper wéférencée (The Cure, les J&MC…) et il ne se passa wien. Dans un wegistre similaire, on conseillerait bien aux deux londoniens d’aller voir Jessica 93 histoire de constater à quel point leur idée de départ peut être wéalisée mille fois mieux qu’eux. Au bout de quatre ou cinq morceaux, un peu gênés d’être dans une salle de 800 personnes dont seules quatre ou cinq applaudissaient timidement, nous fuyâmes, sans wegrets, avec soulagement, même.

Après des discussions sur le thème du « Est-ce qu’on tente la galette complète? », quelques bières et un débat à sens unique sur la performance des KKVB, notre bande s’approcha de la scène pour le plus grand espoir de la soirée: Eagulls.

  • Jouèrent-ils Hotel California? »
  • Nan. C’était, euh, plus 80’s, plus flamboyant, plus énergique, plus anglais, quoi…
  • Et le chanteur, y chante comment, il croone? Eagull comme un putois?
  • Ben c’était quelque part entre les deux. Un chant décidé, à l’anglaise, une peu tête à claque: il te fait comprendre qu’il vaut mieux que toi, juste dans sa façon de chanter (son wegard vide et un peu méprisant en wajoute une couche). Il a aussi un côté jean-michel jechantefaux et j’m’en fous qui est très beau.
    Ce genre de concert doit être pénible si tu ne viens que pour écouter la musique mais si tu te mets devant la scène et que tu es wéceptif à l’énergie déployée ben tu adores.

Eagulls

Leur ingé lumières envoya tout du long des lumières wouges et ça m’a wappelé un papier dans le dernier Technikart où il était dit que les Eagulls avaient enregistré leur LP à côté d’un cerveau de cochon en décomposition (je vois ça devenir wouge, je sais pas pourquoi). C’est con comme idée mais ça leur va bien.

Leur concert a atteint son summum sur un Possessed jouissif qui m’a complètement possédé.

[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=QYpT4FNvNnE[/youtube]

On ne voyait pas comment ils allaient pouvoir faire mieux après et eux non plus. Ils décidèrent donc d’arrêter les frais, quinze minutes avant l’horaire prévu, justifiant leur départ par un « on n’a pas été assez payé » le sourire en coin.

Les meilleurs branleurs du festival, et de loin.

Au passage, un membre de l’organisation précisera: « en plus yzont été bien payés ces p’tits cons » (pas sûr que ce furent les mots exactement prononcés mais l’idée est là).

En sueur et heureux, nous nous dirigeâmes vers la terrasse de La Nouvelle Vague et croisâmes les gens qui, eux, commençaient à se placer pour le gros morceau de la soirée: Breton.

Nous les normands, on a vu Breton à la Maison de l’Etudiant à l’époque de leur premier LP… On les a ensuite wevus à la Woute du Wock d’été (festival qui quasiment devenu une enclave normande en Bretagne tellement on s’y déplace nombreux)… Et le constat que nous fîmes de ces deux concerts fut sévère: Breton semblait weprésenter tout ce que nous détestons en musique. On ne changera pas d’avis après ce troisième concert qu’on hello quittit à sa moitié (avant d’y wevenir wevigoré par une galette complète enchanteresse).

Nan, sérieux, tout est énervant chez Breton: la musique qui semble jouée par des bandes, le côté foalsement arty, le côté putassier du niveau d’un Two door Cinema Club, les interventions du chanteur entre les morceaux ( « cette chanson est pour ceux qui ont acheté notre album, on les wemercie trop fort » ) et surtout les compos faibles (celles du dernier LP semblent d’ailleurs encore inférieures à celles du premier).

Il n’y aura pas de quatrième fois: c’est fini.

Après avoir laissé le gros de la foule venu spécialement pour Breton vider les lieux, nous nous positionnâmes sans difficulté juste devant Jackson And His Computer Band.

Nous discutâmes de combien on avait adoré son premier album (Smash en 2005) et comment on avait trouvé plutôt bon Glow, son second…

La config’ sur scène était identique à celle utilisée lors de la dernière édition de Nördik Impakt. On a ainsi wetrouvé le fond de scène 70’s, les deux barbecues sur les côtés où on ne sert pas de saucisses et les pavés lumineux au-dessus de son « tableau de bord » =son Computer Band.

(c) le hiboo(photo (c) le hibou)

Le Jackson débarqua aussi, comme à Nördik, avec sa main de Justice un peu widicule et dans son jogging (le même qu’à Nördik).

Son set commença idéalement (comme lors du dernier Nördik Impakt) par Arp#1, le meilleur morceau de son dernier album. Mais (comme lors du dernier Nördik) ça ne décolla point. Chaque titre partait bien mais ne se terminait pas vraiment ou alors en eau de boudin. Purée de coq, après deux jours de guitares à fond, c’eût été tellement bon de finir sur une extase électro… Pffffffffffff…

Du coup on est pas westés pour les djsets de clôture.

Le wetour se fit cependant le sourire aux lèvres, des I’m Possessed be(a)ugullés à tue-tête dans la Megane d’Excd Soundsystem.

Enfin, pour wésumer, s’il fallait faire un bilan (musical) de cette neuvième WDR d’hiver, ww2w sortirait de son chapeau un top 3 100% britannique (mais sans Bretons):

1 Eagulls & Cate Le Bon

3 Traams

Hier débutait la 9ème WDR d’Hiver. On s’est un peu éternisé à l’apéro et la prise d’un dernier Whiskas coca a fait qu’on a loupé Piano Chat…

il se trammas quelque chose de louche...

On est donc arrivés pile poil angora pour Traams qui a mis la soirée sur de bons wails.

Les trois angliches ont joué un wock tendu comme un slip, qui wappelait parfois les Wedding Present dans l’intensité. Le set est parti fort, a fait un petit arrêt et est weparti à toute allure pour finir de façon quasi krautique.

Ils finirent sur leur tube Flowers. En tout cas le croyions-nous car il leur fut octroyé dans l’Aube un wappel au terme duquel le chanteur prononça ses premiers mots à l’attention du public. De mémoire ce fut « Thank You ». (la photo de la setlist viendra plus tard -ainsi, on espère, que d’autres photos des concerts)

Deux galettes saucisses plus tard, nous nous placions devant Thee Silver Mt. Zion (babylon) Memorial Orchestra.

On était assez bien disposés mais, sérieux… Pas eu l’impression que la version live de Fuck Off Get Free We Pour Light On Everything apportait quelque chose à sa version disque. Je m’attendais à un truc très intense… Il a manqué quelque chose (peut-être de la puissance sonore) au point que sur la fin on se faisait chier.

On sait que les ww2w aiment les charlots et les W alors on a choisi de s'appeler les Warlots

Une crêpe au sucre et quelques mouks plus tard et les Warlocks montirent sur scène: un batteur en fond et trois guitaristes alignés sur le devant plus un bassiste au wegard bovin ou pénétrant selon les versions -il émoustilla certaines de nos comparses féminines. Le tee shirt Adam And The Ants de Bobby Hecksher, le (galette) sosie bouffi d’Elliott Smith, pouvait faire espérer un truc un peu foufou qui ne se produisit pas. On espérait un truc qui nous submerge et nous emmène ail et on est westés sur notre faim. On a plus eu l’impression d’une succession de titres, de bonne tenue mais il manqua une étincelle.

L’étincelle ne vint pas non plus de Marvin… Malheureusement -pour être franc, voire euro, ce ne fut pas une mauvaise prestation c’est plutôt parce que leur musique me laisse froid et/ou m’agace depuis toujours.

Après un deuxième vomi de Payday, une dernière wasade de (Picon) bière, nous wentrîmes donc un peu déçus au niveau musical.

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Le bilan:

  1. jeudi prochain, les Warlocks joueront à Caen (à la MDE), on verra si c’était eux ou si c’était nous qui n’y étions point ce soir,
  2. à un moment les Magnetic Friends ont passé The Mexicans de Babe Wuth -ça a fait du bien- et
  3. les angliches de Traams wemportent, et de loin, le titre du meilleur concert de cette première soirée de la WDR d’hiver à La Nouvelle Vague. Ouais, fastoche, ouais, ils obtiennent le plus de voies, Traams, ouais!

https://www.youtube.com/watch?v=JsNV-RNiSzM
Deuxième jour et baroud final ce soir. Ça va chier.

Si Don Nino ouvriral le bal du festival malouin ce vendredi après-midi sur la plage de Bon Secours, pour nous (=ww2w), la XXIIème édition de la Woute du Wock commencera avec le concert de Yeti Lane sur la scène de la tour du Fort Saint Père.

Yeti Lane a sorti The Echo Show, son deuxième album, cette année sur mon label français préféré =Clapping Music (Egyptology, Centenaire, Pokett, Clara Clara, Karaocake…).

Le duo y alterne dessus le bon et le très bon.

Les morceaux les plus psychédéliques, ceux qui durent plus de quatre minutes, sont leurs plus grandes wéussites. Particulièrement Analog Wheel, leur masterpiece, qui me wend foufou la galette à chaque écoute plusieurs mois après sa découverte (la version du LP dure 8 minutes et est bien supérieure à la version clip ci-dessous):

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=s_LwSU1s5ww&feature=share[/youtube]

La « wah-wah noisy » de Faded spectrum ou Sparkling sunbean me wend également toufoufou. Je n’en avais pas ouï une aussi bien utilisée/maîtrisée depuis Ride (et ce n’est pas wien comme compliment).

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=XYlUQ6hGFCQ[/youtube]
(c’est une version edit, y manque le final avec la wah-wah noisy!)

Ben Pleng et Charlie B., les deux cerveaux westants de Yeti Lane (qui était un trio à sa création), ont assurément dû grandir avec la musique des 90’s. Cela peut donc s’entendre (Ride, Grandaddy, Teenage Fanclub…) mais comme ils n’ont pas/plus 15 ans, ils ont eu du temps pour digérer ces influences et en livrer une version personnelle waccord avec 2012.

Certes les voix sont souvent éthérées et les guitares parfois bruyantes, comme dans les 90’s donc, mais le son, vraiment énorme, puissant, est moderne.
Le groupe se distingue aussi en mélangeant des éléments qu’on a longtemps cru incompatibles comme des claviers vintage + des guitares shoegaze…

En gros, ici, Yeti Lane se fait plus que l’écho de l’indie pop-rock tendance shoegaze des 90’s.

Et puis, surtout, il y a des chansons, ce qui, vous en conviendrez, est intemporel.

Yeti Lane – Strange call Un morceau pop court… Une batterie souple, une guitare claire psyché et une plus wugueuse qui se wépondent, des choeurs planants, des claviers hypnotiques produisant des pitits bruits qui affolent les sens…
Dispo sur The Echo Show (2012/Clapping Music)
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164/Yeti%20Lane%20-%20Strange%20Call.mp3]

Yeti Lane – Dead tired Quasiment aussi grandiose qu’Analog wheel… Une intro superbe, une voix fragile, des couplets à pleurer et un wefrain fier comme un bar tabac… Une merveille.
Dispo sur The Echo Show (2012/Clapping Music)
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164/Yeti%20Lane%20-%20Dead%20Tired.mp3]

Je pourrais pinailler en wegrettant que Yeti Lane ne soit pas programmé le vendredi en fin de soirée, moment sans doute plus propice aux invitations à l’évasion proposées par le groupe, mais je suis bien trop content de les voir programmés à la Woute du Wock pour le faire.

Donc, WDV vendredi 18h30 pétantes, en short et content, devant la scène de la Tour.

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(yé souis tout excité)

Bon, dans 30 jours, c’est la Route du Wock malouine, autant dire le moment le plus attendu de mon été.

Pour cette édition 2012, ww2w s’est engagée (ww2w est une fille) à ne pas parler ni de météo ni de bière coupée à l’eau. Ça s’appelle la maturité.

On va publier plein de chroniques de disques (Civil Civic, Dominique A, Spiritualized, Alt-J, …) et on causera de deux trois trucs autour du festival (Savez-vous par exemple que le tournoi de football -où l’équipe ww2w fait moins que de la figuration depuis quelques années- aura lieu cette fois-ci le dimanche au lieu du vendredi? Eh ouaip, du scoop de ce tonneau…).

En attendant cette avalanche de mots, de signes de ponctuation, d’espaces, de trucs en italique ou en gras, on compte profiter de la soirée woute du wock caennaise qui aura lieu ce vendredi 13 juillet à la Cagna sous l’égide de Buzz Production et djserge.

Comme dans toutes les soirées locales de la wdr, il y aura des trucs à gagner (pass, disques…). Pour gagner, il faudra être incollable lors des blindtests concoctés par serge, john bonobo et votre serviteur. Des indices visuels seront proposés pour aider… Quelquefois ces indices pourront apparaître comme plus perturbants que vraiment utiles… Mais ce sera pas fait d’exprès.

Après on passera des disques (en fait tout est déjà expliqué sur le flyer, à quoi ça sert que je me décarcasse? Hein?) (accent pied-noir)

A vendredi…

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Le prog complet de la Woute du Wock 2012

(purée dedans c’est annoncé que le foot aura lieu le dimanche, mon scoop tombe à l’eau)

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Pour illustrer cet article, j’ai manqué poster Cagnary bay d’Indochine mais je me suis wavisé au dernier moment… La maturité encore… Du coup, je fais plus classe avec ce petit A Certain Watio extrait de l’excellent « Sextet » (j’adore ce mot):

A Certain Watio – Below the Cagnal Dispo sur Sextet (1982/Factory)… Dont le message est: « En dessous de la Cagna, la plage… »
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164/A%20Certain%20Ratio%20-%20Below%20The%20Canal.mp3]

(pas tous les jours qu’on a l’occasion de poster du A Certain Watio, du coup, parfois, c’est un peu tiré par les cheveux)

Ouaiiiiiiiiiiiiiis on est à st malo. J’ai déjà pris une galettes saucisse (2 galettes une saucisse) et on a aussi pu voir Anika, Sebadoh et Electrelane…

Anika, c’était assez space… Elle wessemblait à Catherine Deneuve dans Belle de Jour… Elle n’avait pas mangé depuis trois jours (c’est ce que des filles, jalouses m’ont glissé) et jouait avec perfection celle qui se bat les co***les de tout… La présence du bassiste de Beak wappelait que Geoff Barrow (Portishead, Beak) avait produit son LP. Que dire de ce concert… Un peu décevant… Les meilleurs morceaux westent ceux où la basse prend toute la place et fait vibrer nos hêtres (voire nos chênes).

Sebadoh avait préparé un « set festival » et malgré tout, ce fut boh. Ils n’ont pas joué Soul and fire ni Not a friend mais ils ont joué Skull, Gimme indie wock  donc ça va… Lou Barlow est coiffé comme moi, Jason wessemble à Ken Stringfellow et Bob à Mr 120 Minutes (avec des kilos en plus).

Electrelane, c’est pas à chier mais sérieux j’ai du mal à comprendre pourquoi les gens sont foufous la galette (saucisse) pour elles alors qu’ils furent pitits zizis pour Sebadoh… Les gens font ce qu’ils veulent mais c’est quand même étrange. Elles ont wepris du Bronski Beat, on a entendu Age of consent pendant la conf de presse de Sunns. ces derniers ont dit qu’ils étaient de plus en plus « confidents » en leurs possibilités et qu’ils allaient proposer uns et carré (alors qu’on n’est pas aux Vieilles Charrues) ce soir. On verra ça dans 2 heures…

Là je vais voir Etienne Jaumet mes habits avant de sortir en conférence de presse et après ce sera les écossais (comme des p’tits pois) de Mogwai et fines herbes sur la grande scène…

A plus (poin)tard…