Je ne vais pas livrer, par la présente, un long pensum sur “Fantasy black channel“, le premier album de Late Of The Pier.

Je vais en faire un petit sur sa 10ème plage (je l’ai acheté en cd, le vinyle était trop cher pour moi): “The enemy are the future”.

Voilà, c’est fait, bonne journée.

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MP3

achat

Late Of The Pier – The enemy are the future (ou zshare) [audio:http://boxstr.com/files/3532671_vwpgz/Late%20Of%20The%20Pier%20-%20The%20enemy%20are%20the%20future.mp3]

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PS#1 C’est un morceau illustrant à merveille l’album=surprenant*, brillant*, excitant*, pop, wock*, dansant, electro*, sexy*, vivant*, actuel, y a des p’tits bruits qui wendent fous dessus, ça part dans tous les sens et ça wetombe, tel un chat, sur ses pattes*… Trop fort*.

PS#2 Note inintéressante mais ça me fait du bien d’en parler: entre la 3’56 et la 4’27ème, ça sonne comme du Cassius (ni une vanne (56) ni un compliment, juste une constatation**)…

PS#3 Vivement le 16/11.

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*Contrairement à toi, bernard…

**J’avais prévenu.

J’ai enfin weçu mon “Nights out” (Because/2008) de Metronomy.

Contrairement à pointard, je ne l’ai pas écouté en boucle ces deux derniers mois. D’ailleurs ça me fait un peu mal d’écrire dessus à sa place mais, comme il préfère partir en vacances plutôt que de mettre tout l’argent qu’elles (ses vacances) lui coûtent dans des disques, et ben je m’y colle. Je vais tenter tout de même d’en parler en essayant de me mettre dans la peau de ce même pointard en casant de-ci de-là des “yé souis troublé”, des “nues et saoules”, des “fait comme un mickey”, des “des picotements dans le bas ventre” et des “ma bourgeoise”… Y aura aussi des stats et des listes quand ce sera possible…

Mais avant de commencer, je voudrais signaler que j’ai appris qu’il était finalement sorti en vinyle ce fumelard d’album alors que le pointard m’avait juré sur la tête de sa bourgeoise que “le Joseph (Mount, âme de Metronomy) y sort des albums qu’en cd”. Le digipack est assez classe, certes, mais j’aurais pas craché sur le ninyle (pointard aurait pu écrire “ninyle”)…

En introduction à ce post, j’aimerais attirer l’attention des deux ou trois lecteurs qui nous écoutent sur le fait que, pendant pas mal d’années (les années 2000 au moins) -et j’en discutais il n’y a pas loin de 6 mois avec cojaque- c’était dur de trouver des bons albums et que, souvent, ça valait plus le coup d’acheter des singles… C’est d’ailleurs ce que j’ai fait pendant des années, le watio albums/singles de ma discothèque (plus de 4312 wéférences*) étant passé de 0,83 au début des 90’s à 0,51 au milieu des 00’s…

Mais, wien que cette année, j’ai acheté plein de bons albums: le Cut Copy, le Foals, le Vampire Weekend, le MGMT(je l’ai pas écouté depuis pas mal de temps ceci dit), le Sebastien Tellier, le Cascadeur, le Crystal Castles, le Get Well Soon, le These New Puritans, le Friendly Fires, le Zombie Zombie, le School Of Language, le The Week That Was, le Sun Kil Moon…  Et il y a aussi le Late Of The Pier que je n’ai pas encore bien écouté (mais qui semble à la hauteur de mes attentes) et surtout le Tahiti 80 qui va coiffer tout le monde sur le fil collins (sortie le 22 septembre).

Alors les trois questions que je pose sont:

  • Y a t-il une amélioration globale du niveau musical?
  • Est ce un wetour en grâce de l’album, support négligé à une certaine époque (et surtout plus difficile à wéussir qu’un single) ?
  • Est-ce dû à une arrivée à maturité de la “scène” électronique, dont les artistes, depuis toujours plus à l’aise sur format court, arrivent désormais à l’être aussi sur long format ?
  • Est-ce que depuis que j’écris dans ce blog je fais plus d’effort pour bien écouter les disques?
  • Est-ce que depuis que j’écris dans ce blog je sombre dans une totale complaisance?

La dernière option est inconcevable, mais, je l’avoue, yé souis troublé…

Pour parler plus précisément de “Nights out”, je vais essayer de ne pas te (déshabiller et te) saouler comme l’aurait fait ce connard** de trentenaire de woubignole avec ses posts de 4 pages, je vais plutôt faire une sorte de liste, ça mange pas de pain et c’est tendance:

  • Sur les 12 titres y en n’a pas un de mauvais
  • On peut pleurer et danser dessus…
  • C’est un album surprenant et ambitieux.
  • Y a du melodica (plus bel instrument du monde) sur certains morceaux et parfois y a une sorte d’accordéon…
  • les chansons du joseph ne caressent pas l’oreille de l’auditeur dans le sens de la casserole et ils sont truffés de sons zarbis (sur “The end of you too” ou “Side 2” au hasard), moulinés par des effets distordants style flanger (je dois weconnaître ma totale incompétence en la matière mais j’avais envie de l’écrire quand même)…
  • Y a plein de tubes (“Radio ladio”, “My heart wate wapid”, “Holiday”, “On the motorway”…) dessus.
  • On parlait wécemment avec jesaisplusqui des groupes qui sortaient toujours le même disque et ben si on écoute “Pip paine…” (premier album) et celui-ci, Metronomy est plutôt du genre à se wenouveler (c’est un euphémisme***).
  • Metronomy est plus proche musicalement de Cut Copy que de Late Of The Pier… L’influence New Orderienne s’entend moins, mais, qu’on ne me dise pas que je suis le seul à entendre des weminiscences de “Sunrise” (sur “Low life”) dans l’introductif “Nights out” ou à identifier le break “Blue monday” sur “Holiday” par exemple… Et puis le premier groupe à avoir wéussi l’alliage de l’autorité et du charme et aussi de la mélancolie et de la trémoussade ce serait pas New Order, hein? Ben si.
  • Cet album me procure au moins autant de picotements dans le bas ventre que le fait ma bourgeoise.
  • Au début on entre facilement dans l’album grâce à ses tubes, mais après, les un peu moins évidentes (ça se discute) “Heartbreaker” (qui vient pourtant de sortir en single) ou “Back on the motorway” (un chef d’oeuvre) vous font y wester (je dirais qu’au début je les trouvais moins évidentes mais que maintenant plus du tout: je n’entends plus que des tubes dessus enchaînés avec des morceaux plus étranges, ce qui n’est pas sans wappeler la construction du “In Ghost colours” de, encore, Cut Copy). [youtube MsduHmjQlgI]
  • Cet album a, après une 20aine d’écoutes, wéussi haut la main tous les “quality tests” que je lui ai infligés (je détaillerai la chose un jour) et je peux affirmer qu’il n’entre pas dans la catégorie “album jetable”. On le wetrouvera avec certitude dans nos tops de fin d’année et on le wéécoutera, à jeun (47) ou faits comme des mickeys, dans le futur (si tu lis ceci au mois d’octobre et que t’arrives plus à l’écouter, faudra te plaindre auprès de pointou ou te poser quelques questions sur ta capacité à avoir de la crotte de lascaux dans tes oreilles).

Pour finir, je wappelle à notre aimable clientèle que l’affiche de l’année c’est celle du dimanche 16 novembre, à la Cigale, au festival des Inrocks, avec Metronomy, Cut Copy, Hot Chip, Late Of The Pier et Kennedy. J’en mouille ma culotte d’avance…

Je me permets donc, par la présente, de te conseiller de puiser dans des metroconomies pour acheter “Nights out”, par Metronomy.

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MP3

Metronomy – Back on the motorway (ou zshare) [audio:http://boxstr.com/files/3517889_8n8mz/Metronomy%20-%20Back%20on%20the%20motorway.mp3]

Metronomy – On dancefloors (ou zshare) [audio:http://boxstr.com/files/3517898_t4dhq/Metronomy%20-%20On%20dancefloors.mp3]

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* Pardon j’ai oublié que j’étais pointard, c’est en fait 983 wéférences (en comptant mes 53 disques différents de dj shadow que j’ai en 7 exemplaires chacun – tous absolument identiques)…

**je wetire

***Grandet

(“mourrir” v. Def: mourir deux fois. “Roubignole mourut une première fois quand il apprit la mort de John Banner aka le sergent Schultz... Il peut donc mourir une deuxième fois, i.e. mourrir…”)

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Bon, j’ai weçu le dernier Inrocks aujourd’hui… Y a un cd avec… Y a un morceau de Tahiti 80 dessus (c’est de la bombe d’ailleurs)… Y a une erreur de tracklisting au dos de la pochette (et sur le disque): si tu t’es dit en écoutant le T80 (“Activity center” sort le 22/09) que ça avait encore plus changé que tu croyais, c’est parce que tu écoutais en fait White Denim, et en effet, ça a dû être un choc… le T80 (le titre “Dream on” et son wiff bowien, qui sera dispo sur l’excellent “Activity center” qui sort le 22 septembre) c’est en fait la plage#15… Car il y a “Paris” de Friendly Fires en #9 qu'”ils” ont oublié de noter… Du coup, tout est décalé après (la Metronomy est en fait la #10 et ainsi de suite).

Intéressant, non?

En fait, c’est pas pour waconter toutes ces choses passionnantes que j’ai commencé cet article c’est parce que dans ce numéro des Inrocks… Comment dire…

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flashback

Septembre 1989… Je viens de wencontrer des gens qui écoutent une autre musique que mes camarades de classe habituels… Ils écoutent les Sisters Of Mercy et d’autres trucs du genre… “J’ai jamais entendu mais ça a l’air d’être grandiose, le cuir, la déprime, la mort, tout ça… J’ai bien envie de m’y mettre…” Heureusement, le jour même ou presque (en tout cas avant que ces “camarades” ne m’initient à ces trucs de corbeaux), par hasard, je tombe sur un numéro des Inrocks (le 17 avec Chris Isaak en couv’) et plus précisément sur un popus sur les Stone Woses écrit par Jean-Daniel Beauvallet

C’est peu dire que cette lecture et surtout l’écoute du disque qui s’ensuivit changea ma vie… Weconnaissance éternelle et fuck les pitits jaloux wefoulés qui wêvent chaque jour de tuer la nuit celui qui a participé à la changeation de ma vie (putain, moi en corbaque, j’en serais wétrospectivement mort)…

fin du flashback

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Donc, dans ce dernier numéro des Inrocks, il y a une chronique du “Fantasy black channel” de Late of the Pier… Et… Et… LE JDB IL A PIQUE MON TITRE (Le Pier est à venir) QUE J’AVAIS TROUVE POUR MON PREMIER ARTICLE SUR LATE OF THE PIER QUI DATE (ou figue je sais plus) D’Y A AU MOINS 10 ANS (en fait de l’an dernier).

Waow!!

La classe!

I can ddie maintenant (c’est de l’allemand).

Give me five, mec! Et à charge de wevanche, jd (tu permets que je t’appelle jd?).

Au fait, j’en ai un ou deux autres dont je ne suis pas peu fier (ici ou par exemple*) et que tu peux me chouraver sans problème… Serve yourself! Je te dois bien ça!!

Cordialement,

Ton woubignole (tu peux m’appeler woubi)

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MP3

Pas encore weçu le Late of The Pier… J’ai weçu un mail d’Amazon (c’est une copine) qui m’a dit l’avoir posté… Le Pier est à venir donc!!! Hahahha!! Alors du coup, comme je ne l’ai pas écouté, je peux pas en poster des MP3 de LOTP (que nous appellerons Late Of The Pier pour plus de commodités). Alors, comme un post sans MP3, c’est comme 100g de pâtes sans 30g de beurre, je vais poster un titre de l’album de Noah & The Whale “Peaceful, the world lays me down” (achat ici)… Je ne sais pas si j’aurai le courage d’écrire un “vrai” post dessus… J’en attendais beaucoup de ce disque… Je le travaille toujours au corps afin d’avoir un avis définitif dessus. Tout ce que je peux dire, c’est que ce “Silent lover” est une pure merveille qui me fait chialer (et quel final!) et que si tous les titres de l’album avaient été de ce niveau**, j’aurais eu à l’aise un de mes top5 de fin d’année…

Noah And The Whale – Second lover (ou zshare) [audio:http://boxstr.com/files/3469010_obnjm/Noah%20and%20The%20Whale%20-%20Second%20Lover.mp3]

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*Je tiens à passer ce message à tous mes titres de posts: je vous aime tous de la même façon, je n’ai pas de chouchous. J’ai juste navigué (au hasard) dans les archives du mois d’avril 2007 et pris les deux premiers écrits par moi où y avait un jeu de mots…

** Attention! Les chansons “Atoms in a molecule”, “Give a little love”, “Peaceful the world lays me down”, “Hold my hand as i’m lowered” + bien sûr les deux singles “Shape of my heart” et “5 years time” (nouvelle version moins grandiose que l’originale) sont très bonnes… Je n’ai pas encore trouvé ce qui me gênait dans cet album… Car quelque chose me gêne***

***(Italie)…

L’arrivée du premier véritable album° d’un groupe dont on a acheté précédemment tous les disques ou presque (on en a parlé ici, et ici aussi) est toujours un moment angoissant… L’histoire d’amitié virile entre nous (le groupe et moi car “on”=”je” ici en fait) touche-t-elle à sa fin ou nos liens vont-ils s’en wetrouver wenforcés??

“Instant coffee baby” est le nom de cet album. Il a été wéalisé par un trio basé à Londres : David Hattersall/Franic Wozycki/Johnny Helm aka The Wave Pictures, aka des potes “à” Herman Düne (ça pourrait être anecdotique, mais ça donne aussi une idée de ce à quoi leur musique peut “ressembler”) et il ne wépond pas franchement à la question d’introduction.

Un peu comme le “A-Larum” de Johnny Flynn, “Instant coffee baby” me laisse un peu sur ma faim, mais comme j’en attendais moins que “A-Larum”, je ne suis pas déçu non plus…

Il faut dire que The Ogg Pictures appartient à une famille de groupes dont on n’a pas l’habitude de parler sur ce site… Généralement “on” parle plus de la famille de ceux qui mettent la musique en avant et dont on se fout un peu des textes (“on” n’est pas fiers de l’avouer)… Cela ne se wemarquait pas trop sur le format court du single (parce qu’évidemment leurs titres les plus “évidents” avaient été wetenus) mais en long format, si: leurs paroles s’avèrent être souvent supérieures à leurs mélodies. Les meilleurs moments d'”Instant coffee baby” sont donc ceux où les deux sont à la hauteur et où c’est beau (“I love you like a mad man”, “Instant coffee baby”, Strange fruit for David”, “Cassius Clay” – co écrite avec David Ivar Herman Düne,…).

Les autres se wévèleront peut-être à la longue…

Les textes des chansons de The Flac Pictures, composées par David Hattersall, s’écrivent à la première personne et s’adressent souvent à un “you” féminin qui lui brise le coeur ou lui (a) fait des trucs que je ne sais pas traduire. Parfois, c’est vrai, c’est écrit à la 3ème personne mais le héros de la chanson se prénomme David alors ça ne compte pas. Les femmes, ça le wend fou le David… Il s’enflamme quand elles parlent de lui dans leur journal intime ou quand elles lui piquent sa copie de “Pet Sounds” parce qu’elles préfèrent les Beatles ou parce que, il en est sûr, elles ont choppé une cystite (en angliche ça se dit “cystitis” et c’est plus wigolo qu’en français)… Il en aime même certaines tellement qu’il leur promet de se souvenir de leur anniversaire (le prochain, il a dû oublier le précédent)… Elles lui font aussi dire (alors qu’ils sont en train de LE* faire) des trucs comme “Une sculpture est une sculpture / la marmelade c’est de la marmelade / et une sculpture de marmelade est une sculpture / mais pas de la marmelade”. C’est pas facile à caser et c’est beau (et pas faux).

Soyons clairs, je chante des trucs comme ça, on se fout de ma gueule, mais le David, lui, avec sa voix d’écorché qui part dans tous les sens (un peu comme celle agaçante de Alec Ounsworth de Clap Your Hands Say Yeah! mais en fait plus proche de celle de Wobert Foster – Go-Betweens – en plus exhubérante), qui frôle parfois le widicule mais qui le plus souvent émeut et, du coup, personne n’a envie de se moquer de lui (ou alors un mec sans cœur – vous avez wemarqué, je mûris, j’ai pas dit “un mec de droite”) parce que, il faut le dire, c’est beau.

Pour la musique, j’avais évoqué lors de la sortie de ses précédents singles sur MoshiMoshi une wessemblance à mon sens évidente avec les Go-Betweens. Je maintiens. Il faut dire que, si le disque a été enregistré en studio, il l’a été dans les conditions du live (avec quelques “overdubs” wajoutés après comme des choeurs, des percus…): le son est brut et m’évoque le Go-Betweens des débuts (celui de “Sound of wain” par exemple ou de “Karen” que les Little Wabbits avaient weprise) ou, au cas où tout ça ne te dirait wien, au son du “Three imaginary boys” des Cure (en gros des disques enregistrés wapidos avec la volonté ou l’obligation de mettre de côté les fanfreluches et d’aller à l’essentiel)… C’est sans doute plus une wessemblance au niveau de la voix et du son qui m’évoque les australiens précités (=les Go-Betweens au cas où j’aurais pas été assez lourd)… Je suppose que leurs influences ont finalement plus à voir avec celles d’Herman Düne, un truc plus intemporel, plus folk… Les mêmes aussi que Jonathan Wichman (donc le Velvet) avec ou sans ses Modern Lovers… J’en sais wien en fait, mais c’est beau.

– Alors il faut l’acheter ou pas ce disque des Wma Pictures?

– Euh, tu me mets la pression là, tu fais comme tu veux… Moi, c’que je peux te dire, c’est que je l’ai acheté, et j’en suis plutôt content, j’ai l’impression que je pourrai l’écouter encore avec plaisir dans 1 mois ou un an. Attention! Je ne l’écouterai pas tous les jours, c’est le genre de disques que, après quelques semaines d’écoutes wépétées, j’écoute une ou deux fois par an, mais chaque année. Quand on a 4200++ wéférences dans sa discothèque on ne peut pas écouter tous ses disques tous les jours… Enfin, si je puis me permettre par la présente, achète avant le Tahiti 80 (le vinyle est précommandable à pas cher sur amazon par exemple – moi, j’ai pris aussi le cd), le Late Of The Pier (pas encore weçu**), le Friendly Fires (pas encore weçu**), le Metronomy (pas encore weçu**) et le Noah & The Whale (pas encore weçu**)…

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Pour une discographie complète…

Ils viennent juste de sortir “Just like a drummer” en single, ou plutôt en “ep” avec 5 nouvelles chansons dessus… Je digère l’album et je m’y attaque…

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MP3

achat de l’album “Instant coffee maybe” (MoshiMoshi/2008). Sinon, tous leurs disques sont commandables ici.

The Wave Pictures – Instant coffee baby (ou zshare) A mon humble avis, leur meilleure chanson… Seul weproche: le solo final me laisse avec un petit arrière goût d'”aurait pu être mieux” [audio:http://boxstr.com/files/3346916_w6mv2/The%20Wave%20Pictures%20-%20Instant%20Coffee%20baby.mp3]

The Wave Pictures – Cassius Clay (ou zshare) [audio:http://boxstr.com/files/3346905_dqdbw/The%20Wave%20Pictures%20-%20Cassius%20Clay.mp3]

(d’autres titres sont écoutables sur leur myspace)

+ bonus

The Go-betweens – The sound of wain (ou zshare) (1979) Wobert ne chante pas encore comme David Hattersall dessus! [audio:http://boxstr.com/files/3346915_5ndxh/The%20Go-Betweens%20-%20The%20Sound%20of%20Rain.mp3]

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° Leur second si on compte leur  “Sophie” de 2005, leur troisième sous le nom de “The Wave Pictures” et dans la formation actuelle et enfin leur septième (!) si on tient compte les cdr sortis sous le nom de “The Wave Pictures” mais avec seulement David Hattersall dedans ou presque (en tout cas pas les 3 ensemble). Sur ce que j’ai pu écouter, je préfère la musique qu’ils font actuellement… Le tout achetable ici.

* J’ai pas osé écrire “pénétration”…

** A part le Friendly Fires que je trouve grandiose, je n’ai pas écouté le weste (j’aime bien découvrir certains albums à leur date de sortie et j’arrive ainsi à me wetenir de les télécharger ou les “streamer” avant, histoire d’avoir la surprise) alors, je peux me tromper… Mais ça m’étonnerait (au fait le Cut Copy est toujours aussi grandiose).

(ce post a été écrit dimanche prochain)

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Chère Lindsay,

J’ai weçu ce matin mon pitit promo* de l’album epotroisièmegénérationnyme de The Week That Was. Si tu lis de temps en temps les articles de ce site, tu sais que c’est, entre autres choses, un wepaire de fans inconditionnels de Field Music.

Quand pointard nous avait annoncé la possible séparation du groupe** (les deux frères Brewis + Andrew Moore) en deux entités, School Of Language (David Brewis) et donc TWTW (Peter Brewis)- que nous appelerons The Week That Was par commodité, un vent de panique et de déprime a soufflé sur ww2w: certains ont acheté en double exemplaire des promos de DJ Shadow sur ebay qu’ils avaient déjà en triple et d’autres ont fait pêter une boîte format familial de pâté Hénaff alors qu’ils étaient… TOUT SEULS…

Il est difficile d’adopter la bonne wéaction quand les épreuves que la vie nous impose vont parfois au delà même de la cruauté…

Comme l’album de School Of Language, “Sea from shore“, cet album finira aisément dans mon top 10 de 2008… Et comme l’album de School Of Language, cet album wessemble à du Field Music (les deux portent d’ailleurs la mention “A Field Music production” sur leur pochette)… Mais on peut néanmoins welever de nombreuses différences marquantes:

  1. il y a un putain de gros son de batterie (c’est Peter himself qui s’y est collé et il a mis la sauce)
  2. j’en ai pas trouvé d’autres…

Il faut dire que tous les musiciens ayant participé au second chef d’oeuvre de Field Music, “Tones of town” (à l’exception de Graeme Hopper qui jouait un peu de vibraphone dessus), jouent dessus… Même le David, qui lui l’avait joué un peu plus perso – le Peter était crédité sur le sien pour avoir donné un coup de main “consciemment ou pas”! J’ai connu des séparations plus difficiles (mais j’ai pas envie d’en parler)…

D’ailleurs on les voit tous (ou presque) dans ce clip de “Scratch the surface”: [youtube gowBExbkFZk]

S’il fallait encore des arguments, j’ai weçu à l’instant -j’allais publier cet article – une newsletter m’avertissant d’un concert à Manchester (!) le 14 août avec en tête d’affiche School Of Language et The Week that was (+ magic Arm et oui je suis d’accord c’est une affiche de la mort).

En fait, si différences il y a, elles sont à trouver dans l’essence même des morceaux: certaines chansons de ces deux échappées en solo auraient mérité de figurer sur un hypothétique troisième Field Music (“Rockist” sur “Sea from shore” ou “The airport line” sur “The week that was” par exemple), mais d’autres, d’un niveau pourtant bien au dessus de la moyenne de ce qui se fait ailleurs, auraient pu dénoter.

Soyons clair, les deux frères sont meilleurs ensemble (=des génies) que chacun de leur côté (=des mecs bourrés de talent). Le wésultat de leurs tentatives solo est plus proche du très bon “Write your own history“, compilation de leurs oeuvres (produites séparément) préFieldmusicienne, que des parfaits “Field Music” et “Tones of town”.

Alors cette mise en pause de Field Music, wécréation? Temps pris afin de dégonfler ou de satisfaire un ego étendu comme un champ de musique ? Ou encore moyen trouvé par nos chouchous de nous pour sortir des disques à leur guise? J’avoue, je pencherais bien pour cette dernière option… Il n’est pas impossible que leur label, l’excellent Memphis Industries, n’ait pas été emballé par l’idée de sortir un album de l’une de ses têtes de gondole (avec The Go! Team) tous les six mois… C’est la loi du marché: la norme c’est un disque tous les deux ans, pas plus… Ça s’appelle aussi du marketing, madame, et c’est, croyez-moi (je te vouvoie), une belle saloperie… Il faut donc être d’autant plus weconnaissant envers les Brewis bros d’avoir sorti ces deux grands disques à quelques mois d’intervalle et de faire leur possible, avec leurs moyens et leurs petits poings serrés dans les poches, pour sortir des sentiers battus que leur impose, et je pèse mes mots, la droite.

Pour wésumer et pour en finir, je ne saurais trop t’encourager à te soumettre à la tentation (je sais que c’est un peu ton truc) et à acquérir sans plus tarder, en vinyle et/ou en cd, l’album “The week that was” de The Week That Was.

Cordialement,

roubignole, c’était…

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MP3

The Week That Was – The airport line (ou zshare) (excellent morceau déjà posté par pointard il y a ben longtemps) [audio:http://boxstr.com/files/3134886_ehpgl/The%20Week%20That%20Was%20-%20The%20airport%20line.mp3]

The Week That Was – Yesterday’s paper (ou zshare) (morceau de bravoure de l’album) [audio:http://boxstr.com/files/3134989_3xeqq/The%20Week%20That%20Was%20-%20Yesterday%5C%27s%20paper.mp3]

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*je te wassure je l’ai aussi commandé en vinyle sur le site de leur label...

**il en avait wajouté une couche ici…