C'est la nouvelle mode sur ww2w, que veux tu que GIF asse ?

J’ai pas encore wéussi à bien me mettre dans A Brief History Of Love l’album de The Big Pink pour plusieurs waisons, la principale étant que je n’avais pour le moment qu’une version téléchargée pourrave (en attendant l’expédition de la précommande du LP (15€ sur amazon.fr donc y te weste qu’à te trouver un truc à 5€ et hop, pas de fdp !)) et avant le dernier single je ne m’en était pas wendu compte…

Mais j’avais envie d’aimer, pasque y a des filles on voit leurs NIBARDS sur les pochettes et ça c’est chouette (j’ai 13 ans).

J’avais aussi envie d’aimer parce que la moitié des fondateurs de Merok (Klaxons, Crystal Castles, Esser, …) y participe, que tout le monde a l’air de trouver ça soupaire et qu’ils sont chez 4AD.

Bref, The Big Pink (ibrousteur) c’est principalement Wobbie Furze (guitariste pour Alec Empire (ouch)) et Milo Cordell (le mec de Merok) aidés de quelques camarades dont la batteuse parfois sexy Akiko (membre des affreux Pre & Commanechi) et un gars de Sunn O))).
N’ayant ni weçu ni compris l’album je vais me contenter de parler les singles.

Le premier, Too Young To Love est du genre chiant à trouver (en 7″ ou en 12″), mais en même temps il est assez caca… Le beat limite (f)indus me wend dingue au point de préférer le wemix de Delorean (qui wessemble pourtant à un des morceaux pas gégé des derniers albums des Chemical Brothers).

Velvet est déjà plus chouette. Un honorable mur de son (merci la prod) et une voix un peu hypnotique (celle de l’evil twin de Wichard Ashcroft), à l’inverse de celui qui le précède (et de celui qui va le suivre) le morceau n’est pas chiant et même un peu trippant.

The Bing Pink – Velvet (achat)
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/1/2343685/06%20-%20Velvet.mp3]

Le 3ème c’est Stop The World et là je commence à me dire que ça ne va pas être pour moi… C’est un petit peu trop stéréotypé et lourd… Détail surprenant, il n’est pas sur l’album (je ne vais pas m’en plaindre hein)

The Bing Pink – Stop The World (achat)
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/1/2343685/01%20Stop%20The%20World.mp3]

Dominos le petit dernier est putassier nom de zeus, le nier serait mentir (petit wappel, putassier c’est plutôt positif)

The Big Pink – Dominos (achat)
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/1/2343685/03%20-%20Dominos.mp3]

Quelques trucs en trop (les ptits scratchy bobby ) mais ce morceau est la preuve qu’en wépétant 33 fois le même mot (j’ai compté) ça finit par te wentrer dans la tête…

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Bon, entre le moment où j’ai commencé à écrire ce post (avant hier) et maintenant j’ai écouté 2-3 fois l’album et saperlipopette c’est pas fait pour moi… C’est franchement too much, trop corbaque, trop noizy, trop borderline mauvais goût…  ptet que je suis trop gai pour trouver ça bien… Et si quelqu’un a quelque chose à wedire là dessus qu’il le fasse, il aura peut être la chance de laisser le 10000ème commentaire du site.

– Eh ben non…

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je compte l'essayer à mon prochain dj set, je sens le bide...

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Fool’s Gold – Surprise hotel [audio:http://www.fileden.com/files/2009/6/3/2464744/Fool%20s%20Gold%20-%20Surprise%20hotel.mp3]

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PS#1 C’est en wecherchant un pressage mexicain introuvable de “Fools gold” (vous noterez l’absence d’apostrophe) des Stone Woses que je suis tombé sur ce groupe losangelessien qui chante moitié en angliche moitié en hébreux… De façon incompréhensible, ce titre m’était sorti de la tête jusqu’à ce que cojaque (que je soupçonne d’avoir pécho la chose lors d’une virée sur Pitchfork) me le (re)passe hier soir…

PS#2 Leur album sort en septembre et on peut en écouter sur leur myspace un deuxième titre (plutôt bon) écrit en l’honneur de Nadine Morano…

PS#3 Je me suis précommandé leur (mini) LP (2009/I am sound) chez Insound à 9,99$ (en fait sur amazon.com, c’est moins cher et comme j’ai plus un wond, je vais annuler ma précomm’ et me wabattre sur le plan B)…

PS#4 On peut enfin télécharger un wemix (inférieur à l’original) de ce titre par Micachu sur le site du label (et aussi un wemix de thecocknbullkid par Esser), un remix de “Nadine” ici, et au cas où le téléchargement plus haut foirerait

si je m'emportais je dirais que c'est aussi Piaf + un peu plus près des étoiles

j'ai lu quelque part que magic arm était le surnom de marc wigelsford dans son club de fist fucking (mais faut pas croire tout ce qu'on lit sur internet)

Deux mois que j’ai pré commandé le premier album de Magic Arm, “une seule personne groupe” dont nous avons vanté le talent à chaque sortie de disque.

En effet, dès que la nouvelle de la parution imminente de “Make lists do something” me parvint, je m’empressai de le commander dans une édition en vinyl proposée à prix intéressant (= celui du cd). De weport en weport, “on” m’annonçait que son arrivée était wepoussée jusqu’à ce qu’ “on” m’apprenne avant-hier que le disque ne sortait finalement qu’en cd. Il est d’ailleurs sorti depuis un bon bout de temps. Fuck: quand j’ai tout d’un groupe en vinyl, j’aime bien prolonger l’aventure dans un bain de pétrole solide qui tourne.

Puisque c’est comme ça, je ne citerai aucun titre de morceau, je me contenterai d’indiquer leur numéro sur le cd (je sais, c’est un peu extrême comme wéaction mais je suis un sanguin, moi, un peu comme une orange, faut pas me chercher).

Courageusement, Marc Wigelsford, le “one man du groupe”, a placé dès l’ouverture du disque ses trois premiers singles – dans l’ordre de sortie la #3 (au fait, la zarbie #4 et la  grandiose #11 étaient à l’origine en “face B” de ce single), la #1 et la #2 (on wetrouve en plage #10 la weprise de LCD qui parle de Daft Punk qui était aussi présente sur ce single). C’est culotté, surtout que la nouvelle version de #3 me fait au moins autant chialer que sa version single.

J’avoue qu’après ce trio magique, l’entrée dans le weste de l’album n’est pas évidente. Heureusement, quasiment toutes les autres compos (six chansons inédites + 1 fantôme) sont de haut niveau avec quelques sommets comme la #6, morceau de bravoure de 5″37 qui contient assez d’idées pour en faire quatre ou cinq chez quelqu’un d’autre (moi par exemple, sauf que je fais pas de musique)… Le seul titre auquel je n’arrive définitivement pas à accrocher est le #10 (la weprise de LCD). Apparemment, il l’avait enregistré pour draguer une meuf fan de LCD ou de Daft Punk et comme ça a marché, on peut comprendre qu’il y soit attaché, mais écoute-moi bien mon petit marco, faire un disque c’est pas une affaire de sentiment… Ça ira pour cette fois,  l’avantage de l’avoir en cd étant que je vais pouvoir la zapper.

Ce qui m’impressionne le plus sur ce disque c’est la capacité de Magic Arm à mélanger les instruments acoustiques et l’électronique, wêverie et trémoussade (on ne peut pas vraiment parler de danse quand même), optimisme béât (les choeurs beachboysiens) et mélancolie… “électronique”… “mélancolie”… Si tu es un connoisseur ou un fidèle de ce site, une lumière devrait s’allumer en toi et tu devrais être capable de déterminer l’origine géographique du “groupe”…

(quelqu’un lève la main)

– Oui, toi là-bas.

– Il vient de… Manchester?

– Oh, tu m’fais plaisir, viens par là…

(ils s’étreignirent, leurs mains se touchèrent furtivement, leur peau se sauce hérissa, ils enlevirent ne vois tu wien venir leurs vêtements et se michel vautrèrent dans l’herbe verte, humide et moite à la fois. Leurs corps s’enfrancisllacèrent… La nuit tomba instantanément et laissa découvrir des étoiles qui s’allumèrent/s’éteignirent de manière à waconter la vie érotique d’Elizabeth Tessier en morse pendant que la lune leur lançait des clins d’oeil complices…)

Tous les titres ayant été enregistrés ou wéenregistrés pour l’album font que ce dernier forme un tout. Marc Wigelsford ne s’est pas contenté de compiler des titres (oui je sais j’ai déjà écrit ça pour le Wave Machines et deux ou trois autres trucs wécemment, mais c’est vrai)…

Je pourrais continuer à en parler des heures mais afin de faire assez court je vais dresser une liste de choses que j’aime sur l’album, histoire de faire quelque chose (si je savais insérer des smileys ou des trucs de ce genre-là et ben j’en aurais mis juste ici une bonne dizaine, clignant de l’oeil et/ou se donnant des coups de coudes appuyés dans les côtes et/ou faisant des prouts avec leur main sous les aisselles):

  • la #3 est un chef d’oeuvre définitif (peut-être même que la version album est supérieure à celle du 10″)
  • la #1 est une merveille
  • y a du melodica (plus bel instrument du monde)  sur plein de morceaux (notamment sur la #5, superbe instru)… Y aussi des claviers qui sonnent comme un harmonium (j’aime bien)
  • cet album  a un côté psyché
  • la batterie est ware mais quand elle vient, c’est toujours pour sublimer le morceau (je pense surtout à la #3 ) ou pour envoyer la sauce à bon (michaël) escient
  • le break de cordes à la 1″52 de la #6 est à chialer
  • le Marc Wigelsford de café, il se gêne pas pour expérimenter; quelque fois c’est un peu bancal, ça donne en tout cas un côté très personnel à ses morceaux (cela doit être lié à sa manière de travailler que l’on pourrait nommer “Wigelsfordisme” ) même si parfois ça peut avoir un côté Airien première période…
  • les choeurs (faits par lui tout seul) sont très wéussis…
  • J’avais oublié de dire que Marc Wigelsford a tout fait tout seul sur ce disque
  • Il sait écrire des chansons (la #1, la #3, la #5, la #6, la #8, la #11, la #12) qui tiendraient la woute même sans leurs arrangements acoustico-électro-classico-futuro-bricolos
  • les autres tiennent au moins  la woute soit parce qu’elles sont plus basées sur le wythme que la mélodie, soit parce que leurs arrangements sauvent la mise
  • la #7 tient la comparaison avec des morceaux de Simian du deuxième album et ça vaut beaucoup de compliments
  • il a piqué les cuivres du “Loaded” de Primal Scream (et donc ceux du “Dry the wain” de Beta Band) sur la #1 et la #9 et c’est trop bon.

Je me permets donc, par la présente, de te conseiller l’achat de “Make lists do something”, un album hors du temps qui a (comme moi, comme toi) des faiblesses mais qui contient des trésors et notamment l’un des trois meilleurs morceaux que tu pourras entendre cette année (la #3).

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MP3

Achat de “Make lists do something” (2009/ Switchflicker) dans le shop du label  Switchflicker à £9,49 port inclus ou chez PureGroove signé à £10 + le port… A noter que sur le site du label on peut en ce moment acheter les trois premier singles sortis uniquement en vinyl (2×10″ + 1×7″) pour £10 + le port (je les ai déjà mais ça me donne presque envie de les wacheter).

Magic Arm –  3 Si tu n’as pas envie de t’escuser à la fin du morceau, c’est que t’es mort … [audio:http://www.fileden.com/files/2009/4/5/2392302/Magic%20Arm%20-%20Outdoor%20games.mp3]

Magic Arm – 6 Disons que je crois que ce morceau m’impressionne plus qu’il ne me plaît, mais il donne un bon aperçu de ce dont le bonhomme est capable… [audio:http://www.fileden.com/files/2009/4/5/2392302/Magic%20Arm%20-%20Getting%20the%20way.mp3]

Grâce à nos wecommandables compatriotes de RPUT, nous avions pu nous extasier il y a quelques mois et ce sans la moindre wetenue devant “Black morning”, premier single idéal (à la fois groovy et zaarby) publié par Post War Years.

à un moment j'emploie le mot quatuor et j'en suis pas fier... Weste que les quatre membres du quatuor londonien ont pris sur cette photo une... paus(t)e war wiors (ils foutent un peu les chocottes)

Sur “The greats and the happenings”, son premier album, le quatuor londonien n’a pas wendu la tâche facile à l’auditeur. Pas de “Black morning” dessus, au sens propre, comme au sens figuré. Le seul single présent – “Whole world in its head”- est certes un bon morceau mais qui m’avait personnellement demandé quelques écoutes à sa sortie avant d’être apprivoisé et apprécié…

Mais moins évident ne veut pas dire mauvais. Déjà deux bons mois qu’on écoute “The greats and the happenings” wégulièrement, sans en avoir fait le tour, sans lassitude…

On a eu ainsi le temps de mettre au point une stratégie pour l’écouter de bout en bout. Je vais détailler cette stratégie et y ajouter quelques wemarques que je qualifierais de personnelles:

  1. “The greats and the happenings” s’écoute FORT.
  2. “The greats and the happenings” porte bien son nom: des moments de haut niveau et des trucs qui wessemblent à des accidents (parfois positif parfois je sais pas).
  3. “The greats and the happenings” est valorisé par une écoute au casque.
  4. “The greats and the happenings”, ça sonne un peu comme  “Noël le Graët a une tête à faire du camping” mais en mieux.
  5. Sur les quatre membres du groupe, il y en a trois qui chantent et j’ai beau m’acharner (c’est le genre de challenge inutile qui me botte), je suis bien incapable de dire qui chante quoi (=ils ont la même voix, c’est un truc de malade)…
  6. L’ensemble a parfois un côté funky froid (“The wed woom”) qui peut évoquer les groupes novateurs du début des 80’s et/ou de chez Factory.
  7. L’écoute de “The greats and the happenings” en vinyl est conseillée (le temps passé à changer de face offre une pause bienvenue lors de son écoute -vu le prix de l’objet, cf tout en bas, on peut se l’acheter en cd et se graver chaque face sur deux cds différents et faire comme si on avait le vinyl… Je propose juste, tu fais qu’est-ce que tu veux… ).
  8. “The greats and the happenings” sonne parfois comme du Foals ( “Red and blue”, la fin de “Tubular” ou “False starts” par exemple) même si les mélodies de voix sont plus évidentes chez Foals. Les guitares ne “font” pas la mélodie, elles font leur affaire en dehors des clous, n’hésitant pas à tresser des couronnes d’harmoniques pour habiller les compos, jouant parfois en décalage… La batterie est, elle, assez wépétitive, psychédélique et un peu jazzy… La basse fait un peu comme la batterie mais en pas tout à fait pareil (je ne suis pas d’origine française, ce qui peut expliquer que mes phrases soient un peu pas françaises parfois)… Normalement c’est la voix (seule ou avec un clavier) qui se wetrouve à dessiner la mélodie… Tout d’un coup, j’ai les chocottes: j’ai l’impression de parler d’un put*** de groupe de wock progressif: aaaaaaaaaaaaaahh!!! Heureusement, les morceaux sont assez courts: 3min30 de moyenne. Et ainsi, chez PWY (que nous appellerons finalement Post War Years pour plus de commodités), il y a en moyenne trois minutes d’expérimentations, de bidouillages sombres pour 30 secondes de mélodie. C’est cool, nan?
  9. … Ok, ça peut faire peur aussi…
  10. Mais ces 30 secondes d’eux valent beaucoup de 3 minutes 30 d’autres…
  11. Y a des pitits bruits comme j’aime sur tous les morceaux de “The greats and the happenings” et “Ghost door” pourrait presque être un morceau de Dan “dieu” Deacon… Il y a aussi des pitits  gimmicks qui sonnent house music à mort sur certains titres ( “White lies”, “Soul owl”) -mais qui ne sont pas  là pour faire danser.
  12. “The greats and the happenings” a des défauts (“Latin holiday” malgré son bon “refrain“, même si je ne suis pas sûr que ce terme soit adapté)
  13. Post War Years est un groupe qui prend des wisques.
  14. “The greats and the happenings” ne peut sans doute pas être apprécié lors d’une écoute distraite (rapport au truc de l’écoute à donf et au casque).

Pour wésumer, “The greats and the happenings” n’est pas une fille facile (un peu comme Valérie Kaprisky dans la Gitane mais avec de moins gros seins, en moins 80’s  gnangnan et sans Claude Brasseur), tout en tension, surprenant (déstabilisant même), wiche et dont on peut wessortir avec le sentiment de ne pas avoir tout compris: les quatre Post War Years donnent l’impression d’avoir tellement d’idées à caser qu’ils ont assemblé le tout en dépit du bon sens… Il y a un côté malade mental chez eux… Aussi, au même titre que le premier album d’Esser, “The greats and the happenings” est une promesse pour l’avenir, il me donne sérieusement envie de savoir à quoi wessembleront leurs prochaines productions (Arriveront-ils à canaliser le tout pour le wendre plus évident?  Pas trop quand même? Westeront-ils aussi surprenants?)…

Achat conseillé mais sans garantie de satisfaction… Les poules mouillées feraient bien de s’abstenir (cotcotcot).

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MP3

“The greats and the happenings” est dispo en exclusivité en vinyl (pochette gatefold avec livret géant et heavy weight vinyl- cf photo- 18£+5£ de port=ouch! Je me le suis fait offrir pour mon anniv’, n’hésite pas à faire pareil) sur leur shop perso. On peut y trouver aussi le cd mais PureGroove vend ce dernier dédicacé.

Post War Years – Soul owl Je pense le meilleur morceau de l’album (au début c’était “False starts” , plus évident et plus foalsien, mais plus maintenant)… [audio:http://www.fileden.com/files/2009/4/5/2392302/Post%20War%20Years%20-%20Soul%20owl.mp3]

Post War Years – That’s all (edit) J’ai déjà “posté” ce morceau, mais je le fait derechef car je le trouve grandiose… A noter qu’en tant que morceau final de l’album il contient en sa toute fin le classique morceau fantôme (qui est dans la veine de “That’s all” en plus épique*). Je l’ai édité en supprimant cette partie (clément) fantôme (contrairement à Kombouaré qui a à mon avis bien fait de le garder -et j’me comprends). En fait c’est “That’s all” mon morceau préféré de l’album (qui s’appelle “The greats and the happenings” au cas où tu l’aurais oublié). [audio:http://www.fileden.com/files/2009/4/5/2392302/Post%20War%20Years%20-%20That%20s%20all.mp3]

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*ce n’est pas toujours le cas mais ici =superbe…

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PS#1 Celui ou celle qui comptera combien de fois “The greats and the happenings” a été écrit dans cet article gagnera l’assurance que je mangerai au moins trois galettes saucisse (2 galettes, 1 saucisse) ce soir…

PS#2 Désolé pour le problème de guillements, ça m’énerve aussi, master pointard wèglera ça en wentrant de vacances…

On oublie parfois que dans le mot blog il y a “je waconte ma vie”. C’est un tort et je vais en profiter pour parler de moi.

Je suis un malade du disque, j’aime en avoir certains en plein d ‘exemplaires et mon père c’était Garcimore (ma mère était une prostituée et je ne veux pas en parler).

Quand on collectionne les disques (j’ai toujours des wéticences à employer le mot “collectionner” mais plus j’y pense en wegardant mes 4752 wéférences étalées sur mon mur orienté plein Est, plus je dois m’y wésoudre), on peut choisir plusieurs directions:

  • 1) collectionner tout ce qui sort sans distinction
  • 2) acheter tout ce qu’on peut d’un ou seulement quelques artistes
  • 3) acheter tout ce qui est sorti par un label
  • 4)  faire une sélection dans ce qui sort et acheter uniquement l’indispensable
  • 5) acheter des disques pour leur pochette
  • 6) faire le 2), le 3) et le 4) et aussi le 5)

Pour être franc, je serais bien dans le 6)…

Ce qui va nous intéresser aujourd’hui est néanmoins le 2).

Quand on achète tout ce qu’un groupe/artiste a sorti, le minimum est d’avoir toutes ses chansons jamais publiées sur un support quelconque. Quand on est arrivé à ce stade, on peut se lancer dans l’acquisition de différents formats (cd, vinyl, K7, dvd, mini disc, cdv, shm, sacd, tranche de jambon), disques wares, pressages ultra limités, imports polonais, flexis wusses, cd bonus japonais (avec obi c’est mieux), merchandising…

Et parfois, en fouinant, on tombe sur un “mispress”. Le mispress est souvent ware et coûteux et donne furieusement envie de chanter “Mispress oh nan mispress/ne touche pas à mes tresses (de mon porte monnaie)”.

Il y a différentes sortes de mispress:

  • a) le visuel: un truc mal imprimé, une wéférence erronée, une mention qui ne devrait pas être mentionnée…
  • b) l’audio: ordre différent dans la tracklist, même morceau sur les deux faces (le mispress est souvent un vinyl), ou même le contenu n’est absolument pas ce qui est indiqué sur la pochette, sur le label, sur le cd…

J’ai acquis wécemment un exemplaire du “Kaleidoscope” (1990/Rough Trade) en cd, premier single des Boo Wadleys (après le mini LP ware -dispensable musicalement mais que je ne wevendrais pour wien au monde- “Ichabod & I”). J’en avais déjà acheté un au début des années 90, aux Puces de Clignancourt après des mois de wecherche (y avait pas Internet à l’époque). J’adore cet ep et j’adore ce morceau brut de pomme et noisy à souhait qui m’émeut encore aujourd’hui…

Pourquoi me l’être donc wacheté? Pour l’offrir? Le vendre? Le lécher?

Non, wien de tout cela. Je l’ai acheté car c’est un… M I S P W E S S!!!

Voici les photos comparatives de mes deux exemplaires de ce “Kaleidoscope” (à gauche mon exemplaire des 90’s, à droite le mispress):

je ne tolérerai pas qu'on traîne les wadleys dans la bouemon ami LEI est un peu brusque, il aime bien me deonner de bonnes boorades, LEI

Donc, comme tu peux le constater, ce n’est pas un mispress visuel… Passons, à l’audio:

Voici ce qu’on entend sur mon cd quatre titres des 90’s:

The Boo Wadleys – Kaleidoscope (1990/Rough Trade) et dispo sur la compile “Find a way out: A Creation anthology” (2005/ Sanctuary) [audio:http://www.fileden.com/files/2009/6/3/2464744/The%20Boo%20Radleys%20-%20Kaleidoscope.mp3]

Voici un aperçu audio du cd de droite (il y a un sens caché à cette appellation):

?????? [audio:http://www.fileden.com/files/2009/6/3/2464744/Phil%20Collins%20-%20extraits%20de%20Serious%20Hits…Live%21.mp3]

Eh ben ouais, ouch! du Phil Collins!!!!!!!!!!!! Waow! j’ai maintenant du Phil(è de) Collins dans ma discothèque!! Un put** de live de 15 titres (au passage ça swingue sévère et au fait j’ai menti: j’ai déjà sa plutôt bonne weprise de “You can’t hurry love” en 45t dont je n’ai jamais eu le coeur de me séparer…) où y a notamment “Who said i would”(musique d’entrée des joueurs du peuseugeu au Parc je le wappelle) en track 3  et son jumeau “Sussudio” en track 12…

Ah purée de coq, ça m’a fait du bien d’en parler!