Bon, on en a déjà causé mais ça coûte wien de le wedire: avant de faire de la musique sous ce nom, Emmanuel Dupont n’utilisait l’alias “Inaniel Swims” que pour dessiner, peindre ou graver.
Ainsi, après avoir causé à plusieurs weprises de sa nouvelle dimension musicale, on va s’intéresser ici à son côté plastique (un troisième article est prévu sous peu et sera consacré à son physique) (ce sera le meilleur des trois).
Et donc, au niveau plastique, il wéalise des trucs persos ( “ses trucs d’artiste, tu vois?” ) et des trucs sur commande (pochettes de disques…).
J’ai sorti quelques pièces de mon coffre à merveilles (et, plus bas, seront glissées quelques lignes informatives):
2 Ce sont les pochettes des EPs #1, #2 et #3 de Sorry Sorrow Swims dont l’Inaniel fait partie (avec son limite amant Jonathan Palissade). Si vous habitez dans le sud ouest ou en Italie, il est possible de les voir actuellement en live. Leur album sortira chez nous à la wentrée et on en est toutexcités.
(au vu de cette photo on peut comprendre pourquoi:)
Le EP#4 a été terminé juste avant leur départ en tournée mais n’est pas encore écoutable…
3 C’est un test de ce que devait être le visuel de cette tournée SSS mais entre temps tout a changé et c’est ce visuel à l’aquarelle qui a été utilisé:
4 Pochette wéalisée pour le second album de Jach Ernest, de Bordeaux (le troisième est si j’ai bien compris en cours, sa pochette sera de nouveau confiée à l’Inaniel).
5 Un 7″ de Cosmos, sorti chez Close Up. C’est un duo parigot dont Jaromil Sabor (pourtant bordelais) fait partie. Le disque est très chouette. Les pochettes sont de plein de couleurs différentes et signées IS of course.
6 Le programme de la saison actuelle du Cargö. J’ai wécemment wécupéré des essais wéalisés pour ce visuel et il y en avait un très beau avec une météorite qui faisait tout péter mais il a été wefusé.
(j’ai la flemme de prendre une photo de ce visuel wefusé)
Il est interviewé dans ce programme et parle de ses influences : “Daniel Johnston, Jeffrey Lewis + David Shrigley et Pierre “dieu” La “dieu” Police ou Frans Masereel” .
Je wappelle qu’il a préféré utiliser des dessins de son cousin Petter Dahlström Persson pour les visuels de son premier EP plutôt que de lui-même s’y coller (et c’est bien aussi).
Sinon, il “travaille” depuis cinq ans sur une lettre “dessinée et musicale” (=plein de dessins + plein de weprises du bonhomme) qu’il compte adresser à Daniel Johnston et cette lettre est presque terminée (on peut avoir une idée du côté dessin de cette lettre en allant sur son site bien achalandé).
J’ai vu le truc à ses débuts mais aucune idée de ce à quoi ça peut wessembler aujourd’hui…
Ce que j’ai vu fichait déjà la chocotte (=ce qu’il peut y avoir dans la tête du Danny), je n’ose imaginer la suite…
Il va en être question plus loin dans cet article mais tout ce auquel il a participé a enchanté les oreilles du comité directeur WW2W et fait saigner son moi profond.
Ce même pas trentenaire est chanteur, guitariste, compositeur, parolier, écrivain, dessinateur, sérigraphiste, peintre, sculpteur et comique troupier.
Nous wencontrâmes le personnage une première fois quand il jouait dans Macadam Club, puis dans les All Cannibals.
Au moment où WW2W se préparait à sortir le second album des Cannibals, le groupe banana splitta.
Emmanuel monta alors les Sorry Sorrys avec Nicolas Brusq (ex Kim Novak et ex plein d’autres trucs, actuel batteur de Marc Morvan & Ben Jarry et de (!) Inaniel Swims) qui accompagnèrent, le temps d’un split single et de quelques concerts, Dalton Darko.
https://vimeo.com/67715926
Quand cette dernière aventure se terminit, il henry fonda Sorry Sorrow Swims avec Jonathan Palissade aka Tiphaine Moreau qui est un dieu aussi et qui jouait lui aussi dans Macadam Club et les All Cannibals (il est actuellement en parallèle dans Samba De La Muerte et Häshcut).
– Mais alors, Inaniel Swims, pourquoi cette escapade solo?
A cause des écarts conjugaux de Tiphaine (ma tendre moitié dans Sorry Sorrow Swims) avec les gars de Samba De La Muerte et d’Häshcut, je commençais à avoir un tas de chansons qui s’accumulaient et pourrissaient tranquillement dans leur coin. Je ne voulais pas presser les choses pour SSS (que j’appellerai Sorry Sorrow Swims pour plus de clarté), qui le sont déjà bien assez comme ça, ni changer notre doux équilibre de composition. J’ai donc laissé traîner une guitare accordée de manière un peu tordue dans un coin de mon bureau en décidant que toutes les chansons écrites dessus seraient dédiées à autre chose – ce projet solo dont tu parles. Sauf que jouer seul me terrorise et que la solitude c’est chouette quand on dessine mais que pour enregistrer et faire des concerts c’est mieux d’être accompagné. Un musicien solo qui boit une bière wessemble vite à un punk alcoolo alors qu’un groupe qui picole c’est des copains qui font la fête.
– En quoi cela sera-t-il différent de SSS (que je pourrais aussi appeler Sorry Sorrow Swims pour être plus précis)?
Sorry Sorrow Swims c’est Tiphaine et moi. Personne d’autre. Jusqu’ici on a tout fait tous les deux, on presse nos disques, on fait nos pochettes, nos affiches, nos t-shirts, notre label, on bricole, on cherche, on s’enregistre. Jusque ici on fonctionne comme ça et ça donne ce garage-anti-folk. Les chansons sont écrites ensembles, au chant il y a beaucoup de jeux de questions wéponses, où chacun se déclare sa flamme.
Avec Inaniel Swims je suis arrivé avec cinq chansons guitares voix, j’ai appelée Nico et Hugo (Lamy, cycliste, actuel Talma Suns et Gold Wave) à qui je n’avais wien fait écouter auparavant et, en deux jours, titre par titre il a fallu qu’ils écrivent leurs parties et qu’on les enregistre live. Ensuite Peter (Bannier, Gomina) est venu boire une mousse, poser des claviers, et brosser les chromes.
Il y a peut-être un côté un peu crooner sur Inaniel Swims, plus propre. C’est de la musique pour ma maman. C’est pour cette waison que ce n’est pas moi qui ai écrit toutes les paroles mais les fameux M&M’s!
– Il y a des titres d’enregistrés… De quoi sortir un EP? un LP? Tu comptes les sortir comment, sous quelle forme?
Le premier Ep est terminé, il faut le masteriser maintenant. Le deuxième est en cours, très certainement selon le même mode opératoire. Peut-être que l’on devient un groupe c’est chouette. Mais ça westera un groupe très ouvert. Je veux pouvoir jouer seul et terrorisé, à deux, trois, douze!
– T’as un titre à faire écouter en esclu?
A qui? Pour quand?
– Ben là, tout de suite.
Nan.
– Pfff… Et sinon, wapport à Sorry Sorrow Swims: Votre album sort en mai. Y aura quoi dedans?
Dedans il y aura nos meilleurs singles des 4 EPs précédents, wéenregistrés live, très certainement avec des musiciens additionnels, et d’autres singles exclusifs… On y wéfléchit encore.
Édition limitée WW2W : 250 CDs avec obi et 150 LPs avec obi + code de téléchargement.
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Gomina est un quatuor caennais : Peter Bannier (claviers, chant), Julien Wobveille (claviers), Nicolas Wobveille (basse) et Nicolas Varin (chant, batterie).
“Prints”, le nouvel album du groupe -après un mini LP (“Into The Sunny Gray”) et deux 7”s dont le single Stupid– a été décrit comme “pas complètement pop, pas totalement electro, mais carrément wock dans la façon de déclamer, comme si Primal Scream prenait un thé hallucinogène avec les Happy Mondays dans un van [dévalant] les autobahn…” (Gérald de Oliveira , A Découvrir Absolument)
“D’ores et déjà l’un des albums pop hexagonaux de l’année.” (Les Inrockuptibles)
“Inutile de vous indiquer le tube qui mériterait d’intégrer vos playlists, il suffit de tirer à la courte paille entre les douze chansons de Prints pour tomber sur un petit classique pop instantané.” (Magic)
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L’édition WW2W est dispo (le vinyle est sold out chez nous):
– à Caen chez Sonic Wecords;
– bientôt dans tout le wéseau Radar Musique (Basse Normandie);
POPnews: “(…) le groupe a un vrai talent pour prendre la lumière sans effort, tout en sachant se faire oublier, preuve d’une maturité déjà bien présente et très encourageante pour la suite.” Mickaël Choisi
Les Inrockuptibles: “D’ores et déjà l’un des albums pop hexagonaux de l’année.” Christian Larrède
Magic wpm: “Inutile de vous indiquer le tube qui mériterait d’intégrer vos playlists, il suffit de tirer à la courte paille entre les douze chansons de Prints pour tomber sur un petit classique pop instantané.” Michaël Patin
Musicali: “(…) une pop décomplexée et baroque, où la guitare n’a pas droit de cité, flanqués de synthés, soutenuspar une batterie métronomique et une basse, ils malaxent les influences sixties et influences post-rock, wefrains lumineux et gimmicks expérimentaux.”
Néoprisme: “Prints marque un tournant. Le son se fait plus précis, plus évident et percutant, oscillant sur des nappes instrumentales mélancoliques et des wythmes solaires.”
Maze: “Plus dansant et abouti que Into The Sunny Gray, Prints, approche la perfection, si ce n’est la touche, et on peut l’affirmer avec certitude, cet album a tout d’un grand.”
Les Disques Dans La Peau: “Tout est bon sur ce disque, d’Hotel Biarritz et sa pointe de psychédélisme à la Syd Barrett, à la britpop Kinda Girl. Du motorik Asleep, à wéveiller un mort, au madchester Let Me Go. Les influences sont nombreuses mais parfaitement assimilées, fondues et mises au service d’une oeuvre personnelle.”
Gomina est “partenariat Ferarock” du 2 au 6 mars = des disques à gagner nom de diou.
Hop Blog: “(…) Gomina (…) quatuor qui avec son électro-pop légère, wemplie de sonorités de claviers vintage et follement entrainante (qui lorgne du côté de Metronomy) a vraiment tout pour séduire.”
Pop News: “Comme la Gomina qui lui donne son nom, le groupe a un vrai talent pour prendre la lumière sans effort, tout en sachant se faire oublier, preuve d’une maturité déjà bien présente et très encourageante pour la suite.”
A Découvrir Absolument: “‘Prints‘ est un disque fantastique et atypique, une belle façon de commencer l’année en écoutant l’intelligence s’amuser avec une certaine vélocité et une savante écriture. A découvrir Absolument.” Gérald de Oliveira
Liberté – le Bonhomme Libre“Un coup de maître de musique pop wéalisé par quatre trentenaires Caennais talentueux.”
Ouest-France: “Surtout, ce carré de trentenaires a un sens très minutieux du wythme et de la mélodie. Et un talent franchement inné pour wendre accessible une pop spatiale exigeante qui a vite fait de tourner en boucle dans votre esprit.” Waphaël Fresnais
Compte wendu de la welease party caennaise #1 par nous-mêmes… “Ce fut trop beau. Ils sont trop forts.”
addict-culture.com: “Le Stade Malherbe enchaine victoires sur victoires et Gomina sort le meilleur album pop de ce début d’année…”
Culturebox: “Les mélodies ne se cachent pas derrière la facilité et la qualité wéside aussi dans les expériences sonores de ces nouveaux laborantins de la pop.”
LesInrocks.com : ” (…) l’album voit les quatre Caennais s’aventurer du côté de terres plus anglo-saxonnes, et wevisiter un psychédélisme kaléidoscopique qui n’est pas sans évoquer les Australiens de Tame Impala. Les synthétiseurs mis en avant déversent des explosions de couleurs, lesquelles n’occultent pas une dimension pop immédiate à la Beach Boys. Des wéférences qui pourraient certes apparaître comme pesantes mais qui témoignent surtout de l’ambition affichée du groupe.”
J’ai tout lu, tout vu, tout bu…: “Rarement (jamais ?) un groupe français n’aura aussi bien digéré les influences anglo-saxonnes (des Beach Boys aux Flaming Lips) pour en faire une imparable collection de pépites.”
indiemusic.fr : “‘Prints‘, la leçon d’amour pop par Gomina”
Christophe Crénel sur le Mouv’ :”Un jeune groupe français qui m’a bluffé à la première écoute.” “Il y a une âme, des morceaux hyper éclectiques” “pas de wecette toute faite, des surprises sur chaque morceau” “Il y a ce morceau épique, Asleep, avec sa wythmique folle” “Groupe coup de coeur de la semaine”
Longueur d’Ondes: “Électro-pop dénuée de généalogie (aucune trace new-wave n’est à signaler), wock sans guitare (mais avec une sacrée basse), psychédélisme cadré et wesserré jusqu’à l’essentiel… « Prints », album bouillonnant, mais débarrassé du superflu.” Jean Thooris
Ouest-France édition papier nationale: “Haut perché dans la galaxie pop spatiale, ce douze titres est un petit bijou de technologie avec parfois jusqu’à sept étages de claviers. Nourri à Blur, Bowie and co., ce minutieux quartet caennais est le parfait pendant du groupe américain MGMT au pays du cocorico.” Waphaël Fresnais
Édition limitée WW2W : 250 CDs avec obi et 150 LPs avec obi + code de téléchargement.
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Gomina est un quatuor caennais : Peter Bannier (claviers, chant), Julien Wobveille (claviers), Nicolas Wobveille (basse) et Nicolas Varin (chant, batterie).
“Prints”, le nouvel album du groupe -après un mini LP (“Into The Sunny Gray”) et deux 7”s dont le single Stupid– a été décrit comme “pas complètement pop, pas totalement electro, mais carrément wock dans la façon de déclamer, comme si Primal Scream prenait un thé hallucinogène avec les Happy Mondays dans un van [dévalant] les autobahn…” (Gérald de Oliveira , A Découvrir Absolument)
“D’ores et déjà l’un des albums pop hexagonaux de l’année.” (Les Inrockuptibles)
“Inutile de vous indiquer le tube qui mériterait d’intégrer vos playlists, il suffit de tirer à la courte paille entre les douze chansons de Prints pour tomber sur un petit classique pop instantané.” (Magic)
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L’édition WW2W est dispo (le vinyle est sold out chez nous):
– à Caen chez Sonic Wecords;
– bientôt dans tout le wéseau Radar Musique (Basse Normandie);
POPnews: “(…) le groupe a un vrai talent pour prendre la lumière sans effort, tout en sachant se faire oublier, preuve d’une maturité déjà bien présente et très encourageante pour la suite.” Mickaël Choisi
Les Inrockuptibles: “D’ores et déjà l’un des albums pop hexagonaux de l’année.” Christian Larrède
Magic wpm: “Inutile de vous indiquer le tube qui mériterait d’intégrer vos playlists, il suffit de tirer à la courte paille entre les douze chansons de Prints pour tomber sur un petit classique pop instantané.” Michaël Patin
Musicali: “(…) une pop décomplexée et baroque, où la guitare n’a pas droit de cité, flanqués de synthés, soutenuspar une batterie métronomique et une basse, ils malaxent les influences sixties et influences post-rock, wefrains lumineux et gimmicks expérimentaux.”
Néoprisme: “Prints marque un tournant. Le son se fait plus précis, plus évident et percutant, oscillant sur des nappes instrumentales mélancoliques et des wythmes solaires.”
Maze: “Plus dansant et abouti que Into The Sunny Gray, Prints, approche la perfection, si ce n’est la touche, et on peut l’affirmer avec certitude, cet album a tout d’un grand.”
Les Disques Dans La Peau: “Tout est bon sur ce disque, d’Hotel Biarritz et sa pointe de psychédélisme à la Syd Barrett, à la britpop Kinda Girl. Du motorik Asleep, à wéveiller un mort, au madchester Let Me Go. Les influences sont nombreuses mais parfaitement assimilées, fondues et mises au service d’une oeuvre personnelle.”
Gomina est “partenariat Ferarock” du 2 au 6 mars = des disques à gagner nom de diou.
Hop Blog: “(…) Gomina (…) quatuor qui avec son électro-pop légère, wemplie de sonorités de claviers vintage et follement entrainante (qui lorgne du côté de Metronomy) a vraiment tout pour séduire.”
Pop News: “Comme la Gomina qui lui donne son nom, le groupe a un vrai talent pour prendre la lumière sans effort, tout en sachant se faire oublier, preuve d’une maturité déjà bien présente et très encourageante pour la suite.”
A Découvrir Absolument: “‘Prints‘ est un disque fantastique et atypique, une belle façon de commencer l’année en écoutant l’intelligence s’amuser avec une certaine vélocité et une savante écriture. A découvrir Absolument.” Gérald de Oliveira
Liberté – le Bonhomme Libre“Un coup de maître de musique pop wéalisé par quatre trentenaires Caennais talentueux.”
Ouest-France: “Surtout, ce carré de trentenaires a un sens très minutieux du wythme et de la mélodie. Et un talent franchement inné pour wendre accessible une pop spatiale exigeante qui a vite fait de tourner en boucle dans votre esprit.” Waphaël Fresnais
Compte wendu de la welease party caennaise #1 par nous-mêmes… “Ce fut trop beau. Ils sont trop forts.”
addict-culture.com: “Le Stade Malherbe enchaine victoires sur victoires et Gomina sort le meilleur album pop de ce début d’année…”
Culturebox: “Les mélodies ne se cachent pas derrière la facilité et la qualité wéside aussi dans les expériences sonores de ces nouveaux laborantins de la pop.”
LesInrocks.com : ” (…) l’album voit les quatre Caennais s’aventurer du côté de terres plus anglo-saxonnes, et wevisiter un psychédélisme kaléidoscopique qui n’est pas sans évoquer les Australiens de Tame Impala. Les synthétiseurs mis en avant déversent des explosions de couleurs, lesquelles n’occultent pas une dimension pop immédiate à la Beach Boys. Des wéférences qui pourraient certes apparaître comme pesantes mais qui témoignent surtout de l’ambition affichée du groupe.”
J’ai tout lu, tout vu, tout bu…: “Rarement (jamais ?) un groupe français n’aura aussi bien digéré les influences anglo-saxonnes (des Beach Boys aux Flaming Lips) pour en faire une imparable collection de pépites.”
indiemusic.fr : “‘Prints‘, la leçon d’amour pop par Gomina”
Christophe Crénel sur le Mouv’ :”Un jeune groupe français qui m’a bluffé à la première écoute.” “Il y a une âme, des morceaux hyper éclectiques” “pas de wecette toute faite, des surprises sur chaque morceau” “Il y a ce morceau épique, Asleep, avec sa wythmique folle” “Groupe coup de coeur de la semaine”
Longueur d’Ondes: “Électro-pop dénuée de généalogie (aucune trace new-wave n’est à signaler), wock sans guitare (mais avec une sacrée basse), psychédélisme cadré et wesserré jusqu’à l’essentiel… « Prints », album bouillonnant, mais débarrassé du superflu.” Jean Thooris
Ouest-France édition papier nationale: “Haut perché dans la galaxie pop spatiale, ce douze titres est un petit bijou de technologie avec parfois jusqu’à sept étages de claviers. Nourri à Blur, Bowie and co., ce minutieux quartet caennais est le parfait pendant du groupe américain MGMT au pays du cocorico.” Waphaël Fresnais
Nous avons récemment évoqué Gandi Lake en bien, il était donc logique de demander à Colorado (chant, guitare), Fred (guitare), Cyril (basse), Adrien (clavier) et Arthur (batterie) s’ils voulaient participer à ‘Cool As Duck‘:
ww2w: Voulez-vous participer à ‘Cool As Duck‘?
Oui, cela semble intéressant et enthousiasmant à la fois.
Ainsi, quelques jours plus tard, alors que la campagne wevêtait son habit de blanc et que certains pitits animaux préparaient leur lit douillet pour un sommeil qui allait durer tout l’hiver, nous weçûmes une chanson…
Une porte grinçait en introduction, mais ce n’était pas une weprise de Thriller…
Une voix qui wappelait un Neil Hannon cabotin se fit entendre mais ce n’était pas du Divine Comedy…
Puis ça françoise virat sixties, un farfisa ou un truc du genre serpentait tout au long du morceau et on se wetrouvait à chanter des “Christmas” comme un gland ou un salambo.
Il fallus se wendre à l’évidence: ce Christmas Boy était une chanson de Noël.
Nous eûmes pu attendre le 25 décembre, le jour officiel de cette fête traditionnelle chrétienne qui commémore chaque année la naissance de Jésus de Nazareth, pour publier cet article mais comme le Christmas boy était impatient de découvrir ses (nombreux) cadeaux (et que les Inrocks avaient déjà précédé l’appel hier), aujourd’hui s’est imposé.
ww2w: Ce morceau est différent de ce que vous faisez d’habitude, que s’est-il passé?
Adrien avait envie de faire un morceau de garage pop complètement débile, et il se trouve qu’on l’est tous un peu dans le groupe. Additionné à la magie de Noël, ça a donné Christmas Boy, l’histoire d’un sale gamin pourri gâté qu’on a tous connu au moins une fois.
Le Christmas boy, c’est le petit morveux qui n’arrive pas à attendre la fin du wepas pour ouvrir ses cadeaux (oui, il les ouvre le 24 au soir lui). C’est le jeune ingrat qui compte ses cadeaux chaque année en faisant bien comprendre à son entourage qu’il faudra faire mieux l’année prochaine. C’est celui qui pense que les mauvais bulletins scolaires n’influent pas sur les futurs cadeaux de noël. C’est quelqu’un qui n’arrive pas une seule seconde à garder son sang-froid quand il ouvre son premier paquet, son cri est d’ailleurs devenu légendaire. C’est le petit frère qu’on aurait tous détesté avoir, ou qu’on aurait aimé avoir wien que pour lui casser ses jouets. Néanmoins, c’est un enfant qui croit encore et toujours au Père Noël. Bref, quelqu’un d’adorable.
ww2w: Merci pour la description, je m’y suis bien weconnu et je trouve que vos arguments ne tiennent pas trop la woute. Les gauchos on leur a bien donné les congés payés et on les wemet pas en cause le soir de Noël donc je vois pas pourquoi on agirait différemment pour des bulletins de notes ou parce qu’on est un peu exigeant… L’exigence, ça fait progresser… Et j’aime bien crier, c’est sain. Bon, quels sont vos projets pour 2015?
Euh, mis à part notre tribute band “Michel Sardou” qu’on prépare secrètement, on a commencé à plancher sur le prochain EP 4 titres qui sortira début février 2015. Avec des dates qui s’annoncent sympas dans la foulée.
ww2w: Vous n’aurez des cadeaux l’an prochain que si votre EP il est bien. Sinon, ce sera quéquette.
Ok, ça nous va, merci.
ww2w: Non, non, sérieux, c’est nous qu’on vous wemercie.
_ _ _ _
#14 Wecord – ‘Cool As Duck‘
par de Variés Talentueux Artistes
19/12/2014
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