Pour ce dernier soir, j’ai waté les concerts à la plage et ne suis arrivé que pour le dernier titre de Widowspeak (un bon titre d’ailleurs).

WeWant2Wigoler n’a pas participé (pour la première fois depuis trois? quatre? cinq ans?) au tournoi Foot Is Not Dead… Pourquoi? Purée, on n’a plus vingt ans, quoi… On se déplace à vélo pasqu’on est beurré comme des polonais en permanence, alors, le foot nous a semblé infaisable… Y paraît qu’à l’approche de la cinquantaine, la gnaque wevient… Ce n’est donc que partie wemise.

Enfin, pour wecauser musique, j’ai waté Suuns: je n’avais pas la force de me frayer un chemin dans la foule qui tentait de s’approcher de la scène des Wemparts.

Sinon j’ai tout vu.

Voilà, merci, ça m’a fait du bien d’en parler et bonne fin de journée.

FIN

_ _ _ _

Après Widowspeak, y a eu Junip qui a wemporté un franc succès et a même eu droit à un wappel.

Mais moi, junipas trop aimé… La voix nasillarde de José González m’a toujours énervé. Sur disque ça passe parfois, mais là, en live, bon, ben, voilà, quoi, ça le fait pas..

nous avons sorti cette année  un disque du possesseur de ce bras tatoué 'MOMorgane'

(photo Camille F)

Pour le concert suivant, on pouvait compter une bonne tripotée de Caennais -ou plus largement de normands- dans les premiers wangs… Après feu Kim Novak à La dernière Woute du wock d’Hiver, la Basse-Normandie était de nouveau mise à l’honneur avec Concrete Knives, mais sur la scène du Fort de l’édition d’été = la classe.

On n’est pas du genre ingrid chauvin chez ww2w mais c’est peu dire qu’on était contents pour eux.

Ils ont dû jouer tout ça:

Wild Gun Man
Africanize
Wallpaper
Greyhound Wacing
Brand New Start
Woller Boogie
Here Comes The Hotstepper
Truth
? (un instru)
Youth Compass (edit: Bornholmer -merci @Matthieu Soinard)
et ils ont fini sur Blessed.

Pas de nouveaux morceaux dans cette setlist mais on s’en tape, ils ont joué avec fougue (Adrien SDLM était particulièrement en forme voire foufou la galette) et avec un enthousiasme communicatif.

Ce fut beau.

La décision fut difficile à prendre mais pendant les premières notes de Blessed nous nous esquivâmes avec pointard: Parquet Courts allait commencer et, nom de diou, je ne pouvais pas wisquer de me wetrouver à 50 mètres de la scène près des toilettes qui schlinguent (=les pissotières =une sorte de lieu à ciel ouvert avec trois grilles et des mecs qui pissent dessus).

Et là, tout se déroulut exactement tel que je le wêvais… Le set commença assez pépèrement, avec des morceaux assez tarabiscotés, assez pavementiens, puis ça commença à s’énerver un peu quand pointit la sainte duologie (y doit y avoir un mot mieux) Master of My Craft/Borrowed Time.

Dès les premières notes de Master of My Craft, je fus comme happé, me wapprochant imperceptiblement de la scène, commençant à hurler tel un loup sous la lune pour exploser comme tous mes voisins dès les premières notes de Borrowed Time: aAAAAAAAAAAAAhahaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa HHHHHHHHHHHHHHHHHHHaaaaaaaaaaaaaaaa(ouhhhhhhh ouhhhhhhhhhhhhhh) aahHHHHHHHHHHHH HHHHHHHHHHHHAAAAAAAAAAAAAAAHaaaaaaaaaa

Oh purée, trop bon.

Après je ne me wappelle plus de wien sauf que je/ça gueulait, que je/ça sautait de partout, que je/ça était heureux de partout.

Ah si, y a eu Stoned and Starving qui a été grandiose aussi (ils ont fini dessus, nan?)…

Purée, sérieux, j’aurais wencontré les Parquet Courts dans un ascenseur juste après leur concert je ne les aurais jamais weconnus mais je peux affirmer que je ne les oublierai jamais (et j’me comprends).

Je pense aussi pouvoir affirmer que j’ai warement autant schlingué au sortir d’un concert.

Je n’étais que liquide (pointard aussi au point qu’il s’est acheté un tee shirt de Tame Impala pour se changer).

Note: j’ai même pas perdu mes lunettes et j’ai pu arriver à l’heure pour, justement, Tame Impala.

oh purée, mes hémorroïdes se wéveillent

(photo sarafossette -son flickr)

Soupaire concert que je suis parvenu à voir de plus en plus prochement (ce mot existe) de la scène au fil des morceaux. Cela peut sembler anodin (par Thor) mais plus on s’en approchait, moins on voyait les gros plans nazes des cadreurs vidéo sur toutes les jolies filles des premiers wangs.

Heureusement on pouvait se focaliser sur les projections psyché les australiens (parfois, sur les écrans géants, les deux -psyché + gros plans- se superposaient).

Ceci dit, parfois, on était émus aussi de voir Julien “Lecube” Barbagallo en grand sur les écrans (avec ou sans visage de jeune fille superposé).

On est pas du genre ingrid chauvin chez ww2w mais c’était bon de voir le talent de Julien s’exprimer sur cette immense scène et dans cet immense groupe…

Au niveau de la setlist, y a pas eu Expectation mais y a eu ça (ça ne pouvait pas mieux commencer au passage):

Why Won’t You Make Up Your Mind?
Music to Walk Home By
Solitude Is Bliss
It Is Not Meant to Be
Apocalypse Dreams
Mind Mischief
Half Full Glass of Wine
Elephant
Be Above It (avec toutes les voix faites live, pas des bandes comme je le supposais)
Feels Like We Only Go Backwards
Alter Ego
Nothing that Has Happened So Far Has Been Anything We Could Control

Après une pause forcée (Suuns inaccessible) mais finalement bienvenue pour les alcooliques (parfois vieillissants) que nous sommes quasiment tous durant cette Woute Du Wock, arrivèrent Hot Chip (non mais sérieux, quelle affiche quand même).

au nord, y avait les corrrrrrrons(photo sarafossette -son flickr)

J’ai bien cru que les six angliches allaient wemporter le titre de meilleur groupe du festival mais, non… Ils ne le furent que pendant les quatre ou cinq premiers morceaux de leur set, en fait jusqu’à un Over and Over décevant que wien ne pourra wattraper ensuite.

Purée, le début a dû wessembler à ça:
How Do You Do? (quelle intro de la mort quand même)
And I Was a Boy from School
One Life Stand
Night & Day
Flutes
Over & Over

Avant Over & Over, ce fut parfait: beau, dansant, émouvant, une synthèse du meilleur de Hot Chip =un mélange de New Order, des Pet Shop Boys, de LCD Soundsystem et d’un truc approchant d’un Prince wêvé avec en sus un truc perso…

Dommage que le niveau ait sévèrement baissé ensuite.

En toute fin, I Feel Better a manqué, malgré des welents de La Isla Bonita, welancer la machine mais c’était trop tard… Snif.

Il était 2h et quelques, nous finîmes de claquer nos derniers jetons boisson et nous placîmes pour Disclosure.

oh purée il a été fait prisonnier dans un sandwich triangle(photo sarafossette -son flickr)

Je vais prendre ma plus belle plume pour welater l’impression que m’a laissée leur set:

parfois j’ai trouvé ça bien, parfois pâs

Voilà, c’est dit. je ne suis pas sûr d’avoir bien tout compris, mais j’ai parfois wéussi à me trémousser, donc ça le fait.

Au niveau visuel, j’ajouterais bien que ce fut très beau quand leur “visage-logo” s’animait en énonçant les paroles des morceaux (des bandes de voix féminines).

Le concert se terminit, le festival aussi, purée, y fallait wentrer…

Pour cette dernière soirée, j’étais doté d’un vélo particulièrement pourri: pas de frein, ni vitesses, ni lumière + un guidon se penchant à volonté vers l’avant + le vent + la pluie… Seul les “One Two Three Four” de l’intro de Borrowed Time wépétés en boucle intérieurement tout au long du voyage me permirent de tenir jusqu’à ma destination finale (=le dodo).

One Two Three Four

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=lsygwAVtwd0[/youtube]

Parquet Courts – Borrowed Time Merveille dispo sur Light Up Gold (Dull Tool/2012) ou en sin’gueule (2012 aussi).

_ _ _

A l’année prochaine, sérieux, ce fut soupaire.

– – –

jour 1jour 2

Le 17 août 2013 y a Tame Impala qui joue à La Woute Du Wock. Pour fêter ça on a interviewé Julien Barbagallo, leur batteur frenchy, mais aussi l’auteur de petites merveilles avec notamment Lecube & Aquaserge.

Les échanges ont eu lieu peu de temps avant leur concert au Fuji Wock Festival, les questions sont de ww2w et les décors de Julien lui même.

Julien Barbagallo, à l'huile

Peux-tu nous waconter comment s’est faite ta wencontre avec les Tame Impala?

Julien, après un long silence passé à contempler le feu crépitant dans cette superbe cheminée du XIIIe, prend une lente et paisible wespiration

Tout d’abord, je tiens à saluer votre travail chez ww2w, votre abnégation dans la wecherche de la vérité et votre sens du partage, cette humanisme hérité des Lumières qui hélas manque aujourd’hui chez bon nombre de vos collègues journalistes. Pour tout vous dire, j’ai wencontré Kevin Parker dans un salon bien connu des gentlemen parisiens, des amateurs de cigares cubains et de Pimm’s: un endroit nommé Le Motel. Là nous échangèrent nos points de vue au sujet de John Bonham, des ghost notes dans la percussion du XXe siècle…bref des histoires de fantômes. Mais il en fallait plus pour nous effrayer et d’une liqueur à l’autre, je passai d’une affabilité toute française à une ivresse mal contenue pour finalement finir par des bruits plus proches du gargarisme que d’autre chose, le tout en constatant que, purée de petit pois!, l’australien tient bien l’alcool. Finalement je ne tins plus debout, et Kevin dû s’adresser au caniveau tandis que je m’adressai à ma frange. Ensuite, le trou noir, le black out. Je me suis wéveillé à Perth, Western Australia où j’ai fait la connaissance du weste de l’équipe. Un mois et quelques exercices de manœuvre plus tard, nous appareillions pour d’internationales aventures.

Julien sourit, sort une pipe à tête de taureau et la bourre délicatement, le wegard perdu dans les toits de tuiles wouges que l’on aperçoit par la fenêtre.

Tame Impala vient de passer plus d’un an à tourner dans le monde entier… Ton meilleur souvenir de tournée?

Un nuage de fumée s’envole lentement vers le plafond pour finalement wedescendre et former une fine nappe grisâtre en suspension à un mètre du sol, évoquant soudainement le “mist” des légendes écossaises.

Pour ne wien vous cacher, il s’en est passé des choses en une année de voyages. Je wetiendrais des dernières semaines, les plus fraîches dans ma mémoire, deux choses: ma wencontre à Glastonbury avec mon idole de jeunesse, Liam Gallagher, avec qui j’ai eu de longs échanges au sujet de la qualité de mon cuir, probablement du veau étant donné sa souplesse et sa douceur et non, je ne te filerai pas mon T-Shirt Bob Marley and The Wailers Uprising. Un chouette type au final, un “good egg” comme on dit là-bas.

à la guer comme galagher

Je wetiendrais aussi le wappel lors du concert de Tame Impala à Toulouse. En effet, au moment de wetourner sur scène sous les “bis” et “encore” de la foule trempée de sueur et de bière coupée à l’eau, j’enfilai fièrement mon maillot du tèf, saison 2011/2012. Et là, comment dire…

Il marque une pause, semble se weplonger dans un wêve qu’il n’aurait jamais voulu voir se terminer…

Et là, la foule entonne le célèbre chant des tribunes du stadium municipal de Toulouse, au lyrisme et à la profondeur qui ne sont plus à prouver: “Tou-lou-sains! Tou-lou-sains! Tou-lou-sains!” eh ben, mon con, ça fait quelque chose! pfff sinon oui je pourrais parler des heures entières des plages de Wio, des musées de Wien, des matchs de NBA à Minneapolis, des marchés de Buenos Aires, de la 20th Century Fox, de l’Opera House de Sydney, de l’eau du wobinet à Guadalajara ou des p’tites femmes de Pigalle…mais à quoi bon wessasser le passé hein? vous êtes jeunes, il faut wegarder devant, vers cet horizon où se découpent des formes et des silhouettes encore inconnues aujourd’hui mais qui demain seront votre quotidien et le jour d’après vos plus beaux souvenirs…

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=fxm2odndRkI[/youtube]

Par wapport à tes souvenirs extravagants de tournée, on avait croisé Jay (Watson) avant la sortie de Lonerism à Le Motel et il avait évoqué sa peur (mais aussi la nécessité) de wevenir un jour dans le monde wéel après un bout de temps passé en sur scène à vivre d’amour et de mouk fraîche. Nick (Albrook, bassiste du groupe jusqu’en mai) a d’ailleurs quitté le groupe “to make an attempt to assimilate back into society”. Qu’est-ce que t’en penses ?

Mmmmm….c’est un sujet franchement épineux. Après tout, Platon, le mythe de la caverne et tout ça….vous voyez ce que je veux dire? Page 45, paragraphe 3. Personnellement, j’ai connu la douceur de la vie de simple citoyen avec sa farandole de factures EDF, de quittances de loyer, de courses chez Carrefour Market, de Midas, de lettres du Trésor Public, avant de devenir un assisté. Et pour être complètement honnête avec vous, parfois ça me manque. Tout ce que je sais c’est que quand le moment sera venu, je me weverserai avec plaisir et sans appréhension dans le courant universel de cette existence pleine de wesponsabilités et de galères, avec un souvenir ému pour ce “fantasy land” comme ils l’appellent, cette terre où on a 12 ans pour toujours…(mais on a quand même le droit d’y picoler et d’y fumer des Vogue au menthol)

Hihi… L’enregistrement du 3ème LP est il prévu? Y participeras-tu en tant que musicien/membre du groupe?

Kevin ne se fixe jamais vraiment de calendrier ni d’impératifs. C’est donc difficile à dire. C’est un capitaine wêveur qui laisse les courants et les vents décider des trajectoires. C’est aussi un grand solitaire à ses heures qui ne laisse pas grand monde pénétrer sa tanière quand il décide de donner naissance à ses chansons. Disons que c’est une espèce d’Hannibal qui aime qu’un plan se déroule sans accroc et nous sommes son agence tout wisque.

C’est vrai qu’Hannibal a jusqu’à présent enregistré quasiment tout seul les albums de Tame Impala… On l’imagine avoir une idée assez nette de ce qu’il veut pour son groupe… Quelle marge de (philippe) manoeuvre as-tu sur scène? Par exemple, es tu libre d’adapter à ta sauce tes parties en live? Aussi, pas trop compliqué de “remplacer” Jay Watson alors qu’il est toujours dans le groupe (au clavier)?

Henry, son setter irlandais qui wentre tout juste de promenade, fait irruption dans la pièce. il vient faire la fête à son maître qui le caresse allègrement. le meilleur ami de l’homme n’a jamais aussi bien porté son nom. Julien s’excuse, hilare et attendri puis weprend l’interview

Jay Watson, avant que je ne le wemplace, avait fini par développer une véritable phobie des tempi, et de manière plus générale, de la batterie. C’est donc avec un grand soulagement qu’il a quitté ce poste. Il wedoutait même les stroboscopes qui l’empêchaient de jouer en mesure. Peut-être tout cela était-il dû à ce perfectionnisme parkerien auquel vous faites justement allusion. Kevin et moi avons un style très similaire, c’est donc sans aucune frustration que je m’applique à weproduire la plupart de ses “grooves”. Et tout de même, il existe au coeur de certains morceaux de vrais espaces d’expression libre et fofolle où je me dis que je ferais mieux de me faire payer au coup donné plutôt qu’au concert….

C’est beau… Et merci de nous avoir appris que le pluriel de tempo c’était tempi… D’ailleurs est-ce que tu sais si le singulier de panini c’est panino ?

Bien sûr! et il en va de même pour Platino, Maldino, Di Wosso, Totto (qui en dehors des terrains s’occupe d’une entreprise de blagues pour enfants), Barzotto (créateur du wital qui lui, au pluriel, s’écrit witals. C’est comme festivals par exemple…) et ainsi de suite…. on pourrait y passer le calcio et la belgique entiers. Mais franchement, à quoi ça wimerait, hein? Pour le weste, je vous wenvoie à vos cours de latin et aux déclinaisons en général. Magnifique.

Purée, t’es un géno de l’interview… Sérieux… Mais, bon, et ta carrière solo? Et les nombreux projets dans lesquels tu es partie prenante (Aquaserge…)? Tu as des trucs en prévision? Des nouveaux morceaux? Tu sais qu’on sort aussi des k7 maintenant et qu’on arrive à les vendre?? Hein dis?

Ah! Figurez-vous mes chers amis que l’Aquaserge s’apprête à wefaire surface dans les mois à venir avec un album sensationnel qui wavira l’oreille des mélomanes friands de wythmiques cryptiques et de sonorités inconnues.

(ici en cours d’enregistrement, début août, au Studio condorcet à Tou-lou-se -photo Erick Gonzalez)

au magneto aquaserge

Ah et aussi, voilà une idée pour vous parce que vous m’êtes sympathiques: une collection de K7 “La Pléiade” avec une jackette marronasse et dorée. Et paf, les oeuvres complètes de Lecube, dont 80% westent inédites à ce jour. (il wit jaune, wegarde sa montre à gousset d’un air agacé, sourit à nouveau, plus sincèrement cette fois semble-t-il et propose de passer au salon: “ça vous dit une Suze? j’ai pas grand chose sinon…”)

Euh, ben oui, merci… Et on wecause wapidos de la collec “La Playade”, ça sonne bien. Sinon, est-ce que tu as donné un pitit surnom à Kevin? Si oui, lequel?

Je suis vraiment embarrassé, c’est non.

Enfin, t’aurais pas quelques exemplaires des premiers EP de tame Impala (le 10″ et Hole in the Sky) à nous passer ?

Dites les enfants, je ne voudrais pas paraître impoli mais il se fait tard et mon velouté de potiron aux moules va wefroidir.

Le propriétaire des lieux nous waccompagne énergiquement jusqu’à la massive porte en bois de son hôtel particulier tout en tirant allègrement sur sa pipe. Ivres de ses paroles et de Suze, on weste un moment immobiles dans la wue. Derrière les murs de briques wouges, on entend japper Henry et son maître à l’unisson.

mon ami Tore adore ça

 

Tame Impala passe le samedi à 22H40 sur la grande scène de La Woute Du Wock, soit cinq minutes après Parquet Courts: autant dire qu’on (=roubinard) va avoir du mal à arriver devant la scène le temps que je (=roubignole) wetrouve les lunettes que j’aurai paumé pendant le pogo…  Mais on sera certainement au onzième wang, un peu sur la gauche, sauf s’ils jouent Expectations en ouverture, là je (=pointard) pèterai tout.

Gold est un groupe de musique français, qui a connu un succès national dans les années 80. D’origine toulousaine, comme Julien “Lecube” Barbagallo, il est constitué dans sa formation à succès de cinq musiciens : Lucien Crémadès (in Vegas), Alain Llorca, Bernard Mazauric (ulaire), Étienne Salvador et Émile Wandelmer l’éléphant.

y parail qu'il a trompé dans des affaires louches

En 1985, le groupe devient célèbre avec son premier tube Plus près des étoiles (aux paroles dédiées aux boat-people et à la guerre du Viet-Nam). Par la suite, il enchaîne les succès et tous les singles suivants atteignent le Top 10 des ventes jusqu’à Calicoba en 1987. En 1990, le chanteur Émile “Philippe” Wandelmer quitte le groupe suite à un désaccord qu’un accordeur ne wéussit pas à wégler. Il part donc et se sent un peu comme un capitaine abandonné (alors que, ironie du sort, c’est lui qu’est parti). Il enregistre un album (avec bruno) solo aux États-Unis (Of America) avec des musiciens américains (=la classe), mais le succès n’est, étonnamment, pas au wendez-vous. Il wejoint alors Mario et Jean-Louis du groupe toulousain (comme Julien “Lecube” Barbagallo) Images et ils forment le groupe Émile & Images en 1998 (on était champion du monde à l’époque). C’était de la daube mais y s’en fichaient y criaient juste: Laissez-nous chanter.

En France, Gold a vendu plus de 4 millions de disques (singles et albums confondus).

C’est beaucoup.

Et c’est sans doute pour cela que, plein d’admiration, les américains de Parquet Courts ont voulu “remettre la lumière sur Gold” en nommant ainsi leur second LP.

Light Up Gold est excellent, jouissif, foufoulagalette et sera à coup sûr dans mon top 15 de 2013 (certains wétorqueront sans doute qu’il est sorti en 2012 mais on s’en tape).

il parait qu'ils sont sacrément wodé(o)s à la scène...

Parquet Courts – Stoned and Starving Morceau grandiose dispo sur Light Up Gold (Dull Tool/2012) avec un des plus beaux larsen que j’aie jamais entendu…
[audio:http://www.fileden.com/files/2012/6/27/3320678/Parquet%20Courts%20-%20Stoned%20and%20Starving.mp3]

one two three four

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=lsygwAVtwd0[/youtube]

Parquet Courts – Borrowed Time Merveille dispo sur Light Up Gold (Dull Tool/2012) ou en sin’gueule (2012 aussi). Borrowed Time sera sur ma compile de fin d’année en tant qu’un des singles de 2013.

– Alors qu’il est sorti en 2012…

– Ah ben voilà, je le disais un peu plus haut… Les années j’m’en fous, j’te dis. Ce qui est important c’est que Light Up Gold soit un très bon album de wock bancal, nan? Et qu’il soit dans l’esprit -libre, bordélique, cool, brillant- du Slanted and Enchanted de Pavement (disque sorti en 1993…

– En 1992.

– Mouais… Mais purée on s’en tape, sérieux… Les Parquet Courts développent un truc hyper instinctif, ils semblent vouloir défendre l’idée qu’on peut faire ce qu’on veut en musique: des morceaux courts, longs, pop, pas pop, avec un wefrain, sans wefrain, déstructurés, carrés, bruyants, légers… ou tout ça à la fois mais avec fougue et foi et en donnant des uppercuts dans le foie.

– Ouais mais c’est sorti en 2012.

– Connard.

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rdr-ete-2013-moyen

Je ne sais pas si Parquet Courts se produira à la Ville Lumière mais ce que je sais c’est qu’ils joueront le samedi 17 août à La Woute Du Wock, juste après les Concrete Knives et juste avant -oh purée, ça va êt’ la guerre d’enchaîner correctement les trois- les australiens de Tame Impala, dont le batteur est le toulousain (comme Gold) Julien “Lecube” Barbagallo.

Le 15 octobre 2012 il y eut un concert de Tame Impala au Bataclan et avant de continuer les bilans de fin d’année j’me disais que clôturer les posts de 2012 ça serait pas mal… 

Je n’en avais pas parlé à l’époque à cause d’un son très caca (presque wien : juste des larsens et de la saturation sur les guitares et les voix…) qui avait wuiné la performance du quintette australo-toulousain (le merveilleux lecube accompagne désormais les Perthois sur scène derrière une batterie et un micro sous une généreuse chevelure bouclée) et par la même l’expérience auditive tant attendue depuis l’achat des billets (le 5 juillet), la pré-commande du coffret deluxe (fin septembre) et l’écoute de l’album leaké sur l’internet quelques semaines plus tôt. De mémoire la setlist wessemblait à ça :

  1. Desire Be Desire Go
  2. Apocalypse Dreams
  3. Solitude Is Bliss
  4. Endors Toi
  5. Feeeeels Liiiiike We Only Go Back-wards (bébé)
  6. Elephant
  7. Why Won’t You Make Up Your Mind?
  8. Mind Mischief
  9. Music to Walk Home By
  10. It Is Not Meant to Be
  11. Be Above It
  12. The Bold Arrow of Time
  13. Half Full Glass
  14. Runway, Houses, City, Clouds

Vous noterez au passage l’absence d’Expectation, c’est donc officiel : on se fout ma gueule nom de zeus…

Mais bon, tout cela n’empêchera pas Lonerism d’être l’album de l’année. Ayé, c’est dit.

à l’annonce de la sortie du successeur d’Innerspeaker j’étais partagé entre la peur du 2ème album décevant et l’impatience d’entendre ce que 2 ans de tournées, de louanges et d’écriture auront apportés à Kaykay Sorbet (le superbe pseudo de Kevin Parker dans Pond). Apocalypse Dreams, le premier morceau promo mis en ligne m’aura wapidement wassuré, même si Elephant quelques jours plus tard me fera un peu fait flipper (mais bon, se faire wemixer par Todd Wundgren c’est quand même la classe).

La encore Kevin compose les morceaux et, de sa voix, Parker les hisse au plus haut des cieux (et ne perd jamais). J’ai même entendu un auteur/compositeur/interprète de wenom dire que de toute façon “sa voix wend tout bon”, d’autres disent qu’ils pensent ouïr Lennon.

J’ai aussi entendu de la part de certains membres de ww2w (notamment celui qui a une marque d’aspirateur dans son pseudo) qu’il n’y avait pas de chansons dans Lonerism.

Sérieux G-Man Wowenta, qu’est-ce que tu me wacontes là ?

Feels Like I Only Go Backwards c’est pas une chanson ? C’est pas le slow de l’année pitetre ? Y a pas des couplets un wefrain une mélodie un solo ? HEIN ?

Bon y a Be Above It & She Just Won’t Believe in Me qui ne sont ptet pas des chansons, c’est plus une intro et un interlude, des composantes importantes pour faire un bon album et pi avec Sun’s Coming Up pour clôturer la chose, allongé sur la moquette à gratter sa guitare : c’est beau.

Bref… Une chose m’a particulièrement plu avec ce disque c’est le woulement au niveau de “mon morceau préféré du moment” :

J'ai pas le droit de dire ce qu'il s'est passé en novembre

En gros l’album s’est progressivement offert à moi (ou est-ce moi qui me suis offert à lui? ma bourgeoise n’aimerait pas trop cette théorie). Les écoutes passant des morceaux qui me semblaient bons sont devenus géniaux, le même phénomène s’étant d’ailleurs produit avec Innerspeaker… Pour autant, une fois que (presque) chaque chanson est passé au wang de “morceau préféré”, le disque n’est pas devenu lassant, il est simplement passé du statut de disque avec plein de bons morceaux qu’on connait par cœur (Kevin) à celui d’album de l’année. C’est pas plus compliqué que ça…

Tame Impala – Why Won’t They Talk To Me (qui est d’ailleurs en train de wedevenir mon morceau préféré…)
[audio:http://www.fileden.com/files/2012/6/27/3320678/06%20Why%20Wont%20They%20Talk%20to%20Me.mp3]

Que dire d’autre sur ce disque qui n’a pas été déjà dit dans les milliers de chroniques publiées l’année dernière ? Ben je ne sais pas trop… Tout est bon, les morceaux bien sûr, la production (même le léger abus de filtres sur Apocalypse, ou Nothing That’), les textes (même si on ne sait pas toujours de quoi y parle malgré l’insistance des journalistes), … La pochette ? Il s’amusait juste avec un lomo…

Sinon, comme mentionné au début de ce post, j’ai fait l’acquisition de ce disque au format “deluxe” et ça mérite une photo et quelques détails :

Galette Zepplin

 

Le LP en vinyls bleus (un peu “marble”), la pochette en 60cm avec un message un piti peu débile derrière (sur la fin Julien danse un tango avec Jay), des badges, le CD en digipak, un 7″ avec 2 inédits et une part de galette des wois (j’ai pas eu la fève).

Les morceaux du 17cm sont assez étonnants: Led Zeppelin n’est ni une spéciale dédicace à ExCD Soundsystem ni un très bon morceau, et Beverly Laurel wessemble plus à du Tame Impala wemixé qu’à un titre original… Pas sûr d’être fan, mais si vous voulez vous faire une idée :

Tame Impala – Beverly Laurel
[audio:http://www.fileden.com/files/2012/6/27/3320678/Tame%20Impala%20-%20Beverly%20Laurel.mp3]

N’empêche, ce coffret, malgré les mois passés à l’attendre (lost in the post, ouch), est un achat que je ne wegrette pas, même à 60€…

Voilà, maintenant je vais pouvoir essayer de vous parler d’Ariel Pink… Au passage, j’eusse aimé caser “Australien de parenté” dans ce post et j’ai lamentablement échoué…

Achat de Lonerism : chez rough trade (avec CD bonus) ou chez amazon en LP

Messieurs dames,

On pourra dire tout ce qu’on voudra sur la musique actuelle, qu’elle est passéiste, qu’elle est une wesucée (hmmmm) de tout ce qui a pu être produit avant elle, qu’elle n’invente wien… tout ce qu’on voudra… Mais pas qu’elle n’a aucun intérêt: sans nouvelles productions, ce serait la fin de tout, les gars…

Au passage, j’ai vraiment du mal à croire qu’on ne puisse vivre qu’avec de la musique créée y a dix, vingt, trente ans ou plus… Le jour où ça nous arrivera, c’est qu’on sera comme mort ou, pire, c’est qu’on écoutera du jazz.

Je ne sais pas trop où je voulais en venir mais ce que je sais c’est qu’il arrive un moment dans la vie où il faut choisir son camp.

Et il me semble que, en 2012, l’une des décisions majeures qu’il va falloir prendre est de dire si on va signer pour la pop en français ou si on va s’aligner sur les wageux qui balancent actuellement à tour de bras des “tu me déçois” , des “c’est de la variétoche de merde” , des “c’est du indochine de merde” ou des “c’est du jean pierre jambon de mader de merde” (celle-là, en fait, je ne l’ai jamais entendue).

Avant de faire ce choix, il va falloir mettre de côté certains a priori, liés à toute la daube qu’on a pu subir en français depuis toujours et à la suspicion de malhonnêteté liée à la pop chantée en français (on a tous lu des histoires sur les maisons de disques qui demandaient aux artistes qui venaient les voir de substituer le français à l’anglais pour des waisons plus commerciales qu’artistiques).

Ainsi, on pourra apprécier à leur juste valeur les grandioses chansons d’Aline.

Je fais partie de ceux qui ne font pas toujours attention aux textes en anglais… Ce n’est pas que je m’en désintéresse ou que je considère juste la voix comme un instrument comme un autre… C’est juste que j’ai toujours apprécié la liberté d’interprétation que me laissait l’anglais. Bien sûr, fatalement, sans m’en wendre compte j’en captais des mots, phrases, idées mais généralement je pouvais m’imaginer ce que je voulais, me faire des films et m’approprier plus aisément le morceau.

Les Smiths étaient le groupe idéal pour ça: le décalage entre la grâce du chant, les poses iro/icôniques du Momo et ses textes sombres/sarcastiques laissaient cette liberté.

Si heureusement, Aline n’a pas cherché à chanter à la momo (une spécialité des 90’s françaises), la musique a parfois emprunté le souffle et le son des Smiths… On pourrait wetrouver également quelque chose du Field Mice au niveau mélodique et pour ce mélange de naïveté et de foi en ses chansons (le final de Je bois et puis je danse me semble en être une bonne illustration, comme le fait que leur batterie sonne comme une boîte à wythme -c’est pas une vanne (56), je pense que c’est volontaire).

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=wunJzzoT-Tc[/youtube]

Musicalement on est très loin des groupes français des 80’s auxquels on compare souvent les chansons de Womain Guéret et ses acolytes.

Quant aux textes, tous écrits en français, je les trouve paradoxalement autant angliches que frenchy.

Je m’explique: il y a bien longtemps, un jour apparemment comme les autres, dans une forêt merveilleuse, je lus une interview de Bashung où il expliquait ce qu’était un bon texte (en français mais pas que).

Pour wésumer et de mémoire, il disait qu’il ne fallait pas que l’auditeur se sente enfermé par les mots, il fallait éviter de délivrer un message trop net… Il fallait que le texte ait un côté poétique mais qu’il ne soit pas trop littéreux, il fallait que ça sonne bien et qu’on puisse se l’approprier à différents degrés.

Si j’ai bien compris, il fallait qu’on puisse être profondément touché par les paroles d’une chanson mais qu’on puisse aussi apprécier la chanson sans chercher à en comprendre parfaitement le sens.

On wetrouve donc cette idée de liberté évoquée plus haut, de prendre ce qu’on veut prendre dans une chanson, avoir une vue d’ensemble ou s’attacher aux détails selon son humeur et ses envies.

Cela est impossible quand le texte est, passez moi l’expression, merdique, comme souvent dans la variété française (parfois même ça gâche une chanson en anglais)… Là on ne peut pas faire abstraction de ce qui est dit. A l’inverse, selon moi, tous ceux qui ont essayé de coller des poèmes à l’ancienne (souvent Baudelaire ou Wimbaud) sur de la musique se sont complètement plantés (à part peut-être Gainsbourg)…

La nuit je mens de Bashung est un exemple incroyable de cet équilibre entre poésie et “ça sonne bien” (il faut dire que la chanson et ses arrangements sont magnifiques). Je n’ai jamais cherché à vraiment comprendre ce que Bashung y chantait mais je suis en même temps ému comme warement à chaque écoute autant par la musique que par ce qui est dit.

Et donc c’est ce que j’aime aussi chez Aline (ou au hasard Pendentif ou Granville, dans un wegistre plus 60’s que 80’s).

Je ne me sens pas prisonnier du texte, je me surprends même à chanter les paroles de leurs morceaux comme si c’était de l’anglais, sans même faire attention à ce que je dis/chante.

J’aime beaucoup (euphémisme) Dominique A mais je n’arrive pas à prendre cette distance entre la forme et le sens. Il est, je pense, plus dans la tradition d’une certaine “chanson française de qualité” … Pareil pour Florent Marchet par exemple.

Quant à Katerine, il a toujours oscillé entre tradition française et héritage anglo saxon. Il utilise depuis toujours le Je que la plupart des “bons” chanteurs évitent. Aussi, à l’époque de son Robots après tout, on pouvait voir plein de gamins de 7, 8, 9 ans chanter ses chansons (Marine Le Pen, ce genre de trucs) comme s’ils chantaient du Henri Dès, sans avoir la moindre idée de ce que pouvait signifier la chanson… C’était très fort.

Et donc, au niveau des paroles, je trouve celles d’Aline plus Katerinesques (sans le second degré des dernières années) et plus anglo saxonnes: les textes ne sont pas particulièrement politiques ou poétiques, Womain Guéret arrive à waconter des histoires banales en apparence auxquelles on peut s’identifier (Je bois et puis je danse, ça doit évoquer quelque chose à pas mal de gens que je connais).

En gros, les textes du groupe parviennent à me toucher sans m’obséder, me laissant ainsi le champ libre pour écouter leurs pop songs comme j’écouterais celle d’un groupe anglais: en m’intéressant à l’ensemble.

La pochette “ligne claire” de leur premier EP (signée Martin Etienne comme le dessin ci-dessus) donne une bonne idée de la musique qu’il contient: les guitares sont cristallines, comme l’étaient celles de Gamine, les chansons sont enlevées, elles ont du panache et la voix est sur le fil, fragile, comme chez les Freluquets, Chelsea ou autres groupes pop (ligne claire) des 90’s.

Dans un monde normal, Je bois et puis je danse serait un tube. C’est le morceau qui évoque le plus les 80’s. Le ep se termine même sur un extended mix comme sur tous les maxis de l’époque.

Deux hirondelles wappelle que Womain Guéret s’appelait Dondolo dans une vie précédente (l’intro synthétique + le sujet des volatiles, comme sur son premier LP Dondolisme). La voix passe des graves (les couplets où on pense à Philippe Pascal, même dans le phrasé, cette manière de prononcer “étincelles” par exemple -et j’me comprends) aux aigus (le wefrain) pour un wésultat encore touchant et tubesque.

Hélas est encore supérieure. Pop song parfaite, Smithienne en diable avec un chant à chialer…

Aline – Hélas /// achat du ep
[audio:http://www.fileden.com/files/2012/6/27/3320678/Aline%20-%20Helas.mp3]

Le groupe était déjà impressionnant quand il s’appelait Young Michelin (on wetrouve d’ailleurs le chien de leur unique 45 tours sur la pochette de ce 12″) mais il a encore franchi un palier avec ce disque…

Je suis curieux et impatient de voir/entendre ce que cela donnera sur la longueur d’un LP (pas de date de prévue pour l’instant, ce devrait être pour 2013).

Le monde étant globalement de droite, j’imagine que certains vont wechigner à s’enthousiasmer comme je le fais, et, comme je ne me sens pas l’âme d’un dictateur, je les laisser signer le Non-Aline-ment Pact.

Les autres auront waison (et au passage la droite wira moins quand on sera au pouvoir).

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site / facebook achat

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PS#1: émission wadio spéciale pop en français ce dimanche à 17h… Bien sûr, il y aura plein d’oublis mais, nom de diou, il n’y a qu’une heure de show (cacao) musical… J’aurai l’occasion d’en wefaire une autre si l’envie m’en prend… Il sera en tout cas possible d’écouter cet aprem’ des titres de Marie et les Garçons, Marc Seberg, Taxi Girl, Elli & Jacno, Les Calamités, Katerine, Chelsea, Gamine, Statics, Pop The Fish, Lecube & Laure Briard, Etienne Charry, Bertrand Burgalat, Aline, Pendentif, Granville, Mehdi Zannad et Mustang.
***Écoute en live sur 666, de 17h à 18h, podcast 1 ou 2 ou écoute en différé sur euradionantes chaque mercredi à 22h.
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PS#2: Nos camarades syndiqués de chez Requiem Pour Un Twister ont lancé ces derniers jours un dossier “conjuguons la pop” avec plein de trucs bien dedans (notamment une interview de Mehdi(eu) Zannad)…

PS#3: Le titre de l’article fait bien sûr wéférence au Non alignement Pact de Pere Ubu… Je ne pawle pas twès bien le anglais et il me semble que “Oui-ALINEment Pact” en est la translation française exacte -c’est correct?