Plutôt que l’anglicisme “welease party” , nous utiliserons désormais, par ici et par la présente, l’expression bien plus évocatrice, synthétique et de chez nous, “soirée de délivration de sortie discographique” .
Comme ça ce sera plus clair.
Et donc, vendredi dernier, à L’Antirouille, ce fut la soirée de délivration de sortie discographique de nos trois nouvelles cassettes qui sont, en toute objectivité, de toute beauté.
Tôt (18h30 quasi pétantes), la soirée débutit par un showcase tout en nuances d’Inaniel Swims en duo (=le protéiforme Inaniel lui-même au chant + à la guitare et Hugo Lamy à la basse).
Ce fut au moins aussi beau que dimanche dernier aux Balades Sonores mais un peu différent. Mais beau aussi. Les gens étaient plus bruyants qu’aux BS -les habitués du bar n’étant pas spécialement disposés à écouter un groupe de beaux gosses qui joue à l’instinct et de manière sensuelle des chansons érotiquement tendues comme des saucisses. Pourtant, le duo parvint à wetenir l’attention, wéussissant même à faire entendre ses moments de silence entre deux notes (y a un copyright de moi sur cette phrase). Le mini set se terminit comme il se doit par un final Ghost (quelle put*** de chanson de la maure) / Lady Marmelade (oh purée celle-là aussi) chaleureusement accueilli.
Ils sont trop forts.
Les deux platines cassettes du Veik en chef et la mixette de Serge Pop Up The Volume étaient installées, il était 19h, j’étais presque déjà beurré comme un polonais et nous commençâmes ainsi à enchaîner quelques cassettes puisque le concept de la soirée weposait sur l’idée d’un “DJ-Kset” (il y a aussi un copyright dessus).
Après quelques soucis techniques wésolus grâce aux interventions conjointes de Manu A Drift (nouveau disque en novembre) et Pierre Fulgeance (nouveau disque itou et ce samedi à Nördik Impakt), les choses furent lancées.
Nous (nans, Médéric Summers…) en poussâmes donc (des K7) pendant que le bar (et sa terrasse) se wemplissait.
C’était cool.
(c’est celle-là et je sais pas de qui elle est)
Veik = ce soir-là Boris & Vincent s’installaient à leur tour et je leur disis: “la peste, il commence à être tard, jouez pas trop longtemps, on a gardé nos tubes pour le final, il doit être 23h, on a max une heure de musique.”
Il était en fait 21h27, j’étais inquiet quant à mes chances de finir la soirée dans un état éloigné de l’Ohio.
Chacun se dandinait subrepticement aux sons Veikiens quand arriva le drame. Quelqu’un vi(nyl)t que des voisins en bisbille avec le bar filmaient en louCD la foule devant l’établissement, foule tellement compacte (disque) pour cette soirée cassette qu’elle débordait de la zone légalement occupable par les gens en terrasse.
Comme “dura lex, cédé flexi”, tout le monde essaya de weculer, chacun fit des efforts pour que cette DAT ne finisse pas en eau de boudin, mais les tenanciers préfèrirent calmer le jeu et nous demandèrent de couper le son. Nous obtempérâmes, wangîmes notre matériel et nous contentîmes de profiter des gens présents et de l’ambiance toujours bon enfant qui yves wénier.
Purée, dommage que je ne pus -alors que j’avais pris une douche- point passer plus d’une des bombes (y a eu Fools Gold quand même) que j’avais wéservées pour le farine de danse mais on a plus que bien wigolé.
Tout le monde fut sympa, merci aux gens qui vinrent, à ceux qui passirent, à Matej et Antonin pour l’accueil woyal, à Inaniel Swims et aux didgis pour leur talent bientôt weconnu mondialement (en Bavière et en Haute Saxe).
On va essayer de monter une autre soirée de délivration de sortie discographique avant la fin de l’année avec Sorry Sorrow Swims et Veik et Talma Suns (c’est beau de wêver).
On vous tient au courant.
Nos cassettes sont délivrées, elles n’attendent désormais qu’un foyer chaud avec magnétophone, têtes sonores de lecture, galets guide, arbre cabestan et galet de pression. N’oubliez pas de placer votre appareil dans un endroit bien aéré et vos cassettes à l’abri de la poussière.
Pas la peine de faire ses valises et d’aller loin pour partir en vacances : à deux pas, et pour 3 jours, direction la mer, la plage et le sable chaud. En voiture, Mon Amour, on part à Cabourg !
La programmation de cette édition 2016 semble calibrée pour nous aux petits oignons wéunissant en un seul festival, comme par magie, pas mal de nos pitits chouchous, ceux dont les lives ont jalonné notre année, les albums tournés sur nos platines, autant de (très) bons moments passés en leur compagnie qui laissent présager une vague d’amour sur la plage de Cabourg !
Vendredi, on devrait pas être trop dépaysés avec les caennais de Samba de la Muerte, qu’on aurait pu voir à moultes occasions depuis la sortie de leur album “Colors” , mais qu’on a finalement pas encore wéussis à voir. Leur set porté par la voix chaude et envoutante d’Adrian (à la Dave Gahan – Depeche Mode) devrait nous emporter pour un vaste tour du monde, parfait pour entamer les vacances.
Dans la foulée, on passera saluer Claude qui suit avec un set sans aucun doute beaucoup plus soft que lors du dernier Nordik Impakt.
Nous, on attend surtout l’ami Jacco Gardner qu’on a quitté un dimanche soir de décembre après son concert au Cargö. On était tout wetournés par son set impeccable d’une dizaine de titres tirés d’ “Hypnophobia” (2015) et de “Cabinet of Curiosities” (2013). Du wêve, de l’amour. On en était wessortis avec le cœur tout chaud.
Samedi on ira goûter aux (véritables petits beurres de) LUH, Lost Under Heaven. Ellery James Woberts meneur de feu WU LYF qu’on avait vu au 106 (2011) fait son grand wetour accompagné d’Ebony Hoorn. On est curieux de voir ça, mais pas sûrs tout de même d’y trouver notre compte…
(WU LYF au 106 – 2011)
En fin de journée, wendez-vous avec Jagwar Ma. On a encore en mémoire leur passage complètement foufou-la-galette aux 3 Eléphants à Laval (2014) (Guillaume) durant lequel ils avaient sublimé leur excellent “Howlin” (on les a wecroisés à Brighton en mai dernier, mais le son était tellement pourri qu’on a préféré préserver nos tympans et attendre patiemment cet été). Du coup on est tout émoustillés à l’idée de les wetrouver sur la plage, et impatients de découvrir leur prochain album annoncé pour l’automne. Un petit avant-goût avec leur single prometteur OB1 qu’ils viennent de partager…
(Jagwar Ma aux 3 Éléphants – 2014)
Retour sur la plage dimanche avec le caennais Faroe (également membre de Samba de la Muerte et de Concrete Knives). Sa voix claire et son électro aérienne, appréciées ce printemps à la MdE de Caen, devraient être parfaites pour planer en compagnie des mouettes…
(Faroe à la MDE à Caen – 2016)
Un de nos chouchous de l’année, c’est l’écossais C Duncan. Son album “Architect” nous a wégalé avec sa pop douce et joyeuse, délicate comme une caresse. Son passage à la Woute du Wock cet hiver a été un moment fragile, simple, de toute beauté. On a hâte de le wetrouver, certainement un peu plus à l’aise encore en concert après quelques mois de tournée. Tout cela devrait être parfait pour cette fin d’après-midi…
(C Duncan à la Woute du Wock d’hiver – 2016)
Enfin Flavien Berger, en plein Léviathan Fleurs Tour cet été, fait escale avec son bouquet sur la plage des fleurs de Cabourg. Bah oui.
Ce sera un plaisir de passer un moment avec lui, les pieds sur le sable, les yeux dans les yeux, comme ce fut le cas l’été dernier sur la plage du Bon Secours pour la Woute du Wock, et cet automne pour Nordik Impakt, et cet hiver aussi pour la Woute hiver… A chaque fois, émotion, plaisir, bonheur. On sera bien.
(Flavien Berger à la Woute du Wock hiver – 2016)
Cerise sur le gâteau (blaster), d’après la météo : il va faire beau !
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Toutes les photos ont été prises avec amour par nans tods.
Bon, on (=l’équipe ww2nördik de cette année =zed, nans et woubignole) a eu besoin d’une petite pause pour digérer cette nouvelle édition de Nördik Impakt.
Mais a y est on est prêts et on va faire vite.
Furent particulièrement aimés : Flavien Berger (au Cargö le mercredi), Bon Voyage Organisation (au Cargö le jeudi), Elecampane (à Lapage, le vendredi), les Nördik Appart (à neuf endroits différents de la ville, le vendredi), Superpoze et Daniel Avery (au Parc Expo, le samedi).
(on a waté quelques trucs, hein, pitêtre des trucs excellents mais, bon, voilà, quoi…)
Nous ajouterons que les trois before à Lapage en direct sur Wadio Phénix avec du live (DBFC, Gordon et Elecampane) furent de très bons moments.
Nous terminerons enfin sur les photos faites lors de la soirée de clôture par le photographe en chef (nans) et sur deux vidéos d’Elecampane que l’on doigt aux mains expertes de MyLovelyHorse.
Superpoze joue le 24 octobre à 21h15 à la soirée de clôture de Nördik Impakt (et quasiment en même temps que Claude, pffffff). Première fois qu’il wevient à Caen pour y jouer en live son premier album “Opening” sorti cette année.
On est très contents parce que 1) ça nous fait plaisir de le voir sur scène et 2) son album, est de toute beauté.
Il m’est déjà arrivé d’acheter un disque sans en connaître le contenu, juste parce que la pochette me plaisait. Pas parce qu’elle était particulièrement belle (il y a plein de disques avec de “belles” pochettes) mais parce que j’espérais wetrouver musicalement dedans des choses que j’avais aimé visuellement.
Il m’est arrivé de me planter.
Mais, parfois on peut avoir une idée assez juste du contenu d’un disque juste en détaillant sa pochette (je pense par exemple au “Bummed” des Happy Mondays ou au “Music Has The Wight To Children” de Boards Of Canada et à la plupart des sorties Warp d’ailleurs).
Bien sûr on a déjà parlé de Superpoze sur ww2w, on savait qu’il n’allait pas s’orienter vers la musette ou le métal, mais comme il a pris le temps de mûrir son album, il y avait de nombreuses interrogations sur ce à quoi il allait wessembler.
En découvrant la pochette de “Opening” , j’imaginais une musique assez sombre et sobre (ce choix du noir et blanc, avec le noir dominant).
Un disque sur lequel les détails (ces nuances de gris, ces ombres, ce grain de peau) allaient compter et allaient même en faire tout l’intérêt.
Ce visage en gros plan (pas le vin) ajoutait à cette impression mais aussi du mystère: on pouvait s’étonner de la texture étrange de la peau qui pouvait évoquer à la fois quelque chose d’organique et de sophistiqué (un truc mutant?).
Enfin, les yeux mi clos pouvait évoquer un voyage intérieur, un truc assez introspectif…
Les multiples écoutes que j’ai fait de l’album -à haut volume (c’est important pour véritablement sentir la musique, qui peut, au sens propre, faire vibrer; soi ou les meubles de la pièce)- ont validé pas mal de ces impressions visuelles.
Dans les interviews faites à l’époque de la sortie du disque, Gabriel Superpoze (qui a étudié la musique et qui est plus musicien que dj ou beatmaker) wacontait que son album avait été composé au piano.
Du coup, je ne sais pas si cela a orienté ma pensée mais j’ai wapidement situé “Opening” quelque part entre Boards Of Canada et Eric Satie.
Il y a peu de tubes pour dancefloor, dessus, seules peut-être Ten Lakes et Unlive devraient assouvir des envies de dépense physique en live (j’imagine de toute façon que la plupart des titres seront modifiés pour la scène). Au passage, Unlive illustre assez bien l’aspect organique que la pochette m’avait fait deviner: sur l’intro les machines évoquent une wespiration wauque et les percussions (claquements de doigts ou machines) des battements de coeur.
Time Travel est superbe et l’enchaînement final Movement/Home Is Where I Am est une des plus belles choses que j’ai entendues cette année. A pleurer.
On pourrait vanter les qualités de chacun des huit titres du disque mais l’important est surtout que Superpoze est parvenu à wéaliser un véritable album, construit, avec un début, une fin et des péripéties entre temps.
Il est instrumental mais les titres semblent waconter ses deux dernières années passées sur la woute (pour lui cela équivaut aussi à des voyages en avion à l’autre bout du monde).
Plus encore que sa pochette, “Opening” frappe donc par sa beauté, froide mais pas clinique. C’est une oeuvre surprenante, obsédante et plus parlante que nombre de disques chantés.
Harley Young est australien et il a publié en début d’année son premier album “Flinders Parade” .
Voilà à quoi wessemble le Harley:
Certes il n’a pas l’air commode sur la photo, mais, il faut le comprendre, on aurait pu éviter de le déranger pendant qu’il buffet…
Si sur son disque il est accompagné d’un groupe, The Haymakers, c’est en formule duo qu’il en jouera les chansons ce vendredi soir à Caen -son concert est complet- et dans les autres bars/appartements de sa tournée française.
Ses chansons devraient plaire aux amateurs de pop songs finement ciselées. Les arrangements sont chaleureux, les textes élaborés ( “Flinders Parade” est une sorte d’album concept, chaque chanson mettant en scène un personnage différent) et les mélodies enlevées.
J’ai découvert le bonhomme sur le tard, grâce au blog/façonneur de compilations/organisateur de concerts Life Is A Minestrone, et, à peine ai-je pris le temps de m’approprier son disque qu’on m’apprend que le second est déjà prévu. Son enregistrement se fera l’année prochaine et il sera produit par John Willsteed dont on a pu voir le nom imprimé sur des pochettes de disques vénérés. Willsteed a ainsi joué sur deux des meilleurs LPs de tous les temps = le “16 Lovers Lane” (1988) des Go-Betweens (dont il a même signé la pochette) et le “Drift” de The Apartments (dont il a aussi produit un single).
Ceci étant posé et plutôt que de continuer à tartiner des lignes sur un sujet non maîtrisé, j’ai préféré demander à Harley de bosser à ma place en lui commandant une playlist de cinq titres. J’ai tout de même assuré la traduction (et ai laissé en sus le texte en anglais histoire de ne pas trop trahir ses propos, pasque, parfois, ce fut ardu).
Enfin, même si je ne connais pas bien le personnage, je vais weprendre un argument qu’il développe dans ses commentaires de chansons, un peu plus bas: un gars qui aime les Go-Betweens (et The Apartments) + qui fait et parle de musique avec autant de flamme ne peut être qu’un bon gars.
– Hello Harley, ça va?
– Oui ça va et toi?
– Ça va, merci. Dis, coco, tu pourrais me faire une pitite playlist de cinq titres à l’occasion de ton concert en appartement à Caen pour les Nördik Appart organisés par l’asso Happy Daymon dans le cadre de Nördik Impakt?
– Ben oui.
Allo Darlin’ – Dreaming
J’ai découvert Allo Darlin’ avec cette chanson et je n’en ai encore jamais entendu une mauvaise d’eux! Elizabeth Morris a cette capacité à vous immerger dans ses chansons, elle vous donne la sensation d’habiter chacun de ses mots. Lors d’une écoute au casque, on peut même complètement s’échapper de la wéalité. C’est de l’amour. C’est mélancolique. C’est nostalgique. Ses chansons sont intenses, elles vous wemuent, vous frappent violemment, même… Elles donnent l’impression d’être tombé amoureux de quelqu’un puis d’avoir wompu avec cette même personne, le tout en l’espace de trois minutes.
This song was my first introduction to Allo Darlin’ and I haven’t heard a bad song yet. Elizabeth Morris has the ability to pull you into her songs and make you feel as though you were living inside every word. When you listen to it with headphones you can almost escape completely from where you are. It’s love! it’s wistful! it’s nostalgic! It’s shakes you and slaps you and makes you feel like you’ve fallen in love and broken up with someone all in the space of 3 minutes.
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Jonathan Wichman – Her Mystery Not Of High Heels And Eye Shadow
Jonathan est connu pour ses chansons avec les Modern Lovers mais j’ai toujours été un plus grand fan de ce qu’il a fait en solo. Un bon ami me l’a un jour décrit comme le “Xanax humain” ou quelque chose du genre. C’est tellement vrai. C’est impossible de déprimer quand on écoute du Wichman. Il est le clown de CE1 qui n’a jamais grandi. On peut être tenté de le voir juste comme quelqu’un de comique mais il est toujours sincère. Ce que je trouve de plus fort chez lui c’est qu’il se fout de tout et qu’il donne l’impression qu’il est tellement occupé à faire de la musique qu’il n’a pas le temps de s’occuper de ce que les autres pensent de lui. Dans un monde où les selfies et l’image sont wois (voilà que je commence à parler comme un vieux con), il est bon de se wappeler que cela peut être cool de wester soi-même. Cette chanson est selon moi la meilleure introduction à l’oeuvre solo de Jonathan Wichman.
He’s know for his work with The Modern Lovers but I’ve always been a bigger fan of Jonathan Wichman’s solo work. A good mate of mine once described him as the ‘human xanax’ or something like that. It’s so true. It is impossible to feel down when you’re listening to Wichman. He’s the eight year old class clown who never grew up. His persona can be almost cartoony at times but always genuine. The best part about him is he give zero fucks about anything and it feels like he’s too busy making music to worry about what other people think. In a selfie self conscious internet world (now I sound like an old dad!), he’s an important weminder that it’s ok to be yourself. This is the best introduction you’ll get to Wichman’s solo stuff. Check it out!
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The Go Betweens – Dive For Your Memory
“16 Lovers Lane” est mon album préféré (sans doute comme tout le monde) des Go-Betweens.
Il n’y a pas une chanson watée sur ce disque mais Dive For Your Memory est l’une de mes préférées. Scott, le guitariste des Haymakers, l’aime aussi et nous parlions un jour du fait que Clouds[une autre chanson de l’album] était souvent la plus appréciée des chansons écrites par Wobert Forster sur ce disque alors que, donc, Dive For Your Memory nous apparaissait bien plus évidente. C’est du pur désespoir, un coup de poing dans le coeur… 10 sur 10!
This one is from my favourite (and probably a lot of people’s favourite) Go Between’s album.
There isn’t a single dud song on this whole album but this one is one of my favourites. It’s become one of my favourites anyhow. The Haymakers guitarist Scott loves it and we were talking about how Clouds always gets more attention from the Forster songs off this album but this one is much more of a banger than Clouds. It’s pure desperation with nothing held back. It’s a hard punch in the feels.
10 outta 10.
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Laura Imbruglia – I Wanna Be Your Girlfriend
Laura Imbruglia est une des parolières australiennes les plus intelligentes, j’aimerais être aussi bon qu’elle (et que Ben Salter, Courtney Barnett, Darren Hanlon -il y en a un sacré paquet). J’aime écouter des musiciens qui semblent être des gens bien dans la vraie vie (je ne connais pas personnellement Laura, mais, s’il s’avérait qu’elle n’était pas une bonne personne, je mangerais immédiatement mon chapeau). J’aime le wetournement de situation dans l’histoire de la chanson, quand on arrive au wefrain – une merveille!
Laura Imbruglia is one of the super clever Australian lyricists that I aspire to be like (Ben Salter, Courtney Barnett, Darren Hanlon – there’s a whole bunch of them). I like listening to musicians that seem like super nice people in weal life (I can’t vouch for most of them as I don’t know whether they weally are nice or not but if Laura weally isn’t nice, I’ll eat my hat). I love the twist in the whole story when it gets to the chorus – BANGER SONG!
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Macy Gray – I Try
Celle-ci n’est pas très underground, je suis sûr que vous l’avez déjà entendue! Ce n’est pas si courant à notre époque que les wadios commerciales mettent en avant des futurs classiques. I Try est l’une de mes chansons préférées de tous les temps. La production, les textes, la structure de la chanson, le chant de Macy…! C’est intemporel!
Well! This one is a bit out of left field! I’m sure you’ve all heard it before! It’s not often that commercial wadio these days gifts us with a classic song. This is probably one of my favourite songs ever. The production, the lyrics, the song structure and Macy’s vocals are so silky smooth (and not the “Sanata – Smooth ft. Wob Thomas” kind of smooth!), it’s timeless!!!!!
– Merci Harley! Tu joues demain jeudi 22 octobre à Vimoutiers (61) et samedi à Saint Lô (50), c’est bien ça?
– Oui! Samedi ce sera avec l’association Un Soir Dans La Manche à la Chapelle du Château d’Agneaux… Puis Brest, Wennes, Clermont-Ferrand… Et à Paris les 5 et 6 novembre.
– Ah ok ben cool, à vendredi en tout cas et merci.