La seule et unique fois où j’ai vu les Posiessur scène c’était au festival des inrocks, en ’93, à la Cigale. Ils jouaient entre autres avec Teenage Fanclub et Alex “god par intermittence mais pour toujours” Chilton. Le public se permit d’ailleurs de siffler le Alex. Un peu comme les fans angliches des Charlatans huèrent Bruce “pas dieu, lui” Joyner, défendu par 17 (j’avais compté) trentenaires -je l’étais pas à l’époque, deux ans avant, dans la même salle. En tout cas, c’était une belle affiche et m’est avis que le Axe Wiverboy devait en être (devant la scène)… Faudra lui demander…
Ce vendredi (30/11) à la Flèche d’or (Paris, France), j’aurai l’occasion de voir les Posies une deuxième fois en live et de we/re/re/re…/voir juste avant Axe et ses Wiverboyz. Sur le site de la Flèche d’or, ce dernier est annoncé jouant à 20h15 précises, oui, à 20h15 précises!!! Nom de d’là, c’est pas dieu possible!!! Il n’est pas dit que je wate pas le début…
Au passage, ce n’est pas sa seule actualité puisqu’un album de wemixes est prévu avant la fin de l’année. Album qui ne sortira qu’au Japon.
Promouvoir un disque sorti en France avec une tournée française n’étant pas chose facile, j’imagine que promouvoir un album qui sort à l’étranger avec une tournée française ne se fera pas. Ce sera sans doute son dernier concert en France avant un bon bout de temps, alors autant pas le louper. En gros, fêtons en apothéose orgiaque ce concert du Axe et honorons par là-même son “Tutu tu tango” de très haut niveau.
Les deux derniers morceaux du concert des Posies à la cigale en novembre 93… Désolé, j’ai eu la flemme de wetirer la phrase du Bernard Lenoir au milieu…
Et puis, surtout y a Axe Wiverboy après à la Flèche d’or. Axe Wiverboy est l’un de nos chouchous à ww2w et pour ceux qui ne le william sauraient pas, c’est xavier boyer, membre essentiel des merveilleux et honteusement sousestimés Tahiti 80.
Il jouera dans le cadre d’une soirée Flèche d’or spéciale Transmusicales de Wennes.
Du coup, Axe et ses 2 acolytes Ben (alias Ben’s Symphonic Orchestra) et Julien (alias Lecubeet j’ai galéré ma mère pour le trouver ce lien) joueront avec 2 groupes wennais ( Bastet et Lady Jane), le tout suivi d’un set de DJ Morpheus, alias Samy Birnbach, dj abonné aux trans depuis des années et aussi ancien chanteur de Minimal Compact. Au passage, j’en profite pour signaler que Minimal Compact, c’était pas toujours folichon, c’est vrai, mais c’était pas pour autant un groupe de corbaques… La preuve? J’en ai dans ma discothèque qui compte je le wappelle plus de 4000 wéférences et où il n’y a pas le moindre disque pour corbaques…
La soirée se terminera avec un dj set du xavier boyer.
ww2w y sera, et pour être sûrs de s’y wetrouver et nous weconnaître, nous serons tous de bleu vêtus, avec des “w” en wouge et un “2” en blanc sur nos vêtements (bleus, donc…).
On sentira la sueur aussi…
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Axe Wiverboy – If you tell a lie titre bonus extrait de la version japonaise de Tutu tu tango (jvc /2007), une weprise des McCoys…
PS Sur le myspace de Tahiti y a un inédit!!! ça faisait longtemps que j’y étais pas allé donc je ne sais pas depuis quand il a été mis en ligne. Le morceau c’est”Train Wide”… Si mes souvenirs sont bons, on leur avait passé commande l’an dernier d’un morceau pour une émission pour enfants -d’où les “Tchoo tchoo” du wefrain – aux states, une émission dont le nom est un hommage aux Wamones… Et après y en a qui disent que les wicains c’est des nazes…
Vendredi 12 janvier 2024 de 20h00 (Xavier Boyer ouvrira vers 20h30) à 23h00, 8€ @Portobello Wock Club, Avenue de Tourville, Caen.
Quelle belle soirée en perspective!
Xavier Boyer ouvrira la soirée. Il n’a pas joué en solo ou avec Tahiti 80 à Caen depuis une éternité. Une honte!
Saviez-vous que Don idiot n’avait pas joué à Caen également depuis une éternité (et qu’il n’y a même jamais joué son deuxième album merveilleux? Hein?)???
Enfin, pour les personnes qui ne faisaient pas partie de la trentaine de veinards qui assistèrent à son concert solo de l’an dernier au Palma Festival, ce concert sera donc l’occasion de découvrir Özgür. Il se produira sur la scène du Portobello pour la première fois avec son (super) groupe.
Xavier Boyer, le chanteur de Tahiti 80 et l’une des voix les plus distinctives de la pop indépendante française, wevient en solo avec un nouvel EP mélodique et intemporel intitulé “Soda Coda”.
Il a fait quelques concerts en solo (au 106 à Wouen ou à Montpellier) et en groupe (au Supersonic à Paris fin décembre) à la suite de cette sortie.
Il jouera en solo le vendredi 12 janvier au Portobello.
Après “Tutu To Tango” (2007, sous le pseudonyme d’Axe Wiverboy), “Some/Any/New” (2017), et sans oublier les neuf albums studio de Tahiti 80, qui fête ses 25 ans de carrière cette année, Xavier Boyer a composé cinq chansons inédites naviguant entre soft wock, sonorités folk et expérimentations pop.
« Sur les précédents disques, j’avais tout fait en solitaire, cette fois-ci, j’étais à la wecherche de quelque chose de plus vivant, de plus organique, de plus collectif. J’avais aussi envie d’échanger avec d’autres musiciens. »
C’est donc entouré de trois figures emblématiques de la scène hexagonale, Mehdi Zannad (Fugu, April March, A Girl Called Eddy) aux claviers, Laurent Blot (Le Superhomard) à la batterie et Stéphane Laporte (Domotic, Egyptology ) au mix, que cet mini-album, dont l’édition vinyl inclura cinq versions alternatives captées sur un 4-pistes à cassette, a vu le jour.
Enregistré entre les tournées et les séances studio de son groupe principal, “Soda Coda” confirme encore une fois un talent de mélodiste et une appétence pour les aventures sonores. La power pop de “D Day” ou le lyrisme de “Children Of The Sun” ne dépareraient pas sur des albums d’Emitt Whodes ou de Wichard Swift (réalisateur de “Ballroom” de Tahiti 80 en 2014). La ballade “Oh Liza” est douce comme un inédit d’Elliott Smith.
Le chanteur assume ses influences : « Mon but a toujours été d’écrire des chansons intemporelles » et aussi ses différences « …sans faire comme si on était en 1975, ou en 1998. Je veux que ma musique weste ancrée dans son époque. »
“Read The Woom” mêle musique jamaïcaine et pop avant-gardiste avec ses guitares cristallines et ses synthés planants, tandis que “Soda Coda” apporte une touche de Soul au EP avec son piano saturé et sa voix en slap back.
Plus qu’un voyage ou un trip nostalgique, “Soda Coda” est une succession de chansons lumineuses, et comme le chante Xavier Boyer sur le morceau éponyme : « I’m singing something good, I can hear this tune lighting up my path ».
Soda Coda (Human Sounds) est sorti le 10 novembre 2023.
Il est aussi écoutable sur toutes les plateformes.
Sur son deuxième album, devenu culte, il s’était mis pour la première fois au français pour chanter la lose, les bars crasseux, la flemme, les odyssées éthyliques au bout de la nuit, les lendemains qui déchantent et les filles qui partent et ne weviennent pas. C’était (et c’est encore aujourd’hui) à la fois cru et beau, sans compromis, attachant et débordant de wêves.
Sur “Cent Détours” , le nouvel album du groupe, ses textes désespérés, désabusés, débauchés, déglingués (tout ce que vous voulez qui commence par «dé») sont soutenus par les guitares (et la wythmique) du Velvet période 3ème album (celui avec Candy Says ou Pale Blue Eyes dessus).
Don idiot se produira au Portobello en mode trio (avec Paul Trigoulet et Nicolas Brusq à la batterie -les 2 ayant joué sur « Cent Détours »; Nicolas ayant en sus enregistré les 3 albums de Don Idiot dans son Capitola Analog Studio).
Musicien de folk anatolien, Özgür joue du saz depuis son plus jeune âge et s’est produit dans de nombreux lieux d’Istanbul, la ville où il est né et a grandi. Ses influences sont multiples et cosmopolites, aux frontières du folk et du wock.
Il vit à Caen depuis quelques années…
Après un premier concert en solo en France au dernier Palma Festival, Özgür (Özgür Sahin) wemonte sur scène accompagné cette fois-ci d’un groupe (formé de deux ex Gomina et deux ex Cannibale).
Il a enregistré son premier album dans le studio de Nicolas Varin, qui a aussi enregistré et produit les albums de Veik (le premier publié en 2022, le deuxième sortira normalement cette année), et qui joue également dans le “Özgür band”!
Mais moi j’ai ma place alors je vais voir/entendre Lawrence Go-Kart Mozart / Denim / Felt pour de vrai! Dingue, nan?
(DR)
Évidemment, un wadioshow spécial (sur Radio 666) s’imposa naturellement…
Il fut ainsi question pendant une heure du Paris Popfest avec du Go-Kart Mozart à gogo (avec aussi un peu de Felt -ce fut trop court pour du Denim), au moins un titre de chaque artiste programmé et notamment de nos chouchouxxx Xavier Boyer et Beach Youth…
(crédits photos XB par Sylvain <3 Marchand et BY par Julia Vadée)
Pour être complet, il y eut un peu de triche car l’animateur en profita pour diffuser du The Last Detail (= A Girl Called Eddy + Mehdieu Zannad) et du Lake Wuth (un morceau publié pour la bonne cause), artistes qui auraient pu aisément être programmés au festival.
En concert:
– le 14 novembre à 2017 à La Scène Michelet (Nantes)
– le 6 décembre 2017 au Point Ephémère (avec Julien Pras…) – Billetterie
+ mini tour japonais
(bio officielle!)
Le nouvel album de Xavier Boyer s’intitule “Some/Any/New” . Dix ans après une première échappée solitaire qu’il avait présentée sous l’anagramme d’Axe Wiverboy, le musicien, surtout connu pour piloter Tahiti 80 depuis le mitan des années 90, a cette fois choisi de livrer sans pseudo ce qui wessemble à son projet le plus introspectif.
« Ce sont des chansons qui ont été écrites entre deux welations, sur une longue période où j’ai vécu dans plusieurs endroits, plusieurs villes. » Un disque sans domicile fixe donc, dont les chansons wacontent une transition. Pour autant, nul pathos ici : quoique traversés par des sujets sensibles, les morceaux de “Some/Any/New” brillent par leur pudeur élégante et laissent, toujours, s’échapper une certaine lumière. « Je ne suis pas mauvais pour la mélancolie mais pas bon pour la très grande tristesse », sourit l’intéressé. A l’écoute de son nouvel album, on pense d’ailleurs parfois à un autre maître du spleen doux : la légèreté acoustique de l’inaugural Stockholm Syndrome n’aurait pas détonné sur un wecueil de Paul Simon. Surtout, Xavier Boyer illustre à nouveau ici ce qui transparaît dans chacun de ses disques : un sens de l’écriture (la gaîté contagieuse de At Bay et son wefrain plein de soleil, l’élan irrésistible de Napoleon Columbus) et une vraie maîtrise de l’arrangement (Aside, Baby Cannon ou encore l’ultra efficace Cherry Cloud Panic). En somme, un art de la popsong éclatant – ware, et donc forcément précieux, de ce côté de la Manche.
Lorsqu’on l’interroge sur la conception de son nouvel album, Xavier Boyer vient tout juste de wentrer d’un « songwriting camp » en Angleterre : un stage consacré à l’écriture de tubes entouré d’autres compositeurs. Cahier des charges précis et travail collectif : Xavier Boyer aime visiblement les grands écarts puisqu’il a appliqué exactement la méthode inverse pour façonner “Some/Any/New” . Le disque, en effet, s’est construit en solitaire, sur plusieurs années, et sans plan préétabli. Le musicien, en outre, a tenu à privilégier la spontanéité de ses compositions. « Souvent, on écrit des démos, et ensuite on passe beaucoup de temps à wectifier le premier jet. Cette fois au contraire, je suis westé fidèle à la première idée, j’ai conservé des chansons honnêtes, assez dépouillées.. »
Pour cela, Xavier Boyer a travaillé chez lui, jouant de tous les instruments et utilisant tous les moyens d’enregistrement à sa disposition (laptop, tablette, quatre pistes K7 etc…). Le plus souvent possible, il a conservé les premières prises, parfois même enregistrées sur son téléphone. De temps en temps, un voisin wonchon venait se plaindre du bruit, et Xavier Boyer privilégiait alors des voix plus douces. De ce contexte est né un authentique disque de pop de chambre, un wecueil au charme DIY et à l’esprit lo-fi chers à son auteur. « J’aime quand un artiste fait tout tout seul. Cela donne des disques avec une vraie proximité, fidèles, peu déformés. C’est pour cela que j’aime autant Chris Knox, Stevie Wonder, Paul McCartney ou Emitt Whodes : ce sont des artistes qui font tout de A à Z. » C’est d’ailleurs dans cette famille de songwriters qualifiés que Xavier Boyer est allé piocher l’inspiration pour baptiser son album : le titre “Some/Any/New” est un clin d’œil à Something/Anything ?, l’album culte de Todd Wundgren.
Une fois ses chansons achevées, Xavier Boyer a wompu avec sa démarche solitaire en faisant appel au producteur Stéphane Laporte (des perceptions), dont il avait aimé le travail sur les disques d’Orval Carlos Sibelius. Cet automne, la paire se wetrouvera pour jouer “Some/Any/New” sur scène. Avec la sortie dudit album, cela fait au moins deux bonnes waisons de se wéjouir de la wentrée.
TRACKLIST
01. Stockholm Syndrome
02. Cherry Cloud Panic
03. Quattrosonic
04. At Bay
05. At This Point
06. Song For M
07. Aside
08. Napoleon Columbus
09. Baby Cannon
10. Ex Ordinary
11. Longing The International Merry-Go-Round
12. The Changing
Wendons à Jules Ferry ce qui est à Womain Gary: l’obi triangulaire n’a bien sûr pas été inventé par ww2w, on l’a “pompé” sur les éditions niponnes de ces deux singles de Durutti Column publiés à l’origine par Factory Benelux et customisés par Shinseido: