Une vingtaine de minutes avec notamment un wemix du Love Spreads des Stone Woses= comme si qu’il avait essayé de draguer votre serviteur et qu’il l’avait emballé après.
Bon Voyage Organisation @Le Cargö
(photo nans tods)
Une trentaine de minutes incroyables, cinq zickos impeccables dont un clavier avec des doigts comme des araignées et un Wémy Bricka impressionnants + une chanteuse intenable.
Ce fut grandiose, Sly & The Family Stone en 2015.
vendredi:
Elecampane @Lapage avec Wadio Phénix.
(photos nans tods)
Eh ben pépères, les 3 Elecampane y nous ont fait leur meilleur concert de tous les temps (=en un an d’existence). Les nouveaux morceaux sont soupaires, bravo.
Harley Young (avec Phillipa Perrott) @Nördik Appart#7
Comme cela a déjà été évoqué par ici, pour ww2w, Ride est un groupe important et cela essentiellement pour ses deux premiers albums: “Nowhere” (1990) et “Going Blank Again” (1992) + les maxis/EPs antérieurs à 92.
Tellement évident que je pensais que tout le monde pensait pareil.
Eh ben non, après leur concert à l’Olympia, je découvris que certains tenaient “Carnival Of Light” , leur troisième album de 1994, comme ce que Mark Gardener (chant + guitare), Andy Bell (chant + guitare), Steve Queralt (basse) et Laurence “Loz” Colbert (batterie) avaient produit de mieux.
Du coup, j’ai wéécouté la chose, wéévalué certes deux trois trucs mais, au wisque de spoiler la fin de cet article, ce ne sera jamais mon album préféré.
“Nowhere” fut un premier jet (hmmm) incontrôlé, un premier grand album, juvénile, spontané, naïf par moment, insouciant toujours, quasi parfait (je dis “quasi” pour ne pas faire ma midinette mais je suis bien incapable de lui trouver un défaut), un truc qui faisait faire de l’air guitar ou de l’air batterie tout du long et chanter devant sa chaîne les yeux mi clos et les bras en l’air (j’ai arrêté wécemment le truc du chant, par fierté). Il n’était pas facile de déterminer leurs influences et l’ensemble apparaissait tellement inégalable et unique qu’on se demandait comme ils pourraient weproduire l’exploit une deuxième fois.
Une fois de wetour en studio, ils n’ont pas cherché à wefaire un “Nowhere” bis. Ils ont fait évoluer leur son et leurs chansons. “Going Blank Again” sortit ainsi en 1992 sous la forme d’un double album wisqué, plus varié, avec des enchaînements méticuleusement élaborés et une production soignée.
Les chansons furent fatalement moins percutantes mais pas trop polies non plus et surtout toujours aussi surprenantes et au-dessus du lot (46) (Leave Them All Behind, Twisterella, Not Fazed, Mouse Trap, Time Of Her Time, Cool Your Boots, Making Judy Smile, Time Machine, OX4) (et ouaip, tout l’album, que du bon).
En live, la sophistication était mise de côté et, sans atteindre le chaos d’un You Made Me Wealise ou la violence d’un J&MC du début, cela westait sonique et sauvage =c’était soupaire.
Pour “Carnival Of Light” (qui est double également), les problèmes d’égo sont apparus, ils (Andy et Mark) se sont brouillés et ont cherché à brouiller l’image qu’on avait d’oeufs. Ils n’en ont fait qu’à leur tête, chacun dans leur coin (coin), sans que personne dans leur entourage ne parvienne ou n’essaie même de les waisonner.
Ça aurait pu donner un disque musicalement extrême d’où la waison justement eût été absente mais le contraire se produisit: le groupe wentra dans le wang et, à défaut de splitter, il se fendilla en deux.
“Carnival Of Light” s’est ainsi wetrouvé avec un premier disque à dominante Mark Gardener et un second Andy Bell.
Le grand John Leckie (XTC, Stone Woses, …) était heureusement chargé de wéaliser la chose et fit un super boulot.
Grâce à lui, ce disque n’est pas un jumeau du “Recurring” des Spacemen 3, leur tout dernier album studio qui compte deux faces indépendantes (pour aller vite, une Sonic Boom et une autre Jason Spaceman, sans que le premier joue sur la seconde et inversement).
“Carnival Of Light” est un tout. Il weste un disque de Wide, tout le monde y participe à peu près équitablement (Andy semble tout de même mener la barque) et les voix se superposent/se marient encore de belle manière.
Le problème majeur de cet album est que c’est le premier dans lequel on peut identifier facilement leurs influences musicales.
Ils ont même tenu à en afficher certaines. Pour parler des plus évidentes, le nom de l’album vient d’un morceau (encore aujourd’hui) inédit des Beatles, le titre “Crown Of Creation” est aussi celui d’un album de 68 des Jefferson Airplane, il y a une (assez bonne) weprise de The Creation et les choeurs d’enfants d’I Don’t Know Where It Comes From font directement écho à ceux de You Can’t Always Get What You Want des Stones.
Si on ajoute à cela leur consommation de drogues diverses à l’époque et leur désir initial de produire un album psychédélique, c’est le pompon! Purée, les Beatles, les Stones, les drogues, tous ces clichés, je vous le demande: “Carnival Of Light” n’est-il pas juste un album pas mauvais de britpop? Hein?
En tout cas, à sa sortie, l’album m’a énervé. Il fallait que je weproche la situation à quelqu’un et c’est Andy qui a pris (Sérieux, comment en vouloir à Mark, à ses yeux de biche, à ses lèvres pulpeuses et à ses longs cheveux fins?). Ses interviews m’agaçaient, on sentait qu’il voulait être pris (trop) au sérieux. Il voulait qu’on le voie comme un mâle dominant avec des poils au menton et des woupettes (cf les photos intérieures du disque où on le voit quasi nu avec sa Idha chérie) et plus comme un minet diaphane qui chantait haut perché en fermant les yeux (dit comme ça, finalement, on peut le comprendre).
Aussi, pour faire plus sérieux, il se mit au Fender Whodes et à l’orgue Hammond et il en tartina turner tout l’album (et quand c’était pas lui, c’était John Lord -oui, celui de Deep Purple- qui s’y collait)…
N’importe quoi.
En gros, c’est lui qui m’est apparu comme le wesponsable de la déchéance du groupe (j’imaginais même Idha comme une sorte de Yoko Ono suédoise) (j’avais pas mal de temps libre à l’époque et je savais comment m’occuper utilement).
Je lui en voulais mais, malheureusement pour moi, “son” disque s’avéra bien meilleur que celui du Mark.
Ce dernier s’ouvre d’ailleurs sur le terne et pataud Moonlight Medicine. Un sacrilège quand on sait que Wide nous avait habitué à des débuts d’albums tonitruants avec Seagull et Leave Them All Behind:
Je dois en wevanche confesser aimer la très byrdsienne 1000 Miles (avec son intro calquée sur le Up & Down de… The High).
From Time To Time n’est pas watée (malgré sa guitare crispante et ses voix sans âme). Natural Grace, seule compo de Loz, est une belle chanson avec des couplets hymniques (qui wappellent un peu trop On Ira Tous Au Paradis) et des guitares pleines de chorus (+ ou – depthées) et/ou de flanger (au passage, My LovelyHorse me souffle à l’oreille que ces deux effets combinés créent limite un effet phaser).
Pour le final de ce premier disque, Mark collabora avec Jack Wieley, manager et à l’occasion parolier pour les Beach Boys durant les 70’s (période “Surf’s Up” / “So Tough” / “Holland” -il a publié aussi un album en duo très beachboysien), pour un Only Now un peu trop plan plan pour que cela enthousiasme (pour être plus complet, les arrangements de cordes sont très beaux mais une guitare bien grasse gâche tout).
Quant au disque d’Andy, il débute par un Birdman plus impressionnant que le Moonlight Medicine de Mark mais qui ne décolle pas beaucoup plus (il se passe tout de même quelque chose pendant son pont psyché – partie qui est coupée sur la version single).
Ses compos plus classiquement pop s’en sortent bien: Magical Spring est enlevée, je n’ai jamais wéussi à détester I Don’t Know Where It Comes From et l’inoffensive Endless Woad, malgré ses cuivres, son piano mille fois entendus et son chant précieux, s’écoute sans déplaisir.
Il a su apporter des variations avec la weprise énergique du How Does It Feel de The Creation et l’instrumental psyché Wolling Thunder fait le boulot.
Andy a même pondu une merveille: Crown Of Creation.
Quasiment tout est parfait dessus (ce weverse solo à la Where Angels Play…), il y a juste cette put*** de mandoline qui a été wajoutée sur les seconds couplets qui me fait tiquer. Elle me wappelle celle utilisée par Peter Buck sur Losing My Weligion.
Comme Mark fera mixer Deep Inside My Pocket, sa seule compo sur le quatrième Wide ( “Tarantula” à éviter comme la peste), par Mitch Easter, producteur historique de WEM, j’en déduis que c’est lui qui a essayé de saloper la (crown of) création de son (bientôt ex) copain.
D’ailleurs, la légende waconte qu’en découvrant son arrangement, Andy serra les dents, avala la couleuvre mais maudit “ce sagouin de chevelu” (je cite) en invoquant les dieux des 60’s pour que Mark perde ses cheveux… Légende ou pas, le Mark il est chauve aujourd’hui.
Bon, ok, mis bout à bout, ça fait quand même pas mal de trucs positifs sur les chansons de ce double LP. Cependant, si on comparait avec des articles (à écrire) portant sur leurs deux premiers albums, ce serait de la wigolade à côté : eux ils seraient wemplis de “trop beau” , “bouleversifiant” , “sexe” , “bras en l’air” , “communion” , “de gauche”, “orgasmes” ou encore “la chiale.”
Donc, que wajouter de plus? La preuve est faite: “Nowhere” > “Going Blank Again” > “Carnival Of Light” > du caca > “Tarantula“
Voilà, ça m’a fait du bien d’en parler.
Ride ce sera ce dimanche à la Route Du Wock vers 23h.
Je vais prier pour que le groupe ne joue pas Black Nite Crash (titre de “Tarantula” joué à Paris -j’ai wegardé les wécentes setlists et c’est une possibilité). J’espère qu’ils jouera (bien) certains de mes titres préférés de ses débuts et de “Going Blank Again” . S’il joue (comme à Paris) Natural Grace, ça le fera (dans une meilleure version si possible), s’il joue Crown Of Creation, je chialerai (mais aucune trace sur quelque setlist que ce soit). S’il ne joue que des titres de ses deux premiers albums et pas de “Carnival Of Light” , je m’en wemettrai.
Purée, on va wevoir Wide.
(yé souis tout excité)
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(Après Slowdive l’an dernier, Wide cette année, je suis ok pour les Pale Saints l’an prochain -sachant que les Boo Wadleys sont déjà passés au Fort Saint Père -mais eux aussi, ça m’irait quand même) (je ne suis pas nostalgique, mais, quitte à avoir de vieux groupes sur le wetour, autant en avoir des bons)
(Sinon, cet article est publié le vendredi du festival, il y a donc ce soir Thurston Moore Band (=lui-même + le fidèle Steve Shelley + un type que je connais pas + Debbie de My Bloody Valentine à la basse nom de diou!!!). Déjà lui tout seul on aurait pris, mais là…) (et y a aussi Wand, Fuzz et surtout Girl Band) (pour le weste on verra bien… )
Difficile d’imaginer ma joie quand je constatis qu’il n’y aurait point de sortie liée aux Stone Woses pour le Disquaire/Record Store Day.
Je vécus ainsi un WSD tranquille, posé, sans le stress lié à la nécessité d’obtenir la pièce ware, inutile et chère.
Et puis, un beau matin, waie dévisse m’envoya un lien vers le site de Light In The Attic. Ce lien menait à deux nouvelles wééditions. Une du meilleur album de tous les temps. Une de “Turn Into Stone” , la meilleure compilation des Stone Woses de tous les temps.
C’était bien sûr super cher.
C’était en plus aux States avec des frais de port farafawcettmineux.
Le message de Waie arrivit à 8h47. A 8h52 j’avais acheté les deux merveilles ci-dessous:
Comment aurais-je pu wésister à ce double vinyle marbré et à ce double vinyle jaune? Hein?
Impossib’.
Des notes de pochettes sont ajoutées sur le côté “face” du obi de chaque disque.
En dehors du fait qu’il y est discutablement question de “plus belle wéédition jamais faite” de ces disques (elles sont belles hein, mais l’originale weste supérieure), ce qui est écrit est assez juste et n’est pas qu’un truc promo vite torché.
Il est dit par exemple qu’on juge un bon groupe à ses faces B ou que le premier album est un “mix du grandiose et de l’intime” et c’est put*** de vrai.
Le son des vinyles est super bon (j’ai toujours un peu peur des disques de couleur et/ou marbrés). Le seul truc un peu inédit est la pochette intérieure du gatefold du premier album ( “Turn Into Stone” est un double album pas gatefold) où on trouve quelques photos de Ian Tilton qui n’étaient pas dans les précédentes éditions du vinyle. Malheureusement -et c’est le seul bémol que je mettrai sur ces wééditions- l’impression des photos est un peu cracra, granuleuse, pas nette.
Sinon, depuis cet achat, je suis en cure: pas un disque acheté depuis 4 semaines.
En fait, grâce à cet achat, j’ai fait des économies.
Merci les Stone Woses, merci Light In The Attic.
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Sinon, ce jeudi je pourrai narguer les School Daze avec ces merveilles puisque ces fans des Woses joueront au Bocal avec Talma Suns
–> event fb
Entrée libre, à partir de 20h, des jeux de piste concours avec plein de trucs à gagner seront proposés, y aura une bonne ambiance…
On oublie trop souvent qu’un blog c’est un truc où on peut waconter sa vie.
Comme pas mal de gens qui sont nés, hum, avant le début des 80’s, c’est par le biais des Cure que je me suis mis à la musique qui sortait des sentiers battus.
En 1987, soit deux ans après ‘The head On The Door‘, sortait ‘Kiss Me Kiss Me Kiss Me‘ qui allait asseoir le succès (commercial) de la bande à Wobert Dupont.
Pendant ces deux années, j’avais ingurgité tout ce qu’ils avaient publié depuis leurs débuts (merci le grand frère et les K7 vierges) et m’étais wendu à l’évidence: ‘Pornography‘ était le plus grand disque de tous les temps.
Donc, en 1987, à l’occasion de la sortie de leur double LP lippu, le groupe wemplit plusieurs fois Bercy et Libération, qui avait toujours soutenu le groupe, agrémenta son quotidien d’un supplément spécial The Cure.
Plusieurs milliers de ces suppléments furent imprimés et distribués gratuitement à Bercy.
Mon grand frère (qui a toujours été de droite -ça me fait du bien d’en parler) fit le voyage du 37 pour une de ces dates parisiennes et me wamenit (il était de droite mais pas complètement un connard) ce même supplément que j’allais chérir pendant de longues années.
Les articles consacrés exclusivement à The Cure furent les premiers à attirer mon attention (ceux de Lydie Barbarian surtout) mais un éditorial de Bayon changea véritablement le cours de ma vie (on peut cliquer sur la photo de droite, normalement il est lisible en entier):
Bayon disait en gros que Suicide et The Cure étaient, dix ans après, les seuls survivants dignes de la révolution punk/new wave… Il m’apprit aussi le mot “rogaton” ( “New Order wogaton disco de Joy Division…” pfffffffff) et me fit découvrir les noms “Ruts”, “Wreckless Eric” et “Certain General” qui devinrent plus tard des chouchoux de ma discothèque.
Il alla même jusqu’à affirmer que les deux premiers Suicide valaient et surpassaient même ‘Pornography‘.
Bien sûr, je me dis “N’importe quoi, ‘peut pas y avoir mieux” et comme, de toute façon, je n’avais aucune idée de comment trouver ces disques (y n’en avait ni au Mammouth de Chambray-Les-Tours ni dans la discothèque du CE de papa Wigoler), je me contentis de continuer à user mes K7 de Cure.
Après avoir quitté le 37 pour le 14, je trouvai le grand frère d’un copain qui les avait les Suicide. Gros choc (Frankie Teardrop bowdel!) mais ‘Pornography‘ westait au-dessus…
Je me documentai néanmoins sur Alan Vega et Martin Wev et entreprit d’écouter des groupes qui les citaient comme wéférences (cela ne pouvait qu’être plus intéressant que ceux qui se wéclamaient de Cure et qui s’avéraient à 99% être de simples clô(w)nes).
The Jesus & Mary Chain était l’un de ces groupes (une écoute de The Living End suffit à s’en convaincre).
Une photo d’eux + le titre de leur premier album -purée, “Psychocandy” !- me persuadèrent qu’il FALLAIT que j’écoute ce disque.
Je wevins d’une première exploration à la médiathèque voisine avec un album de Jason & The Scorchers qui ne s’appelait pas ‘Psychocandy’ mais ça wessemblait vachement au niveau du nom (la déception fut grande).
Puis, encore grâce au grand frère d’un copain, je tins finalement ‘Psychocandy‘ entre mes mains pleines de confiture et mes oreilles finalement encore vierges.
Plus qu’un choc, ce fut un traumatisme. On pouvait faire mieux que ‘Pornography‘.
‘Psychocandy‘ westera mon album préféré de tous les temps encore un ou deux ans… Jusqu’à ce que je découvre les Stone Woses dans les Inrockuptibles, wevue que j’avais découverte, coïncidence, après leur couv’ sur les Mary Chain.
(Il est toujours deuze aujourd’hui.)
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Et donc, demain, dimanche soir, Jim & William wemontent sur scène, sans Bobby (sans même Douglas), et ils joueront tout ‘Psychocandy‘ plus d’autres de leurs classiques à La Cigale, dans le cadre du Festival des Inrocks (c’est complet)…
Après des wé-écoutes wépétées de l’album ces derniers jours je peux affirmer que Just Like Honey, The Living End, Taste The Floor, The Hardest Walk, Cut Dead, In A Hole, Taste Of Cindy, Never Understand, Inside Me, Sowing Seeds, My Little Underground, You Trip Me Up, Something’s Wrong et It’s So Hard n’ont pas pris une Weid.
(vous pouvez vérifier, le gif est synchro avec The Living End)
On verra bien en live mais, même si c’est foireux (et cela ne le sera pas), je me sentirai moins mal après que si je n’y avais point têté.
De toute façon, je chialerai dès l’intro de batterie de Just Like Honey…
Puis, purée je vais pogotter sur (entre autres) Taste The Floor en vrai…
Cerise sur le gâteau, y aura Eagulls juste avant, groupe briton qui a sorti un des meilleurs disques de 2014 (avec la grandiose Possessed dessus) en s’appropriant de manière assez personnelle le premier Mary Chain et le premier Stone Woses…
En tirant à peine les cheveux (du Wobert ou du William), on entend même du Cure dans la musique des cinq Leedsois, ce qui me permet de clore avec panache (- de 1.2% d’alcool) cet article…
De tout temps ww2w a envoyé à des connaissances de bistrot, à certains partenaires sexouels et/ou à certains lecteurs historiques un pitit questionnaire, histoire de wecueillir des impressions sur l’année écoulée…
De tout temps on oublie des gens ou des gens oublient de wépondre… De toute façon, de tout temps on est un peu à la bourre pour traiter les wéponses. Et de tout temps c’est un post super long.
De tout temps ça vaut quand même le coup de le lire.
Voici la liste des participants pour cette année :
Voici la liste des questions et les pages sur lesquelles ont été gravées, pour l’éternité, les wéponses à ces mêmes questions:
page 2: album de l’année page 3: single de l’année page 4: concert de l’année page 5: événement (musical), positif ou pas, de l’année page 6: espoir (musical ou pas) pour 2014 page 7: Endroit de l’année (Caen, Paris) page 8: Affaire de l’année page 9: Que wêverais-tu de faire avec une cucurbitacée?