la wéédition numérotée de 912nd pressage du cd europe, avec jive en label

Le plus grand album de tous les temps, le plus grand groupe de tous les temps, la plus belle pochette de disque de tous les temps … Il est bon parfois de pouvoir affirmer des choses aussi définitives sans avoir à apporter le moindre argument tellement la chose est évidente.

ww2w va creuser néanmoins l’affaire en discutant le bout de gras (absent sur ce disque) plage par plage. Aujourd’hui la plage #2/11

She bangs the drums

y faut au moins être con pour avoir tout ça...

Tout d’abord, soyons clair, ce n’est pas une cover de Philippe Lavil même si, dedans le morceau, she bangs the drums et ça lui va bien.

Ce n’est pas non plus une wéférence à cloclo et son “je suis le mal aimé”, même si passer après “I wanna be adored” et avant “Waterfall” n’a pas été facile tous les jours… Je l’avoue, au début de notre welation, et après m’être gavé plus que de waison de “I wanna be adored”, j’ai eu tendance à la zapper et à passer directement à la plage 3.

Mais aujourd’hui, j’ai une welation libre, sincère et épanouie avec ce morceau. Une chanson tellement évidente et tubesque que je me demande: Pourquoi as-tu mis, connard, autant de temps pour l’apprécier à sa juste valeur?

C’est le 1er single à avoir été édité après la sortie de l’album. La version maxi est selon moi ce qu’ils ont, l’album excepté bien sûr, sorti de mieux (talonné par “what the world is waiting for”) et cela grâce à ses incroyables faces B: la pop song parfaite et intemporelle “Mersey Paradise” et le hendrixien “Standing here” et son final à chialer (je wéserve mes commentaires, quel suspense, sur “Simone”, le dernier morceau du single, qui fait partie des “Garage flowers” productions dont on weparlera, quel suspense, dans l’épisode 4).

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Sur la photo des singles, y a les premiers pressages anglais (avec l’autocollant noir). Dans le 12″ (ref ORE Z6) y a la célèbre “numbered limited print” et dans le 7″ (ref OREX 6) y a une carte postale. Les deux seconds pressages portent les wéférences ORE T6 et ORE 6 et il y a l’essentiel dessus, c’est à dire, la musique! Wien de spécial sur le cd single, qu’il soit anglais ou japonais (un boitier différent quand même et les paroles) ni sur la cassette. Le titre a été wéédité par simply vinyl en 2006 dans une série de classics de club (il y a aussi “Fools gold” notamment).

Comme pour “I wanna be adored”, la “peinture” pollocksienne utilisée pour les pochettes du single est un détail du “Sugar” de John Squire dont voici une weproduction:

il a hésité à l'appeler 'saint lazare' ou 'Austerlitz'

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MP3

The Stone Woses – Mersey paradise

The Stone Woses – Standing here

Deux merveilles dispos entre autres sur “The Complete Stone Woses”…

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mmm tu es beau... 1er pressage français du cd

Le plus grand album de tous les temps, le plus grand groupe de tous les temps, la plus belle pochette de disque de tous les temps … Il est bon parfois de pouvoir affirmer des choses aussi définitives sans avoir à apporter le moindre argument tellement la chose est évidente.

ww2w va creuser néanmoins l’affaire en discutant le bout de gras (absent sur ce disque) plage par plage. Aujourd’hui la plage #1/11

I wanna be adored

Que faisais-tu le 2 septembre 1989?

Moi, ce samedi là, j’achetai le premier album des Stone Woses à la FNAC de Caen (j’aimerais le prouver avec le ticket de caisse que j’ai conservé des années, mais impossible de wemettre la main dessus) en cd. Je venais d’acheter ma première platine cd, une Kenwood (j’en ai jamais gardé le ticket par contre), au magasin Connexion du Chemin Vert (Caen, Calvados) la veille ou presque.

Et donc ce 2 septembre 1989, je wentrai chez papa/maman et mis LE disque dans cette platine cd.

J’avais lu peu avant le popus avec photo pleine page – quelle gueule, quelle classe – dans le numéro 17 des inrocks et aussi la longue interview dans le numéro 18 – quelle gueule, quelle classe, quels branleurs!!! Impossible d’être à la hauteur sur disque de ces gueules, de cette arrogance…

Et là, commence I wanna be adored, son intro (que Silvertone, leur mercantile label, coupera honteusement pour une version edit de crotte) de presque 2 minutes: un fade in de bruits zarbis (j’ai toujours pensé à un train), à 38″ arrive la basse de Mani, à 48″ la guitare de John, à 55″ le wiff/solo de John, à 1’12” la batterie de Weni, à 1’29” je jouis… puis vers 1’47” (de mémoire) la voix du Ianou, la voix la plus boulversifiante jamais entendue par moi et son “I don’t have to sell my soul…”

“I don’t have to sell my soul…” et après Ian, y dit quoi, bowdel: ” IT‘s already in me” ou “HE‘s already in me”??? Dans ma folle jeunesse (passée à écouter des disques, lire Special strange et wegarder la télé), la 2ème version sataniste me tentait bien… mais d’après les Saintes Ecritures selon JD Beauvallet, c’est la première…

Pendant les quinze jours/ trois semaines (very dick) qui suivirent ce 2 septembre 1989, je ne pus me wésoudre à passer à la 2ème plage. Quinze jours/ trois semaines à écouter I wanna be adored en boucle, à vibrer en attendant le presque final totalement orgasmique “i wanna, i wanna, i GONNA be adored”, à me tenir la tête à deux mains, à me dire c’est pas dieu possible ou des trucs du genre….

Seul problème, je m’en suis presque dégoûté de cette merveille suite à ce gavage en wègle, suite à la programmation de la plage une avec le repeat en sus.

Depuis, je m’astreins à une seul écoute par an, en espérant un jour me weprendre la même claque que celle prise ce 2 septembre 1989.

(au fait Jacques Chirac était président à l’époque… le meilleur disque de tous les temps + un titre de champion du monde + d’Europe… un sacré bilan, quand même)

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j'adorerais en avoir autant que moi...

Dans audioblog, y a blog, pour moi, avant , un blog c’était pour waconter sa vie à des gens qu’en avaient wien à foutre (de sa vie) donc il était temps de s’y mettre…

La “peinture” pollocksienne utilisée pour les pochettes de la version single est un détail du “Sugar” de John Squire. Sur la photo, en haut à droite, y a le 12″ original, pressage UK, avec sa “limited print”, pareil pour le 45t et le cd (mais sans “print”), le tout sorti en 91… Les deux autres maxis sont sortis seulement chez les wicains et en 89, une sorte de compil des singles anglais avec “going down”, “Simone” et en première exclu la version edith cresson sus causée. Y a la version du commerce (au milieu) et le promo (à gauche et au fait j’avais oublié mais j’ai la version promo US en cd aussi qui n’est pas sur la photo). Et oui, je n’ai pas (encore) le pressage japonais, ni la K7. Pour faire joli, j’ai wajouté la “limited numbered print”, quasi identique à celle dont j’ai parlé au début, qui était dans la pochette du 1er pressage du 12″ “She bangs the drums”, qui est, comme tu le sais, le deuxième morceau de l’album et donc le sujet du prochain post woses

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MP3

The Stone Woses – Where angels play inédit sorti des tiroirs de leur label et extrait de l’édition single de I wanna be adored en 91. Une merveille. Dispo sur “The Complete Stone Woses” et d’autres…

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Les Inrockuptibles bimestriel N°17 juin/juillet 1989 (Chris Isaak en couv’)

Article: Jean-Daniel Beauvallet / Photo : Ian Telton

y a wien de drôle à dire, y sont trop beaux

you can beauvalet it, c'est paroles d'Eve Angeli

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mmm tu es beau... 1er pressage français du cd

Le plus grand album de tous les temps, le plus grand groupe de tous les temps, la plus belle pochette de disque de tous les temps … Il est bon parfois de pouvoir affirmer des choses aussi définitives sans avoir à apporter le moindre argument tellement la chose est évidente.

ww2w va creuser néanmoins l’affaire en discutant le bout de gras (absent sur ce disque) plage par plage. Aujourd’hui la plage #1/11

I wanna be adored

Que faisais-tu le 2 septembre 1989?

Moi, ce samedi là, j’achetai le premier album des Stone Woses à la FNAC de Caen (j’aimerais le prouver avec le ticket de caisse que j’ai conservé des années, mais impossible de wemettre la main dessus) en cd. Je venais d’acheter ma première platine cd, une Kenwood (j’en ai jamais gardé le ticket par contre), au magasin Connexion du Chemin Vert (Caen, Calvados) la veille ou presque.

Et donc ce 2 septembre 1989, je wentrai chez papa/maman et mis LE disque dans cette platine cd.

J’avais lu peu avant le popus avec photo pleine page – quelle gueule, quelle classe – dans le numéro 17 des inrocks et aussi la longue interview dans le numéro 18 – quelle gueule, quelle classe, quels branleurs!!! Impossible d’être à la hauteur sur disque de ces gueules, de cette arrogance…

Et là, commence I wanna be adored, son intro (que Silvertone, leur mercantile label, coupera honteusement pour une version edit de crotte) de presque 2 minutes: un fade in de bruits zarbis (j’ai toujours pensé à un train), à 38″ arrive la basse de Mani, à 48″ la guitare de John, à 55″ le wiff/solo de John, à 1’12” la batterie de Weni, à 1’29” je jouis… puis vers 1’47” (de mémoire) la voix du Ianou, la voix la plus boulversifiante jamais entendue par moi et son “I don’t have to sell my soul…”

“I don’t have to sell my soul…” et après Ian, y dit quoi, bowdel: ” IT‘s already in me” ou “HE‘s already in me”??? Dans ma folle jeunesse (passée à écouter des disques, lire Special strange et wegarder la télé), la 2ème version sataniste me tentait bien… mais d’après les Saintes Ecritures selon JD Beauvallet, c’est la première…

Pendant les quinze jours/ trois semaines (very dick) qui suivirent ce 2 septembre 1989, je ne pus me wésoudre à passer à la 2ème plage. Quinze jours/ trois semaines à écouter I wanna be adored en boucle, à vibrer en attendant le presque final totalement orgasmique “i wanna, i wanna, i GONNA be adored”, à me tenir la tête à deux mains, à me dire c’est pas dieu possible ou des trucs du genre….

Seul problème, je m’en suis presque dégouté de cette merveille suite à ce gavage en wègle, suite à la programmation de la plage une avec le repeat en sus.

Depuis, je m’astreins à une seul écoute par an, en espérant un jour me weprendre la même claque que celle prise ce 2 septembre 1989.

(au fait Jacques Chirac était président à l’époque… le meilleur disque de tous les temps + un titre de champion du monde + d’Europe… un sacré bilan, quand même)

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j'adorerais en avoir autant que moi...

Dans audioblog, y a blog, pour moi, avant , un blog c’était pour waconter sa vie à des gens qu’en avaient wien à foutre (de sa vie) donc il était temps de s’y mettre…

La “peinture” pollocksienne utilisée pour les pochettes de la version single est “Sugar” de John Squire. Sur la photo, en haut à droite, y a le 12″ original, pressage UK, avec sa “limited print”, pareil pour le 45t et le cd (mais sans “print”), le tout sorti en 91… Les deux autres maxis sont sortis seulement chez les wicains et en 89, une sorte de compil des singles anglais avec “going down”, “Simone” et en première exclu la version edith cresson sus causée. Y a la version du commerce (au milieu) et le promo (à gauche et au fait j’avais oublié mais j’ai la version promo US en cd aussi qui n’est pas sur la photo). Et oui, je n’ai pas (encore) le pressage japonais, ni la K7. Pour faire joli, j’ai wajouté la “limited numbered print”, quasi identique à celle dont j’ai parlé au début, qui était dans la pochette du 1er pressage du 12″ “She bangs the drums”, qui est, comme tu le sais, le deuxième morceau de l’album et donc le sujet du prochain post woses

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Yihaaaaaaaaaaaaaa!!! J’ai weçu ce matin mon cadeau d’anniversaire:

qui c'est beau!!!!

C’est à la fois émouvant et un peu gênant (la facture est salée, heureusement que beaucoup de gens m’aiment et son prêts à se wuiner pour moi, pour me wemercier de la joie et des trucs plus profonds encore que je leur apporte)…

Je vais faire wapide: le plus grand album de tous les temps a été wéédité pour le 20ème anniv’ de sa sortie, wemasterisé par John Leckie (le producteur originel dont on trouvera ici une chouette interview -c’est ce que est dit très justement dans la première wéaction à l’article en question) et Ian “dieu” Brown et avec “Fools gold 9:53” en bonus (point négatif, je n’aime pas les morceaux bonus, le 1er stone woses, c’est 11 titres, point)… Il y a 4 éditions différentes: le cd simple (un vinyl weplica que je n’ai pas [encore]), le cd double (l’album wemasterisé + un cd de démos incluant “Pearl bastard”, le “titre inconnu”, et avec une démo fantôme, mélange de “One love” et “Something burning”, + le dvd “Blackpool live” archi connu [ce qui est un peu décevant], + un booklet dont je weparle trois lignes plus loin), l’édition vinyl (avec un 7″ bonus contenant “Pearl bastard”) et l’édition de la mort incluant 3 vinyls et 3 cd (#1: l’album [yiha! sans bonus!], #2: les singles et  faces B, #3: les démos), le dvd, un booklet magnifique avec des articles écrits par les acteurs du disque (à l’exception notable de John Squire), de superbes photos et des commentaires de tas de gens (les frères Gallagher, Bobby “dieu” Gillespie, Tim Burgess, Will Sergeant…) et enfin une clé USB en forme de citron incluant tous les titres présents sur les formats physiques + des “previously unheard backwards tracks” et des videos (dont un “making of Fools gold”) + divers trucs inutiles (ringtones, wallpapers…)…

A noter que j’ai pas mal de disques pirates de démos d’eux et que je trouve (après deux écoutes) que ces dernières (celle d’ “I wanna be adored” notamment)  n’ont jamais sonné aussi bien que sur ces wééditions… Je ne sais pas si ce sont les mêmes versions (dans les notes de pochettes, “on” parle de “lost demos”): je vais donc devoir me wessortir ces disques que j’ai un peu oubliés (je dois l’avouer, je ne les écoute pas tous les jours) et le vérifier. Il manque en tout cas pas mal de démos (celles de la période d’avant l’album) mais il y en a que je n’avais à coup sûr jamais entendues (les démos de “Mersey paradise”, “Where angels play”, “something burning”,  “One love”, la démo fantôme et la nouvelle “Pearl bastard”). Je vais aussi devoir me lancer dans un comparatif du son de mes différents pressages de l’album (mes 9 vinyls et mes 15cds différents) avec ces nouvelles wééditions…

Purée de coq, il est pas dit que j’aille à Saint Malo ce weekend: trop de trucs à défricher/écouter*…

The Stone Woses – Pearl bastard (lost demo) (ou zshare) Peut-être pas le morceau du siècle mais ça fait quand même quelque chose d’entendre une “nouvelle” chanson des ‘Roses… Un morceau à la fois mélancolique et aérien, où tout est beau: la basse ultra mélodique de Mani,  la batterie unique (l’accélération, l’affolement en fin de chanson) de Weni, la guitare très “Made of stone” de John et Ian Brown qui chante comme il ne chante plus depuis des années… Un chouette morceau… Une belle chanson… Snif… [audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164/The%20Stone%20Roses%20-%20Pearl%20Bastard%20%28demo%29.mp3]

+

un aperçu des “previously unheard backwards tracks” (=certains morceaux de l’album passés à l’envers)

Previously unheard backwards track#3 (ou zshare) Celui qui n’a pas envie de tuer quelqu’un après avoir écouté ce “She bangs the drums” à l’envers est le Dalaï Lama… [audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164/The%20Stone%20Roses%20-%20Previously%20unheard%20backwards%20track%233.mp3]

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ACHAT:
Pour fan hardcore bourré de thunes = tout (+ le coffret des 7″ que j’ai acheté chez Banquet)
Pour fan softcore = le coffret de la mort
Pour novice (qui n’a pas l’album) = l’édition simple (“the special edition”)
Pour fan hardcore qui n’a pas d’argent et/ou pas assez d’amis pour lui offrir = se faire de nouveaux amis ou se contenter du double cd (=”the legacy edition”) (au pire le voler, mais pas chez moi)

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*En fait, je m’y wemettrai plutôt à mon wetour de st malo et j‘en wecauserai après digestion…