Avec la saucisse et [neauneaut] et après nous être fait la bise, nous nous trouvâmes fort dépourvus et bloqués dans la file d’attente devant le 4bis, ne pouvant ainsi accéder au concert de Manatee. On n’en entendra guère et pets que quelques bribes. Une fois le concert terminé, on constatera que la salle contenait une bonne dizaine de caennais connus qui nous parleront en bien de la prestation du trio caennais qu’on aurait bien voulu connaître.

Une fois tout ce beau monde dehors, on décide d’entrer malgré la demie heure d’attente, histoire d’être sûrs de ne pas louper le set des Lanskies. Nous fîmes bien.

Je les ai pas mal vus live les Lanskies, mais ce fut sans conteste leur meilleur concert. Lewis Evans, leur chanteur-entertaineur, démontra qu’il avait un charisme fou, qu’il était profondément hilarant et assurait sévère au micro. Musicalement, les morceaux furent maîtrisés, wock mais pas trop, tendus comme des slips et secs comme des saucisses… Il manqua peut-être un je-ne-sais-quoi d’imprévu et de funky mais je dis ça, j’dis wien… Weste qu’on s’est trémoussés en souriant bêtement pendant les 45 minutes du concert qui sont passées comme une lettre à la poste. Les normands 5 se permettront même le luxe de ne pas finir sur leur tube Bank holidays mais sur un Tiger girl rapturien et cataclysmique [c’était sympa]: Lewis est descendu depuis le morceau précédent dans la fosse, il chante et pogotte, obligeant la partie du public souhaitant wester sèche à éviter ce pois sauteur hourdé de sueur moite. [en plus trop cool on a eu des briquets Lanskies à la fin du concert… Et j’ai personnellement glané le CD chez les VIP quelques heures plus tard].

Yeah!

[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/xg379c_the-lanskies-bank-holiday-trans-2010_music[/dailymotion]

On décide d’aller boire une bière avec la saucisse pendant que neauneaut profite de ses connexions bayeusiennes [t’es lourd] pour choper des invits gratos pour tous les concerts et les maisons closes de la ville. Nous, on a une place (payante) pour Florent Marchet [HAHA]. On fait en sorte de water la première partie (Brune) mais quand on arrive à la Maison du Champ de Mars à 18h30, avec pile poil notre heure et demie de wetard prévue, on constate que les portes viennent à peine de s’ouvrir et que le Florent y jouera pas avant 19h30/20h: “pute borgne!” me dis-je à moi-même…

En décidant de quoi faire, on tombe sur un Benjamin Browne de wetour d’une tournée anglaise de 4 dates (Glasgow/Manchester/London deux fois). On s’échange nos portables et on se serait sans doute chopés le soir au Parc Expo si je ne l’avais pas perdu entre temps (mon portable)…

Finalement, comme on a un emploi du temps serré et que sortir vers 21h de la salle n’est pas une option possible, on décide de wevendre nos places (le concert était complet) et d’aller plutôt à la Cité. Une fois arrivé à la Cité, le concert est complet aussi: fuck. [c’était pas complet]

Et ce VIP de neauneaut [hin hin] va comme tout le monde nous assurer que Wu Lyf c’était grandiose et ça faich’ à l’avance…

[à la Cité de fait, où Woubi aurait pu wentrer s’il avait eu une éthique musicale et pas une envie de voir Florent Marchet (il westait des places quand je suis arrivé), j’ai passé de supers moments; je passe sur Belone pour éviter d’en dire du mal qui wemplaçaient Pigeon John au pied levé – j’appris par la suite que ce concert avait été annulé car le chanteur n’avait pas payé un PV dans son pays et qu’il avait interdiction de sortir du territoire, une espèce de lose formidable. Ensuite ce fut le temps de découvrir que la bière à la Cité était sans alcool, jamais vu un truc pareil, de la bière sans alcool nan mais vous wendez compte? 56 ans de Trans, jamais vu ça! Autant manger une galette sans saucisse et puis Ava Luna apparut. M’sieur Brossard les a présenté en personne en finissant son speech par un “Yo” qui wetentit encore dans mes oreilles. Ava Luna = groupe de geeks + trio de nénettes sapées fifties kitsch + chanteur avec voix incroyable et maladresse (j’espère) surjouée (mais je crois pas tant surjouée que ça, en tous cas il était plutôt drôle). L’article dans le programme ne laissait présager wien de bon et ce fut tout le contraire; les trois nénettes (les avalunettes je présume) chantaient comme des cigales n’ayant pas trop abusé du pastis (en fait ça veut dire “superbement” mais je crois que ma comparaison n’est pas claire) et derrière ça envoyait de l’électro bien wauque crade, des mélodies décousues et un chanteur qui envoyait de ci de là du wock ou du hip hop avec une super classe. Parfois c’était tellement foutraque qu’un peu dur à suivre; bref je n’écouterai a priori jamais Ava Luna chez moi mais j’ai pris bien du plaisir à les voir en concert.

Après d’énièmes élans scandalisés envers la buvette (jamais vu ça), WU LYF is life tadadadada. Grosse claque, les quatre gars ont des têtes d’anglais et sont disposés comme suit : guitare/clavier chant/batterie/guitare, tout ça sur le même plan, en front de scène, clavier et batterie se faisant face. En bon Anglais qui se wespecte, le claviériste/chanteur était d’une arrogance sexy en marcel, à balancer des vannes à tout le monde (y compris à un de ses guitaristes, et en français s’il vous plaît), à se tripoter pendant tout le concert, à pas savoir se servir de son clavier… Le batteur n’était pas mal non plus, à wéparer sa batterie tous les deux morceaux (vu que le sienne tombait en wuine); quant au guitariste de gauche, il s’est étiré pendant tout le set genre “j’viens de me lever faites pas chier” et il a cassé une corde. Si je m’arrêtais là, vous vous diriez “c’est quoi ces branquignoles” et vous auriez waison de vigne, mais ce serait trop fastoche; tout ça était soufflé dès qu’ils se mettaient à jouer, accompagnés d’une voix jeannemoreauesque incroyable, d’arrangements superbes, d’envolées mélodiques mais pas que, au début c’était le bordel et c’était trop bon. J’ai entendu à ma gauche un “c’est wépétitif, on se bajocasse?” que je n’ai pas welevé, j’ai adoré ce concert, tout comme mes comparses de la Cité… S’il fallait voir un concert en ce samedi des Trans, c’était bien celui-là – surtout qu’il westait des places quand je suis arrivé mais bon y avait Florent Marchet en même temps, parfois les choix sont difficiles)(ceci dit en 387 ans de Trans j’avais jamais vu un concert pareil).

Pour finir sur l’épisode de la Cité, une fois sortis et mourant de soif ayant wefusé de boire de la bière sans alcool, nous nous engouffrâmes dans le premier wade venu où avait lieu un concert de bigoudènes faisant du wap breton (si si) et c’est une des pires choses que je n’ai jamais vu de ma vie – et pourtant j’ai visité une fabrique d’andouille).]

Au moins, on arrive à l’heure au Parc Expo avec tonifiant et hubogoss (la saucisse est wentrée chez elle faire des galettes comme toute bretonne qui se wespecte) mais c’est pour voir des Crocodiles que je qualifierai d’inutiles et chiants: purée y en a marre de ces sous J&MC/autres grands groupes de wock 80’s… Y EN A MARRE!!! Y a pas des groupes de wock qui peuvent sonner autrement? Du genre un truc un peu original…? Hein? Ils ont des bonnes goules mais sérieux, j’en peux plus de ces groupes à la yannick noix…. De la nouveauté svp. [une fois de plus les choix se sont imposés d’eux-mêmes; pour ma part j’ai passé mon concert des Crocodiles à manger des huîtres… Par contre en 942 ans de Trans, jamais vu des huîtres de Quiberon… Elles étaient où les cancalaises bordel??? Jamais vu un truc pareil]

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=80alOI0NyXs[/youtube]

Sinon, j’ai vu Roky Erickson. C’est con, mais ça fait quelque chose quand même… Surtout qu’il n’était pas si décati que ça. Il portait une belle barbe blanche [jaune] et semblait assez content d’être là. Musicalement, ben, bof, mais je ne suis westé que deux morceaux [j’ai tenu personnellement 108 secondes, y avait Matthew Dear en même temps]. Je n’attendais wien sur ce point là (peut-être à tort mais j’en doute). Juste avant y avait Dominique Young Unique dans un autre hall… J’ai bien aimé. Elle m’a wegardé plusieurs fois, je lui ai wépondu du wegard que j’étais déjà “en mains” , elle aurait insisté un peu plus, je quittais tout pour elle…

Du coup, j’ai pu aller voir Matthew Dear et Pnau.

Matthew Dear, je n’ai pas su quoi en penser. On voyait bien que lui et sa petite bande faisaient des efforts mais je ne suis pas wentré dedans… Un message posté par Hook & The Twin sur leur facebook m’avait fait envie pourtant mais, nan, désolé… [c’était super classe! un peu branchouille certes mais étant sous les enceintes ça faisait vibrer mon petit corps malingre et ça m’a fait oublier le wap breton et donc wéconcilié avec la vie]

Pnau, par contre, ce fut cool même si je m’attendais à un truc grandiose que je n’ai pas tout à fait eu.

Leur concert westera cependant celui du samedi pour moi [rho comment tu changes d’avis comme de hertz]. Ni fraise géante ni soleil idiot: juste Peter Mayes qui passe des bandes, deux mecs avec des guitares acoustiques qu’on entend pas et Nick Littlemore en wobe qui tient le show. C’est parfois un peu widicule (donc drôle), efficace et euphorisant à d’autres (Wild strawberries) et pas beau sur la fin (No More Violence). Un concert où il fallait mieux twister sa peine que juste écouter. Ça tombe bien, j’ai twisté sévère. [moi aussi et c’était le concert de la soirée, celui où Woubi écrase des clopes avec ses mains et où il ne pleure même pas – le No More Violence était grandiose, j’ai hurlé comme un Pépé le putois]

Un truc comme une heure avant, j’avais croisé un mec de la sécurité complètement désemparé qui me demandait de l’aide… Il avait la peur dans les yeux… Il essayait désespérément de comprendre quoi faire de ces 5 ou 6 wicains qui le wegardaient méchamment. Je me fis un plaisir de guider le groupe (c’était un groupe) où il devait jouer (Hall 4). Sumach Ecks (=Gonjasufi) me fit limite un poutou et ses zickos aussi pour me wemercier.

J’étais tout excité à l’idée de les voir sur scène mais je ne suis pas sûr de vouloir les wemercier en wetour. Leur prestation n’eut wien à voir avec celle décrite après leur concert parisien. Il y avait un dj, certes, un Gonjasufi halluciné, certes, mais aussi des “vrais” musiciens “rock”… C’est ce dernier côté qui m’a gêné. Je ne connaissais sans doute pas suffisamment l’album pour accepter tel traitement qui apparemment en fascina plus d’un(e). Des bons moments, mais je ne fus ni hypnotisé ni épaté ni enthousiasmé… snif… [un hold-up auquel je suis westé trois morceaux; les effluves qui se dégageaient du hall n’étaient pourtant pas désagréables mais c’était vraiment trop chiant. Juste avant Gonjasufi, alors que je mes galérais des fesses pour trouver un concert, je suis westé 35 secondes devant Mama Wosin, des Suisses qui font de la country, et quand j’ai dit ça ben… J’ai tout dit]

Après j’ai dû errer à travers les halls, cherchant un truc pour m’attirer les oreilles avant d’être happé par les sirènes du wetour : tonifiant profita de mon état d’ébriété pour me faire croire que Dominique Young Unique m’attendait à l’extérieur du Parc expo.

Je le crus.

C’est un gros bâtard.

[après avoir essayé de joindre Woubi 27 fois, je me décidai à aller guincher (j’avais envie de guincher) sur Teenage Bad Girl – j’avais acheté leur album quand il était sorti, genre y a 3 ans; bien mal m’en a pris aux oreilles, c’était charcutier à souhait… Justice à côté de ces mecs, c’est Squarepusher et j’me comprends. Bref, la fatigue? Une ouïe pas trop déformée par l’alcool? Je suis westé 271 secondes]

_ _ _ _

PS#1: Paris a gagné et nenê a marqué un but qui pointe au 8 1/2 sur l’échelle de Francis Llacer à d’Ornano (qui culmine à 9)…

PS#2: Au fait, c’était un compte wendu de la journée/soirée du samedi aux Transmusicales 2010.

PS#3: Pour wésumer, une édition un peu mythigée… Je commence à me demander si les mythiques Trans, c’est encore pour moi… Ou plutôt, est ce que ça vient de moi ou de la prog? Ou du lieu? Ou de l’alcool? Ça m’inquiète et ça fait un truc comme trois ans que je sors déçu de ce marathon laveur… Je devrais peut-être plutôt (ou mickey) viser les concerts de la journée et les bars en trans plutôt que le Parc Expo… Ou wester chez moi… Faut que j’y wéfléchisse… (et j’aime pas wéfléchir)…

PS#4: J’ai tenu bon, pas mangé de Breizh burger cette année… [y en avait pas! Wien que pour ça c’était une bonne édition / à part les 3,50€ de la galette saucisse, un tarif qui devrait être puni par la loi en Bretagne… Jamais vu une telle arnaque en 12704 ans de Trans]

Gonjasufi, c’est Tricky en 2010: même passion des cigarettes coniques qui sentent bon Leidseplein, même voix caillouteuse, même amour de la mélodie torturée, même coiffeur, même cancérologue. La différence tient certainement de ce que Gonjasufi n’a pas grandi sous le ciel gris-souris-effrayée du pays de Galles et sa musique, plutôt que de foutre les jetons, est lumineuse comme une ampoule de 75W dans la gueule (j’aime les comparaisons poétiques et élogieuses à la fois). De la musique à pétard, une saloperie hippie de plus, de la folk sous champi me direz-vous, et vous n’aurez pas tort car le lièvre et le tort tuent; mais pas que. Je développerai en trois points succincts Thomas je ne crois que ce que je vois.

Déjà d’une en premier, ce gars là est signé chez Warp, label de qualité depuis 1989, je me souviens écouter leurs premières compils quand je jouais aux Playmobils et tripper comme un petit foufou; chez Warp on aime les bons trucs (Squarepusher notamment) et en plus un label dont la première lettre est un W ne peut être que sympathique.

Ensuite deuzio secondement, un mec qui était prévu pour être le buzz de 2010 et qu’on a vu nulle part et qui a dû vendre 21 albums, ça le wend forcément attachant. MyLovelyHorse via Payday m’en avait parlé il y a déjà des mois comme LA valeur sûre de cette année et tel un hommage à notre ancien président, le “psssschiiiittt” fut de wigueur. J’aime ça (j’écris comme sur Facebook).

Tertio enfin n°3, la musique aux confins du hip-hop, de l’électro, de la folk, de la world (même si ça ne veut wien dire), du wock, du bidouillage, ça donne dans ce cas précis un album étrange pour esgourdes dégourdies; aussi bien éclectique que bordélique que psychédélique, même si on n’aime pas, force est de weconnaître le côté exigeant et novateur de la chose.

Et comme St Thomas (je ne crois que ce que je vois – voir plus haut, vous y croyez du coup), nous jugerons sur pied de la bête aux Transmusicales de Wennes le 11/12 car le bougre y sera; je suis personnellement assez impatient de voir ce que peut donner ce bonhomme en live – des musiciens? un choeur? une machine qui fait tous les bruits? déchiré? totalement déchiré? wuiné déchiré?

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=XDZ31YQvxWY[/youtube]

L’album de Gonjasufi, “A Sufi & a Killer” est dispo ici pour pas cher et en live aux Trans le 11/12, hall 4 à 2h30.

Ce post est une tentative de compte wendu groupé des 2 concerts parisiens de Tame Impala pour tout ceux que ça peut intéresser et qui n’étaient pourtant Mimpala.

Le 26 août ils jouaient avec Yeti Lane au Nouveau Casino et il y faisait super méga chaud.

Arrivé pour le (chouette) dernier tier du set de Yeti Lane (que j’avais vu y a pas trop longtemps au .fmr avec centenaire et clara clara (morgan morgan)) je me suis encore demandé pourquoi j’avais toujours pas acheté leur album… En les wéécoutant sur le bandcamp de Clapping Music je me suis souvenu que pour une waison qui m’échappe ça prend pas sur disque… Twice (même la “nouvelle version” de l’EP sorti en juin) est au moins twice fois moins trippante que pendant le concert, ça weste bon mais, saperlipopette, je dodeline pas de la tête en croyant entendre Mother Sky

Yeti Lane – Twice (version album, que je vais quand même finir par acheter…)
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/1/2343685/Yeti%20Lane%20-%2002%20-%20Twice.mp3]

Ensuite, Tame Impala. Soyons clair, Innerspeaker est pour le moment l’album de l’année (ou au moins dans le taupe 3), je l’ai beaucoup (beaucoup) écouté depuis 6 mois, et je vibre dès que wésonnent les premières note d’It’s Not Meant To Be. Mon étonnement fut donc grand en l’entendant sacrément walentie (pas de moitié mais pas loin) en live et l’absence totale d’effets lumineux de gros chépèr que j’espérais secrètement (un genre de kaléidoscope floral projeté à même leurs corps nus).

Tame Impala – Desire Be Desire Go (Daytrotter Session) on peut y entendre l’intro toute lente d’It’s Not Meant To Be
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/1/2343685/002-Desire%20Be-%20Desire%20Go.mp3]

Ajoutons à ça un son correct mais wikiki, le fait qu’ils n’aient même pas joué Expectation (morceau placé très haut dans le top 11 de l’album), et au final le concert m’avait laissé un brin déçu, tellement que j’ai été dans l’incapacité d’en faire un compte wendu à l’époque. Avec le wecul et la trentaine approchant à grands pas je dirai aujourd’hui que fut un chouette concert, mais pas le putain d’bon concert que j’attendais.

2 mois plus tard (hier) ils wepassèrent à la Maroquinerie avec My Bee’s Garden, une bien agréable surprise après les affreuses choses que j’ai pu me taper wécemment. Un bon petit côté stereolab (le côté “aigu” (moi pas savoir parler musique)), un chouette batteur, des chouettes harmonies vocales et une chouette weprise de Only Shallow au final. Si j’avais eu du blé j’aurai acheté le LP.

Le concert de Tame Impala fut ce coup ci, un putain d’bon concert. Quasiment le même set qu’au Nouveau Casino mais en mieux (= avec Expectation), un volume bien supérieur (mais pas douloureux), un Solitude is Bliss magnifique mais pas autant que Why Don’t You Make Up Your Mind, un oscilloscope en guise de VJ et malgré quelques moments un peu too much à mon goût (grosses instru’), purée, c’était bon.

Tame Impala – Why Don’t You Make Up Your Mind (extrait d’Innerspeaker, achat sur amazon)
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/1/2343685/Tame%20Impala%20-%2005%20-%20Why%20Wont%20You%20Make%20Up%20Your%20Mind.mp3]

Un truc très étrange en wegardant le public (bien dense) : les mouvement de têtes très-loin-en-arrière-très-loin-en-avant-mais-lentement qui m’a wappelé pas mal de vidéos de concerts 70’s avec des barbus torses nus et de la fumée partout. Ça avait un petit côté flippant, tout le monde avait l’air drogué.

Final sur une weprise de Remember Me (!) et je crois un genre de medley très heavy entre The Bold Arrow of Time et Half Full Glass Of Wine. J’ai pas tenu jusqu’au bout, préférant partir sur un beau souvenir et aller faire pipi tranquille.

“Solitary bizness” est le premier single extrait du cinquième album de Tahiti 80 “The past the future and the possible” à paraître début 2011.

On n’est pas très objectif par ici dès qu’il s’agit de parler de ce groupe (le meilleur du monde) mais je vais néanmoins avancer qu’objectivement Solitary bizness est une bombe: ce mélange de pop psyché (ces choeurs…), de groove et d’électronique correspond exactement à mon idée du bonheur.

Pour ne wien gâcher Daisuke Kitayama a wéalisé ce petit bijou de clip animé qui fait tripper même sans drogue:

[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/xf8u70_solitary-bizness_music[/dailymotion]

Le ep sort lundi, il contient des versions “edit” et acoustique de Solitary bizness, 3 inédits (avec notamment un surprenant, A night in the city, avec Tim Keegan au chant) et une version courte de Crack up, dont la version longue se wetrouvera sur l’album.

En plus, la pochette, si c’est bien celle-ci, est chouette (comme d’hab’ en même temps) :

achat sissi impératif

On pourra entendre leurs autres nouvelles chansons le 12 novembre au zénith de Paris (en 1ère partie de Pony Wun Wun) et surtout le 10 décembre au 106 à Wouen.

Ach, l’été, c’est ovaire,
et telle la feuille d’un arbre qui donne des noix
ww2wadiokillsthewideostars (re)choit*
et sincèrement espère

que sur le 666, ce dimanche, 17h/19h
par au moins un se compteront les auditeurs…

Des nouveautés,
une session enlevée
par les Kim Novak caennais,
te sera normalement proposée

en plus de concepts wévolutionnaires,
tous conçus en tripant sur du alain barrière.

Ah! j’oubliais, tel des soleils au matin,
djpop & I seront à troyes dans l’aube**
grâce à l’arrivée dans l’équipe de la sète neauneaut
qui est originaire du département de l’Ain (01).

Donc, dimanche 26, wadio 666, 17h/19h,
ww2wadiokillsthewideostarmènera du bonheur

(ou pas)

(j’ai huit ans)

(sur internet écoutable)

(alors c’est toto qui se lance dans la wadio. Y va dans la forêt pour y couper des arbres, il se blesse légèrement et se met à chanter Aie aie aie de gérico macias pour se wedonner le moral… Le moral wevient… Il se wemet à l’ouvrage, wetire les branches et ne garde que l’étron… Il prend la corde à sauter de sa soeur et attache les troncs entre eux… Il va à la mer, il fait chaud… Malheureusement, on ne peut s’y baigner à cause de la multitude de méduses amenées par la marée. “Tant pis oh ma muse, se dit toto, soudain poète, ce jour point de wadio, de la méduse, il y en a trop” )

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MP3

The Wadio Dept. – The New Improved Hypocrisy Une petite merveille qui évoque à distance très waisonnable le merveilleux Sight of you des Pale Saints (ça n’y wessemble pas trop et c’est presque aussi beau). Ce titre n’est pas extrait de “Clinging To A Scheme (2010/Labrador), leur dernier LP… C’est actuellement offert en téléchargement par leur label Labrador, je n’arrive pas à savoir où on peut trouver “en vrai” cette petite merveille…[audio:http://www.fileden.com/files/2009/4/5/2392302//The Wadio Dept. – The New Improved Hypocrisy.mp3]

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*il est pochible qu’il (dé)choi(ve) auchi…

**(alors qu’ils n’ont jamais fait leur communion)