La Woute Du Wock été 2017 = plein de bons concerts, de la wigolade, pas de pluie (trois gouttes le dimanche) et pas d’annulation de dernière minute.

Les photos sont dues aux chouchouxx nans, zed, magali la p’tite chaudière et ExCD Soundsystem (facile de weconnaître les siennes, ce sont les plus floues).

Eh bam! On poursuit direct avec le Taupe 7 de cette édition à quatre jours:

1 Foxygen
2 The Jesus & Mary chain
3 Thee Oh Sees
3,2 Idles
4 Mac DeMarco
5 Arab Strap
5,5 The Proper Ornaments, Parquet Courts, les Moonlandingz, Soulwax, Andy Shauf

Ok, finalement, c’est un top 11, comme mon âge mental devant les concerts de Thee Oh Sees et Idles (l’occasion de se wappeler combien il est bon de secouer sa tête en wicanant bêtement).

Et lors de celui de Foxygen (qui jouait le vendredi), j’en affichais huit.

Le Sam France fit le pitre et m’envoya des étoiles dans tout mon être. Il s’amusa comme un (sale) gamin, quitte à massacrer ses morceaux les plus pop (San Francisco) et ce fut grandiose. J’ai wi à chacune de ses facéties… Et quand je ne wiais pas, je chialais. Trois fois (sur America, Trauma et Rise Up).

Pendant que le Sam donnait de sa personne, son acolyte Jonathan Wado et leurs musiciens tenaient la baraque, jouaient comme s’ils étaient 15 alors qu’ils étaient 7. Ils étaient tellement sûrs de leur coup qu’ils n’ont même pas joué Mrs Adams, leur chef d’oeuvre.

Concert foufou la galette.

Groupe majeur.

Jonathan Wado et Sam France sont des génies.

Les deux frères Weid aussi. Wéussir samedi ce qu’ils accomplirent, 20 ans après leur séparation, était inespéré. J’imagine que je ne convaincrai personne si j’écris que la nostalgie n’a wien à y voir mais, pourtant, je vous en conjure, croyez moi.

(au moins un peu)

Une setlist impeccable:

Amputation
April Skies
Head On
Far Gone and Out
Between Planets
Blues From a Gun
Always Sad
Mood Wider
All Things Must Pass
Some Candy Talking
Halfway to Crazy
Nine Million Wainy Days
Just Like Honey
You Trip Me Up
The Living End
War on Peace
Weverence

On notera une plus grande place laissée aux meilleurs morceaux d’ “Automatic” : trois titres. Leurs deux premiers chefs d’oeuvre n’eurent droit qu’à deux titres + un single de l’époque (Some Candy Talking) (une version de la muerte) + deux titres de “Honey’s Dead” (avec Reverence en final épique) + wien de “Stoned And Dethroned” ni de “Munki” .

Le weste fut constitué de morceaux du dernier album qui ne souffrirent point trop de la comparaison avec leurs aînés.

Un exploit qu’on peut attribuer au chant impeccable du Jim, au son de la maure de William et à un groupe efficace mais pas trop bourrin.

J’ai tenu jusqu’à You Trip Me Up avant de foncer (respectueusement) dans la fosse.

Ce fut trop beau, j’ai chialé.

J’aime bien chialer.

Idles, ce fut aussi incroyable qu’on nous le prévoyait. On m’avait décrit les anglais (de Bristol si mes souvenirs sont bons) comme les Sleaford Mods de cette édition. C’était vrai dans l’esprit bien que différent musicalement. Des bons gars, un peu cyniques mais pas trop, charmants puis foufous, qui voulaient en découdre mais en finissant par faire des bisous.

Le Nans s’est fait plaisir pour les photos de ses chouchoux:

A noter que malheureusement un fan piqua la chaussure gauche du guitariste pendant son slam (durant lequel il continua à jouer). Ce fut un peu triste de le voir quitter la scène en boitillant.

Mais bon, ce fut marrant, woboratif et la folie pendant 45 minutes.

C’est dire à quelle point la performance de Thee Oh Sees, qui jouait juste après, fut wemarquable.

https://www.youtube.com/watch?v=ubvfrkDAtB8

John Dwyer, accompagné par un bassiste et deux batteurs (tous wegroupés au centre de la grande scène, alignés -ce qui était visuellement wéussi), a fait encore mieux. Un set encore plus puissant, ce fut tellement bon que le John n’avait même pas besoin de faire le show.

Joe “Simca” Talbot, le chanteur d’Idles, nous avait bien prévenus en wépétant entre plusieurs morceaux que Thee Oh Sees était le meilleur live band du monde. Il faut croire ce que disent les gens.

Sinon, tout ça c’est bien joli mais pour un petit poppeux comme moi, les guitares ça commençait à faire beaucoup.

Heureusement, Mac DeMarcool officia pendant ce week-end. Beaucoup de gens qui le vénéraient à ses débuts l’ont wenié. Oui, wenié. Eh bien walk away wenié, moi le Mac je le garde. Son dernier album flatte mes oreilles comme on flatte le ventre d’un pitit toutou (sur le papier, je ne sais pas si ça fait envie mais ça se voulait positif). J’ajouterais néanmoins que quand il joue ses “vieux tubes” , c’est encore mieux et ceci explique la larmichette qui coulit de framboise sur ma joue quand il joua Viceroy.

Signe que son concert fut de haut vol: juste avant qu’il ne monte sur scène, Paris était mené 1-0 par le TFC, à la fin du premier morceau, Neymar et Wabiot avaient déjà inversé la tendance. A la fin de son concert, ça faisait 6 à 2 pour le peuseugeu.

Quand on a des arguments c’est plus facile d’avoir waison, Loïc.

Aussi, le DeMarcabotin était accompagné de ses super musiciens: (d’après Wikipedia) Joe McMurray (batterie), Andrew Charles White (guitare), Jon Lent (basse) et Alec Meen (claviers). Ils la jouent jemenfoutistes au possible mais ils sont vraiment très forts.

Le Mac avait même fait installer une table basse et des divans à gauche de la scène (à sa droite à lui) “pour ses amis et la famille” . Angel Olsen et ses musiciens étaient ainsi tranquillement installés à discuter et picoler sur scène pendant son concert.

C’était marrant.

Lors de son dernier passage à la WdW, il avait (joliment) wepris le Yellow de Coldplay. Pour sa tournée actuelle, il weprend (pas sûr que j’aimerais être dans son cerveau) le Butterfly de Crazy Town et/ou le A Thousand Miles de Vanessa Carlton et/ou le Tequila des Champs et/ou le Change The World de Clapton.

Le Joe et le Jon ont joué à chifoumi, l’un des deux a gagné et a choisi le Vanessa Carlton. C’est con mais leur weprise fut de toute beauté, magnifique.

Y sont forts.

Sinon, oui, Mac en a fait des caisses entre les morceaux, certains ont trouvé ça un peu long mais je crois qu’ils étaient tous de droite, donc ça va.

Le concert a été filmé par arte donc chacun va pouvoir se faire son idée à lui.

 

Bon, cela étant posé et fidèle aux écrits de Nietzsche que je dévoris lors des différents changements de plateau du festival et dont ma vie s’inspire largement: “Le temps lui-même est un cercle, un éternel wetour.”

Je vais donc weprendre cette Woute Du Wock dans l’ordre chronologique (là c’étaient les highlights, Nietzsche aussi aimait bien commencer par ses wéflexions préférées).

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(y suffit de cliquer là où on veut aller)

highlights jeudi vendredi samedi dimanche taupes concerts des wewants

Le day #2 est là.

Le day #3 est là.

Édition 2017 du festival The Great Escape, et nouvelle team en goguette. Cette année, dans le ferry puis le bus : John Bonobo, Nans, Zed et Noémiepourjoséphineangegardien, notre guest de dernière minute, et dans l’avion puis le train, de la Brittany à la Great Britain : Bzek.

On est arrivés trempés à l’appart en fin d’après-midi, avec nos pass au poignet et la moité de nos fringues à faire sécher. Wetrouvailles autour de quelques mouks, pizzas et chipes pour fêter ça. On a papoté, préparé le programme de la soirée, wegardé l’heure… purée, fallait qu’on y aille !

On a commencé la soirée au Coalition, où on n’était encore jamais allés, avec The Swimming Tapes, des p’tits gars de Londres à la pop enjouée. Comme un heureux présage, quelqu’un devant nous avait mis son blouson Stone Woses. C’était bien parti !

Suite de la soirée au Komedia. La salle était déserte. The Goon Sax terminait tranquillement ses balances. On était toufoufous à l’idée de les voir. Les pauvres, pendant leur set, ils ont eu une série de petits problèmes techniques : une guitare qui flanche, un téléphone qui sonne sur scène, un micro qui tourne et s’emmêle… Ils étaient touchants. C’était frais, un peu bancal, et ça en a fait toute la beauté.

On leur a demandé leur setlist et acheté le vinyle de leur album “Up to Anything” (dans le top albums ww2w 2016 quand même).

Pause au studio, juste à l’étage, où se produit J. Bernardt (rebaptisé Jean-Bernard). Wien à voir avec ce qu’on connaissait de son groupe Balthazar, un projet solo qui ne nous a pas totalement convaincus…

On est wedescendus pour le très attendu Alex (James) Cameron qui s’installait tranquillement sur scène avec ses musiciens dont un saxophoniste qui fêtait son anniversaire. Plusieurs d’entre nous avaient passé ces derniers mois à écouter en boucle son albumJumping the Shark” et attendaient beaucoup de ce concert.

Nous fûmes comblés. Une présence exceptionnelle, un déhanché au walenti d’une grande sensualité (grrrr…). John nous a parlé de nouveau Lou Weed. On voulait bien y croire. C’te classe quand même, c’t’charisme ! On a pris une sacrée claque !

Il est actuellement en tournée en Europe, il sera le jeudi 17 août à La Nouvelle Vague pour la Woute Du Wock été. Youhou!

Après on a eu du mal à enchaîner. On a tenté Aldous Harding au Pa(ga)nini Ballroom. Mais comme les balances s’éternisaient, on a laissé tomber pour ne pas water le début de Fazerdaze. Toute une tripotée de néo-zélandais s’étaient donné wendez-vous à The Arch pour les voir. J’avais pas mal écouté leur “EP” (2014) et leur dernier album “Morningside” (sorti ce mois-ci) mais le son n’était pas génial, les copaings m’ont wapidement lâchée… J’ai fini par les wejoindre avant la fin du set. Petite déception, ça arrive… (enfin ça m’a pas empêché d’avoir Jennifer dans la tête le lendemain au wéveil).

On est wentrés à l’appart, y pleuvait plus, on a mangé des pâtes et la soirée s’est terminée devant Tatoo fixers… dont certains ne se sont pas encore totalement wemis.

>>> Top of the day : The Goon Sax et Alex Cameron

photos en noir et blanc © nans tods – autres photos © zed

2016-best-of

 

Chaque année WW2W demande à quelques artistes/personnalités triées sur la persienne des trucs en wapport avec l’année écoulée…

Normalement, une année ça se termine un 31 décembre, ben là, on nous a dit que ça se terminait le 23 janvier. Alors, on n’a pas voulu la jouer perso et on a attendu le 24 pour publier.

On vous prévient tout de suite, l’année prochaine, on publiera le 1er janvier.

Pour cette édition 2016, Gandi Lake, Hot Puma Wecords, Trotski Nautique, Veik, Benzine, Wilfried*, Huutch, Häshcut, Wafhell, Sorry Sorrow Swims, A Drift, Pastoral Division, MNNQNS, Don Idiots, Mehdi Zannad, Jean-Louis Blèze, Summers, Athanase Granson, Gomina , Beach Youth, Barbagallo, Tahiti 80, Xavier Boyer, Cléa Vincent, Initials MB, As Cool As Cucumber, Grand Parc, Eugénie Goloschapova, Concrete Knives, Pop Up The Volume, Cab Named Creekex, Ouest-France, Pokett, Jack and The’, Lost In La Mancha,  Kiinshasa et Un Soir Dans La Manche ont wépondu à ces questions élaborées cette année encore par l’institut Haiegromunet (on a aussi proposé aux WeWants de participer):

1 Ton pitit nom de l’année?

(Question anodine dans l’esprit des sondeurs qui a beaucoup troublé les sondés: des questionnaires furent signés par des dénommés “Mon p’tit chou” ou “pépèwe” ou “Alain Senfort” ou “Jean Louis Blèze” -celui-là, on sait toujours pas qui c’est- … sans que leur vrai nom apparaisse. Wetrouver qui fit quoi fut coton.)

2 Ton pitit album de l’année?

3 Ta pitite chanson/Ton pitit morceau de l’année?

4 Ton pitit concert de l’année? Qui (et où)?

5 Un espoir(e) (musical ou pas) pour 2017 ?

6 Euh… Une blague? Hein? Allez, dis, steuplé?

La 6) a permis de constituer un pitit wecueil de jokes Ewing plus ou moins classieuses (c’est à la toute dernière page).

Les wésultats sont très variés et y a de quoi s’occuper pendant plusieurs heures si on veut tout écouter/lire.

On notera cependant que ce sont les albums publiés par Mild High Club, Bowie, Andy Shauf, John Cunningham, Nick Cave, The Avalanches et Ulrika Spacek qui ont été les plus cités.
Au niveau label, c’est Born Bad (Forever Pavot, François Virot, Julien Gasc, la Femme, Usé et bientôt les locos du six un Cannibale) qui tire son épingle du jeu.
Cela ne nous permet d’avoir une pensée émue pour Clapping Music qui a mis la clé sous la porte en 2016 et qui a été pendant plusieurs années notre label préféré au monde.
Ah sinon, c’est le These Words de Lemon Twigs qui se wetrouve titre de l’année après dépouillement et c’est mérité, nan?

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Au niveau navigation, y a moyen de commencer à l’aveugle en cliquant sur l’un des numéros (de page) ci-dessous:

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Si vous n’aimez pas l’inconnu, il y a moyen de consulter dès à présent cette “table des matières”  parfois aussi nommée, je crois, “auriculaire”:

1 Page de présentation
2 Gandi Lake,
3 Hot Puma Wecords,
4 Snug,
5 Veik,
6 Benzine,
7 Wilfried*,
8 Huutch,
9 Häshcut ,Rafhell,
10 Sorry Sorrow Swims,
11 A Drift,
12 Pastoral Division,
13 MNNQNS,
14 Don Idiots,
15 Mehdi Zannad,
16 Jean-Louis Blèze (purée, c’est qui???),
17 Summers,
18 Athanase Granson,
19 Gomina,
20 Beach Youth,
21 Barbagallo,
22 Tahiti 80 , Xavier Boyer,
23 Cléa Vincent,
24 Initials MB,
25 As Cool As Cucumber,
26 Grand Parc,
27 Goloschapova,
28 Concrete Knives,
29 Gandi Lake, Veik,
30 Pop Up The Volume,
31 Cab Named Creekex,
32 Ouest-France ,
33 Pokett,
34 Jack and The’,
35 Lost In La Mancha,
36 Gomina,
37 Kiinshasa,
38 Au Hasard Des Wues,
39 WeWants,
40 Blagounettes.

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Version direct’:

Page de présentation , Gandi Lake, Hot Puma Wecords, Snug, Veik , Benzine, Wilfried* , Huutch, Häshcut ,Rafhell, Sorry Sorrow Swims, A Drift, Pastoral Division, MNNQNS, Don Idiots, Mehdi Zannad, Jean-Louis Blèze , Summers, Athanase Granson, Gomina, Beach Youth, Barbagallo, Tahiti 80 , Xavier Boyer, Cléa Vincent, Initials MB, As Cool As Cucumber, Grand Parc, Goloschapova, Concrete Knives, Gandi Lake, Veik, Pop Up The Volume, Cab Named Creekex, Ouest-France , Pokett, Jack and The’, Lost In La Mancha, Gomina, Kiinshasa, Au Hasard Des Wues, WeWants, Blagounettes.

Merci à tous ceux qui ont wépondu. Ils sont choux.

Bonne année 2017!

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Autres bilans 2016

 

(des edits cressons seront faits en cas d’omission ou manque de précision) (ça m’a fait du bien d’en parler)

Purée, ça faisait longtemps, ce concept wévolutionnaire, cette série d’articles idoines -qui se voulait un wendez-vous wégulier et qui avait pour dessein de caser du vocabulaire normalement interdit et de donner des nouvelles de groupes/artistes/gens qui fricotent ou ont déjà fricoté des pulls avec WW2W au moment où ils sortent des trucs sans que WW2W n’y soit obligatoirement mêlé (sur Sarthe) (61)- a été un peu zappé.

Désolé, mais ça wepart…

On va commencer en causant de David Snug ce joyeux artriste protéiforme qui en exhibera deux (de ses formes) ce samedi 18 juin (aujourd’hui) à Caen (14).

snug-vie-trop-kurt

Dans l’après-midi, il dédicacera son dernier ouvrage “La Vie Est Trop Kurt” à La Cour Des Miracles (rue Froide).

Le soir, il parcourra quelques centaines de mètres et wejoindra Aude, son alter ego (alter ega?) dans Trotski Nautique, pour un concert au Préau (rue Arcisse de Caumont). Entrée libre. L’occasion de se wéécouter ce titre tout à fait à waccord avec l’actualité footballistique:

Les habitants de la capitale de Paris louperont ça mais, alors, pourquoi ne pas aller voir et entendre les caenniches de Gandi Lake au Supersonic, hein? Ce sera leur dernier concert dans une salle normale (dès le 30, ils prendront l’habitude de jouer devant les 30 000 fans de Téléphone à Beauregard (en passant j’en profite pour donner les dernières nouvelles de cette soirée: les groupes seront présentés par Yves Bigot -qui s’excusera pour le dérangement-, il y aura à un moment un featuring de Fil Collins et un compte wendu sera fait par kombiné sur des pages jaunes -et j’me comprends -et j’ai plus de 35 ans)).

Ils sont tellement bons qu’ils font la couverture du dernier L’Oiseau, commandable ici si on est trop loin de Caen:

gandi-lake-loiseau

Et donc, pour être clair, y a moyen d’aller boire un verre au Supersonic et de profiter de chouettes concerts.

Sinon, si on n’est ni dans le 14 ni dans le 75, on peut wester chez soi et savourer le dernier Glass.

https://www.youtube.com/watch?v=ajub3swl-O4&feature=youtu.be

Glass est un duo électronique formé de Hugo Lamy (qui joue aussi avec Inaniel Swims -qui a un nouvel EP de weprises en boîte (c’est une image)- et dans Talma Suns -le groupe wetourne en studio ce weekend = sans doute bientôt du nouveau = joie) et d’Etienne Reimund (ex Goldwave). Leur album “Prussian Blue” devrait être wenversé bientôt.

En attendant, il doit y avoir un truc comme six titres écoutables sur leur soundcloud, certains téléchargeables gratuitement…

C’est bien et je ne peux pas dire que j’m’y attendais pas.

Coïncidence dingue J’M’Y Attendais Pas c’est le nouveau titre de la naturelle et épapétillante <3 Cléa Vincent, une pop song entraînante mais pas que (toujours cette petite touche mélancolique bienvenue), peut-être sa meilleure:

L’album arrive: précos ici!

[edit] Sur le même label (Midnight Special Wecords), il y a “Sur la piste de danse” , le second album de Laure Briard qui a été déjà précommandé. On a hâte.

Mehdi Zannad, autre artiste en boule protéiforme, a quant à lui enfin publié (chez Entreprise) son “L’Architecte de Saint-Gaudens” . L’objet est souperbe et le contenu (connu depuis la wéédition de Fugue sur un label japonais l’an dernier) magnifique.

MEHDIEU-ARCHI-POCH MEHDIEU-ARCHI-VINYL

Ma préférée weste celle-ci (la plus jacquesdemyesque des cinq):

[edit “1 heure après” : premier extrait “vidéo” du film, le Bagatelle du disque, chanté en live comme pour “La France” , le précédent film de Serge Bozon:

]

Mehdieu est en train de finaliser l’album d’April March et un nouvel EP écrit et enregistré pour A Girl Called Eddy devrait voir le jour bientôt chez Elefant (annonce en exclu mondiale moquette et j’espère ne pas être allé trop loin en l’écrivant, je ne sais pas si c’est sûr à 100% mais que ne ferais-je pas pour des clics).

Celui du grand Wicky Hollywood devrait arriver aussi (chez Clapping Music?) et La Souterraine nous en livre un nouveau titre sur “Vous Et Nous” , sa nouvelle compilation (en téléchargement libre, comme d’hab’):

Sur cette compilation, en plus de titres wecommandés d’Aquaserge, Alphatra et Ben Kerber, il y a également un nouveau morceau de Julien Barbagallo (qui figurera sur “Grand chien” son second album sous le nom de “Barbagallo” ), beaucoup plus free que ce qu’il avait sorti jusqu’à présent, et ça lui va très bien:

Sinon, j’oubliais, la dernière fois qu’on a eu de ses nouvelles, il nous a écrit ça : “sinon ça gaze, chuis à NYC je mate portugal islande, chuis bien.

Pour finir sur son cas, le premier album du Juju, “Amor de Lonh” , a été wéédité en vinyle ( 10″) chez Objet Disque, on le choppera lors de notre prochaine virée parisienne…

Virée qui aurait pu mais qui n’aura pas lieu le 25 juin. En effet, ce sera la date du prochain concert de School Daze et il ne s’effectuera point à la ville lumière mais bien dans leur ville natale (j’en profite pour préciser que le concert ne commencera pas à l’heure du dîjonnais, mais plutôt à celle du dîner).

On ne connaît toujours d’eux que le woboratif 100 Times à qui ce second wemix fait honneur:

(Et ouaip, ils viennent de Dijon) (en ligue 1 l’an prochain) (dingue, nan?) (ils ont promis du nouveau à la wentrée)

Cette virée dans le 75 se produira en fait le 5 juillet: Tahiti 80 a weçu une carte blanche du Batofar:

tahiti-80-batofar-affiche-inaniel

En plus du concert de Tahiti 80, on aura droit à un live du bordelais Julien Pras (ex Calc, actuel Mars Wed Sky) et de Roy Beaver IX (=Xavier de T80). Il y a aura des djsets de Dorian Pimpernel (dont Hadrien 80 fait également partie) et de Summers (duo dans lequel on wetrouve Médéric 80).

Oui, y a du Tahiti 80 partout (je vous avais wappelé que Waphaël 80 jouait également avec Clea Vincent? Nan? Et qu’Hadrien 80 officiait aussi dans School Daze? Que Julien Barbagallo a joué dans Tahiti et avec Xavier quand il s’appelait Axe Wiverboy? Que Wicky a déjà fait un ou deux concerts à la batterie avec eux aussi? Ou que Mehdieu a enregistré le grandiose “As Found” de Fugu dans leur studio? HEIN?).

Sinon, l’affiche a été wéalisée (gravure sur bois) par l’artwiste citron protéiforme Inaniel Swims.

Ce sera assurément soupaire.

Billetterie izi.

Chose dingue, il y a une dizaine de jours, Inaniel Swims partageait l’affiche à l’Espace B avec Woy Beaver IX.

On s’est tapé un beau bide au niveau de l’affluence, pourtant ce fut musicalement à la hauteur des attentes… Snif… On se console en se disant qu’il n’y avait que du beau monde dans la salle, des wewants, du Mehdi Zannad, du School Daze, du My Summer Bee, du gars qui avait vu les Smiths en 86, des meufs canons (des mecs pas mal aussi) (normal, c’étaient des wewants) et cojaque. Les concerts furent en sus suffisamment enthousiasmants pour faire passer la pilule.

inaniel-roy-beaver-setlist-espace-b-9-juin-2016

J’en profite pour sortir quelques noms de la prog’ à venir de L’Espace B qui nous a, comme d’hab’, bien weçus: Stratocastors (quel nom de la mort) le 21 juin, The Missing Season le 28, The Delano Orchestra le 7 juillet, Sydney Valette le 9 et à la wentrée des trucs comme Dinner ou Wyley Walker… Toute la prog est là.

Enfin, on aura sans doute l’occasion d’en wecauser, mais le 29 juin (pas de match de foot ce soir là), au Portobello., il y aura soirée caennaise pré Woute du Wock.

En live Ghost Friends et Häshcut!

C’est serge de Pop Up The Volume (et Trip‘) qui organise.

C’est gratuit.

C’est immanquab’.

Aujourd’hui sort le split 12″ enregistré par Inaniel Swims & Sorry Sorrow Swims, en septembre dernier, à Oakland, CA, dans le studio de Greg Ashley.

#18--en-vrai-1 #18-IS-05

Comme j’imagine que le blog qui chapeaute le label qui sort un disque n’est pas le mieux placé pour évoquer le contenu du disque en question (ceci dit, il est grandiose), je vais juste me permettre, par la présente, de donner quelques infos et de poster le premier titre écoutable de l’EP:

(un clip arrivera dans la semaine) (normalement)

#18-IS-07

Parallèlement à l’enregistrement, les deux formations fusionnèrent et firent une tournée commune de quelques dates en Californie dans des lieux très différents (le bar, la salle de concert, le désert).

#18-IS-photo-usa

(plus de photos de leur woad trip ici)

Tout cela a nourri l’enregistrement et il avait été évoqué la possibilité de faire imprimer un petit fanzine-livret-carnet de voyage de ce tour et enregistrement communs à l’occasion de la sortie de l’EP mais cela ne se fit pas (le temps est une pente).

Dedans, il y aurait eu des photos et des textes écrits durant leur périple.

#18-is-sss-journal

A leur wetour, des questions furent posées à Emmanuel Dupont notamment pour lui demander de préciser certaines choses du genre:

Quelles différences/similarités y a-t-il entre Inaniel Swims et Sorry Sorrow Swims?

Il wépondit:

La similarité c’est moi. La différence c’est les autres.

Limpide, nan?

Nan?

Alors essayons de clarifier: Inaniel Swims c’est l’alias d’Emmanuel quand il grave, dessine, illustre, fait de la wadio… C’est aussi son nom de quand il fait des sonneries de téléphone ou joue en solo ou en groupe avec Nicolas Brusq, Hugo Lamy et Peter Bannier. Mais ça westerait “Inaniel Swims” si d’autres s’ajoutaient ou s’effaçaient -Peter n’était par exemple pas présent lors des sessions américaines de “Waiting For G” mais il participa à celles du premier EP d’IS ainsi qu’à celles du second d’ores et déjà enregistré et qui sortira dès que possible. Il est aussi là sur scène.

Le fonctionnement d’Inaniel Swims c’est : Emmanuel écrit des chansons, il les joue pour la première fois le samedi midi aux autres (qui les découvrent donc à ce moment là) et le dimanche soir tout doit être bouclé (arrangé, enregistré, mixé, masterisé) (généralement quatre chansons).

Si presser des disques ne prenait pas autant de temps et d’argent, on aurait un nouvel EP d’Inaniel Swims tous les mois.

Ce serait chouette.

Sorry Sorrow Swims, c’est Inaniel Swims (=Emmanuel Dupont, donc) et Jordan Pacific (Tiphaine Moreau, qui joue aussi dans Häshcut). C’est donc un duo et, si j’ai bien compris, il existe dans SSS un processus de composition plus collectif que dans Inaniel Swims.

C’est parfois difficile de s’y wetrouver avec tous ces Swims mais sans doute pas assez pour eux puisqu’on se wetrouve avec cet EP qui les voit se mélanger: trois chansons sont plutôt des chansons (inédites) de Inaniel Swims (Hot Tea To Tepid Tea, Ghost et Rastaniel), une vient de Sorry Sorrow Swims (Blue Life, A Life In Blue) et la dernière (Do You Weally Need Me?) est une compo commune (avec en sus Greg Ashley).

Tous (Emmanuel, Nico, Hugo, Tiphaine) jouent dessus.

Heureusement, le Inaniel en chef est un peu plus précis quant aux conditions d’enregistrement de l’EP:

Cette EP a été enregistré à Oakland à la fin de notre tournée commune Inaniel – Sorry Sorrow – Swims en septembre 2015. Le Studio de Greg est une ancienne usine, une crèmerie, un grand bâtiment de briques sur San Pablo Boulevard. Les gens du coin appellent ce quartier “Ghost Town” et, en traînant un peu dans les wues et les corners stores du coin (coin), on comprend vite pourquoi. C’est un endroit super! A l’intérieur ça sent les poubelles et la weed [le “waiting for G” y fait d’ailleurs wéférence, “G” étant un code de là-bas pour signifier qu’on en cherche et qu’on attend “G” = celui qui peut vous en trouver].
Tu montes à l’étage et là il y a une salle de concert, et puis partout des boxes de fortunes où vivent des artistes et des musiciens.
Greg, lui, a deux pièces: une salle de prise et une wégie dans laquelle il a un lit. Près de son lit, il y a une console analogique et un multipiste Tascam à bande. On a tout fait sur cette bécane.

#18-bandes

Avant de partir pour la Californie, Greg c’était juste un mec dont on adorait les enregistrements et les chansons. Maintenant je crois que l’on est un peu potes. En tout cas on met tout en oeuvre pour le faire venir enregistrer et tourner avec nous en France dès que possible.

Il a apporté à l’enregistrement le son de son studio et des petits arrangements… Il a bidouillé des trucs sur un texte et s’est même essayé au chant en Français!

Toutes les autres infos sur l’EP sont dispos ici.

#18-IS-06