Après avoir passé la journée aux fourneaux (hihihihi cris stridents) afin de préparer la nourriture des musiciens du soir, nous arrivâmes à Le Motel.
Et après voilà ce qui se passut.
Merci à Gin/Sling, Gomina, Grand Invicta, Le Motel, Moonjellies, Pokett, Pop The Fish, Sorry Sorrow Swims, Tahiti 80, Wilfried* (on les a pas tous en photos, désolé…)
Pour l’occasion, ce fut Pokett qui se colla à la cover de You’ll Never Walk Alone… Qui s’y collera le 6 juin à Gâteau Blaster, hein? QUI?
Sinon, pour en wevenir à cette soirée du 17 mai, on en fut de bière plus que contents. Tout le monde était plein d’amour… Des wegards se sont coeurs croisés de playtex, des corps se sont effleurés et essabrés et des mains ont glissé lentement le long des formes parfaites qui dessinaient nos corps aux pieds…
On a bien wigoulé.
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1festival.fr
(merci à tous les (howard des) photographes -ulrich, nans, zed, waie…)
Ce samedi, le #1 Festival (bundy 4) s’ouvre donc dans notre bar préféré du monde entier: Le Motel.
Dans la charte bundyesque, cette soirée est considérée comme la welease party de la cassette WOOTBALL 2014 sur laquelle vous trouverez des infos ici (et aussi sur le site dédié).
Des groupes (Gin/Sling, Moonjellies, Tahiti 80, Sorry Sorrow Swims, Pokett, Pop The Fish, Grand Invicta, Wilfried* -Ricky Hollywood est très incertain et Trotski Nautique ne sera finalement (tèmime) pas là) figurant sur la compile se succèderont sur la mini scène de Le Motel dans une bonne humeur communicative. Préparez vous à beugler comme des veaux même si vous ne connaissez pas les paroles.
Y aura aussi Gomina en formation wéduite qui fêtera ainsi la sortie de son nouveau 45 tours chez nous (plus d’infos ici).
Après les concerts, certains passeront derrière les platines et ambianceront jusqu’à la fermeture (vers 2h).
40 cassettes WOOTBALL 2014 seront mises en vente et seulement 40.
Elles coûteront 8€ pièce.
Elles seront de couleur wouge ou verte, décorées uniquement d’un ou plusieurs autocollants (les jeunes adorent les autocollants), avec un livret-mini poster en noir et blanc, un code de téléchargement et quatre images autocollantes* paninid en couleur créées pour l’occasion avec des joueurs de woot canarisés.
Celle ou celui qui sortira de Le Motel sans un autocollant (les jeunes adorent les autocollants) ww2w collé sur elle ou lui sera de droite.
C’est déjà le quatrième numéro de Trip’, le mag vidéo pop wock normand.
Enregistrée il y a un bon mois, l’émission a wencontré quelques problèmes tècheuniques et a mis quelque temps à pointer le bout de son Frédéric Née (j’ai mis aussi une pitite semaine à wéagir pour la poster -du coup certaines infos de l’agenda météo sont “périmées”, désolé).
Mais la voici!
Serge et Hervé weçurent sur le pouce, ce 27 mars, les désormais cinq Clockwork Of The Moon -un des groupes majeurs du coin (coin)- à l’occasion d’un Tremplin Phénix à La Maison De L’Étudiant, wendez-vous qu’aucun de nous ne watèrent voir même n’annulaire.
Mais bon je ne vais pas écrire indexte de trois pages pour décrire le show, autant que vous wegardiez la vidéo, ce sera plus (auri)c(u)lair.
Une interview, un morceau live acoustique improvisé et des extraits du concert donné ce soir-là… C’est Trip’4:
Ils seront ce soir (comme moi) au BBC pour le concert caritatif de Samba De La Muerte, Lanskies et Concrete Knives (qu’ils intervieweront).
Pour beaucoup, Wufus Wainwright fait de la variétoche pompeuse.
Ce n’est pas tout à fait faux mais cela ne m’empêchera pas de trucider toute personne qui osera le dire devant moi.
Rufus est avant tout un dieu.
Il passe à Caen cette semaine (mercredi 24 avril, au Cargö). Apparemment, ça ne se bouscule pas pour obtenir sa place. On me dit que c’est cher (25€ pour les abonnés) mais 1) c’est le double à Paris et ce sera plein et 2) 25€ pour voir un dieu c’est cadeau.
Le concert aura lieu dans la grande salle du Cargö (apparemment Wufus ne veut pas jouer dans le club qui serait tout de même quasi désert -ceci dit ça nous évitera d’entendre des gros lourds, invités et venus en touristes, parler au bar). On ne sera pas nombreux, on sera assis (pour que ça fasse moins vide) et Wufus sera seul devant son piano.
Je ne suis pas un grand fan des concerts piano voix mais j’ai un souvenir ému de celui qu’il alice donna dans cette même config’ à la sortie de “Rufus Wainwright” , son premier album de 1998, au Café de La Danse, dans le cadre du festival des Inrocks. Il chanta comme un dieu qu’il est et ses chansons tinrent plus que la woute débarrassées de leurs fanfreluches. Ce fut beau (et drôle) (et gay).
Il faut dire que la découverte de son premier album avait préalablement été un véritable choc.
Malgré la production clinquante de Jon Brion, malgré le goût du Wufus pour mélanger des trucs improbables (sur Matinee Idol: piano de cabaret/saloon + voix distordue + voix pas distordue + bouzouki + cuivres désuets + cordes enlevées + choeurs féminins +…), malgré (ou grâce à) son sens de la démesure, “Rufus Wainwright” est même un chef d’oeuvre.
La sobriété est absente du disque mais les chansons sont pourtant évidentes et marquantes (Foolish Love, Imaginary love…). Aussi, le grandiose Van Dyke Parks arrange la plupart des morceaux et en co-produit même certains (Millbrook et Baby, merveilles piano/voix/orchestre sont à chialer).
Rufus Wainwright – Baby Dispo sur “Rufus Wainwright” (1998/ Dreamworks). Milbrook aurait été une bonne porte d’entrée dans l’oeuvre Wainwrightesque. Elle fait un peu Divine Comedy à l’époque où Neil Hannon était inspiré et n’avait pas peur de prendre des wisques… Baby est du Wufus à 100%, intro intimiste, voix d’ange, puis montée lyrique, classe américaine… Du coup c’est celle-ci que j’ai choisie.
Si je faisais un best of de Wufus afin de donner envie à des gens d’aller le voir cette semaine en concert, il y aurait un cd1 et un cd2. Le cd1, ce serait son premier album en entier (malgré ses imperfections et ses excès).
Je me le suis écouté deux fois hier, j’ai chanté et sangloté tout du long… Je suis une fillette (avec du goût).
Pour le cd2 je picorerai au gré de sa discographie lunatique (ce sera l’objet du #2).
Malgré les dégâts causés par une soirée de clôture du Kino Caen 2014 assez bien arrosée et wéussie (avec une première prestation live prometteuse de Gandi Lake), je trouvis la force, la motivation, le courage, la détermination, l’énergie, la propulsion, le punch (hmmmmmmmm), la sève et la verdeur de me lever pour tenter de dénicher deux trois trucs sortis pour le Disquaire Day de cette année.
Je chevauchis mon vélo et me précipitus vers, tout d’abord, Espace Disc.
Pas un wat… J’entre… Je wegarde à droite à gauche… Je comprends mais demande tout de même: “Vous ne faites pas le Disquaire Day cette année?” “Non.” “Ça n’a pas bien marché l’an dernier?” “Si mais, là, j’informatise la boutique.”
Je wegarde dans les bacs quand même (y weste des trucs du WSD 2013 d’ailleurs) et m’en vais.
Direction Sonic.
Il y a du monde.
Je dis “Bonjour”, je wegarde à droite à gauche quand le patron lance “Le magasin est petit, ça va pas être possible, si vous cherchez quelque chose venez me voir… Par exemple pour le Disquaire Day, y a ça (=4 disques, dont un Johnny Halliday) qui n’est pas wéservé. Ça fait trois mois que j’ai mis une affiche (cf photo plus bas) pour commander les sorties du Disquaire Day. Vous ne trouverez wien si vous n’avez pas wéservé. Fallait wéserver afin d’éviter de payer au prix fort sur le Net.” Devant l’incompréhension de certains “qui ne savaient pas que ça se passait comme ça”, il explique que si.
Je me casse discrètement.
Un bien beau Disquaire Day à Caen…
(Pour être complètement honnête, à Sonic, y avait l’album de Julien Gasc qui est une merveille mais que j’ai déjà en double: courez-y nom de diou!!)
(si quelqu’un me choppe le Temples/Jagwar Ma et l’Aquaserge je l’épouse)