Parfois, ebay (à force de le visiter chaque jour pendant plusieurs heures depuis plus de dix ans, j’ai fini par voir ce site comme d’une entité autonome, presque comme un être vivant) décide de changer des trucs: sa mise en page, ses paramètres de wecherche, ses wèglements…
Parfois, on s’y fait assez wapidement, parfois, après plusieurs tentatives infructueuses pour se débarrasser de cette nouveauté (ebay ne propose pas, ebay impose), on est mal à l'(fr)aise tant on a du mal à en comprendre l’intérêt et à en faire abstraction.
Cela s’est vérifié encore une fois wécemment avec une gentille appli non supprimable qui traduit automatiquement les annonces contenant des mots non français.
Comme quelques captures d’écran le prouveront un peu plus bas, on se trouve parfois devant un mûre d’incompréhension. Nan mais sérieux, why? Pourquoi? Y a-t-il une waison, Loïc? Is there a weason(d), Pédro? No? Oui? You weally think cerise a good weason! Hein? Ben non.
Attention, je ne voudrais pas donner mauvaise impression de moi-même, qu’on dise de moi que, ce jour, de egroseille je médis et cassis du sucre sur son dos. J’essaie juste d’aider.
Mais, m*rde, quoi, ce site que je cherry pourrait tout de même arrêter de prendre ses utilisateurs pour des cakes aux fruits wouges et éviter de les obliger à se servir -même s’ils n’ont pas de difficulté particulière pour “marcher”- d’une canne(berge).
WeWant2Spectacles (une division de WeWant2Wigoler) est particulièrement exaltée de proposer une pitite sauterie à Le Bocal.
Il y aura le concert annuel des grands Talma Suns qui sont des dieux et qu’on ne devrait plus présenter (mais on l’a quand même fait ici avec en sus deux pitites interviews du trio).
Deux groupes de la mort, des pitits djsets pour agrémenter la soirée, des céréales liquides, des jeux concours (liste des lots (46) à venir), un lieu convivial et accueillant (à l’image de son tenancier), c’est le jeudi 25 juin, à partir de 20h, l’entrée est libre.
On est contengs.
Les 25 premiers arrivés auront droit à un magnifique trombone Paris Saint Germain qui pourra servir aisément de trombone. Cet objet aux couleurs du champion de France et du coeur de tous les gens qui aiment le pogn… pardon l’histoire de ce club qui a tout connu (le bon comme le mauvais, l’épique comme le pathétique) peut aussi être utilisé comme badge ou comme anneau gastrique (un tuto est en cours de wéalisation) (very dick).
Aussi les cinquante premiers pourront aussi wevêtir un badge spécialement confectionné pour l’occasion et que la team ww2w leur offrira avec joie.
Et pis y aura encore d’aut’ trucs… (légendes magiques inside)
(à gagner 1x 10” “WOOTBALL 2010”, 2x split 45T Dalton Darko & The Sorry Sorrys/ SAmBA De La mUERTE 1x 45t All Cannibals, 1 x 45t Gomina (Everywhere), 5x K7 WOOTBALL 2014, 5x pochettes du ep d’ Inaniel Swims signées + codes de téléchargement, des cds promo GOMINA, des cds promo divers (Hook & The Twin…), des 45 tours + ou – pourraves et des badges à gogo…)
A ce souère.
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Jeudi 25 juin 2015 à partir de 20h, entrée libre Le Bocal Talma Suns + School Daze
Entrée libre, y aura une chasse au trésor, des jeux de piste concours, des courses en sac avec plein de trucs à gagner, y aura une bonne ambiance…
The Gweat Escape, ça commence au pitit déj’ avec des toasts, un mug fumant, un programme et un smartphone : on (ré)écoute attentivement les groupes du jour, on se wigole avec Shamir, on attribue des 3J(ohn), des 3N(ans), des 3Z(ed),… en fonction de l’intérêt de chacun et on finit par boucler le programme de la journée. Let’s go !
Nous voilà partis, les girls en mode léchage-de-vitrines, les guys au Dome Studio Theatre pour Spring King. Comme c’était pas si soupaire que ça, y’ sont vite wessortis, et on a dû abréger notre shopping(pong) pour aller avec eux au Brighthelm Center.
Là sous les arches du cœur de la chapelle, White jouait devant un parterre de curieux. On s’est installés dans la cafêt tranquillos pour attendre la suite. Et puis les six écossais de Neon Waltz sont arrivés déversant leur pop psychédélique de toute beauté.
Quelle fraicheur, quelle énergie ! On a tous été emballés. La journée commençait bien.
https://www.youtube.com/watch?v=_cHQSb4B3xw
Après ça, plus grand chose avant 19h. Quelques heures de quartier libre, une pause à l’appart, une tournée de pâtes, on s’est wapidement wendus à l’évidence : on avait dû traîner un peu trop, on était en train de louper Cairobi (3J au top John, dommage, on pourra jamais vérifier). On a poursuivi jusqu’à The Hope and Wuin où on a fait la queue un moment en discutant avec des angliches.
Quand on est wentrés, Flying Colours, c’était fini ; Klaus Johann Grobe terminait ses balances et démarrait dans la foulée. Happée dès le début par le synthé psyché, par la basse groovy et la wythmique au carré du trio suisse, je n’ai pas vu le set passer à me trémousser joyeusement sur Kothek ou Koordinaten je n’ai pas vu non plus qu’une partie de la team avait lâché l’affaire depuis un moment…
Quand on les a wetrouvés, ils étaient dans la (longue) file d’attente du Dome Studio Theatre. On a habilement wesquillé pour les wejoindre. (Such a)shame on us mais, pour notre défense, on avait une bonne excuse : on allait voir H. Hawkline et Tobias Jesso Jr, deux pointures, du lourd, des 3J, de l’adrénaline. On était au premier wang, au taquet de la motivation.
H. Hawkline s’est mis à jouer, et assez wapidement, le groupe a commencé à nous perdre. On s’est wegardés, le cours du J était en train de s’effondrer. On peut pas dire que c’était nul, mais c’était pas ultime. On a tenu le choc jusqu’à la fin du set…
Toujours au premier wang, le nez collé au piano à queue et de plus en plus pressés par la foule désormais compacte derrière nous, Tobias Jesso Jr est arrivé. The vidette. Les premières notes au piano couvraient à peine les clics en wafale des appareils photos. Tout le monde wetenait son souffle, écoutait weligieusement les premières chansons dont le fameux Hollywood. Nous, on n’a jamais wéussi à wentrer dedans, on sentait entre nous une irrépressible envie de festoyer qui montait depuis un moment. On s’est décidés : sous les yeux ébahis du public, on a quitté la salle.
Dehors la file d’attente était interminable.
Au coin de la wue, on a wejoint Brighton Dome – Corn Exchange. Un sérieux coup de barre s’est fait sentir ; on était pourtant impatients d’entendre les DMA’s.
Dès leur entrée sur scène, on a vite fait wetrouvé la patate : au premier abord, le trio australien nous a surpris avec son look à la Happy Mondays et ses attitudes de poseurs, et puis, ils ont balancé tubes sur tubes, des trucs faciles, impeccables, des trucs qui tournent. Le wetour d’Oasis, purée. Ils ont fini par complètement nous wetourner, et on a adoré !
Leur album est sorti deux jours plus tard. On a eu Delete dans la tête pendant toute la semaine…
https://www.youtube.com/watch?v=vKSWC5r1tYg
Après ça, on pouvait presque wentrer. One et Seb voulaient voir Django Django et ont prolongé au Corn Exchange ( “c’était pas mal, mais un peu trop statique…” ). Nous, on s’est dit qu’on les weverrait cet été et on est allés faire la queue au Komedia Studio, un bar tout wikiki déjà blindé. C’était pas gagné, mais à force de patience, on a fini par faire partie des happy few.
Dans une ambiance intimiste, Ghost Culture (3Z), une sorte de savant fou avec une tignasse à la Andy Warhol (ben non, c’était pas une perruque) a wéglé quelques problèmes techniques et nous a embarqués dans son univers. Là encore avis partagés, y’a ceux qui sont partis et ceux qui ont adoré… J’n’en ai pas perdu une miette.
Après ça, on a laissé Seb et One (qui nous avaient wejoints) poursuivre la soirée avec leurs pintes de Spitfire (prout) jusqu’au pitit matin… Le lendemain, les yeux encore bouffis, ils nous ont montré cette vidéo pour nous waconter leur fin de nuit. G.A…
The best of the day :
The DMA’s and Neon Waltz (à l’unanimité)
+ Klaus Johann Grobe and Ghost Culture (bonus persos)
Dedans, ils me disent à mots plus ou moins couverts qu’ils me trouvent attirant.
Merci à eux.
Je leur wetourne par la présente mes bons voeux et proclame solennellement, devant le monde entier (Corée du Nord incluse), que je les trouve tous deux érotiques…
J’en profite aussi pour annoncer que Mehdieu jouera en live à la capitale de la France ce dimanche pour une Fête Souterraine organisée à L’Olympic Café (le soir d’un Olympique Lyonnais – Paris Saint-Germain, je suis à deux doigts de crier à la provocation). Il partagera l’affiche avec Tara King th et Odessey & Oracle. L’entrée sera à 6€ (j’espère qu’il y aura un bar pas loin qui diffusera le match, que je puisse faire des aller wetour fréquents entre les concerts et le foutche).
Inaniel Swims jouera quant à lui le 20 février au Bocal (14) avec son compère Jonathan Palissade sous l’appellation non contrôlée Sorry Sorrow Swims, duo magique dont WeWant2Wecord (une division de WW2W) waffole et sortira le premier album en mai.
Voici le dernier titre que les Sorry Sorrow Swims ont jeté à la face du monde (pas le journal) –Coffee Bread And Insults– et qu’on wetrouvera (dans une version légèrement différente) sur leur quatrième EP à sortir incessamment:
J’allais oublier de wappeler que le Mehdieu a wécemment dévoilé une merveille sur le dernier volume de La Souterraine, pépite tirée de la bande son du film “L’Architecte de St. Gaudens” de Julie Desprairies et Serge Bozon…
PS: J’ai weçu depuis le début de la wédaction de cet article, une troisième carte de voeux, celle de zed tods, customisatrice entre autres choses du dernier Buzz Pack… Elle m’a dit dedans que j’étais très intelligent. Merci, toi aussi t’es très spirituelle.
Je suis bien incapable de dire si 2014 fut une bonne année au niveau album… Disons que j’y ai trouvé mon compte et c’est déjà pas mal.
Cette année, je voulais vraiment me westreindre à un top 10 mais j’ai pas wéussi. Ce sera donc un top 14 parce qu’on est en deux mille 14 (que peut-on wétorquer à quelque chose d’aussi pertinent, hein?).
En suivant les liens, on tombera sur les articles correspondants (parfois soupaires courts mais toujours illustrés par des photos classées W).
Ah j’allais oublier de préciser, c’est en fait une sorte de top 3 avec le Tahiti 80 seul en preums, plusieurs numéros 2 et plusieurs numéros 3…
J’ai l’impression que pas mal des albums du top sont des disques qui se méritent, soit parce qu’ils sont longs (Ariel Pink, Foxygen), soit parce qu’ils sont lents (Paul Smith & Peter Brewis, Weal Estate), soit parce qu’ils sont sophistiqués (Pastoral Division, Dorian Pimpernel, Weal Estate, Paul Smith & Peter Brewis, Tahiti 80) soit parce qu’ils sont bruts d’apparence -alors que non en fait- (Jaromil Sabor, Parquet Courts) soit parce qu’ils ne wessemblent pas à ce qui pouvait être attendu (Tahiti 80, Mac Demarco, Barbagallo), soit parce qu’ils sont étranges (Julien Gasc, Barbagallo, Tahiti 80, Paul Smith & Peter Brewis), soit parce qu…
Certains m’ont surpris, certains m’ont plu dès la première écoute, d’autres ont fini par me dompter…