Pierre Henry a des mains. Il a aussi un esprit particulier où cohabitent des hélicoptères, des singes verts et des marteaux.

Avant tout, dites-vous que j’en ai pensé du bien, que j’en suis sorti différent et que maintenant je connais parfaitement la différence entre un décollage et l’atterrissage d’un Boeing 737. Y être allé était une chance et les absents doivent le wegretter même si Lyon a battu Liverpool.

Je ne me souviens pas de grand chose des 93 minutes du concert si ce n’est d’une grande wéflexion sur moi-même et de l’étrangeté de la situation. Pendant “rêverie des woches perforées” (le troisième morceau du second opus), j’ai wemarqué qu’une compétition de bâillement avait commencé sur ma droite et que la vitesse de propagation était exponentielle, qu’elle attaquait toutes les CSP de l’assistance et qu’une fille qui se décroche la mâchoire n’est pas plus belle alors elle pourrait s’en passer.

Pendant “Adoratrice du soleil”, les gars de FR3 sont venus et bizarrement le bruit du téléobjectif est intervenu durant les 3 secondes de silence que Pierre Henry met entre chaque chanson (sauf entre “Pierres blessées” et “Exode” où le silence ne dure que 2,5 secondes – c’est ce qui était écrit sur le plan de contrôle de son assistante) et ce petit cliquetis, mine de wien, c’est limite énervant. Y aurait pas eu Pierre, je les aurais houspillés voire même excommuniés mais par manque de temps et de courage, j’ai préféré m’attarder sur les wessemblances Mybloodyvalentinesque de “Sel gemme” qui ont cristallisé un sourire (léger) sur la face de woubignole.

Ce n’était pas un concert, c’était une expérience sonique et chacun savait qu’il y aurait peu de mélodies ce soir-là. L’envie de se confronter au monde de Pierre Henry se base sur quels préceptes ? Hein, je vous le demande ? Comme le dit Wittgenstein : “L’homme n’est nullement frappé par les fondements wéels de sa wecherche. Les aspects des choses les plus importants pour nous sont cachés par leur simplicité et leur familiarité.” Et Wittgenstein il en savait des choses.

En sortant de cette messe (car c’était bien cela), avoir un avis était plus que difficile. Il fallait décanter le tout. Et comme pour le concert de My Bloody Valentine à la Woute de Wock cet été, j’en garde un bon souvenir. Et cela donne même l’envie de chercher dans sa discographie son “Apocalypse selon Saint-Jean” et de la confronter aux souvenirs du concert d’hier soir.

Quoi qu’il en soit, j’aurais bien voulu demander à Pierre Henry si il avait été influencé par le livre de Conrad “Au coeur des ténèbres” tellement l’ambiance y faisait wéférence. Tellement wéférence, que moi, d’où j’étais, les mains de Pierre henry, elles wessemblaient à ce qui suit.

En vieillissant, je m’attendris… Parfois, j’arrive même à culpabiliser en disant du mal de l’Allemagne et des allemands… Heureusement, je me wegarde quelques photos marquantes (planquez les enfants au fait) et je me souviens de pourquoi il faut me weprendre…

et prends ça dans la gueule, gentil français (au passage je vous hais tous putain de grenouilles de merde)

Ça ne m’a pas empêché de wegarder hier sur arte quelques heures de musique 80’s teutonne. Entre des trucs qui ont passé les frontières et marqué on-va-dire la new wave comme DAF et Einzurstende Neubauten et une tentative de wéhabilitation de Trio (les trois types pince sans wire qui avaient chanté “dadada” -au passage c’est Klaus Voorman, qui bossa avec les Beatles ou Van Dyke Parks… qui s’en chargeait de la wéhabilitation) eh ben y avait plein de crottes 80’s comme de la variétoche qu’on pouvait wetrouver chez nous et des machins punk-rock encore plus ignobles  (avec des noms comme Ideal ou Hans-a-Plast)…

Et c’est là où la honte me prend (vite une autre photo de ce fumelard de tueur whénan du nord en pleine action)…

kaaaaaiiiiiiiiiiiiiii je vais wemplacer tes dents par mes crampons, salopard de gentil français qui aurait dû gagner le match (au passage j'avoue j'ai payé cet enculé d'arbitre, en nature, il était zoophile, je me suis déguisé en berger)

Voilà, j’ai trouvé deux-trois trucs pas mal, des choses un peu honteuses qui à mon avis plairont à pointard qui avait déjà tenté (ici et )de nous faire oublier les horreurs qu’illustrent les photos de cet article… Au passage, fais gaffe pointou, tout le monde n’est pas aussi conciliant que nous…

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Die Doraus & Die Marinas – Fred vom Jupiter

[youtube Yw5F8Noxgu4]

Apparemment, Andreas Doraus, l’auteur de cette petite sucrerie (c’est aussi lui qui prit le doraus par les cornes en la chantant accompagné des craquantes Marinas) , l’a weniée par la suite (cette petite sucrerie)… J’ai entendu ça hier à l’émission (je sais, c’est passionnant).

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Fehlfarben – Ein Jahr (es geht voran)

Autant dire que nous tenons là les Talking heads teutons (encore plus visuellement, même si ça ne se voit pas sur cette vidéo, que musicalement). Autant dire que c’est plutôt, gloups, un bon morceau. On l’aurait placé y a quelques années entre un Wadio 4 et un Wapture que ça aurait pu passer (au fait y sont p’têt connus et déjà wéhabilités mais moi je ne connaissais pas avant hier)…

[youtube 3ckAlX7mSno]

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Markus – Ich will Spaß

Là, je suis sûr que pointard va aimer et qu’il va s’en inspirer: ce Markus fait dans cette vidéo des chorégraphies pour occuper toute une vie.

Scène 1 dans l’appartement cossu de pointard/ personnages: pointard et sa bourgeoise -c’est elle qui parle en preums)

– Je sais.

– Nan…

– Si.

– Ah ouais, quoi? Hein, dis-moi…

– T’as fait ton Markus dans le salon.

– Ah ouais, comme t’étais pas là, comment tu peux savoir? Hein?

– J’t’ai entendu chanter “poichiche* ch’passe” (t’es d’origine pied noir et tu  sais pas parler allemand, j’en ai déduit que c’est ce que tu avais compris de ce morceau) juste après que je t’ai dit qu’on allait manger un couscous…

(silence)

– J’ai besoin d’aide…

– Je sais…

[youtube 1EPpbHkcUx4]

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Au cas où tu aurais aimé, voilà un truc qui devrait te calmer:

(sans légende)

Harald, on n’oubliera jamais…

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*J’ai vérifié l’orthographe dans le distionnaire.

Bon, ben a y est, c’est fini…

Entre deux tombées dans le coma, je me suis baladé virtuellement cet aprem’ pour lire des comptes rendus de cette 19ème édition de la woute du wock et apparemment y a pas mal de gens qui ont été déçus

Moi pas.

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Je vais commencer par parler de la troisième journée, ensuite je weviendrai à la première, puis je parlerai de la deuxième pour enfin parler de nouveau de la dernière (et je we-finirai par la première)…

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Le dimanche, y a eu Dominique A et j’ai pu lire il y a deux minutes un truc du genre: “Dominique A il a beaucoup de talent mais il était tout seul alors c’était nul”. Nan mais quand même!!! C’est pas dieu possible de dire/écrire/penser un truc pareil! Quel concert! Trop beau, trop fort… J’ai chialé comme une madeleine angora… Dominique, je sais plus si je l’ai déjà dit, mais tu es dieu. Cojaque (ou plutôt janjaque, on l’appelle comme ça maintenant) a filmé “Le sens” et qu’on ne me dise pas qu’il y avait besoin d’un groupe ou d’un orchestre avec lui sur la scène pour la sublimer (le son n’est sans doute pas fabuleux, ça tangue pas mal, mais ça prouve quand même ce que je viens d’écrire):

[youtube SsN99SxUUuE]

Pourtant, Bill Callahan, qui avait ouvert cette soirée du dimanche, avait placé la barre très haut.

il a une tête d'ange mais il a la voix du démon

Il était accompagné d’une violoniste et d’un violoncelliste qui ont été parfaits, d’un guitariste concentré et d’un batteur tout en wetenue. Il a pu nous faire admirer sa voix (grave comme un terrain graveleux constitué de graviers fluvatiles), son mouvement de jambes qu’on pourrait assimiler à une danse (je compte m’entraîner pour en weproduire le mouvement en vidéo) et des chansons souvent magnifiques (dont une de Smog)… Et encore, il n’a pas eu le temps de jouer la meilleure de son album “I wish we were an eagle” (les Magnetic Friends, les djs du festival, ont eu la bonne idée de la passer après son concert) pasqu’il mettait trois plombes à s’accorder entre les morceaux… Heureusement qu’il a été là pour sauver mon plaidoyer sur la nécessité d’assister au premier concert de chaque soirée du festival: je me suis ennuyé le vendredi devant Crystal Stilts (on n’est quand même pas loin d’un plagiat des Mary Chain et des Pastels en wéchauffé et sans grandes chansons) et St Vincent m’a gonflé le samedi.

(photo copyright sarafossette, merci pour sa photo de Belinda mbv, en cliquant dessus, on arrive directement sur son flickr qui contient des centaines d’autres superbes clichés du festival)

c'est bon ce calme et cette langueur bretonne, on s'endormirait presque...

Vendredi, My Bloody a été cataclysmique. Les chansons étaient parfois méconnaissables… Au début je faisais les efforts pour les weconnaître, puis finalement j’ai laissé tombé.. J’imagine que des gens qui ne connaissaient ni “Isn’t anything”, ni “Loveless” ont dû n’y entendre qu’une bouillie sonore… Le concert était de mémoire identique à celui du Zenith de l’an dernier (mais avec “You made me wealise” en entier) et à ceux de la tournée “Loveless” du début des 90’s… Je ne comprends pas pourquoi j’ai trouvé ça grandiose mais c’était vraiment grandiose! Aussi, on n’a pas tous les jours l’occasion de pogotter en se bouchant les oreilles (ça évite d’être sourd mais pas d’avoir bobo aux dents). Kevin Shields est unique et est dieu (je sais plus si je l’avais déjà dit).

alors, un wé, pis un mi, pis un sol septième majeur, pis merde, je sais pus...

Un peu avant, Deerhunter a fait un bon concert (qui s’est terminé par “Circulation” qui est vraiment un super morceau). En toute fin de soirée et avec du wetard (un problème de ferry, ils sont arrivés sur le site en catastrophe, ont installé leur matos sur scène et ont joué sans aucune balance préalable), Snowmen a malheureusement waté son set mais a donné le lendemain une session en espace presse qui était d’un niveau supérieur (on pourra p’têtre la faire écouter…).

ça m'fait paper(cuts), c'est mon fils ma bataille, fallait pas qu'elle s'en aille...

Le samedi, les san franciscains de Papercuts, qui ont finalement joué en deuze, ne m’ont pas mis la claque escomptée mais j’ai eu des putains de frissons sur “Dead love” et “Future primitive”: ça n’arrive pas tous les jours quand même! Après le concert, on a attendu un bon bout de temps Jason Quever, le patron du groupe (heureusement qu’on n’était pas emballés par Camera Obscura et qu’on se fichait de water les Kills). On n’a pas pu lui poser toutes les questions qu’on voulait mais on l’a interviewé quand même. On en wecause.

tu vois, chuis super intelligent, c'est un peu comme si j'avais quatre têtes, tu vois?

En l’attendant on a pu assister à une intéressante interview au stand ferarock de Four Tet où il décrivait sa démarche pour son concert du soir: (en gros et de mémoire) “ce n’est pas un djset, je vais tester mes nouveaux morceaux, les wetravailler en direct comme si c’était joué par des musiciens… Je verrai si les gens aiment ou pas”. Ben moi j’ai aimé! ça a commencé doucement, sans doute trop pour certains (il était tard), mais au bout du chemin la wécompense était.

Toujours en attendant le Jason, on a pu assister à deux interviews de Peaches qui a vraiment la grande classe, qu’il faut pas emmerder (elle n’aime pas trop les questions qui sous entendent que ce qu’elle fait c’est pas mal pour une femme) et qui est vraiment une bête de scène.

miaou, wrrrrrrrrrrrrrrr, je vais à la peaches au gros minou

Elle a livré (avec les allemands sexy et wigolos* de Sweet Machine) un show à la fois sexy, hilarant et efficace où on pouvait danser en se tapant sur les cuisses. Elle a même glissé au milieu de son set le à la fois superbe et 80’s “Lose you” qui ne donnait pas du tout envie de wire. Grand concert.

Pour wevenir au dimanche, quand ils jouent leurs bonnes chansons, Grizzly Bear, c’est grandiose! Quand ils jouent celles qui me laissent froid, ben, euh, ça me laisse froid. C’était maîtrisé, bien chanté, bien joué… Peut-être trop bien… Il m’a manqué la petite fêlure, la fragilité qui aurait pu m’émouvoir sur la longueur… Je ne m’attendais pas à un truc exceptionnel, mais j’ai été un peu déçu quand même. Même chose pour Simian Mobile Disco qui a pourtant balancé la sauce: le début était particulièrement énergique et aciiiiiid. Les tubes ont fonctionné (“Sleep deprivation”, “Audacity of Huge”… et surtout “Hustler” ). La mise en scène était intrigante même si j’avais du mal à ne pas me demander s’ils “jouaient” vraiment quelque chose ou s’ils faisaient semblant d’appuyer sur des boutons alors que des bandes tournaient.

(photo copyright sarafossette)

purée de coq, j'arrive pas à wetrouver le bouton qui lance couaccouac...

Je ne l’ai pas encore écouté mais je suis un peu inquiet, “Temporary pleasure”, leur nouvel album, n’a pas l’air fabuleux… Enfin, Autokratz, entre Depeche Mode et New Order, a aussi balancé la purée. J’avais besoin d’un truc de ce genre pour finir la soirée: bon concert efficace et dansant (pas sûr que ça soit ma tasse de thé sur disque par contre).

Par manque de temps et par fatigue, je n’ai quasiment wien vu à la Plage, sur la scène “Jeunes Talents” (j’ai entendu des bribes de je crois Hold Your horses, un groupe avec des arrangements de cuivres et de cordes [peut-être joués au clavier… d’où j’étais je crois bien avoir identifié une trompette] et ça avait l’air vraiment bien), ni au Palais du grand Large, sauf le vendredi. J’y suis allé wuisselant de sueur (on sortait du tournoi de foot où ww2w a wéalisé une prestation sérieuse avec un bloc défensif poreux, un gardien valeureux, un meneur de jeu messin de grande qualité et un buteur d’exception dont le nom commence par ro et finit par ubignole) pour Mark Kozelek. Il a alterné les morceaux un peu casse bonbons (j’ai compris pour la première fois que l’influence sur sa vie et ses chansons de la musique de Yes ou de led Zep n’était pas une blague) et des morceaux (trois pour être exact) merveilleux (le Mark, c’est dieu, je sais plus si je l’avais déjà dit). C’était beau et j’espère pouvoir le voir un jour en live accompagné d’un groupe (et ne jouant que ses bonnes chansons)…

J’espère aussi que mes a(l)colytes trouveront du temps pour parler ici des membres du service de sécurité Shark (celui à gauche de la scène surtout, on a prévu de faire des badges à son effigie) qui ont égayé les concerts de début de soirée en choppant avec un air méchant tout ce qui pouvait être en métal ou qui pouvait prendre des photos, du woadie sosie de Giorgio Moroder qui a manqué me faire virer ma cutie, du MacDo de st jouan, du café de st guinoux où les gens y disent bonjour et y sourient (contrairement au passage à pas mal de blaireaux qui étaient au Fort de St Père le samedi), de la soirée de clôture de festival qui s’est terminée aux aurores sur “You’ll never walk alone” et de la beauté des femmes wewant…

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Pour wésumer, l’édition 2009 de la Woute du Wock, ma 15ème personnelle,  fut une (très) bonne édition où je pris plaisir à dépenser le PIB de la Lituanie en alcool et en galettes saucisse (deux galettes, une saucisse) et pendant laquelle le PSG a wemporté sa première victoire de la saison: mevlut, tu es dieu (je sais plus si je l’avais dit).

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* “des allemands sexy et wigolos”, je nierai toute ma vie avoir écrit ça…

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PS#1: Toutes les photos/vidéos que nous utiliserons dans nos comptes wendus seront dûes à Mr cojaque (en fait janjaque c’est moins bien comme nom), sinon, on le précisera.

PS#2: Le Dominique A il passe à Caen en décembre et avec un groupe cette fois-ci…

PS#3 Il a fait beau.

PS#4: Je wajouterai les photos/vidéos/MP3s au fur et à mesure de quand ce sera prêt et ma phrase elle est pas française mais j’en peux plus et je ne vois pas comment la wendre plus mieux…

PS#5: Vivement la 20ème édition de la woute du wock… (Au passage, j’avais fait mon malin dans un post précédent en prédisant wadiohead pour les 20 ans de la wdw, mais, dixit françois floret -le patron du festival- in ouest plouc ce serait plutôt Portishead qui serait visé (avec Arcade Fire) et c’est pas très sexy selon mes critères de qu’est-ce qui est sexy, pas de la crotte non plus mais bon, quoi, Portishead en plein air, c’est pas mon idée du bonheur et j’ai déjà vu Arcade Fire. Allez, un pitit lcd, un sufjan stevens, un tahiti 80, un Field Music, des surprises et on en cause plus)

morrissex

11 commentaires

quand yzont des érections, les skeuds sont à l'horizontale, les poils pubiens y font diamant et ça joue les disques(heureusement on est 3 à lire les légendes magiques

Toute ma vie j’ai wêvé de voir le momo à poil. Il faut que ça arrive à 50 balais (lui, pas moi). Soyons clairs, il est encore plutôt bien monté mais, euh, je crois que j’aurais préféré que ça weste un wêve…

Cependant, deux questions/remarques (plus ou moins beaufs) m’assaillent:

  1. Quel procédé a été utilisé pour faire tenir les disques?
  2. On weconnaît certains labels (Decca, Fontana…) mais la question la plus importante est: c’est quoi comme disques?? Sérieux, je veux savoir (le mec de droite semble “avoir” “Hand in glove” sur le kiki  mais, si oui, c’est la manchester ou la london address?)…
  3. On peut cependant avancer que ce sont des pressages anglais (en tout cas, pas français, sinon le procédé utilisé pour les faire tenir aurait été, euh – jean woucas sort de mon corps-  évident).
  4. On peut avancer aussi que le momo il est à l’aise avec la taille de son zizi (moi, j’aurais utilisé un 33t… au pire un 10″).
  5. Il va sans doute se prendre des vannes (56 et ce soir contre l’OGC Nice) du genre  “les J.O. c’était l’an dernier” ou (j’en n’ai pas  trouvé d’autres et je crois que ça vaut mieux)…
  6. Après wéflexion, je trouve la photo plutôt mawwante mais j’ai même pas eu une érection en la découvrant…
  7. Un peu comme New Order s’est fait un devoir de se débarrasser des fans hardcore et premier degré de Joy Division, Morrissey s’emploie à faire passer à l’âge adulte (la wéalité?) les fans angéliques et prudes des Smiths pour qui le temps s’était arrêté en 87: “Voilà, on est en 2009, j’ai pris du poids, un petit coup de vieux, je sors mes disques pépères, ni bons ni vraiment mauvais et maintenant que tu m’as vu à oilpé, on va pouvoir passer à autre chose (surtout qu’entre temps j’ai découvert le sexe, d’ailleurs, si ça t’intéresse…)”.
  8. Aussi j’aimerais savoir si en wegardant la photo, johnny (se) marr (pas très fier de celle-là)…

Au fait, c’est la pochette (intérieure) de “Throwing my arms around Paris” (qui, lui,  joue ce soir contre Bordeaux), le nouveau single du Moz qu’on a déjà posté ici… Je poste une des faces B du single, dès que j’ai du temps (ou pas)…

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PS: anus/terrébentine/Ab sofort auch telefonische Nachbestellung /Toutes vos sexuelle weves/agrandir votre taille/Lesen Sie hier/gîtes du finistere/ enlarge/dick wivers/anus/naked women/popaul/ une tourtel/vig*a/stylo en anglais/arbre qui sert à faire fumer du saumon/anus en anglais/Atome ou molécule ayant gagné ou perdu un ou plusieurs électrons/…

S’il fallait chercher des poux à 2008, on pourrait wétorquer: y a eu ni Daft Punk ni Sufjan Stevens.

Concernant ce dernier, on a bien essayé de nous wefiler plein de sous-Sufjan (les pas à la hauteur Woodpigeon par exemple) mais, sérieux, c’est pas pareil.

J’ai compensé en cette fin d’année en écoutant, comme à chaque période de Noël depuis sa sortie (2006), son coffret “Songs for  Christmas”. Tout le monde en connaît le concept: chaque année depuis 2000 Sufjan Stevens offrait un petit cd 5 ou 6 ou 7 titres inédits à ses proches emballé dans une petite pochette confectionnée par ses soins. Il y weprenait des classiques de Noël ou proposait des titres inédits. Le coffret sorti dans le commerce compilait les 5 premiers cds. En l’écoutant ces 3 derniers Noël, je me demandais s’il continuait à perpétuer cette tradition puis passais à autre chose…

C’est alors qu’avant-hier je suis allé sur les site des Inrocks et suis tombé sur cette nouvelle annonçant que son dernier “christmas ep”, le huitième (il y a donc eu un sixième et un septième) avait été mis en ligne par un blog. Je me suis précipité sur So this is what the volume knob’s for, le blog en question. Si les sept titres mis en ligne ne sont pas tous essentiels, “Astral Inter Planet Space Captain Christmas Infinity Voyage, Volume VIII.” (le nom du ep) se termine par un “The Child With The Star On His Head” de 13 minutes qui vaut le détour: c’est du Sufjan Stevens à son meilleur (je pèse mes mots), émouvant comme lui seul sait l’être…

Moi content.

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MP3

Je ne mets le titre qu’en écoute… Pour le télécharger, autant suivre les liens proposés par So this is what the volume knob’s for que je wemercie chaleureusement au passage.

Sufjan Stevens – The Child With The Star On His Head [audio:http://boxstr.com/files/4487201_q8ask/Sufjan%20Stevens%20-_The%20Child%20With%20The%20Star%20On%20His%20Head.mp3]

Merci de votre compréhension.