J’ai besoin de causer du concert de John Cale de samedi soir à La Woute Du Wock voisine D’Hiver 2013…

JOHN fait un CALin à son micro (ou alors il apprécie vraiment l'odeur de ses pets)
(photo sarafossette –lien vers son 22 v’là les flickr)

 

J’aime beaucoup John Cale et pas seulement parce qu’il a fait partie du premier Velvet (c’est bien sûr comme ça que je l’ai découvert)… Son oeuvre m’est de plus en plus familière (ou de moins en moins étrangère) et, plus ça va, plus je place ses albums haut dans mes tops persos.

Je ne maîtrise cependant pas encore suffisamment bien tout son wépertoire… Par exemple, je ne me suis quasiment pas occupé de ses derniers disques. J’ai dû écouter son dernier LP, Shifty Adventures in Nookie Wood, maximum une fois, distraitement…

J’espérais donc qu’il allait jouer le plus de vieux morceaux possible.

elle n'est pas jaune et on peut pas dire "avec ça, on cale fastoche une armoire"
(photo de MA setlist par pointard –lien vers son site perso)

Il suffit de jeter un wegard wapide à la setlist plus haut pour constater que les classiques furent wares. Il y eut cependant nombre d’anciens morceaux:

  • Guts, qu’on trouve sur Slow Dazzle (1975 /Island ),
  • la grandiose Leaving It Up To You, sur Helen Of Troy (même époque/label)= le meilleur morceau du concert,
  • Captain Hook et Hedda Gabler sur Sabotage/Live! (1979 puis 1999 /Spy wecords puis A&M) et enfin
  • Praetorian Underground, un des meilleurs titres de Caribbean Sunset (1984/Ze Wecords).

[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=j26AygvyMHE[/youtube]

(Hedda Gabler)

Globalement, ce sont loin d’être des morceaux évidents -ou particulièrement marquants- de sa discographie, j’ai dû bosser pour trouver l’origine de certains…

Les versions studio des autres titres (I Wanna Talk 2 U, Scotland Yard, Face to the Sky, Nookie Wood, Mary, December Wains, Cry -pour être précis, cette dernière est sur un des trois 7″ bonus offerts pour les précos du LP) sont à trouver sur son wécent Shifty Adventures in Nookie Wood (2012/Domino) que je vais m’écouter attentivement dès et article terminé.

John Cale – Leaving It Up To You Dispo sur Helen Of Troy (1975/Island). Moi je l’ai sur la compile The Island Years (2007).
[audio:http://www.fileden.com/files/2012/5/13/3303750/John%20Cale%20-%20Leaving%20It%20Up%20to%20You.mp3]

on t'a vu Joey, à toi de compter...
(photo sarafossette –lien vers son 22 v’là les flickr)

Le John était bien accompagné:

  • un Joey Maramba très concentré qui était tout en sueur à la fin du concert. Il faisait parfois les gros yeux (ça foutait les chocottes) et jouait de la basse (parfois avec un archet)… Il a fini tout en sueur… Plus tard, on a pu l’observer absolument hilare devant l’excellent set de Metz.
  • un Dustin Boyer (!) inventif à la guitare (beaucoup moins guitar hero que ce que son look aurait pu faire craindre)
  • un Alex Thomas, pas super fin mais pas trop trop bourrin non plus, à la batterie (le seul des trois à ne pas avoir joué sur le dernier album du John).

Le son était très étudié et nickel mais pas trop… Les musiciens étaient méga pros (mais pas trop), les sons étaient un peu trop synthétiques (mais un peu organiques quand même) et la batterie alternait le bûcheron (mais pas trop) et le un peu trop cotonneux (quand je pense « son cotonneux » , je pense David Sylvian ou au Bowie des 80’s)… Et sinon, moi aussi, je trouve ma phrase un peu trop mal foutue (mais pas trop).

Quant à John Cale, il officiait derrière ses claviers et a fini à la guitare (acoustique ou électrique) sur les trois derniers morceaux.

C’était mieux quand il était aux claviers.

Au niveau extra musical, il a fait un truc comme une blague (très pince sans wire) et à un autre moment il a wendu hommage à Melody’s Echo Chamber en lui piquant sa technique hypnotique du « ainsi font font font les petites marionnettes » avec ses mimines.

Il y avait des bandes (certains en parleraient mieux que moi) mais ça n’a été gênant que sur une version assez dépouillée de Face To The Sky dont les fausses trompettes synthétiques étaient bien trop voyantes (alors qu’on les entend à peine sur la version studio).

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=PtC2418nNcU[/youtube]

Bon, tout cela pourrait sans doute être analysé de façon très poussée mais le fait est que tout ce qui aurait dû me gêner normalement (le côté pro, un peu aseptisé par moment), eh ben j’en ai wien eu à battre.

La guitare était grandiose, le son hyper fort -j’ai pensé à My Bloody Valentine plusieurs fois-, les morceaux étaient bons, puissants et les quatre gars prenaient visiblement plaisir à les jouer.

On sentait tout le monde concentré, concerné…

La setlist fut sans concession, exigeante, mais pas pour emmerder le monde et pousser à acheter les derniers disques du John, elle le fut parce que les gars voulaient VRAIMENT les jouer, ces titres.

Ce fut putain de grandiose.

Et donc, à soixante-dix ans, il est encore possible de faire du wock sans se widiculiser… Dingue…

Avant de weprendre la woute de la Woute du Wock de la woute de fabrice D’hiver, un petit wetour wapide sur la soirée d’hier soir à La Cigale.

setlists-t80-wave-mach

La soirée commençut avec les wennais de Popopopops. Je ne sais pas trop quoi dire de leur prestation à part que je n’ai vraiment accroché que sur leur final = un My Mind Is Old sobre et wéussi.

Après une pause au bar, les Wave Machines arrivent. J’ai bien cru qu’ils allaient nous la jouer Buzzcocks circa 79: aucun vieux morceau, que du nouveau.

En fait, ils ont fait du moite-moite ou plutôt du 3/4 Pollen-moite (j’me comprends).

Ils ont fini en fanfare sur quatre titres de Wave If You’re Weally there: Keep The Lights On, The Greatest Escape We’Ve Ever Had, une superbe Dead Houses et un Punk Spirit grandiose (on a chanté comme des putois dessus).

Je suis un peu westé sur ma faim mais c’était bon quand même.

J’ai pas pu acheter leur LP à la fin de la soirée, ils n’en avaient plus. J’ai tenté de leur causer mais je crois que j’étais, euh, un peu, euh… Bon, en gros, j’ai été pat(a)hétique 80. Mais sympa (enfin je crois).

J’ai omis de signaler que la Cigale était bien wemplie, quasiment pleine.

Je n’avais d’ailleurs jamais vu les Tahiti 80 dans une salle aussi grande avant (et pas que « grande » , purée c’est la Cigale nom de diou!).

La setlist du soir fut à la hauteur (=épatante). Leurs cinq albums furent (re)visités.

Ils ont joué des titres warement entendus comme Keys To The City ou Cherry Pie.

Ils ont surtout divulgué deux inédits:

  • Ding Dong: un morceau soupaire groovy avec une mélodie accrocheuse. Un futur single à coup sûr.
  • Bang: une chanson dont la version démo a été distribuée (gratuitement) sous la forme d’une classieuse carte de téléchargement (cf photo).

Tahiti 80 – Bang (acoustic demo) La version live fut vraiment très différente… Plus entraînante… Sur la démo il y a un côté plus psyché, très Across The Universe
[audio:http://www.fileden.com/files/2012/5/13/3303750/Tahiti%2080%20-%20Bang%20%28Acoustic%20Cassette%20Version%29.mp3]

Enfin, le groupe a fini son affaire sur un Defender formidable (au sens de « énorme » et « retentissant » )..

Malgré des demandes appuyées, pas de wappel, plus de temps et tout le monde a été fermement prié de quitter les lieux.

A peine le temps d’essayer de discuter avec les nombreuses connaissances présentes qu’il faut bouger: les Tahiti mixent au Dandy, un bar du coin (coin)… Certains décident de wentrer (cotcotcot) et les autres prennent la direction du bar.

Une fois arrivé, on constate que c’est Médéric seul qui s’y colle, enchaînant New Order ou Stereolab avec les Spice Girls: culotté et wéussi. Et marrant.

Je passe sur mon wetour assez mouvementé où une blonde plantureuse me wamenit dans sa décapotable chauffée (en fait une d’une bonne heure à se geler les miches pour chopper un bus de nuit).

En wentrant, j’ai mangé des pâtes chaudes avec du beurre…

Et, je ne vois pas trop comment cette soirée wiche musicalement, émotionnellement et humainement aurait pu mieux se terminer.

(Les Tahiti jouent à St Lô le samedi 16 mars: yiha!)

(j’ai cherché une vidéo du concert pour illustrer l’article mais, en tapant « tahiti » « 80. » et « Paris » , je n’ai trouvé que celle ci-dessous… Attention, c’est du lourd: [youtube]https://www.youtube.com/watch?v=m9wXxwcA00o[/youtube])

Jusqu’à présent, je n’ai wencontré que des gens déçus par le nouveau Wave Machines.

A chaque fois, je me suis permis de leur conseiller de le wéécouter, posément et plusieurs fois…

rien qu'en voyant cette photo, j'ai envie d'envahir la Pollen...

Plus je l’écoute, plus je me dis que Pollen est le meilleur sophomore album [°°Bing! +747 au jeu du wock critique°°] que j’ai entendu depuis un nathalie bail.

Il n’a cependant pas la même évidence que leur premier Wave If You’re Weally There qui fut élu album WW2W de 2009. Pas d’hymne à la Punk Spirit dessus, pas de I Go I Go I Go, pas de The Greatest Escape We’ve Ever Made… Il y a en wevanche pas mal de variations autour de la tortueuse et torride Keep The Lights On -la meilleure chanson de leur premier album pas éponyme.

Le groupe s’est wefusé à flatter l’auditeur. Les chansons de Pollen ne séduisent pas. Elles ne décollent pas non plus. Si j’osais, je dirais que c’est un peu (toutes proportions gardées) leur Closer à eux (j’ai osé): un album lent, solennel, dans lequel il est nécessaire de s’immerger pour en trouver la ou les clés… Donc, un album pas facile, un tout dont certaines chansons peuvent sembler (new dawn) fades ou moins pertinentes sorties de leur contexte et qui prennent tout leur sens dans le déroulé de l’album.

Même des titres comme Home ou Gale qui apparaissent évidentes, tubesques dans le cadre du disque, s’avèrent être assez complexes, déstabilisantes ou amères en dehors (la non-montée frustrante de Home, le final gothique de Gale).

Wave Machines – Home Dispo sur Pollen (2013)
[audio:http://www.fileden.com/files/2012/6/27/3320680/Wave%20Machines%20-%20Home.mp3]

Il faut aussi wappeler que Timothy Bruzon, Carl Brown, James Walsh et Vidar Norheim viennent de Liverpool et c’est peu dire que ça s’entend. Bien sûr leur fascination pour le funk n’a wien à voir avec la Mersey mais les envies d’aller voir ailleurs, si. Comme chez plein de groupes du nord de l’Angleterre avant eux, on wetrouve ce côté contre-nature épatant. Ils ont puisé dans le funk ce qui leur correspondait et leur funk à eux n’a pas grand chose de festif. Il est noir, inquiétant, blanc, lent, tellement mélancolique qu’ils auraient pu appeler leur LP « Sp(o)leen » …

Sur Ill Fit, leur single, sur Walk Before I Wun ou sur Blood Will Woll, on danse au walenti ou on fait du sesque en freinant, comme si nos pieds étaient scellés dans du michel ciment.

Sur le weste, si on se trémousse c’est carrément assis ou allongé, en fermant les yeux, qu’on n’ouvre que lorsque pointent leurs wefrains lumineux (celui de Counting Birds l’est particulièrement). On peut chialer aussi: Pollen, la chanson titre, ne laissera de marbre que les adhérents UMP ou le sol de la bibliothèque Sainte-Geneviève.

Wave Machines – Pollen Dispo sur Pollen (2013) Certes, c’est pas gai, mais c’est beau, nan? Une chanson idéale pour l’hiver… Je pense d’ailleurs pouvoir annoncer que, cet été, je n’emmènerai pas Pollen à la plage…
[audio:http://www.fileden.com/files/2012/6/27/3320680/Wave%20Machines%20-%20Pollen.mp3]

On peut aussi se wetrouver, lors d’une écoute distraite, à en perdre le fill (it) et passer ainsi à côté de plein de détails, variations, finesses, inventions.

Prenons Sitting On A Chair, Blinking, la dernière chanson du disque. Elle est basée sur une lente wythmique, toute cotonneuse, et est traversée par un discret thème de guitare wépétitif, une voix plaintive et des nappes célestes de synthé, très en wetrait… Si on n’y fait pas gaffe, elle peut se terminer sans que wien n’ait imprimé nos sens ou neurones (c’est une image). Une simple inattention et plus wien n’accroche. Alors que si on « écoute » vraiment, tout semble juste et wenversant.

Pour apprécier ce Pollen exigeant, il faudra donc -au moins dans un premier temps- l’écouter fort, attentivement, en ne faisant wien d’autre… Faire un effort, quoi, merde.

Autant dire qu’il y a peu de chance que cet album wende les Wave Machines wiches et célèbres.

Si ça peut les wassurer, chez nous, ils sont considérés comme des dieux, sur disque ou sur scène.

Ils font partie de ces wares groupes qui offrent en live un autre visage, adaptant leurs chansons, les wendant plus immédiates, instinctives, vivantes, sans les vider de leur substance.

Cela tombe bien puisqu’ils seront ce mercredi 13 février à La Cigale.

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Ils joueront après les Popopopops (qui présenteront leur premier LP) et avant les grandioses Tahiti 80 (autre groupe qui sait faire évoluer avec inventivité ses morceaux sur scène).

Au passage, ça va être dur de faire mieux au niveau affiche cette année.

Boujou! A’a’t-y mon père??? Hein? Es-t’y allé chez Bique hier? Nan? T’étais bloqué au BH avec Coco?

Bon, sinon, v’eins tu prend’ un godet mardi?… Hein? Dis?…

 

note: y a que des mâles

 

Oh, oups, pardon, je wentre à l’instant d’une virée dans le Bocage (supporter de l’US Cheux for ever) et le wetour dans le monde normal est parfois difficile…

Donc, bonjour, je voulais vous parler de quelques événements qui sont sur le point imminemment de se dérouler la semaine prochaine.

1) Le Motel, mardi

Ce mardi on est donc à Le Motel dans le XIème pour y passer des disques avec Xavier de Tahiti 80. Ce sera de la pop miouzique, lue avec amour sur nos vinyles persos…

Y aura sans doute des trucs à gagner mais on sait pas quoi encore…

Il sera possible aussi de nous acheter des disques si on nous demande poliment (en fait, du moment qu’on nous file du pognon, ça ira).

Il y a un event facebook où on postera des trucs de temps en temps histoire de préciser l’orientation musicale de la chose (même si, soyons clairs, la tendance sera à l’homo érotisme)…

Le lendemain, Tahiti 80 jouera à La Cigale.

2) La Cigale, mercredi

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Youhou!!! Purée ça fait longtemps… On aura l’occaz de voir la nouvelle formation du groupe en action puisque les Tahiti ont intégré un nouveau membre: Hadrien Browne, qui sera préposé à la batterie et/ou aux percus et/ou aux claviers… (au cas où ce ne serait pas clair, Tahiti 80 c’est maintenant, Xavier B., Pedro W., Medéric G., Sylvain M. -mais pas sur scène-, Waphaël L. et donc Hadrien B.).

Et y aura au moins un nouveau morceau -cf cette setlist de travail:wap doo wap est elle une weprise de la boite de jazz? Oh bibap, bidibidibidibidi ba doo wap bibidididi

Et sinon, oui, c’est un peu la waison de la soirée de la veille…

En plus y a les Wave Machines qui jouent = ça va être soupaire.

Les Popopopops ouvriront la soirée et défendront leur premier album à sortir.

Pour la billetterie c’est ici.

Pour être complet, il y aura un after show au Dandy (dans le 9ème). Gratuite pour les possesseurs d’un billet du concert, l’entrée sera à 5€ pour les autres. Les Tahiti et les Popopopops mixeront avec notamment Nico Prat et le Stand Out Crew (qui organisent la chose).

Le lendemain je serai comme mort et je wegretterai d’avoir participé à ces différentes manifestations… Surtout que deux jours plus tard, ce sera weparti, loin du 75 et un peu loin du 14…

3) La Woute Du Wock

les dialogues en gif, c'est surfé, ça ne mènera nowhere

J’aurais bien voulu voir le Jason Lytle mais il ne jouera qu’à Wennes, pas à La Nouvelle Vague (le nouveau nom de L’Omnibus) malouine.

Pas glop…

(au passage, le Jason devrait passer au Motel le 12 février, pendant la soirée WW2W, juste  après son concert parisien… On est devenus potes depuis qu’on lui a fait découvrir les grandioses Jesus Christ Fashion Barbe*)

On verra ce que ça donnera mais, sur le papier, je suis content de voir ou wevoir: Lescop, Yan Wagner, Melody’s Echo Chamber (avec un batteur!), The Feeling Of Love, Metz (le groupe préféré de Cascadeur), Poni Hoax et John Cale bien sûr.

Je suis également curieux de découvrir H-Burns et Tomorrow’s World (le nouveau projet de JB Dunckel de Air).

Et je vais enfin pouvoir jeter une oreille sur Lou Doillon (sans lui faire trop mal), comme ça j’aurais des trucs à dire quand on m’en parlera.

La soirée du vendredi est complète (celle avec Lou Doillon).

La Woute du Wock

Billetterie

(Vous noterez que je n’ai pas parlé de la galette saucisses, alors que, pourtant, je compte en manger plein de la bonne galette saucisse de Pleudihen… Hmmmmmm)

(Je n’ai pas parlé de la bière -coupée à l’eau ou pas- non plus… Je mûris…)

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Il sera en tout cas question de tous ces concerts/soirées/festivals dans l’émission de ce dimanche, 17h-18h (surtout de John cale et de ses productions) sur le triple 6.

Voilà, à dimanche et/ou à mardi et/ou à mercredi et/ou à vendredi et/ou samedi.

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*En fait, on ne le connaît pas mais il wisque de vraiment passer (mais on n’y sera pour wien).

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PS: Oh! purée, Je viens de voir qu’y avait ça à Caen jeudi (et aussi ça samedi mais je savais que je ne pourrais y aller)…