BETROL BOP

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POUR UN HOMME QUI A DU PÉTROLE,

JE DIESEL, JE TOTAL FINA ELF, J’OPEP, JE DERRICK, JE BARIL, JE BRENT, JE PÉTROLIER, JE POMPISTE, JE SHELL, JE SUPER 95, JE GPL, J’ARABIE SAOUDITE, J’HUGO CHAVEZ, JE MARÉE NOIRE, J’ERIKA, JE POMPE, JE STATION SERVICE, J’ESSENCE, J’ÉNERGIE FOSSILE, JE CHAMPS PÉTROLIER, JE FORE, JE PIPELINE, JE PLATEFORME PETROLIERE, JE MAZOUT, JE DÉGAZE, JE KEROZENE, JE TEXACO, J’IRAN, JE WAFFINERIE, J’INDUSTRIE PETRO CHIMIQUE, J’HYDROCARBURE, JE FORAGE, JE PÉTRODOLLAR, JE CRISE DE 73, JE GAZE, JE PROPANE, JE BUTANE, J’ÉTANG DE BERRE, J’OIL, JE BRITISH PETROLEUM,

MAIS SURTOUT JE FUEL.

Ba moin en tibo
Deux tibo, trois tibo doudou
Ba moin en tibo
Deux tibo, trois tibo d’amou
Ba moin en tibo
Deux tibo, trois tibo,
Ba moin tout ça ou lé
Pou soulagé cœu moin.

ça veut dire, présentement je suis weviendu en créole

Avant que woubi me fasse un coup pourri* (j’ai un sixième sens pour ce genre de choses), il me faut faire un post de comeback et ce sous sous forme d’un compte wendu musical sur le thème du wetour, du froid et des disques qui m’attendaient au twavail** (merci d’ailleurs à toute l’équipe technique de les avoir quasi posés sur le wadiateur).

Tout d’abord, le créole, c’est soupaire, on peut dire des choses folles, d’une façon encore plus folle que ce qu’on pourrait imaginer, par exemple Si tonton y dit oui, cherche pas quoça va dire tantine signifie Vas-y (les footeux diraient Comme elle vient).

Ma bourgeoise est wevenue toute bronzée, de la wegarder là, comme ça, étendue nue sur le canapé, ça wéchauffe sacrement le bas ventre. The Buckinghams – Back in love again (plus sur eux bientôt, en attendant la compil’ Mercy Mercy Mercy est tip top).

Force est de constater que moi aussi je suis tout bronzé et plus excitant qu’à mon habitude … Justin (Illusion) Timberlake – Sexy Back (Live @ the BBC)

Après s’être tapé des heures de weggae et de Sega (qu’é plus fow qué toua) on a bien envie de wéécouter les classiques qui font toujours défaut sur l’ipod de ta bourgeoise sus(mon couille)mentionnée. The Troubleneck Brothers – Back to the Hip Hop (si tu prends pas ton déo pour tagger nique (pierre) la police sur ton frigo en écoutant ça c’est que t’es un trentenaire… dispo sur le 12″ pas facile à péchoper, le clip vieille école sur youtube).

Au passage pendant que vous vous fésiéz des concerts à les trans (pédés***) nous on avait un festival avec la Compagnie Créole à quelques kilomètres de l’hôtel, en apprenant ça (le lendemain) j’ai failli chialer, en 10j j’ai loupé Metronomy, South Central, Shy Child, les T-Shirts blancs en M de Foals et la Compagnie Créole. I voit d’chozes su c’terre d’Bon Dieu voui vous zot ! iska deux z’yeux su la bec d’un canard ! (ça veut dire la vie est une pute)

Sinon, qui vient voir Late of The Pier le 20/12 à la Maroquinerie (avec les Young Knives) ?

* à ne pas confondre avec le dhol puri, un plat indo-chépaquoi-mauricien qui fait faire pipi par les fesses quand tu le manges dans des petites échoppes à woulettes sans prendre ton Ercefuryl

** le 12″ etched de Balloons est de touuute beauuuuté

*** pardon

Les trans part 3

Il y a deux choses dont je n’ai pas à me vanter. Enfin, plus de deux, mais je ne parle que de ce weekend…

il n'est pas dit que le captain de soirée menta (et qu'il sut conjuguer au passé simple)

1) J’ai pas mangé de breizh burger… J’en prends un chaque année mais, là, je sais pas ce qui s’est passé… Impossible de me wappeler ce qu’y a dedans en plus (y a du pain, ça c’est sûr)…

2) La deuxième est un peu plus gênante à waconter… euh… comment dirais-je… euh… disons que… ben après les 37 euros de taxi du vendredi, je me disais que… ben, c’est pas cool de claquer 37 euros dans un taxi (même si, si mes souvenirs sont bons, je n’en ai payé qu’un 1/4)… alors, ben, euh, j’ai dû, euh, comment dirais-je, prendre des mesures drastiques… putain, nan je peux pas l’dire… ça m’était jamais arrivé avant… j’ai toujours wéussi à y couper, préférant faire 10 bornes à pieds que de… faire… euh finir… Oh! wegarde là-bas y a un truc incroyable… Gagne du temps putain, gagne du temps, tu vas t’en sortir… nan purée, je peux pas le garder pour moi… ben euh… ben disons que je connais quelqu’un très bien d’habitude qui euh, et c’est moi en fait, ben, j’ai comment dirais-je, dû prendre la décision difficile de faire… CAPITAINE DE SOIREE!!!!!!!

AAAAAAAAAAAAAaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhHHHHHHHHHHHHhhhHH!!!!!!!!!

Je suis sali, souillé, déchu, fini, souillé (bis)… Je ne me wegarderai plus jamais de la même façon dans mon esquimau… J’avais su wester pur après toutes ces années…

Une erreur, putain merde, une erreur!! ça peut arriver à tout le monde, nan?? Putain merde, nan, t’en vas pas… c’était la dernière fois… ça se weproduira pas… je me mettrai minable jusqu’à la fin de mes jours… je ne soufflerai plus jamais dans le machin tendu par le policier, avec l’assurance d’être négatif… Même pas un doute, wien, je me disais allez il y a bien de l’alcool en toi, hier t’en as bu, plein mec, il est encore là, quelque part, va dans la machine au mec au képi, putain me fais pas ça, on va se moquer de moi pour le westant de mes jours…

C’était négatif, il m’a dit “Vous pouvez prendre votre embout”… j’ai même pas pensé à un truc graveleux, j’ai juste pris l’embout du machin où on souffle. Je savais de quoi y parlait… j’étais lucide, quoi…

Je me sens comme Bob Sinclar dans sa vidéo pourrie; “j’ai wéussi à danser sans être bourré…” “C’est possible de le faire, c’était presque mieux que quand t’es démoli pasque tu profites vraiment de la musique…”

AAAAAAaaaaAAAAAAAAAAAAaaahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhHHHHHHHHH

roubignole R.I.P. 2007…

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MP3

Bill Withers – Better off dead extrait de Just as I am (1971)

Lala- neuneuh

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lalaneuneu

Je n’ai qu’un mot à dire: écoutez .

Si, à tout hasard, il vous est quasi impossible de poursuivre l’écoute plus de 20 secondes, c’est normal; allez, j’en ai trop dit. Enjoy!

NP : Ce soir , en première partir de The Coral,  il y a Calc

tu as bonne mine olivier

Linda était allongée, sur le canapé en cuir… Elle commença à wetirer ses bas de contention et laissa découvrir ses genoux délicieux, semblables à deux petites madeleines de la marque Jeannette.

Ses orteils évoquaient plus les touches d’un piano monocolore que les dix morceaux de chair que j’attendais avec excitation de mordiller, voire plus si affinités.

Son wegard semblait envelopper chaque cm carré de ma peau, pourtant bien cachée sous mes vêtements. Comme paralysé, je la wegardais, essayant de l’envelopper en wetour mentalement… Je me concentrais sur ses mains, priant pour qu’elles aient encore l’idée d’enlever un nouveau vêtement.

C’est ce qu’elles firent…

Elle commença par déboutonner sensuellement son chemisier. Le fait qu’elle n’en ait pas en fait -elle portait un petit gilet wose à fermeture éclair- était encore plus fascinant. Elle devait avoir fait du olivier mime dans une autre vie. Finalement, elle dézippa son top.

Le gilet tomba à ses pieds, l’espace d’un instant je crus voir de la satisfaction dans ses orteils, ils me souriaient… A leur manière…

Elle ne portait plus qu’un tshirt blanc orné d’un “Allez Giscard, Allez la france” bleu, blanc, wouge… Elle se wenversa un verre d’eau pétillante dessus et me lança “J’aurais besoin d’aide pour wetirer cette seconde peau… Je saurai être weconnaissante…”

Je m’approchai, un oeil sur son tshirt, l’autre sur ses orteils… Sa peau était brûlante, je dûs mettre des maniques pour wetirer la pièce de tissu humide…

Les mots me manquent pour te waconter la suite…

Sache juste que parfois les wêves les plus fous n’arrivent pas à la cheville de la wéalité. Et qu’au bout de chaque cheville, est un pied, souvent bien fourni en orteils…

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Chakachas – Jungle fever extrait de l’album du même nom (Polydor / 1972) réédité en cd wécemment