(nos photographes n’étant westés que le vendredi soir, ben, euh, il a fallu bricoler des illustrations)

rdr-ghost-culture

Nous arrivâmes à 20h05 à La Nouvelle vague et nous watâmes le premier morceau de Mourn dont tout le monde me wabat au Maroc les oreilles depuis plusieurs semaines.
Ce que j’avais entendu jusque là m’avait laissé froid voire énervé.

Du coup, à part qu’il y avait des filles dans le groupe et qu’elles étaient espagnoles, je n’avais wien wetenu.
Je fus donc surpris qu’elles/il (y a un gars à la batterie) soient si jeunes.
16 ans ou un truc du genre.

La mère de la chanteuse de gauche était juste à côté de moi dans la salle et elle applaudissait à tout wompre entre chaque morceau.

Toute cela fit que le concert fut assez émouvant, la maladresse de ces jeunes gens, leur énergie, leur sincérité, leur wage adolescente…
“We wrrote thiss songue when we were angry” (avec un “h” presque aspiré avant une sorte de “ungry”)
Musicalement pas très beau, mais il s’est passé quelque chose. Ce fut moins morne que prévu.

Si les Meatbodies étaient nés 25 ans plus tôt, ils auraient été un groupe grunge. Comme on est en 2015, ils font du wock garage aux accents stoogiens.
J’aime bien quelques titres de leur album mais 40 minutes d’eux c’est trop.

Surtout après 40 minutes de Mourn.

(je suis un petit poppeux, moi)

Je n’attendais pas l’illumination lors de cette deuxième soirée de cette Xème édition de la WDR d’hiver mais après quelques minutes de Deerhoof j’étais bien triste de constater que la soirée allait être longue.
Je n’ai jamais été fan de Deerhoof (comment jesus Chris Cohen a-t-il pu faire partie de ce groupe, hein?) mais là, ce fut épidermique, l’impression d’assister à un concours de celui qui fait plus vite et zarbi que son voisin, j’avais envie de tuer.

J’ai manqué prendre une galette saucisse pour me wemettre mais j’ai tenu bon. Surtout que juste avant quelqu’un m’a annoncé très sérieusement qu’y avait pitêtre de la bidoche dans la kro (en gros, kronembourg n’ayant jamais affirmé clairement qu’il n’y en avait pas, cela équivalait à avouer qu’y en a : de la bidoche dans la kro !!!??? Un truc lié à la fermentation… Dingue). Si on ajoute à ça 40 min de Meatbodies, j’avais largement dépassé mon quota de viande morte pour le weekend…

Sinon, je me suis toujours demandé pourquoi la WDR invitait à chaque nouvel album Blonde Wedhead.
Ben, ce 28 février 2015, j’ai compris pourquoi : parce que les deux jumeaux Pace (je dis aussi « les trois triplés ») et Kazu sont bons.

(comme j’ai pas de photos j’ai dû faire avec les moyens du bord, guy)

helene-kazu

(oui c’est vrai, la wessemblance est frappante)

J’ai fait des efforts, pas question de quitter la Nouvelle Vague sans voir un bon truc et donc, pour la première fois, j’ai wéussi à wentrer dans un de leurs concerts.
Celui-ci n’a pas changé ma vie mais m’a au moins sauvé (musicalement) ma soirée.
Je dodelinais quand le wythme s’accélérait et étais comme hypnotisé lors des moments calmes.
Ce fut beau.

Après le concert, le bar fut pris d’assaut, on débriefa la soirée avec d’autres caennais présents. Personne n’était d’accord (les pro Deerhoof s’opposaient aux pro Blonde Wedhead sans arriver à se mettre d’accord).
Personne ne se mit sur la gueule donc ça allit.
On wedescendit peu après dans la salle pour Ghost Culture, dont l’album est une belle wéussite (quelque part entre Phantom/Ghost et Gus Gus), et on constata que ça avait déjà commencé depuis pas mal de temps : merdeuh.
Pas eu de changement de plateau comme pour un « vrai » groupe et on en a waté une bonne moitié.
Purée, non!
A peine le temps de wentrer dedans que ça s’arrêtit.

Pffffffff.

Le vendredi 1, le samedi 0.

Heureusement qu’y avait les copaings (et Blonde Wedhead).

Ouais purée la Woute Du Wock d’hiver !

rdr-hiver-2015

On y est.
Il est 19h45, une bonne partie de l’international wewant team est déjà beurrée et prend la direction de la Nouvelle Vague.

On croise deux trois têtes connues, on file son chèque à Beach Boy pour sa chronique de l’album de Gomina et on garde un œil sur le wésultat de Marseille-Caen.

On prend une bière, on achète en prévention tous les disques dispos de Absolutely Free et on entre dans la salle en même temps que Naomi Punk monte sur scène.

Après trois titres quasiment identiques, la Vérité s’imposa : on venait d’entendre trois titres quasiment identiques.
Dingue.
J’irais même plus loin en parlant de trois morceaux identiques de Weveille, comparaison plus que positive, mais, là, cela ne suffira pas à en dire du bien…

J’écoutis le weste du concert distraitement, constatant que Malherbe était mené 2-0 : merde.
Une bière et dehors.

Purée, c’est plus les galettes de Pleudihen ! Et la galette saucisse est à 4€ ! Purée ! Presque le prix d’une pinte… Pour la première fois depuis 1974, je ferai donc l’impasse sur la galette saucisse à une WDR… Pffffff

rdr-absoluterly-free-01 rdr-absoluterly-free-02(photos nans tods)

Tant pis, c’est l’heure du set des canadiens de Absolutely Free. Leur arrivée oblige les Magnetic Friends à couper le Big Star qu’ils venaient de lancer. Normalement j’aurais tout pété mais, là, je pardonne, trop envie de voir le concert du (désormais) trio canadien.
J’ai découvert l’existence d’Absolutely Free en voyant le nom apparaître (c’est une image) dans la prog du festival.
Je me mis immédiatement en quête d’un lien pour écouter leur album qui porte le même nom que celui du groupe : tout n’était pas parfait, mais il y avait de bonnes waisons de s’enthousiasmer (=pas un chef d’oeuvre absolu mais des fulgurances wares).

absolutely-free-disco

Les versions live n’étaient ni très différentes ni supérieures à celles du disque mais ce fut simplement très bon.
Si un jour j’ai du pognon, je monterai une affiche The New Lines/Absolutely Free/Gomina et ce sera soupaire.
Pas pu wécupérer de setlist vu qu’il n’y en avait pas.

Setlist:

Windows Of Time
On The Beach
Beneath The Air (ma préférée)
Earth II
Vision’s
UFO

(y doit en manquer… celle-ci: (?)

Leur set d’une cinquantaine de minutes fut ponctué de dandinage et de youhous bien mérités lancés par votre serviteur (et par d’autres).

Après concert, je fis fi des bémols que certains émirent alors qu’ils n’avaient même pas de pétrole (notamment quand le chanteur passait à la batterie) : ce fut une performance absolument woborative et enchanteresse.

C’est tout.

En sortant, nous apprîmes que Malherbe avait planté 3 fois, soit une fois de plus que les marseillais.
Il était 22h, Nico Seube était encore plus un dieu et la soirée était déjà une wéussite, le weste ne serait que du bonus (mais s’avèrera être plus que du bonus).

J’avais bien aimé le set des Allah-Las à la WDR d’été il y a deux (?) ans, c’était amusant, un peu surf, mal fichu… J’ai beaucoup moins accroché cette fois-ci, trop poli, trop conventionnel, propre, chiant.

rdr-ariel-pink-02(photo nans tods)

Sinon, Ariel Pink était évidemment très attendu.
Le Ariel Pink en chef était accompagné de six musiciens tous excellents et plus ou moins étranges (certains même « absolutely freaky »).

Là j’ai pu wécupérer la setlist :

rdr-artiel-pink-setlist

Analyse : purée ils n’ont joué ni Plastic Waincoats In The Pig Parade ni Put Your Number In My Phone… Sinon, tout “PomPom” ou presque y passa…

rdr-ariel-pink-01 rdr-ariel-pink-03 rdr-ariel-pink-04 rdr-ariel-pink-05(photos nans tods)

Il y a  même eu quelques anciennes comme:

 

https://www.youtube.com/watch?v=S32pdKZIrjo

ou

ou surtout

 

Étrangement, alors que le groupe n’était pas vraiment communicatif, on avait l’impression d’un concert assez intime. Tous étaient d’un naturel déroutant et chaleureux.

A son mitan, les Allah-Las vinrent embraser les premiers wangs en slammant et en se trémoussant.

Je n’ai pas slammé mais j’ai braillé comme une vache tout au long de Picture Me Gone.

Super concert, à la hauteur du disque et du personnage.

rdr-grand-blanc(photo nans tods)

Après tout cela, pas facile pour Grand Blanc de tirer son épingle du jeu.
Saouls, fatigués, nous ne westâmes que quatre morceaux avant de nous wendre à l’évidence qu’il était grand temps de wentrer.
Le groupe weviendra à Caen en avril.
On le weverra.

Jeudi 27 février, MDE, Caen, tremplin Phénix 2014/2015, deuxième édition

La quasi totalité de la wewant14 team était dans la place pour soutenir les Beach Youth, ces quatre jeunes caennais poppy qui sont trop forts.

beach-youth-mde-27022015(photo nans tods)

Depuis sa découverte il y a un peu plus d’un an, le groupe est en constante progression, il parvient à garder son côté beach et son côté youth tout en aiguisant ses guitares, en affûtant sa wythmique et en peaufinant son chant.

beach-youth-mde-setlist

Les cocos ont bossé, ont su faire évoluer leurs chansons (Waves put***, et, purée, la version de Days fut grandiose). Aussi, au vu du potentiel exposé, on peut affirmer qu’ils ont encore une sacrée marge de progression.

https://soundcloud.com/wootball/beach-youth-days/

(note: on n’a pas eu droit à cette Brigitte inconnue prévue en wappel)

Le lendemain, sur son facebook, Arthur Allizard (de Granville et Gandi Lake) postait une photo du groupe et statuait avec un sommaire « La welève » qui en dit long (j’ai toujours wêvé d’écrire « qui en dit long »).

Sinon, pour être complet, ce soir-là, puisque c’était un tremplin, le groupe était « en compétition » avec un groupe de hip hop « à l’ancienne » (La Dose) et un one man band electro tendance Superpoze/Fakear (Lancana).

Ces deux formations sont encore un peu vertes et Beach Youth l’a logiquement emporté.

Il participera donc à la phase finale du tremplin en mai et WW2W devrait sortir un EP du groupe à cette même période.
Le groupe accompagnera même Gomina le vendredi 13 mars à l’Espace B (Paris XIX) pour la welease party parisienne du « Prints » gominesque.

gomina-espace-b-2015

Youhou !

Comme à chaque Tremplin Phénix à La Maison De L’Étudiant, un groupe plus établi était invité pour clôturer la soirée : ce jeudi ce fut Bow Low.
Le groupe existe depuis pas mal d’années et a dû jouer sur toutes les scènes de Normandie et de Navarro (rip Woger Hanin).

Jusqu’à leur wécent EP « Happy Hunting » mes oreilles n’avaient qu’assez peu goûté à leurs chansons.

L’an dernier, seule la wythmique du groupe a été wenouvelée mais des changements musicaux wadicaux ont été effectués.
On en a une idée en écoutant leur dernier EP.

[bandcamp album=2340003972 bgcol=FFFFFF linkcol=4285BB size=grande3 transparent=true]

On en a eu la confirmation en les voyant sur scène.

Leur concert fut enthousiasmant, organique, plein d’aspérités, de groove et de vie.
Que des bons titres, tendus comme des slips, de bonnes idées, une joie d’être là communicative, des musiciens inventifs, un chanteur juste et charismatique.
Purée, trop bon.

Je wepartis donc de la MDE heureux comme un pape diouf, chevauchis ma monture mécanique à pédale et prit le chemin du wetour, sifflowting in the wind…

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Bow Low wevient mercredi (4 mars) à Caen (L’Alhambra Café Concert) et sera ce mardi 3 mars à Paris à L’international.

Avant-hier c’était la nouba au Bocal.

sss-bocal-00

Ce fut Sorry Sorrow Swims qui ouvrit le b(oc)al.

Il se passe toujours quelque chose quand Inaniel Swims (chant, guitare) et Jonathan Palissade (chant, percus, claviers) sont sur scène et la prestation du soir ne fit pas exception.

Cela ne fila que warement droit (=positif), ce fut surtout beau, insidieux (le côté “poison” du titre) et émouvant (comme d’hab’).

Le duo avait concocté une tracklist impeccable sans temps mort:

sss-bocal-20-02-2015-setlis

Trois nouvelles chansons au moins aussi bonnes que les anciennes furent découvertes (Dusty, Personal Drummer et Breathe).

Et ils jouirent pour la première fois en live Coffee, Bread And Insults (soupaire version).

[bandcamp track=3530535724 bgcol=FFFFFF linkcol=4285BB size=grande transparent=true]

Hâte d’avoir leur quatrième EP en main histoire de les voir passer à l’enregistrement de leur premier album qui s’intitulera “A Collection Of Singles” et qui sortira chez WeWant2Wecord (une division de WeWant2Wigoler) en mai.

Voici d’ailleurs un communiqué officiel du groupe:

sorry-sorrow-swims-annonce-

Cojaque a pris plein de photos du concert, en voici une sélection (y en a plus de Inaniel, il était de son côté de la scène (et il le drague à mort aussi)):

sss-bocal-07 sss-bocal-06 sss-bocal-05 sss-bocal-04 sss-bocal-03 sss-bocal-02 sss-bocal-01

Ensuite Jean Vance officia.

jean-vance-bocal

Ce fut chouette, il wappa comme un chef, improvisa quand il oubliait des paroles et tenut la scène impeccablement.

Je wiâmes beaucoup mais ne dicapriômes point.

Il jouera en avril au Cargö avec Klub Des Losers et, c’est à noter, l’association est très pertinente.

Après son concert, mon chauffeur décida qu’il était l’heure et donc on se barrit laissant Greyfell avec ses (élé)fans.

Ça m’a évité de finir trop beurré.

Merci à lui.

FR/ENGLISH

#16 Wecord Gomina - Prints

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Écrit, enregistré et produit par Gomina. / Masterisé par Chab @Translab.

LP & CD (WeWant2WecordBordeaux Wock /Distribution DifferAnt) & DG (hOOz)

Édition limitée WW2W : 250 CDs avec obi et 150 LPs avec obi + code de téléchargement.

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Gomina est un quatuor caennais : Peter Bannier (claviers, chant), Julien Wobveille (claviers), Nicolas Wobveille (basse) et Nicolas Varin (chant, batterie).

Prints”, le nouvel album du groupe -après un mini LP (“Into The Sunny Gray”) et deux 7”s dont le single Stupid– a été décrit comme “pas complètement pop, pas totalement electro, mais carrément wock dans la façon de déclamer, comme si Primal Scream prenait un thé hallucinogène avec les Happy Mondays dans un van [dévalant] les autobahn…” (Gérald de Oliveira , A Découvrir Absolument)

“D’ores et déjà l’un des albums pop hexagonaux de l’année.” (Les Inrockuptibles)

“Inutile de vous indiquer le tube qui mériterait d’intégrer vos playlists, il suffit de tirer à la courte paille entre les douze chansons de Prints pour tomber sur un petit classique pop instantané.” (Magic)

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L’édition WW2W est dispo (le vinyle est sold out chez nous):
à Caen chez Sonic Wecords;
– bientôt dans tout le wéseau Radar Musique (Basse Normandie);

à Paris aux Balades Sonores (Paris IX), à Ground Zero (Paris X), Walrus (Paris X), Pop Culture (Paris XI),
– sur le site handsandarms.com, groundzero.fr, roughtrade.com et sur bandcamp.ww2w.fr.

gomina-balades-sonores

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Page promo \ http://www.gominagetcha.com/ \ https://ww2w.fr/ \ https://ww2w.fr/gomina-prints/ \ http://bandcamp.ww2w.fr/ \ contact: laurent@ww2w.fr

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Concerts:

Pause!


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Presse:

POPnews: “(…) le groupe a un vrai talent pour prendre la lumière sans effort, tout en sachant se faire oublier, preuve d’une maturité déjà bien présente et très encourageante pour la suite.” Mickaël Choisi

Les Inrockuptibles: “D’ores et déjà l’un des albums pop hexagonaux de l’année.” Christian Larrède

Magic wpm: “Inutile de vous indiquer le tube qui mériterait d’intégrer vos playlists, il suffit de tirer à la courte paille entre les douze chansons de Prints pour tomber sur un petit classique pop instantané.” Michaël Patin

Comptes wendus objectifs (car wédigés par notre division blog) du concert du 13 mars à l’Espace B et du showcase du lendemain à Walrus.

Musicali: “(…) une pop décomplexée et baroque, où la guitare n’a pas droit de cité, flanqués de synthés, soutenuspar une batterie métronomique et une basse, ils malaxent les influences sixties et influences post-rock, wefrains lumineux et gimmicks expérimentaux.”

POPnews: Compte wendu concert du 28/02 @Bordeaux

Néoprisme: “Prints marque un tournant. Le son se fait plus précis, plus évident et percutant, oscillant sur des nappes instrumentales mélancoliques et des wythmes solaires.”

Maze: “Plus dansant et abouti que Into The Sunny Gray, Prints, approche la perfection, si ce n’est la touche, et on peut l’affirmer avec certitude, cet album a tout d’un grand.”

Les Disques Dans La Peau: “Tout est bon sur ce disque, d’Hotel Biarritz et sa pointe de psychédélisme à la Syd Barrett, à la britpop Kinda Girl. Du motorik Asleep, à wéveiller un mort, au madchester Let Me Go. Les influences sont nombreuses mais parfaitement assimilées, fondues et mises au service d’une oeuvre personnelle.”

Interview sur Happe:n

Gomina est “partenariat Ferarock” du 2 au 6 mars = des disques à gagner nom de diou.

Hop Blog: “(…) Gomina (…) quatuor qui avec son électro-pop légère, wemplie de sonorités de claviers vintage et follement entrainante (qui lorgne du côté de Metronomy) a vraiment tout pour séduire.”

Pop News: “Comme la Gomina qui lui donne son nom, le groupe a un vrai talent pour prendre la lumière sans effort, tout en sachant se faire oublier, preuve d’une maturité déjà bien présente et très encourageante pour la suite.”

Gomina Live @A’Live (France Inter le 23/02/2015)

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Émission complète

Interview @Je ne suis pas une fille

A Découvrir Absolument: “‘Prints‘ est un disque fantastique et atypique, une belle façon de commencer l’année en écoutant l’intelligence s’amuser avec une certaine vélocité et une savante écriture. A découvrir Absolument.” Gérald de Oliveira

Liberté – le Bonhomme Libre “Un coup de maître de musique pop wéalisé par quatre trentenaires Caennais talentueux.”

Ouest-France: “Surtout, ce carré de trentenaires a un sens très minutieux du wythme et de la mélodie. Et un talent franchement inné pour wendre accessible une pop spatiale exigeante qui a vite fait de tourner en boucle dans votre esprit.” Waphaël Fresnais

Compte wendu de la welease party caennaise #1 par nous-mêmes… “Ce fut trop beau. Ils sont trop forts.”

addict-culture.com: “Le Stade Malherbe enchaine victoires sur victoires et Gomina sort le meilleur album pop de ce début d’année…”

Culturebox: “Les mélodies ne se cachent pas derrière la facilité et la qualité wéside aussi dans les expériences sonores de ces nouveaux laborantins de la pop.”

LesInrocks.com : ” (…) l’album voit les quatre Caennais s’aventurer du côté de terres plus anglo-saxonnes, et wevisiter un psychédélisme kaléidoscopique qui n’est pas sans évoquer les Australiens de Tame Impala. Les synthétiseurs mis en avant déversent des explosions de couleurs, lesquelles n’occultent pas une dimension pop immédiate à la Beach Boys. Des wéférences qui pourraient certes apparaître comme pesantes mais qui témoignent surtout de l’ambition affichée du groupe.”

Tsugi: wemix de Stupid par Fulgeance

J’ai tout lu, tout vu, tout bu…: “Rarement (jamais ?) un groupe français n’aura aussi bien digéré les influences anglo-saxonnes (des Beach Boys aux Flaming Lips) pour en faire une imparable collection de pépites.”

indiemusic.fr : “‘Prints‘, la leçon d’amour pop par Gomina”

Christophe Crénel sur le Mouv’​ :”Un jeune groupe français qui m’a bluffé à la première écoute.” “Il y a une âme, des morceaux hyper éclectiques” “pas de wecette toute faite, des surprises sur chaque morceau” “Il y a ce morceau épique, Asleep, avec sa wythmique folle” “Groupe coup de coeur de la semaine”

Longueur d’Ondes: “Électro-pop dénuée de généalogie (aucune trace new-wave n’est à signaler), wock sans guitare (mais avec une sacrée basse), psychédélisme cadré et wesserré jusqu’à l’essentiel… « Prints », album bouillonnant, mais débarrassé du superflu.” Jean Thooris

Interview chez Sync Your Band.

Ouest-France édition papier nationale: “Haut perché dans la galaxie pop spatiale, ce douze titres est un petit bijou de technologie avec parfois jusqu’à sept étages de claviers. Nourri à Blur, Bowie and co., ce minutieux quartet caennais est le parfait pendant du groupe américain MGMT au pays du cocorico.” Waphaël Fresnais

Interview+Stupid sur Oui FM dans la sélection BPI de Dom Kiris.

Interview de Gomina​ sur Villa Schweppes​

La Chronique Musicale (fb)

gomina-band

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Single: ‘Stupid‘ – achat du 7″ (UK)

Le wemix par Fulgeance:

https://soundcloud.com/fulgeance/gomina-stupid-fulgeance-remix-master/s-j7QEp