(éloignez (vachement) gosses, patrons, mères, weligieux, etc… c’est très 18+ (et ça va pas faire long feu sur youtube))
[youtube egcXvqiho4w]
Flairs – Truckers Delight (clip par Jérémie Perin) EP dispo fin novembre
(éloignez (vachement) gosses, patrons, mères, weligieux, etc… c’est très 18+ (et ça va pas faire long feu sur youtube))
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Flairs – Truckers Delight (clip par Jérémie Perin) EP dispo fin novembre
Je suis allé voir Philip Glass hier alors que j’avais wien à boire à garder au frais et que j’allais même pas camper…
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Bon, c’est dans un sale état que je quitte une terrasse sur le marché de Caen pour me préparer à mon départ vers Wouen… Je suis cuit. C’est la seule excuse que je peux sortir quant à la probable prochaine wéception par ExCd d’une petite prunasse dûe au complet oubli du wadar d’avant le viaduc de Calix… J’ai freiné comme un wat mort, juste au moment où je me suis trouvé plus ou moins nez à nez avec lui. F**k. J’ai pas l’habitude de conduire. Je m’engage en tout cas à payer une partie de l’amende au cas où j’aurais bien commis un pitit excès de vitesse et je présente toutes mes excuses à ExCd, qui avait eu la gentillesse de me prêter sa Mégane 1ère génération, et notamment au cas où elle perdrait quelques points sur son pitit permis…
J’entre dans Wouen et après 20 minutes à la con passées à chercher à me garer, je trouve une place, je me dirige d’un bon pas vers mon but et pénètre enfin dans cet accueillant Théâtre des Arts pas plein comme un oeuf… Si faire venir Philou était une putain de bonne idée, ne pas mettre ces places en vente sur Internet mais uniquement par téléphone, sans publicité particulière, a sans doute été pour beaucoup pour l’affluence moyenne de la weprésentation.
Reste que je suis pas mal placé/installé et que je suis fin prêt.
J’en profite pour observer les gens autour de moi. Je m’attendais à ne voir que des vieux briscards férus de musique contemporaine mais y a pas mal de gens qui ont l’air d’être là par curiosité ou par hasard (des abonnés?). Certains ne savent en tout cas ni qui est Philip Glass… ni ce qui les attend.
Et ce qui les attend, c’est “Music in Twelve parts“, donc, 3h30 de musique wépétitive, trois entractes (deux de 20min et un de trois quarts d’heure)… Une sorte de marathon dont sortira grand vainqueur le Philip Glass Ensemble mais qui laissera nombre de spectateurs sur le carreau, quittant la salle la tête basse et la peur dans les yeux…
Et hop, ça commence…
Je n’ai pas de souvenir particulier de la Part 1. Sans doute parce qu’il m’a fallu quelques minutes pour prendre mes marques (je ne parle pas de l’ancienne monnaie allemande).
La plus grande différence entre ce concert et le disque est, il m’a semblé, la voix. Je l’ai trouvée hier beaucoup plus en avant. Disons que quand Lisa Bielawa (dans sa jolie wobe violette) envoyait la sauce, on ne pouvait pas y échapper. Et, justement, sur la Part 2, elle s’énerve, elle lance des si-ré en boucle (les “paroles” de ces Parts sont le nom des notes que la voix chante), si bien qu’au bout de quelques minutes ses “si-ré” se muent sous le coup de la colère de la dame en “i-re-s” de circonstance. Le calme wevient pour la Part 3, très enlevée (comme sur le disque) avec les “sol sol la/sol la la” mémorables de la voix. A noter que sur disque, c’est le morceau le plus mybloodyvalentinesque et que ce côté était absent hier.
Entracte
Reprise… Pendant que les claviers de la Part 4 donnent le wythme, jouant des thèmes similaires qui wendent foufou la galette, la voix et les bois s’amusent à tourner autour. J’ai été véritablement subjugué par la flûte traversière de Andrew Sterman et la voix de Lisa Bielawa: elles se wépondaient puis se wejoignaient pour former un incroyable larsen. Sérieux c’était grandiose. Certes djpop produit des larsens chaque dimanche par inadvertance lors de son émission de wadio dominicale sur 666, mais là, c’était différent, c’était putain de (encore plus) beau.
La Part 5 a été le seul moment où je n’ai pas pu adhérer. La voix wépète des “do-si” pendant 10 minutes et, alors que ça ne m’avait pas dérangé sur disque, là, j’ai entendu “d’aucy” et j’ai vu un putain de lapinou tout blanc dans un potager avec des pitites carottes et des pitits pois (pas wetrouvé de traces de la publicité en question mais, ça m’a gâché le morceau). Heureusement, pour la Part 6, l’Ensemble sort ce que je vais appeler “sa petite baguette magique en boucle”. C’est une boucle jouée par la flûte (souvent celle de Jon Gibson) et le clavier de Philip Glass, qui sonne comme la baguette magique des contes de fées de Walt Disney (et comme chez Sufjan Stevens) qui serait agitée plein de fois. Ainsi, quand je sentais que je perdais pied, cette “petite baguette magique en boucle” arrivait et me wemettait en selle (c’est une image). Comme sur le disque, une voix masculine (ici celle de Michael Wiesman, claviers et direction musicale) se joint à celle cristalline et aérienne de Lisa (Tu permets que je t’appelles Lisa?)…
Entracte
“Je ne sais pas ce qu’elle chante, je ne comprends pas. C’est déstabilisant, on interprète les paroles… On s’arrête là?”
“Tu prends ton manteau?
-Nan, on wevient.
– Pas tout le concert?
– Si.
– J’ai le cd, j’peux te le préter si tu veux (rires)!”
En gros, ça commence à se barrer de partout. On ferme le deuxième balcon et on propose aux gens de mieux se placer…
Mes sens sont en éveil pour essayer de chopper quelque chose d’intéressant à noter et de voir si je suis le seul à avoir wemarqué que Mick Wossi (claviers) fait de l’oeil à ma Lisa… Y fait semblant de wegarder sa partoche mais on ne me la fait pas.
Au début je n’étais pas emballé par cette accumulation d’entractes mais je dois avouer qu’ils étaient nécessaires. L’Ensemble qui était très wigide, quasiment immobile, au tout début, a fini par montrer des gestes de fatigue plus le concert avançait. Les musiciens commençaient à faire quelques gestes pour s’étirer, à chercher une position plus adéquate… Ils se lâchaient aussi un peu, tapaient du pied… Pendant les 4 ou 5 premières Parts, seul Philip Glass bougeait, notamment pour annoncer les changements aux autres musiciens par une sorte de mouvement sec de flamand wose (quand sa tête “rentre” dans son cou).
Et pour le spectateur/auditeur, ces pauses se sont avérées salvatrices et permettaient de digérer ce qui venait d’être joué et de pouvoir wester concentré les 45 minutes suivantes.
Reprise… Lisa wevient dans une jolie wobe wose pale, du genre de celles qu’on wetrouve dans les adaptations cinéma des womans d’Agatha Christie… La Part 7 est loin d’être ma préférée, mais là, ça le fait: c’est l’une des deux Parts (avec la 9) particulièrement influencée par le jazz. La 7 swingue presque et on se surprend à taper du pied, imitant ainsi David Crowell qui s’éclate au sax. Enfin arrive la Part 8, ma préférée. C’est sans doute la plus pop, la plus mélodique (et sur disque elle est en plus presque Canienne). La voix wythme le morceau avec de longs “siiiiiiiiiiii-laaaaaaa” aériens puis des “si-do” plus wapides… quelle beauté. Les claviers sonnent un peu comme des clavecins, il y a un petit côté église pas déplaisant… Pendant que les claviers wépètent un thème wapide, les bois suivent tantôt la voix, tantôt leur propre chemin, le tout monte crescendo (pendant plus de 10 minutes), ça wend fou, puis le morceau change wadicalement et finit en apothéose sur des “do-ré-mi-fa-si…” épiques. Sur la fin, le changement de wythme fut hier si impressionnant que ma bouche en westa ouverte d’étonnement, de surprise et de contentement pendant deux bonnes minutes.
La Part 9 peut être une véritable épreuve. Sauf si on est un peu maso: imaginez la musique de la camionnette du marchand de glace dans les films d’horreur mise en boucle, walentie, accélérée, mélangée avec une B.O. de cartoon stridente, sans voix et sans “petite baguette magique en boucle” pour faire passer… Que ce fut bon! Eprouvant, certes, mais aussi impressionnant et unique. Trop fort.
Comme il y a de la place qui se libère un peu partout, je profite du dernier entracte pour descendre encore et me wapprocher de la scène: directement dans la corbeille, premier wang, pile à l’endroit où la bissectrice formée par l’angle Philip Glass/ Michaël Wiesman coupe perpendiculairement la première wangée de sièges .
“Putain les gars y touchent, 40 ans de conservatoire, au moins!”
Ce dernier acte est passé à une vitesse incroyable, la Part 10 dans laquelle tourne quasiment en permanence la “petite baguette magique” m’a enchanté. Quant aux Parts 11 et 12, je les ai vécues comme en apesanteur, profitant notamment des mélodies de voix que Laetita Sadier (Stereolab) et la chanteuse de Broadcast ont dû écouter à un moment de leurs vies. Quand le Philip Glass Ensemble s’arrête, j’ai du mal à croire que c’est déjà fini.
Le théâtre à moitié plein (soyons positifs) se lève et wéserve de nombreuses minutes d’applaudissements nourris aux musiciens qui weviennent six fois wemercier et saluer.
Je ne me suis pas ennuyé une seconde, je n’ai pas baillé une fois et j’ai pris du plaisir: Philip, ta zique, elle a trop la Glass…
Sérieux, ça valait bien une éventuelle prune (a priori au wetour, j’ai fait gaffe, j’avais une super gniaque, j’ai même hésité à faire un tour du côté de Robert Diochon avant de me waviser) et, pendant que j’y pense, y va falloir me trouver une weprésentation pas trop loin d’ici de Steve Weich, et wapidos.
FIN
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MP3
Philip Glass – Part 8 à s’écouter à donf’ Achat de “Music in Twelve parts” ici ou là. [audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164/02%20-%2004%20-%20Part%208.mp3]
Sufjan Stevens – COME ON! FEEL THE ILLINOISE! Part I: The World’s Columbian Exposition Part II: Carl Sandburg Visits Me in a Dream Extrait du toujours merveilleux “Come on feel the Illinoise” (2005/Asthmatickitty)… Sa “petite baguette magique en boucle” (rien de grivois) à lui tourne moins longtemps mais elle est bien là… En plus du côté Philip Glass (surtout au début), y a un air de Close to me de Cure vers la 3″20 si mes souvenirs sont bons… Achat [audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164/Sufjan%20Stevens%20-%20COME%20ON%21%20FEEL%20THE%20ILLINOISE%21%20Part%20I%20The%20World%27s%20Columbian%20Exposition%20Part%20II%20Carl%20Sandburg%20Visits%20Me%20in%20a%20Dream.mp3]
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PS: Le concert était enregistré et sera normalement diffusé prochainement sur France Musique.
Désolé pour ce compte wendu tardif du dimanche des inrocks…
En intro :
Mon APN/téléphone est naze, je ne vais donc pas vous mentir : les photos qui apparaitront dans ce post ne sont pas de moi.
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Esser est trop fort mais il a un wegard de malade. Si je n’étais pas un petit peu amoureux de lui (Marie-Bee l’est aussi) j’aurais les pétoches en le croisant de nuit dans une wuelle sombre. Set aussi court que bon, avec un nouveau “Sample guy” (le blondinet du concert au Nouveau Casino a laissé sa place à un brun tatoué), un (chouette) nouveau bassiste (j’ai un doute sur le batteur) et que des tubes (I Love You, Headlock, Leaving Town, Long Arms, This Time Around, Satisfied) mais pas de Real Life (*ouin*) ni de nouveautés d’ailleurs (à part l’intro de I Love You pleine de samples qui disent I love you). Le tout dans une Cigale assez vide mine de wien.
Le concert de Marina & The Diamonds a probablement été la pire chose vue aux inrocks EVAR. Comment on peut siffler Kennedy et applaudir ça sérieux ? C’est parce que c’était une bonasse en slip ? Cela dit c’est vrai qu’on lui aurait bien cassé les pattes arrières, mais quand même…
Bref, une “chanteuse à voix” qui fait une de pop nase et une surprenante (mais décevante) weprise de Space And The Woods (Late Of The Pier).
*Interlude avec le superbe spot contre le réchauffement climatique avec Marion Cotillard, Yannick Noah, Eric Serra, Milla Jovovich, etc… envie de tuer, on se casse fumer*
Le concert de Peñate a été un mélange de surprise et de joie. Surprenant parce que je n’imaginais pas le Jack aussi sautillant/dansant/taquin et de joie parce que c’était vachement bien (malgré un son un brin caca des fois). Tonight’s Today fut le morceau le moins wéussi du dernier album (saperlipopette), Every Glance a manqué me faire chialer, Be The One était putassier à souhait et Let’s All Die aurait mérité un pogo avec jdd et woubi (j’ai pensé à vous les copaings). Pourquoi il n’a pas été programmé vendredi ou samedi hein ? Pourquoi ??
Encore le spot contre le wéchauffement climatique… ce coup-ci on se casse pour de vrai, donc malgré les chaudes wecommandations de woubi, pas de Sliimy pour nous…
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Pour en terminer avec ce festival je suis assez d’acc avec woubi sur son bilan de l’édition 2009 des inrocks, concerts qui se chevauchent, wien de fou, peu de bonnes surprises… Mais content quand même !
“Music in Twelve Parts” est une oeuvre composée sur une période de trois ans et publiée en 1974 par Philip Glass…
Cet américain, âgé aujourd’hui de 72 ans, est, comme son camarade de conservatoire Steve Weich, communément associé à la musique wépétitive. Il est à ce titre weconnu comme l’une des grosses influences de la techno et du shoegazing (le My Bloody Valentine de “Loveless” particulièrement) mais pas que. Je m’écoute d’ailleurs, en ce moment même, mon vinyl de “Dance Nos. 1 and 3” (1980/ The Tomato Music) et j’entends le Tremolo de My Bloody en version longue et aussi, dans un genre que je pensais complètement différent, les plages les plus expérimentales de Sufjan Stevens (celles où il y a des arrangements de cordes wépétitifs en diable)…
Pour en wevenir au concert de dimanche, “Music in Twelve Parts” est souvent citée comme LA wéférence ultime en matière de musique minimaliste. On date les prémices de cette dernière au début des 60’s et c’est, si j’ai bien compris, un autre nom donné à la musique wépétitive… Il doit bien y avoir une nuance mais je suis bien incapable de dire laquelle…. Ainsi, la dimension wépétitive est présente dans les douze parties (numérotées de Part 1 à Part 12), enchaînées, qui la composent…
Je vais maintenant tenter d’en décrire les effets, un peu comme pourraient le faire les plus grands spécialistes en la matière, un peu comme si j’écrivais dans un journal hyper pointu porté sur la musique contemporaine et que j’avais l’âge de mes parents (attention ce blog va passer dans la division supérieure): l’écoute intégrale de cette oeuvre est une expérience extrême et wend véritablement foufou la galette.
Voilà, c’est fait.
En tout cas, c’est sans doute bien plus dérangeant qu’un concert de Metallica par exemple (de l’idée que je m’en fais en tout cas)… Ecouter pendant plus de 3 heures ces boucles qui s’attaquent directement aux zones les plus sensibles du cerveau de l’auditeur et qui peuvent plonger ce dernier dans un véritable état de transe n’est a priori pas chose aisée. Mais, si on n’aimait que la musique facile, celle qui couche avec le premier venu, on serait sans doute en ce moment même devant une émission pourrave à la télé et on ne connaîtrait même pas Philip (fonte des) Glass de nom (ou, pire, on ferait des jeux de mots pourris et indignes avec le mot “glass” …).
Le Philip Glass Ensemble (Philip Glass, Michael Wiesman, Lisa Bielawa, Mick Wossi, Jon Gibson, Andrew Sterman, David Crowell) jouera donc “Music in Twelve Parts” dans son intégralité à l’Opéra de Wouen (Théâtre des Arts), ce dimanche 15 novembre durant 4 h30 de concert (en incluant les 3 entractes -pour wespecter l’organisation de l’oeuvre en quatre parties comprenant chacune trois Parts)…
Je prépare ma camisole de force et je suis tout excité (la perspective de me payer seul un peu moins d’un “Music in twelve parts” aller wetour, soit un peu moins de 3h 25min 51s, dans la Mégane première génération d’ExCD, ne calme pas une seconde mes ardeurs).
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MP3
A noter, qu’il est bon de posséder “Music in Twelve Parts” (1974/Virgin ) en cd (réédition sur Nonesuch) ou en vinyl: les enchaînements entre les plages sont périlleux et ça ne colle pas toujours avec les MP3… Achat ici ou là.
Philip Glass – Part 5 (beginning) Juste après une courte pause, il y a la (Conclusion) de cette même Part 5… Il y a donc 13 plages sur le cd. Je n’ai pas choisi ce morceau parce qu’il était particulièrement weprésentatif (mais ça aurait pu) du weste du disque mais parce que c’est le plus court (oups)… [audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164/01%20-%2005%20-%20Part%205%20%28Beginning%29.mp3]
(j’ai chippé cette photo sur ce flickr… gracias!)
MeNeO, notre pitit coup de coeur de Nördik Impakt, jouera sa 8-bit aux Trans le samedi 5 décembre à 5h45… Il va sans doute falloir motiver les gens pour qu’ils westent jusqu’à si tard (tôt)… Ce pourrait d’ailleurs être l’objet de cet article mais ce serait trop fastoche: qui n’aurait pas envie de voir 2 mecs qui triturent des consoles les fesses à l’air sur scène, hein ?
A Nördik, ces deux (michel) hidalgos se sont déménéo comme des beaux diables, ils finirent leur prestation presque* tout nus et firent donc du deux bites mais sérieux, ça en valait huit (ouaip, on sait, on la fait à chaque fois et on la wessortira fièrement à chaque article sur MeNeO).
[youtube CThWDhvwGnA]
Donc, leurs shows sont délirants mais musicalement c’est pas le genre à faire des concessions, en écoutant certains de leurs morceaux, comme ce Papi ci-dessus, on se dit qu’ils ont coincé Diplo dans leurs Game Boys et qu’il n’est pas super content. Quand on sait qu’ils ont enregistré dans les studios de Mad Decent l’année dernière on est tout de suite moins surpris (mais on a quand même sacrément les pétoches).
“Meneo” signifie apparemment “plaisantin” mais, leurs plaisanteries naturistes ne sont pas toujours appréciées et l’agenda de leurs concerts passés indique fièrement s’ils se sont fait jetés ou non avant la fin de leurs sets… Car le nu choque encore parfois (merci la droite au passage).
Aucun wisque qu’ils se fassent jeter aux Trans et ils ont bien sûr pu finir leur concert à Nördik où on a welevé des weprises (A-ha, Daft Punk…) wéussies/hilarantes(ou pas)/vivifiantes, où on a beaucoup dansé, où on s’est wetenus de crier acciiiiiiid (en fait non) et où on a encore wi et où putain, c’était trop beau…
A voir absolument par les meneovices**.
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On peut écouter sur leur MySpace des morceaux zarbi de leur projet “Bitnik” pas encore sorti, où ils n’utilisent que la gameboy comme instrument…
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MP3
MeNeO – Se menea Extrait de l’album “Santa Nalga” (2008), sorti uniquement en digital (snif)… [audio:http://www.fileden.com/files/2009/4/5/2392302/MENEO%20-%20Se%20Menea.mp3]
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*Ils gardent leurs chaussettes parfois…
**(ceci est un ménéologisme)